Allongée entre ma cousine et moi, Marie me tournait le dos, ma main caressait les courbes de son corps blanc, la marque rouge de ma main se distinguait encore sur ses fesses que j’avais maltraitées, je me faisais plus douce maintenant, comme la sensation sur ma main de son entrejambe égal à une peau de bébé, Marie fléchi sa jambe pour facilité mes caresses et atteindre son sexe, son pubis était très bombé surmonté d’un triangle noir entretenu et ses lèvres épaisses et totalement épilées fermait l’entrée de son intimité, j’effleurais avec mon doigt sa fente et son anus sans l’introduire, ce qu’elle devait attendre ne se produisait pas et son désir augmentant de plus en plus, elle rongeait sa frustration sur le sexe de ma cousine qui mettait encore plus de passion à l’embrassée
« Mmmm m’encule moi Marion » lâche Marie en décollant et recollant ses lèvres de celle de Laure-Anne
« Comme ça » lui dit je en rentrant doucement un doigt dans son anus contracté.
« Faite moi tous ce que vous vous faite avec Laure-Anne » dit elle.
Ma cousine était déchainé à l’entente de ces paroles, elle grognais presque, sa bouche toujours collé sur celle de Marie alors que celle ci martyrisait toujours son sexe.
J’allais au pied du lit chercher le nécessaire à la mission qui m’était confier, gel, un spéculum et un gode ceinture. De retour sur le lit, la vue du sexe rose entre mes jambes me paraissais étrange pour ne l’avoir jamais vécu, se retrouvé avec une protubérance à cet endroit me troublais, me retrouver à la place de l’homme l’espace d’un instant, je ne savais plus si je devais adopter en comportement masculin ou féminin.
La pression sur l’anus de Marie le fit se contracter, je devais tout reprendre depuis le début, ma cousine poursuivait de s’occupé de sa bouche en faisant des pauses sur ses seins pour lui lécher les tétons.
Mon majeur enduit de gel glissait sur anus massant une large zone, Marie couchée sur le coté remonta ses jambes pour écarté ses fesses naturellement et me facilité le travail. Je me penchais sur son oreille pour lui glisser d’une voix douce.
« Détend toi on y va, profite » j’engouffrais mon doigt dans son cul et pratiquait un va et vient rythmé puis je passais à un deuxième doigt, Marie qui n’était plus surprise par les sensations s’était relâchée complètement, son anus retrouvais sa souplesse et je pouvais maintenant introduire le spéculum sans problème, j’invitais Marie à s’ouvrir le cul toute seul ne voulant pas la blesser puis son seuil de douleur atteint je mis trois doigts pour fouiller son rectum telle une curieuse; je réduisais la pression du spéculum et l’augmentais de nouveau en allant toujours un cran au dessus, Marie qui me laissais manœuvrer tenais mon poignet et je sentais à la pression de sa main si la douleur était trop vive. Apres cette séance, le spéculum laissais un trou béant à sa sorti.
Je m’allongeais derrière Marie, elle saisi le gode en passant sa main entre ses jambes et le dirigea dans son cul dilaté, après quelque coups de reins pour se mettre en place, j’enculais Marie comme elle me l’avais demandé, sans la brusquer, elle gémissait à chaque coup que je lui mettais, si j’avais du plaisir pour elle, moi je ne ressentais aucune sensation et décidais de partager son bonheur, je mettais fin à la pénétration pour aller chercher le double gode et ôter le gode ceinture, Laure-Anne nous planta chacune une extrémité après nous être mise cul a cul, je laissais Marie maitriser les va et vient et donnais un coup de rein de temps ne temps pour la stimuler, je branlais mon clitoris avec intensité en couinant, j’étais en transe et une décharge me traverse le corps, un jet d’urine mouilla ma cuisse et m’affalais sur le lit pour reprendre mes esprits puis je me mise sur le coté et Laure-Anne pris ma place.
Je regardais mes deux copines empalées l’une à l’autre se faire du bien pendant que j’essuyais mon entre jambe souillé avec du papier absorbant qui heureusement porte bien son nom, Marie suivait les mouvement imposé par ma cousine qui, étant plus rapide que les miens faisait ballotées ses seins dans tout les sens, les expressions de son visage trahissais la douleur et le plaisir.
Je m’approchais de son oreille et lui chuchote.
« C’est comment dit moi ? »
« j’vais jouir !, j’vais jouir !, hhhhh !…. hhhhhh !….. j’vais jouir !…. putain j’vais jouir !… han !…. j’vais !..j’vais ! »
Mon visage affichait un large sourire, je mouillais mes doigts et ma main pris la direction de son clitoris que je me mise à frotter vigoureusement.
« ha ouiiiiiiiii !….. hîiiiiiïiiîii !…j’vais jouiiiiiiiiir !
Et elle a jouit ………bruyamment
Marie se désolidarisa de sa partenaire et se mise en position fœtal, triturant ses cheveux elle ne put contenir ses émotions.
« J’ai jouis ….! j’ai jouis … ! » fini t elle par dire sa voix mêlé de sanglots
Je posais un baisé délicatement sur sa joue.
« Tu as été magnifique Marie » lui dis je
Laure-Anne nous regardais assise avec un large sourire, la tête posé sur son genou et le gode toujours planté dans le cul, manifestement ému elle aussi, une larme coulait sur sa joue.
Je tirais deux feuilles du papier absorbant et donnais le rouleau à ma cousine qui fit de même, plia en deux les feuilles pour les coller entre ses jambes, le papier fera son travail d’absorption puis essuya l’entre jambe gluant de Marie toujours recroqueviller sur elle même.
« J’avais jamais jouis » dit Marie
« Y’a un début à tout tu sais » lui dit je en essuyant les larmes qui inondaient ses joue « et puis tu vois je fais attention de ne pas effacer tes taches de rousseur pour que tu reste jolie » avais je ajoute dans le but de la faire rire, mais ce fut l’effet inverse
« Te moque pas de moi » dit elle dans un sanglot
« Jamais de la vie, ce n’est pas mon intention marie, pardonne moi »
Elle se tourna de l’autre cote et repris sa position fœtal. Je me collais à elle dans la même positon et la serais dans mes bras.
Laure-Anne senti la situation critique et me laissa gérer, elle s’éclipsa d’abord dans la salle de bain puis nous préparer une tisane.
Je restais blottis contre elle sans rein dire, ses sanglots avaient cesser.
Etrange personnalité, j’étais certaine quelle avait souffert d’un manque affectif dans ses jeunes années et l’expérience de ce soir l’a secouer, elle ne s’attendait pas à ça, peu être s’était elle déflorer toute seul, n’était entourer que de femmes, n’avait jamais rencontré de garçon, je me posais trop de question et la situation me tenais trop à coeur, je revenais au temps présent et tentais une approche
« J’aime tes cheveux Marie, ils sentent bon » lui dis je en les écartant de sa nuque pour lui poser un baisé « ha mice je t’ai fais un suçon »
« Fait en un autre » me dit elle en retour
J’esquissais un sourire de victoire et m’exécutais .
« holala, il est encore plus gros celui la » dis je sottement .
Elle rit
« Marie, tu veux bien m’offrir ton regard, je veux me noyer dans tes beaux yeux bleus »
Elle se tourne face à moi les yeux fermés.
« Laisse les fermés, je veux pas me noyer » et j’embrasse ses lèvres.
Il n’était plus besoin de parler, je l’embrassais passionnément et mes mains excitées par son corps nu parcourais sa peau douce, j’était de nouveau excitée, tout comme elle, sa main passa rapidement sur mon ventre pour chercher ma fente, j’écartais mes cuisses pour mieux l’accueillir, ses doigts frottait ma chatte de long passage jusque dans mon vagin, je ne pouvais décoller mes lèvres de sa bouche, je buvais sa salive, j’avalais sa langue, Marie me faisait un effet dingue et je ne contrôlais plus rien, ma chatte faisait un bruit de gargarisme, je fut prise de violent spasmes.
« J’vais jouir…! j’vais jouir …! hurlai je
Et j’ai jouis
Laure-Anne revient avec les tisanes dans la chambre.
« hey prenez pas tout, laissez en pour les autres » dit elle
Je roulais au pied du lit, mon coeur battait fort et je reprenais mon souffle.
Marie se masturbait, demandant de l’aide à ma cousine pour se finir; Laure-Anne se mis tête bêche sur elle lui offrant sa croupe à lécher et plongea sa tête entre les cuisses de Marie pour gober son clitoris et de bruyants sucions se firent entendre, Marie branlais ma cousine depuis de longues minutes, la moitié de sa main disparaissait dans son vagin de va et vient rapide, Laure-Anne se figea la bouche ouverte émettant de forte expiration, l’intensité devait être forte, ses sourcils se fronçais et l’expression de son visage grimaçant affichait le plaisir ou l’horreur en même temps si on était pas témoin de la scène.
Ma cousine étant hors course dans l’immédiat je revint m’occuper de Marie à qui je faisais le même traitement, intercalant pénétration et frottage de clito, sa chatte et tout son entre jambe brillait, les cris de mes deux partenaires m’annonçait une fin heureuse, c’est ma cousine qui émis un hurlement de bonheur la première et se laissa tomber sur le coté. Marie me motivait se sentant au seuil du plaisir.
« va s’y !… va s’y !….. oui !…. va s’yyyy !….j’vais jouir !…. haaaaa ouiiiiii ! »
Je pris soin de fermer ma gueule cette fois ci en évitant tout commentaire qui aurait put heurter notre invité, vous l’aurez compris.
La tisane était froide finalement, la nuit courte mais agréable, trois filles nu dans le même lit en tout bien tout honneur, si on oubli les cochonnerie que l’on à fait avant bien sur.
La semaine s’est poursuivi en compagnie de ma cousine, intense vous vous en doutez.
Et marie ………Marie hante certaine de mes nuits.
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