Jean, Annie et mes parents nous partîmes au mois d’ août, comme à l’accoutumée en vacances chez mes grands-parents, au retour je partais remplir mes obligations militaires.
Pendant cette année, je fis la connaissance de filles rencontrées dans des bars, des pubs, rien d’extraordinaire, Annie me manqua, idem pour Monique rencontrée quelques mois auparavant. Libéré de mon service militaire, une de mes premières visites fut pour Jean et Annie, je revis Roger et Monique également.
L’année mes vingt-deux ans , je fis la connaissance de Julie, petite brune de dix-huit ans aux seins lourds, toujours en pantalons, baskets, Annie ne m’avait pas habituer à cela mais Julie bien que refusant tout préliminaire, vraiment tout préliminaire, n’opposait aucune résistance à écarter les jambes, pour voir les lèvres de sa chatte, il fallait la dégager de son buisson très fournit.
Julie avait une sœur, Marie, petite brune de vingt ans, petits seins ronds, nous partîmes ensemble en vacances dans la mer Egée.
Sitôt arrivés, Marie annonça la couleur, pour elle se serait nue sur les plages, idem pour moi, Julie refus cette idée.
Sur une plage, Marie nue me demanda de lui passer de la crème solaire, après avoir essuyé le refus de Julie.
Marie était allongée, moi à califourchon sur ses fesses, j’avais gardé mon short à cause d’une éventuelle réaction d’une partie de mon anatomie.
Je commençais mon étalage de crème quand Julie décida d’aller se baigner, les bras fait, le dos aussi je demandais à Marie d’écarter les jambes et me plaçais entre pour masser les fesses, manifestement la sœur ressentait quelques émotions dues à mon massage, sa chatte ouverte, aux lèvres roses, à la pilosité entretenue, suintait, j’osais passer dessus mon index, pas de réaction, j’osais l’introduire un peu plus, le retirait, j’entendis une réprobation « non….continue » puis une autre voix « ça va peut être aller comme ça », je n’avais pas vu Julie sortir de l’eau, pris sur le fait Marie malgré tout me défendit expliquant que je la massais, qu’il n’y avait rien de mal.
Je restais avec elles quinze jours, pendant ces deux semaines je vis Marie s’exhiber, offrant son corps aux autres touristes, autochtones ainsi qu’à moi, elle cherchait les rencontres, Julie était outrée, suite au massage, elle refusa toutes étreintes pendant mon séjour, je pris une décision et lui annoncerais à son retour, ne voulant pas cacher ses deux autres semaines de vacances.
Je rentrais en France un samedi en fin de matinée, début d’après-midi je reçus un appel téléphonique d’ Edith, la mère de Julie et de Marie, elle appelait pour prendre des nouvelles de ses filles, me dit qu’elle s’ennuyait seule, son mari étant parti dans leur résidence secondaire en province, elle me proposait de m’amener dans un restaurant Grec dans Paris mais que nous pouvions nous promener sur les quais avant de dîner.
Sur les quais Edith m’avait pris le bras et j’en étais fier, Edith était plus grande que ses filles, brune, cheveux coupés au carré, d’origine espagnole, elle avait le teint mâte, des seins lourds, des hanches larges mais sans trop, très cambrée cela faisait ressortir son popotin, à quarante-cinq ans elle attirait les regards et elle s’en interrogea, charmeur je lui dit qu’elle était une belle femme mais aussi qu’au soleil sa robe était légèrement transparente, bien sur elle fît l’innocente.
Elle attirait les regards comme elle avait attiré le mien, un week-end passé dans la maison de campagne, un matin traversant la cour, passant devant sa chambre, elle était nue figée, les mains sur les hanches, devant l’armoire, face à la fenêtre, comme attendant mon passage, en arrêt je la contemplais.
La ballade fut bucolique, le repas divin, bref une très agréable soirée.
A la gare du Nord, je lui pris la main et l’entraina dans un sprint pour ne pas rater notre train, assis sa main toujours dans la mienne, nous reprenions notre souffle, nous regardant, dans un même élan, nos lèvres se rencontrèrent, une fois, puis une seconde et à la troisième fois se furent nos langues qui firent connaissance. Le trajet se passa sans une parole échangée, sa tête sur mon épaule.
Elle m’invita chez elle à prendre un café ou autre chose, j’acceptais mais je pris tout comme elle un whisky, à sa demande je mis de la musique, je laissais la galette de vinyle déjà sur la platine c’était Mike Brant, vraiment pas ma tasse de thé.
Assis côte à côte sur le canapé, c’était embrassades, mes mains caressaient son visage, son nez, ses cheveux, ses lèvres, après avoir bu une gorgée, elle me prit la main et voulut danser, sur un petit lent.
Serrés l’un contre l’autre, mes mains caressaient son dos puis une main ses reins, l’autre ses fesses, elle, m’embrassait, une main posé sur mon dos, l’autre sur mon torse, j’osais déboutonner quelques boutons de sa robe pour caresser sa poitrine, elle, déboutonnait ma chemise pour caresser mon torse viril.
Après m’avoir demandé ou j’en étais avec Julie, je lui répondais que c’était fini, elle m’entraina dans sa chambre.
Ajouter un commentaire