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La jupe d’écolière 2

La jupe d’écolière 2



Le deuxième appel

Je tenais ma poupée gonflable (bbw) par les hanches et commençait a heurter ses fesses de plastique déjà plus fort en m’imaginant mon patron plutôt mignon m’enculer ce soir, ou moi, posant nu et bander sous de jolie robe, quand mon iPhone vibra sur le sofa un peut plus loin me ramenant a la réalité.

« Merde, ça doit être Denis ou mon guitariste, » dis-je en enlaçant Mimi pour la soulever, sans sortir de son cul, et me rendre au sofa avec elle, se qui me fit rire tout en me procurant de bonnes sensations. Elle pesait une plume, mais le masque à gaz la faisait se plier vers l’avant. On aurait juré qu’elle avait une trombe d’éléphant de fin du monde. Je me laisser tomber assit sur le sofa, en grimaçant de plaisir, Mimi bien installé sur moi, me tournant le dos, la tenant par la taille, et perdu dans mes pensé je répondis sans regarder l’écran de mon iPhone. Et, évidemment…

-Oui?
-Bon, enfin… ça répond chez mon petit frère. Seigneur!

Mireille, Merde !

– Oui, eh… Pierre est là, t’es sa copine, je suis sa sœur Mimi?

Je figer tandis que mon petit cœur de shemale se mettait à battre plus fort. Merde, ma voix! Comme elle me prenait pour ma copine je fut tenter de répondre (oui je le suis, Pierre est sorti), mais, juste de parler avec elle en sentant ma bite dans le cul de l’autre Mimi m’excita tellement que je baisser ma voix le plus que je pus et dit :

-C’est moi, Mireille, j’ai une petite grippe! Ça va? Et maman va bien?

Un silence inquiétant et…

-Eh! Vraiment trop bizarre ta vois mon grand frère. Justement, c’est pour ça que je t’appelle, moi et M’man on c’est encore engueulé et pas a peut près, hier. T’as pas pris les textos que je t’ai envoyés et t’es plus sur Twitter depuis un longtemps?
-Pas eu le temps, je travaille fort ma petite sœur, plus le band… j’arrête pas.

J’avais l’impression d’imiter la voix du fantôme de l’opéra. Seigneur!

Pas évident de prendre une voix de gars maintenant, mais d’entendre celle de ma sœur par adoption m’excitait tellement, surtout en l’imaginant juste en camisole sans soutien-gorge et en slip assise sur son lit. Je l’avais si souvent surprise commerça a jaser au téléphone quand j’habitais encore a la maison, que ça me fit bander plus dure dans le cul de l’autre Mimi. Il ne s’était jamais rien passé entre nous même si j’aurais bien aimé, elle n’était pas vraiment ma sœur après tout, mais on était trop amis tous les deux et je ne pouvais pas l’imaginer, enfin, si un peut, même pas mal parfois. Mais, voyeur comme je suis, la surprendre juste en soutien-gorge dans sa chambre ou se balader en camisole sans soutif et en slip dans la maison m’excitait au possible a l’époque.

Les filles, même nos sœurs ou nos mères, ne semblent pas se rendre compte de l’effet que cela produit sur un ado boutonneux de les voir se balader à demi nu, ou elle aime ça, allez savoir. Je m’étais branlé un nombre incalculable de fois en pensant à Mimi, à ses gros seins surtout. Les filles a gros sein un peut ronde mon toujours fait flipper a mort. Alors je décider de profiter la situation un petit peut. Oui, je suis un sacré vicieux, plutôt une vicieuse maintenant et j’aime ça, et non, je ne suis pas gay, mais bi, je ne vous l’avais pas dit? Mais si voyons. Pas lu le premier chapitre ? Oups!

-Tu tes encore engueuler avec M’man. Répondis-je en soulevant ma Mimi d’un seul bras pour la faire aller et venir lentement sur ma bite bien enserrer dans son cul glissant tout en parlant au téléphone, c’était vraiment trop bandant. Mais la damnée bonbonne du masque à gaz rebondissait sur les gros seins de plastique en faisant… Tap… Tap… Tap… Trop drôle. Faudrait que je me filme un jour avec elle et que je mette ça sur Hamster, ça vous ferait bander? Sûrement, gagne de vicieux. En tout cas, moi oui.

Ma sœur et ma mère depuis 2 ans c’était chien et chat. Engueulades continuel et je fus bien heureuse de partir de chez moi.

-Oui, j’en ai plein le cul, surtout de son nouveau chum. J’ai un petit service à te demander Pierre. Pourrais-tu m’héberger un moment, le temps que je me trouve un emploi comme coiffeuse et un appart? J’ai fini l’école. Juste pour quelques semaines. Je sais que t’es un artiste et que t’as besoin de tranquillité, je ne te dérangerai pas. Promit mon grand frère.

Figer la grande shemale. J’en oublier d’enculer miss masque a gaz un instant. Je suis trop bien toute seul et j’allais devoir oublier pour un temps ma Mimi gonflable. Mais, d’un autre côté mon cœur bondit d’entendre ça et ma bite devint beaucoup plus sensible, car je l’imaginais déjà se balader ici avec pas grand-chose sur le dos comme à la maison et prendre son bain en plein milieu de mon salon. Mais surtout sa face de découragement en découvrant qui j’étais maintenant? Oups!

De toute façon, elle allait bien devoir le découvrir un jour. N’empêche que ça me stressait terriblement. J’espérais retarder ça le plus longtemps possible, jusqu’à Noël. Miss courage, ce n’était pas moi. Mais là, tant pis. J’aurais pu dire non, je suis en couple bla-bla-bla… mais je me doutais a quelle point elle voulait fuir notre mère. Mais surtout j’avais trop envie de revoir sa grosse poitrine se balader libre sous un t-shirt ou une camisole et ses belles cuisses ici. Juste de l’imaginer, j’en eus de gros frissons sur les couilles et bander plus dure.

-Pierre, désoler de te demander ça…

Avec mon bras, j’obliger ma Mimi a se remuer a nouveau, a monter et descendre plus vite sur ma bite, ça m’agaçait tellement que je sentis que j’allais jouir. J’accélérai encore le mouvement en écoutant ma sœur, me sentant tout proche de l’orgasme en pensant a ses gros seins que j’allais revoir. Génial! Décidément, les bonnes nouvelles se succédaient aujourd’hui. J’ai toujours été un voyeur fini et la, j’allais me rincer l’œil assurément. Il n’y avait qu’une porte dans mon loft, le coin toilette sans douche, juste le trône et un lavabo et c’était l’été avec les grosses chaleurs en plus. Ça me fit bander plus dur et grimacer de plaisir d’imaginer ma demie-sœur dans le bain, juste au milieu du coin salon. Mes pensées perverses se bousculaient a un rythme effréné. Deux grosses nouvelles presque en même temps; ma sœur chez moi et le photographe.

-Pierre, t’es là?
-Hum, oui, désoler.
-T’as vraiment une drôle de voix Pierre, c’est vraiment toi ou une de tes copines qui me niaise. T’es chez toi?
-Oui, oui…. C’est moi. Une grippe de printemps.

Maudite voix de fille.

-T’es en train de baiser on dirait, c’est ça, ta drôle de voix, avoue? Je peux rappeler plus tard si tu veux.

Merde! Elle devait entendre le tapement des fesses de plastique sur mes jolies cuisses blanches ou de la bonbonne sur les seins. Mais je ne pouvais plus arrêter, j’étais au bord de l’orgasme. Je fis tout de même attention à ne pas faire trop de bruit, mais, si près de jouir, ce n’était pas évident. Le maudit masque a gaz rebondissait de plus en plus. S’il avait fallu que quelqu’un débarque à ce moment… Seigneur! Comme je fais de la BD j’imaginais trop bien le tableau.

-Mais non, ça va.

Mon scrotum était déjà tout dur et je grimaçais en tabarnouche, les orteils touts retrousser, les yeux tout petits. L’anus bien serré chatouillait tellement mon gland que cela en devenait presque intenable. Je ne pensais qu’à gémir et à jouir en tremblant. Au bord de l’orgasme, je me forçais toujours pour avoir une voie anormalement basse, mais ce n’était vraiment pas évident. J’étais en sueur et mes genoux s’entre-choquait.

-Eh, tu arrives quand… Mimi, que je fasse un peut de ménage?
-Génial, je t’aime Pierre, hurla t-elle folle de joie. T’es sur que t’es pas en train de baiser toi?

Je retins de justesse un gémissement en sentant mon sperme grimper dans ma hampe.

-Mais non… je suis tout seul et je ne joue pas avec… tu sais quoi. Je l’entendis rire et dire (j’espère mon grand frère.)
-Alors, quand? Insistai-je en ayant envie de crier de plaisir en me sentant finalement éjaculer. Bon Dieu que c’était bon, une vraie délivrance. Mon premier jet jaillit avec une force incroyable. Orteil replier, tête en arrière, transit de plaisir en étouffant mes gémissements, la poupée gonflable plaquer sur mes cuisses et mes petits seins, je déchargeais en grimaçant en attendant une réponse de ma sœur par adoption le téléphone a l’oreille. Trop cool de lui parler en même temps. Mon sperme jaillissait dans le rectum réservoir en me retombant sur le gland si sensible. Seigneur! Le cœur voulait me sortir de la poitrine, j’en avais même les larmes aux yeux et le feu aux joues. Et là, j’entendis :

(Boum, boum, boum…) à la porte de métal de mon loft.

On frappait du poing à la lourde porte coulissante et je ne me rappelais plus si je l’avais barré en arrivant. Panique totale, se faire surprendre avec une poupée gonflable en pleine action; aimeriez-vous ça, vous? Je devins tout électrique en imaginant le photographe ouvrir ou un gars du band, ou le band au complet qui s’empresserait d’éclater de rire, la honte totale. Personne ne venait jamais ici à part eux, merde! Et c’était trop tôt pour que ce soit Denis, mon patron. Et ma porte donnait en plein sur le salon et elle s’ouvrait. Un courant électrique me traversa la colonne en plein orgasme avec ma sœur toujours au téléphone.

-Un instant, criai-je paniquer en serrant les cuisses, mais la porte continuait de coulisser sur ses rails et je déchargeais toujours. Shit! Et j’entendis Mireille au téléphone. (J’espère vraiment Pierre que tes pas en train de te masturber, je t’ai surpris une fois a le faire et j’ai pas envie de revoir ça même si c’était trop drôle la face que t’as faite, parce que je suis devant ta porte et j’entre Pierre.)

Mes couilles ****tissèrent et mon cœur stoppa un moment avant de repartir tout croche en voyant ma sœur apparaître tout sourire avec un gros sac à dos et son téléphone a l’oreille pour me faire la bonne surprise.

Ai-je besoin de vous dire qu’elle figea.

Et j’avais absolument rien pour me cacher à porter de mains. Je plaquer plus le dos de ma poupée gonflable sur mes petits seins en serrant plus les cuisses, c’était au moins ça et je lui fis un beau sourire niais en finissant d’éjaculer, le rouge aux joues, essoufflées, les yeux tout petits. En arborant sans doute le sourire le plus débile de l’histoire des Shemales.

Vous avez déjà vu quelqu’un figer, mais vraiment, comme quand on met la pause sur sa télé? Et bien ma sœur l’était présentement, bouche ouverte, les yeux tout ronds. Si j’avais chaud? Vous avez pas idée. WAIS, me faire passé pour ma copine aurait été bien plus intelligent et dire que je n’étais pas la, ou de lui dire; oui, je suis en train de baiser elle aurait sans doute attendu avant d’entré. Mais jamais j’aurais cru qu’elle était juste derrière ma porte, je la pensais sur son lit à 500KM de chez moi. Merde! Maudit portable de chiot!

Note à moi-même; toujours barrer ma foutue porte.

Imaginer la scène; elle entre en croyant trouver son grand frère chez lui et ce qu’elle voit; c’est moi, sans pouvoir me reconnaître, une jolie petite blonde mince, nue, assise sur le sofa avec une poupée gonflable aux gros seins sur les genoux et qui porte un masque a gaz en plus. Et je dois grimacer a mort en souriant, car,( mais ça, elle ne peut le voir ni deviner que j’ai une bite,), car je suis toujours en train de finir d’éjaculer. Alors vous pouvez imaginer la face de ma sœur, même si elle ne me reconnaît pas.

Pourtant, même dans ma panique, je ne pus m’empêcher de la trouver mignonne comme tout en camisole avec ses énormes seins ballons qui en débordait et son jeans bleu pâle tout déchirer aux cuisses et aux genoux et elle avait maintenant les cheveux raides et teints en roux. Elle sourit finalement, quelque peut embarrasser en refermant la porte et dit :

-Oups, eh… désoler, je tombe mal… Seigneur! (elle retint même un fou rire, main sur la bouche)

Comme je ne disais rien, soudainement transformée en statue de honte avec toujours le téléphone à l’oreille, elle rajouta :

-Trop drôle le masque a gaz. Pierre aurait dû me le dire au téléphone. Ce qu’il peut être idiot parfois mon frère! Mais bon, y pensait pas que j’étais juste le derrière la porte, j’imagine. Je suis sa demie-sœur Mimi, je viens de lui parler au téléphone? Mais, je peux revenir plus tard, aller prendre un café, genre. Eh… Il est allé se cacher? fit-elle en riant a présent tout en s’excusant encore en agitant sa petite main devant son visage. Elle éclata de rire carrément. Seigneur!

Il y avait de quoi rire, non? Moi qui espérais lui apprendre la nouvelle à Noël en débarquant chez moi; bien maquiller, bien coiffer et bien habiller en disant; salut, coucou, c’est moi Pierre, je suis mignonne, hein!

Seigneur de seigneur!

J’arborai toujours un sourire idiot en sentant mon cœur battre bien trop fort, le souffle couper, les joues toutes rouges, en agitant mon téléphone rose tout en me maudissant pour ne pas avoir barré cette maudite porte et je dis la voix chevrotante, car au bord des larmes :

-Ben… c’est moi Mimi, Pierre.
-Pardon, fit-elle en plissant les yeux en reprenant son souffle. Visiblement elle ne comprenait pas ce que je venais d’avouer, car elle me cherchait toujours du regard.

Débander le gars pensez-vous…oh non, bien au contraire. Mimi avait quelque peu changé depuis un an. Ses cheveux raides étaient plus longs avec de petites tresses, sa poitrine encore plus grosse, mais son derrière plus petit. Elle devait s’entraîner pour garder la ligne. Elle était craquante à mort avec son piercing de lèvres comme le mien, et un nouveau tatoo sur le sein gauche, un crâne qui rigolait, mais je me dis qu’il ne rigolait peut-être pas avant qu’elle entre. Une bonne partie de chair blanche débordait de son gros soutien-gorge noire et sa camisole laissait son beau nombril avec un piercing a l’air. En plus, le bout de ses mamelons pointait comme d’habitude, même que ça pointait de plus en plus. Tien donc! Je me demandais si elle avait deviné que je venais de jouir dans le cul de plastic. « Sûrement pas idiote, » me dis-je., elle me prenait pour une fille, elle ne pouvait pas savoir que cette jolie petite blonde avait une grosse paire de couilles et une queue de 7 pouces et demie, presque 8 enfoncer dans le cul du jouet sexuel. Au moins, l’anus élastique était assez serré pour retenir mon sperme. Toute fois, elle devait bien se demander ce que cette jolie blonde faisait avec ça sur les genoux. Mais jamais de ma vie je n’avais eu aussi chaud, surtout en sentant ma bite, rester dur, palpitante et beaucoup trop sensible, trempant dans le sperme tandis que ma sœur me cherchait toujours des yeux, enfin elle cherchait son grand frère. Une chance que j’avais décidé de prendre ma poupée gonflable plutôt que le vagin en forme de lampe de poche et transparent. C’était au moins ça.

Mimi avait les joues rouges, mais étrangement, voir une fille nue ne semblait pas trop la perturber.

-Mimi, c’est moi, je suis la.
-Pardon, fit-elle en se débarrassant de son lourd sac a dos pour le laisser tomber par terre avec soulagement. Au même moment mon téléphone sonna à nouveau. La photo de ma mère s’afficha, notre mère. Seigneur! Encore là, je répondis sans réfléchir, j’arrivais même plus à réfléchir de toute façon. Ma petite cervelle de blonde semblait figer. Et puis, comme un condamné à mort, je me sentais résigné à mon sort.
-Saut M’man, ça va? Dis-je comme un automate en fixant ma demi-sœur qui me fixait a présent.

Le moindre de mes mouvements agaçait ma queue toujours raide dans le rectum de Mimi 2 et me faisait grimacer de plus belle. Seigneur! Et là, j’avais ma mère en plus au téléphone. Mes hormones de fille m’ordonnaient de pleurer, mais je réussis a me contenir. La situation dégénérait et je n’y pouvait rien.

-Non, ça ne va pas Pierre. Pierre, c’est bien toi?
-Hum, hum!

Plus question d’essayer de prendre une voix de gars en plus avec ma sœur juste là, qui visiblement commençait à réaliser pleinement qui elle regardait.

-Pour une fois que tu réponds. Mireille est partie chez vous ce matin et sur le pouce, on s’est encore chicané. Je m’inquiète pour elle, elle a peut être été violer, ou assassiner, seigneur Pierre, je capote.
-Stresse pas M’man, elle vient d’arriver, elle va bien, je te la passe.
-Ah oui (gros soupir de soulagement) merci mon dieu. Mais, ta ben une drôle de voix toi, on dirait une voix de fille…

Il y eu un long silence tandis que je sentais mon cœur battre beaucoup trop vite sous mes petits seins compresser par le dos de ma poupe gonflable, pendant que ma demie-sœur, souriait en évitant de trop me regarder en se posant évidemment des tas de questions et ma mère rajouta :

-Ah non, dis-moi que tu la pas fait Pierre, tu la fais ce traitement aux hormones don tu ma parler l’an passé. T’es devenu une fille, tu t’es pas fait couper le pénis, hein?

J’eus l’impression que mes cheveux étaient devenus tout raides sur ma tête. Me faire couper le pénis, ma mère venait de dire ça!

-Quoi?

J’avais presque crié, j’hallucinais vraiment. J’étais sûr que jamais au grand jamais j’en avais parlé à qui que ce soit de mon idée de devenir une fille. Me v’là figer à mon tour, bouche ouverte.

-Seigneur non, Pierre, t’es malade? Fit-elle visiblement très décourager.
-Je t’en ai parlé, dis-je sans comprendre. Je te l’ai dit, quand ça?

V’là mes yeux qui se remplissent d’eau et ça me pique.

-Ben, t’étais saoul un soir, on jasait, je pensais que c’était une blague. T’as pas fait ça Pierre, mon dieu. Et ton pénis tu l’as toujours, dis-moi que oui?

V’là ma mère obséder par ma bite, ça, c’était trop bizarre. Tout allait trop vite, je me sentais étourdi, mais toujours bander. Et v’là les larmes qui me coulent sur les joues et je ne peux rien y faire. Je déballe mon sac devant ma sœur qui écoute ébahie.

-Oui M’man, j’ai suivi le traitement. Je suis une belle grande blonde maintenant. J’avais peur de vous l’avouer. C’est pour ça que je répondais plus au téléphone. Désolé M’man. Je voulais vous l’apprendre en personne, et oui, j’ai gardé mon… mon pénis.

Il y eu un longs silence, quasi religieux. Mimi semblait s’être transformer en statue de cire.

-C’est pas vrai, fit ma mère finalement dans un long souffle, ça et Mirelle qui part, tout ça la même journée, c’est trop pour moi. Vous voulez ma mort tous les deux. Mais… t’es même pas gay. T’es pas …homosexuelle Pierre? Ta toujours eu de jolie copine. T’es un beau grand gars, je comprends rien. Enfin, moi et Mimi on savait que tu fouillais dans nos affaires quand t’étais plus jeune, dans nos dessous et que tu les portais, mais ça, beaucoup de garçons le font apparemment. C’est ça que le psychologue nous a dit à l’école et de ne pas s’inquiéter et même de ne pas t’en parler. Bon, c’était pas si grave, mais là… Seigneur!

Je reste ébahi, bouche ouverte a nouveau en réalisant ce qu’elle venait de dire, complètement décourager en pleurant de plus belle. Moi qui croyais qu’elles s’en étaient jamais aperçues. La honte totale. Et elle en avait parlé au psy de l’école en plus. J’hallucinais en ne pouvant m’empêcher de pleurer comme une Madeleine, un vrai déluge. Maudite hormone! Maudite Madeleine !

-On s’en reparle, M’man, (Snif) désoler de te décevoir autant. (Snif) Je te passe Mimi, dis-je en tendant le téléphone a ma demie sœur qui venait apparemment de tout comprendre. Mireille s’approcha la bouche toujours ouverte en me fixant les yeux toujours tout ronds, visiblement stupéfaite, autant par moi que par Mimi 2 et son masque a gaz, elle prit mon téléphone. Elle avait l’air d’un zombie tellement elle avait blanchi tout à coup.

Je les laisser discuter en filant aux toilettes en attrapant ma jupe d’écolière au passage en enlaçant ma poupée gonflable pour cacher mon sexe toujours dans son cul en pleurant encore plus. Je marchais en priant pour que le sperme ne s’écoule pas le long de mes cuisses en sentant ma demie-sœur me regarder le derrière. Jamais je ne m’étais senti aussi ridicule et misérable de toute ma vie.

Pas la joie les amis.

Je nettoyer ma poupe gonflable dans l’évier et la laisser la, par terre avec son masque a gaz pour ensuite me laver la bite toujours sensible, mais ramollie. Mimi 2 semblait fâchée que je l’abandonne par terre, la pauvre. Tout ce que j’avais a me mettre sur le dos était dans le panier a linge sale a moins de sortir nu pour aller a ma chambre. Pas question. Je remis donc m a jupe d’écolière et ma camisole en attendant, sans aucun dessous. Après tout, moi et Mireille, nous étions entre filles maintenant, enfin, presque. Je pris un grand respire en m’essuyant les yeux devant la porte des toilettes en me rendant compte que mes mains tremblaient d’énervement. Ce n’est jamais agréable de se faire surprendre à baiser une poupe gonflable, surtout par quelqu’un de sa famille. En plus, il y avait mon nouveau corps… et… Mireille qui savait que je fouillais dans ses vêtements et que j’aimais porter ses dessous et ceux de ma mère en plus. Je n’avais qu’une envie, m’évaporer, disparaître me revoilà a pleurer comme une idiote et Mimi frappa a la porte.

-Pierre?
-Hum…
-T’inquiètes pas, ça surprend, mais… je te trouve super, vraiment hot.
-Ah oui? Dis-je en m’essuyant les yeux.
-Ben oui! Allez, sort.
-Non!
-Tu vas pas rester la.
-Oui.
-Si j’ai envie?
-Prend une bouteille.
-Ah! Idiot, vas bien falloir que tu sortes de la un jour. M’man vas s’en remettre, t’inquiètes pas. Moi aussi, surtout de ton étrange copine.

Elle ne put s’empêcher de rire à nouveau et moi je braillais.

-Arrête de chialer comme un bébé, sort.
-Non.
-Allez ouvre.
-Non.
-Bon, reste-la, moi je vais prendre une bière. Amuse-toi bien avec ta copine. Super cool ton loft…

Je vous l’avais dit que ma soirée avait été plutôt mouvementée et c’était pas fini. Oh que non !!!

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