Le gâteau
La lumière grise du jour filtra peut a peut à travers mes paupières closes et j’entendis la tempête qui faisait toujours rage; le sifflement du vent, les craquements sinistres de la vielle maison, je crue même entendre une dé-neigeuse au loin ou tout près. Difficile à dire avec ce vent.
Encore une fois je m’éveillais, mais je me sentais si bien que je n’ouvris pas les yeux tout de suite en sentant mes gros seins écraser contre le dos de Mélany. Je l’enlaçais, le nez dans ces cheveux fin qui me chatouillait le visage, en cuiller toutes les deux sous les draps, cuisses contre cuisses, une main sur son ventre un peut rond en sentant son beau derrière écraser le mien. Sortant complètement des brumes du sommeil, je me revis hier m’éveiller sur le sofa du salon devant elle. Je n’arrivais toujours pas a croire que j’avais rêver toute mon aventure avec Marie et ma mère et tout le reste tellement cela m’avait paru réel et en plus, endormie devant la télé. Même les rêves que j’avais faits dans mon rêve.
Et pourtant, là, j’étais vraiment réveillé; je sentais trop bien toute la douceur de la peau tiède du ventre de Mélany qui se soulevait régulièrement et ses fesses contre le mien et la douceur de ces cheveux qui sentait bon le shampoing contre mes joues et mon nez. Mais ses fesses me paraissait, tout comme son ventre un peut plus mou qu’a l’habitude. « Elle vieillit la pauvre. » Je frotter un peut mes pieds contre les siens les sentant aussi glacer que les miens, ses orteils surtout me semblaient être de véritables petits glaçons. Mais Dieu que je me sentais bien à sentir son corps qui me réchauffait. Je bailler doucement en me disant qu’une autre nuit venait déjà de passé. Moi le sexe, je préfère ça le matin, je me sens toujours prête, un rien m’excite et la, je sentais une douce chaleur m’envahir le bas ventre. Mon sexe s’éveillait, s’humidifiait et le bout de mes seins qui rentrait par en dedans au repos, sortaient de leur cachette en gonflant contre son dos. Même mon petit clitoris me chatouillait. Je ressentis une forte envie de glisser une cuisse entre les siennes pour frotter ma vulve contre elle tout doucement, mais… elle dormait sans doute et je ne voulais pas la réveiller et, aussi, je me sentais trop bien comme ça, sans bouger, même pas un cil. Mais, mes mamelons me chatouillaient de plus en plus contre le dos de Mélany et mon sexe commençait à me démanger sérieusement. Est-ce qu’on avait baisé cette nuit ? Je ne m’en souvenais plus, mais là, j’en mourais d’envie. En la serrant plus fort espérant la réveiller en douceur, je me voyais déjà la retourner sur le dos pour me glisser sur elle, lui sucer les mamelons longuement avant de me laisser descendre, la tête entre ses cuisses pour lui manger le sexe avidement. Son beau sexe de gamine sans poil. J’en frémis d’envie en poussant plus mon ventre contre ses fesses. Je me demandais si elle dormait encore quand elle me prit la main pour la poser sur ses seins que je sentis… plus gros, pas mal plus gros, même beaucoup trop gros. Ils étaient aussi énormes que les miens et entasser l’un sur l’autre. Une petite panique s’empara de moi en sentant le duvet sur ma nuque et mes bras se dresser. C’était mes seins. Ben, voyons ! Je les tâter en y sentant les mêmes petits mamelons que les miens et ils durcissaient sous mes doigts, mais les seins étaient plus mou.
« Ça y est, je dois être folle et enfermer quelque part dans une cellule capitonner avec une camisole de force. » « On me bourre de médicament et c’est ça qui me fait faire tous ces rêves débiles. »
— Seigneur que ta les mains frettes ma fille. Tu vérifies si je les ai plus mous que les tiens ? C’est le cas Luce, les tiens aussi vont ramollir avec l’âge. Tu me chatouilles tabarouette !
Je sentis un courant électrique me traverser la colonne en reconnaissant la voix de ma mère.
— M’man !!! Criai-je en ouvrant les yeux dans ses cheveux.
— Ben oui, ta mère. Tu me prenais encore pour Mélany, comme ce matin ?
Merde, j’avais encore rêvé hier quand je m’étais retrouvé au salon avec Mel. Cette fois je perdais la tête, c’est sur. Quoi ? Comment ça comme ce matin. Là, je paniquais vraiment. Qu’est ce que j’avais fait avec ma mère ? Et mon mal de dos ? Un rêve ça aussi. Cette fois j’étais perdu complètement. Je voulus retirer ma main de sur ses seins et me reculer comme si c’était une vile vipère, mais elle me retint avec une force étonnante en poussant plus ses fesses contre moi tout en disant en claquant des dents :
— Bouge pas seigneur, je suis congeler.
Elle plaça même ma main entre ses seins lourds qui me la recouvrait complètement, la, c’était chaud et en sueur et je me dis; « C’est donc ça que ressentent Mélany et les autres quand ils me collent comme ça la main entre mes seins. » C’était pas désagréable, moi si maniaque des seins des autres, normalement j’aurais flipper a toucher une aussi grosse poitrine que la mienne, seulement, c’était celle de ma mère. Sans parler de ses fesses contre mon ventre et mes maudits mamelons toujours durs contre son dos. Pas gênant du tout. Et Marie, ou était-elle, déjà lever ? Seigneur ! Quelques secondes plus tôt j’avais si froid et la… j’avais trop chaud.
— Mais, c’est… c’est gênant M’man.
— Gênant ! Bof ? On ne fait rien de mal à part se réchauffer ma fille. Seigneur, on dirait que tu fais de la fièvre tout à coup. T’es malade ?
— Ben non ! Donne-moi ma main.
— Pas question, fit-elle amuser en resserrant sa poigne sur mon bras, je ne veux pas mourir de froid. Toi aussi tes tétons bande le matin ou c’est à cause du froid ?
— Tu me parles d’une question.
— Toujours aussi bête Luce.
— Ben non.
— Ben oui.
Seigneur ! Je voulus encore la retirer, mais elle tint bon en riant. Je fini par rire aussi, mais de nervosité, de trouble, de gêne, de découragement à cause du rêve surtout et… j’y renoncer. Apparemment ma mère était plus forte que moi et puis, malgré tout, je me sentais bien, j’avais chaud maintenant. Et je me dis, qu’autrefois, dans l’ancien temps, dans les maisons ou les logements, j’avais lu que c’était comme ça. Les familles dormaient ensemble pour ce réchauffer, parfois même avec la visite. Y devaient s’en passer des belles à l’époque. « Ouais, mais il devait dormir habiller. »
— Quant je t’ai collé ce matin, tellement je gelais, ça ta pas déranger Luce. Avec cette panne de courant y fait si froid ici. Je tremblais comme une feuille prête a tombée après le départ de Marie. Tu m’as agripper le bras pour que je te les pogne en disant; «oh oui, colle moi Mélany.» J’ai compris que tu me prenais pour la petite et puis j’avais si froid que je t’ai laisser faire, mais heureusement tu tes rendormis. J’ai eu peur que tu ne descendes ma main plus bas, tu me suis ? Mais la, je t’aurais réveiller t’inquiète pas ma fille. Mais, je dois avouer que c’est très confortable des femmes comme nous. Non ? C’est vrai qu’on tient chaud, on me la toujours dit. Et puis normalement on ne ferait pas ça. Ce matin, c’est juste pour ne pas mourir de froid. Hein Luce ?
Je ne sus quoi répondre en reculant la tête un peu sur l’oreiller plus décourager et mélanger que jamais. Elle avait dit le départ de Marie. Mon coeur se resserra. J’ouvris la bouche, mais elle me coupa la parole, comme d’habitude.
— Ça me rappelle trop quand tu dormais avec moi et que tu te collais comme ça toute petite. Ça, ça me manque Luce.
— J’étais jeune M’man et on était pas toute nue. Et Marie, elle est partie ou en pleine tempête ?
— Son mari est venu la chercher à 4 h du matin avec un énorme chasse-neige. C’est romantique non ? Elle a pris ton numéro, elle va te rappeler, chanceuse. Mais elle avait l’air un peu déprimer de partir.
Je me sentis terriblement dessus. Merde ! Mais surtout toujours aussi mal à l’aise à coller ma mère, mais d’un autre côté, c’est vrai qu’il faisait terriblement froid et qu’on était trop bien l’une contre l’autre. Et Mélany n’était pas là pour me réchauffer. Cet autre rêve avait l’air si réel la revoyant me réveiller au salon, que je me demandais si je n’avais tout bonnement une tumeur au cerveau. Ou peut être que j’étais en train de me faire dévorer vivant par un champignon géant comme dans mon émission préférer de X-Files avec le beau Mulder. Je me détendis un peu en grelottant à nouveau. Dehors, la tempête rugissait toujours et juste de l’entendre me faisait frissonner. Maintenant, je me sentais comme en camping le soir au bord du feu quand les joues et les genoux vous brûlent tandis que l’on a le dos glacer.
— Tu tes rendormit Luce ?
Juste pour l’agacer je dis :
— Non ! Je me disais juste que je trouvais que Mélany avait ramolli tantôt.
Je reçus un coup de fesses qui me fit rire dans ces cheveux teints en roux. Quoi ! Hier ma mère avait les cheveux teints en brun. Ça y est, je rêve encore.
— M’man, ta… ta couleur de cheveux.
— Oui, comme toi, ça me rajeunit m’as dit Marie. M’en veut pas j’ai trouver la broîte de teinture que tu gardais dans la salle de bain. Je t’ai trouvé tellement belle quand je suis arrivé que je me suis dit que j’allais me faire la même couleur. Je t’en achèterai une autre avant de partir. T’aimes ça ? Le roux fait ressortir la blancheur de nos visages non ?
— Difficile à dire le nez dedans.
On un rit un moment et elle rajouta :
— En tout ça Luce, je… j’ai aimé vraiment ça avec Marie. Ça me fait tout drôle de pensée qu’elle et moi on a… Chaque fois que je vais la revoir à la télé, je vais y repenser. Avoir su Luce, j’aurais essayé ça plutôt. Je te comprends maintenant ma fille.
Ça me fit tout drôle d’entre cette confession qui venait de ma mère. Jamais je n’aurais pu imaginer ça. Elle, avec une autre femme.
— Hum ! C’est quand même bizarre M’man d’être nu au lit avec toi.
— Bof ! Tien don, ton dos vas mieux on dirait ?
— WAIS ! Juste de petit élancement.
— Tu veux un massage ?
— Non, merci, fait trop froid.
— T’as dormi 20 heures ou presque… tu marmonnais en dormant presque coucher sur Marie, comme moi. La pauvre, elle a pas du avoir froid cette nuit je te jure. Tu parlais de Mélany apparemment. Tu… tu l’aimes ou entre vous c’est juste… Enfin, tu me comprends ?
Je soupirer dans ses cheveux tout de même un peut embarrasser comme toujours de parler de mes relations amoureuses avec elle. Dire qu’avant hier, elle n’en savait rien pour celle que j’avais avec des femmes. J’ai dormi couché sur Marie avec elle. Seigneur !
— On est bien ensemble Mélany et moi, c’est tout. Pourquoi ? T’aimerais lui sauter dessus elle aussi ? T’es devenu accro aux filles M’Man ?
Elle rit, je sentis ses gros seins remuer sur ma main, c’était étrange, mais pas désagréable. Et c’était la première fois que je touchais des seins aussi gros que les miens, mais je les trouvais si mous comparer à ceux de Marie ou de Mélany. Mais ça, je n’allais pas lui dire.
— Ben non, nonote, et puis elle est trop jeune.
— Elle est majeure et vacciner.
— En tout cas, j’en connais un qui a été drôlement déçu d’apprendre que je passais la nuit ici. Pauvre Gaston !
— Attends, t’as dit que j’avais dormi 20 heures ?
— Hum ! Mes antidouleurs sans doute. Mais à t’entendre, ça t’a fait du bien ma fille. Hier t’avais l’air piteuse, au bout du rouleau, sans parler de tes reins.
— Ça veut dire que toi et Marie vous avez passé la journée, la soirée et la nuit ensemble pendant que moi je dormais ?
— Eh ! Oui ! On t’appelait la belle au bois dormant. Marie a même essayé de te réveiller en t’embrassant, mais rien n’a faire. Et puis on ne pouvait pas te secouer à cause de ton dos. Ont étaient mortes de rire.
— Merci ! C’est vraiment le fun M’man.
— Seigneur Marie, fâche-toi pas. On ne se moquait pas de toi, c’était juste drôle.
— Ben oui !
— Ben oui !
— Et vous avez…
— Ouf ! J’en suis encore étourdi, Luce; l’après midi dans la cuisine, le soir au salon devant la télé en prenant du vin et ici en se couchant en faisant attention pour ne pas te réveiller cette fois… a cause toujours de ton dos. En tout cas, elle est vraiment… gentille. Ça fait du bien de se sentir désirer a ce point a mon âge, même par une autre femme et si jolie en plus. En-tout-cas Luce, pour une première… C’en était toute une. J’ai été initié d’aplomb. Wow !
Je soupirer longuement dans ces cheveux terriblement décourager et déçut avant de dire :
— J’imagine. Seigneur, M’man.
— Jalouse ?
— Très, j’en rêvais depuis si longtemps en la regardant a la télé.
— Tu fantasmais sur elle avant qu’elle vienne ici?
— Ben oui !
— Ça fait drôle d’entendre ça.
— Maudit dos a…
— Et ! Pas de gros mots ma fille.
J’éclatai de rire, ça me rappelait trop ma jeunesse.
— Pauvre toi Luce ! Mais vu que t’aimes les femmes aussi, je te comprends d’avoir… rêver d’elle disons… pour… enfin, tu me comprends. Un corps comme le sien, ça se fait plus. Elle a promis de rappeler, ne t’inquiète pas et eh… elle a pris mon numéro aussi. Y parais quelle vas souvent a Québec. Fâcher ?
— Non ! Juste jalouse.
— Seigneur, elle m’a tellement tété les mamelons qu’ils me font mal. Et on a tellement ri, elle est aussi drôle qu’à la télé, j’en ai encore mal au ventre.
— Pauvre toi. Lâchai-je dans un long souffle.
— Désoler Luce. Dit-elle avant de rire.
On rit ensemble un bon moment. Ça me fit du bien et me détendit.
— En tout cas, merci ma fille !
— Pourquoi ? Pour avoir paralysé ?
— Ben non… mais, sans toi, sans Marie, sans ton inondation et sans ton motel d’un rose à faire peur je n’aurais jamais connu ça.
Je la serrer plus fort en me sentant trop bien, plus détendue. Si soulager qu’elle sache enfin que j’aimais les femmes aussi et qu’elle sache surtout ce que c’était maintenant. Ça lui permettait de mieux me comprendre. Quoique j’avais toujours du mal à les imaginer, baiser ensemble et surtout dans ma cuisine, sur mon sofa et dans mon lit juste à côté de moi endormit et sans que ça me réveille. Habituellement, j’ouvre les yeux au moindre bruit.
— Ça me fait du bien M’man qu’on partage ça maintenant. Je me sentais mal de te cacher mes petites aventures avec des filles. C’était comme un boulet que je traînais.
— Et tu la bien cacher ma fille, je m’en doutais pas pantoute. T’a toujours sorti avec des beaux gars, surtout le dernier celui qui ressemblait au beau Mulder a la télé.
— Mulder dans X-Files ?
— Ouais.
— Il est ordinaire ! Dis-je en riant.
— Seigneur non ! Je le trouve beau comme un dieu. Mais… a 13 ans ta fait ça avec une autre fille, j’en reviens pas. T’étais si fine, si tranquille. Vous n’avez pas fait ça chez nous j’espère ? Oh seigneur ! Pas la petite Guylaine, ta meilleure amie ? Celle qui dormait si souvent chez nous ?
— C’est elle qui m’a embrassé en premier. Hummmmm !
Ma mère tourna la tête pour me regarder les yeux agrandis de surprise. Je ris à la voir si décourager.
— Petite vicieuse, c’est pas croyable ! Elle avait l’air d’une sainte la tabarouette.
— On avait si froid la nuit. Tu comprends ça maintenant, hein ?
Elle finit par sourire en reposant sa joue sur l’oreiller en disant :
— WAIS ! Tu peux me gratter le bas du dos, mais par trop bas hein.
Je ris très fort en lâchant ses seins chaud pour le faire en me reculant un peu.
— Oui… juste la… ah seigneur ! Merci, ça va !
Et elle se retourna sur le dos en ramenant le drap au dessus de sa poitrine. J’eus juste le temps de retirer ma main et de me tasser un peut avant de faire pareille et on resta un moment silencieuse a écouté le vent, allonger l’une contre l’autre, en fixant le plafond comme si c’était fascinant. Nos gros seins soulevaient le drap au rythme de notre respiration, mes mamelons aussi et un des siens. Le froid me gagnait à nouveau.
— C’est vraiment pas pareille Luce avec une femme. Dit-elle rêveuse. C’est… plus doux.
J’éclatai de rire et elle me donna une tape sur le bras avant de rire aussi.
— Te moque pas de ta vielle mère. Vilaine fille. 13 ans et chez nous en plus.
— Ben, voyons. Toi à quel âge tu la fais avec un gars pour la première fois ? Quand tu m’as conçu, pendant ta nuit de noces ?
Elle me fit la grimace avant de se perdre dans ses souvenirs.
— C’est un peu avant que tu as été conçu ma fille, dans un champ. Désoler de te l’apprendre.
— Oh ! Dans un champ, c’est romantique.
— Pas vraiment, il y avait des fourmis. Chut venu les fesses pleines de boutons, ça me démangeait c’est pas croyable.
— T’as été chanceuse M’man.
— Pourquoi ça ?
— Y parais que ce sont les fourmis, qui on fait disparaître, les dinosaures.
— Hein ! Qu’est-ce que tu me racontes là ?
— Apparemment, elles leur rentraient dans le cul et les mangeaient de l’intérieur.
On se regarda en voulant retenir un gros rire, mais… ce ne fut pas possible. On rit comme des folles un long moment jusqu’à en avoir mal au ventre, les yeux pleins d’eau. Je dus attendre de pouvoir reprendre mon souffle avant de rajouter :
— Et tu t’es marié en blanc, enceinte ?
— Et oui, en blanc ! Mais personne le savait que t’étais la. Ma mère m’aurait tordu le cou.
— Oups ! Pas de grosse bedaine donc ?
— Non ! Seigneur, j’avais 17 ans la première fois que je l’ai fait. Ton père en pouvait plus. Il…
— Non merci ! Je ne veux pas connaître les détails.
— J’y pense… il ressemblait à Mulder à l’époque.
J’éclatai encore de rire avant de dire :
— Ben non, P’pa ressemblait a Clint Eastwood, surtout quand il fumait le cigare.
— WAIS un peut, lui aussi est pas mal beau.
— WAIS !
— WAIS ! Je savais que tu le trouvais beau aussi Mulder. Tu ne peux rien me cacher ma fille.
— T’es sur M’man ?
On se regarda et… c’était reparti.
Étrangement je ne m’étais jamais senti aussi proche de ma mère ni rit autant avec elle.
— Je suis heureuse pour toi M’man, je veux dire pour.. Marie et toi. Mais… ton Gaston ?
— WAIS ! Quoi mon Gaston ?
Elle souriait, se doutant probablement de ce que j’allais lui demander. On se jetait des regards rieurs comme des ados timides parlant de leurs chums. Jamais, avant, je ne parlais de sexe avec ma mère par timidité, mais là, avec ce que l’on partageait.
— Ben, y doit avoir une sacrée grosse bite ou un bon coup de langue pour que tu traînes avec lui.
— Les deux.
On se regarda avant de pouffer de rire à nouveau à n’en pleurer. Et, au bout d’un moment je dis en m’essuyant encore les yeux ce qui fit sortir mes seins du drap que je remonter :
— Contente pour toi.
— Merci ! Je te le prête si tu veux.
— Non, merci !
Un autre fou rire.
— Bon ! la, je meurs de faim M’man. On se lève et on va déjeuner ?
— Toi la première.
Je la regarder amuser.
— Quoi ? Fit-elle.
— Hier ça ne te dérangeait pas de te balader nue devant moi.
— C’était pour la bonne cause. Aider Marie à te déshabiller.
— Honneur a l’âge d’or. C’est ça que tu as dit aussi hier.
— Non les jeunes d’abord.
— Menteuse !
— Moi ? Ta mère ne ment jamais ma fille.
— Bon, je conte jusqu’à trois et on y va les deux ensemble, OK ?
— OK !
— 1… 2… 3…
On repoussa le drap pour se lever dos à dos de chaque côté du lit, mais quand je voulus prendre ma robe de chambre à sa place habituelle sur la chaise elle n’y était pas. Je me retourner pour voir ma mère qui l’avait déjà sur le dos. Je me cacher les seins en disant :
— Et ! C’est la mienne.
— Ben oui c’est la tienne, la mienne est chez Gaston. Bon, je m’occupe du déjeuner. Seigneur, fit-elle en me regardant de la tête aux pieds en stoppant, une main sur la poignée de la porte de la chambre, on dirais moi, mais avec 20 ans de moi. Bon à tantôt.
Je rester planter la, a sentir un courant d’air froid provenant de la fenêtre dans mon dos me chatouiller les fesses. Est-ce que je dormais encore ? Non, pas possible. On ne peut pas grelotter autant dans un rêve. Curieuse, avant de me vêtir, j’écartai les rideaux pour voir la tempête. J’ai toujours aimé les tempêtes de neige. Au travers des bourrasques de vent je vis un gros tracteur vers et jaune avec cabine et équiper d’un chasse-neige abandonner au milieu de la cour fraîchement déneiger et Gaston avec un balai dans les mains sur le toi juste à côté de moi qui déneigeais prudemment ma coupole satellite. Il stoppa soudainement en m’apercevant nu a ma fenêtre, les yeux tout aussi ronds de surprise que les miens pour m’envoyer la main. Je refermer les rideaux d’un coup sec.
— Jésus Christ, faites qu’il tombe du toit celui-là. Et j’entendis un cri et un gros boum très sourd.
— C’était juste pour parler Seigneur.
Je jeter un oeil entre les rideaux pour le voir sur le dos en bas enfoncer dans un banc de neige contre la maison a se relever tranquillement.
— C’est pas vrai ? Murmurai-je une main sur la bouche. Tant qu’a exaucé tout mes veux seigneur, ramener moi Marie. Avec son beau Paul tant qu’à faire et pourquoi pas David Ducovny. Tant qu’à rêver.
Le cadeau
Me revoilà seul au motel à déprimer en riant comme une folle assise a ma table de cuisine café bouillant en main. Je m’étais habillé en catastrophe en criant à ma mère qu’Astérix était tombé du toit. Bas de laine, un jean et un gros chandail. Pas de sous-vêtement, pas eu le temps. Je ne cessais de revoir ma mère ramasser Gaston qui avait simplement mal au dos pour le ramener chez lui et c’est elle qui conduisait le tracteur exciter comme une enfant assise entre les jambes de Gaston qui lui disait quoi faire. Son deuxième bras de vitesse apparemment si gros devait être déjà dur contre les fesses de ma mère. Je me pincer le dos de la main pour une troisième fois juste pour être certaine que j’étais bien réveiller et que je n’avais pas rêver tout ça avec Marie.
— Outch !
C’était le 24 décembre et j’allais être seul probablement pour le réveillon. Bof. Avec une bonne bouteille de blanc devant la télé a regardé l’enregistrement de Marie en train de faire une pipe à la blonde Shemale, un bon rêve et mon vibrateur double, je n’allais pas m’ennuyer. Mon téléphone vibra, ma mère.
— Oui M’man, pis, comment vas Astérix ?
— Mal, on file à l’urgence en tracteur.
— À ce point-là ?
— WAIS !
— J’ai des assurances et…
— Je pourrai sûrement pas être la ce soir. Pauvre toi.
— T’inquiète pas, et redonne-moi des nouvelles.
— OK, bye !
— By !
Mon téléphone vibra à nouveau. Je vis une superbe photo de Marie. Mon coeur bondit.
— Luce, ça va ?
— Oui.
— Désoler d’être partit si vite ce matin, mais mon corps de déesses manquait trop à Paul.
Elle rit.
— Ça, je peux le comprendre.
— Je voulais te souhaiter un joyeux Noël et te dire que, si tu veux toujours, on se revoir après le jour de l’an, je…
— Oh oui, tu me manques déjà.
— Super, on se rappelle, te gêne pas, appelle moi quant tu veux. Faut que je te laisse. Bye !
— By et…
Elle avait raccroché. Gros soupir. Mon téléphone vibra encore. Ben, voyons ! Mélany cette fois.
— Salut ma belle, pis, comment ça vas à Montréal ?
— Super patronne. Tu me manques tellement Luce. Qu’est ce que tu fais ? Ta mère est là ?
— Non, je suis toute seule et je rêve à toi.
— C’est trop romantique. Je voulais te souhaiter un joyeux Noël et.. Merci pour le cadeau, J’ai pas put résister, je l’ai emmener et ouvert. Mais qu’est-ce que c’est ses symboles bizarres sur ton petit bout de papier ? Je sais que tes pas riche, mais la.
— Une chasse au trésor, sert toi de ta tête ma belle et de Google. Ton vrai cadeau est caché quelque part ici.
— Merde ! J’ai trop hâte de revenir. Bon, faut que je te laisse.
— Joyeux Noël a toi aussi, grosse bise et amuse toi.
— By !
— By !
Je soupirer longuement en attendant que mon téléphone vibre a nouveau. Mais non… je pris une bonne gorgée de café en me disant qu’un bon bain chaud me ferait du bien, mais sans mousse cette fois et deux cure-dents pour me garder les paupières ouvertes.
J’y étais, bien assise dans l’eau chaude a relaxé, la tête recouverte de shampoing a me frotter les cheveux, il faisait si froid dans le motel que l’au du bain fumait. Bien adosser en me shampouinant, je regardais la pièce en me demandant si j’avais rêvé ou pas toute cette histoire de mousses et mon téléphone sur la chaise à côté du bain vibra. Encore Mélany.
— Je te manque c’est vrai ma belle.
— Je trouvais que tu faisais pitié Luce toute seule au motel a geler et… (je l’entendis rire) considère ça comme mon deuxième cadeau. Amuse-toi bien. Salut !
— Quoi, Mélany ? Mélany !!!
Elle avait raccroché. Je reposer mon téléphone intriguer et m’essuyer les yeux piquant de shampoing qui me coulait de la tête et…
Ding ! Ding ! Ding !
Je figer bouche ouverte. Un client a la réception ? Merde ! Impossible, on était fermé à cause de la panne de courant. Mais j’entendis par la porte de la salle de bain entrouverte des pas en bas, dans ma cuisine, et des murmures, des froissements et les escaliers grincèrent.
— Seigneur ! Quoi encore ? Attendez, criai-je en m’emparant d’une serviette pour cacher ma poitrine en m’essuyant encore les yeux. Je suis dans le bain. Je descends.
Et la, abasourdit je vis la porte s’ouvrir et les deux ados du village qui venait parfois baiser avec moi et Mélany se pointer et déjà flambant nu avec chacun une boucle de cadeaux de Noël coller sur leur pénis encore mou. Grand, maigre, grelottant et beau comme des dieux. Oufff ! Et moi j’étais la, la tête couverte de shampoing, une serviette déjà toute mouiller moulant mes gros seins, avec les yeux en feux, figer a les regarder bouche ouverte. Beau spectacle pour eux.
— Joyeux Noël Luce, dit François, le plus beau des deux avec ses tatouages, c’est Mélany qui nous envoie. On est vos cadeaux et on a ordre de… faire quelque chose avec vous pendant 2 h.
J’ouvris la bouche pour dire quelque chose, mais… rien ne sortit. Faire quelque chose avec moi et ils étaient nu. Wow ! Sacré Mélany. Les gars n’avaient pas dû se faire prier pour venir ici, car en plus de se taper la mère, elle leur avait sûrement promis quelque chose en échange. Ils croyaient qu’elle et moi étions mères et fille, un autre jeu de Mel. Je me frotter encore les yeux en me disant que c’était sûrement un autre rêve. Je dormais dans le bain, encore, ou devant la télé. Mais c’était un beau rêve, c’est jeune la était mignon et assez cochon merci. Ils se retenaient tous les deux pour ne pas rire avec leur beau corps osseux d’ados couvert de chair de poule. Les pauvres jeunes grelottaient les yeux vicieux. Mes gros seins les rendaient fous, comme d’habitude.
— Vous nous déballer ici Luce ou dans la chambre a côté ? Demanda Jérémie qui commençait à bander.
— Eh ! Dans la chambre les gars, donnez moi 5 minutes.
Je les regarder disparaître déjà très exciter tous les deux et je me mis a rire en me rinçant la tête.
— Qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça ? Merci mes grosses boules et Merci Mélany. Dis-je en me les soulevant avec la serviette mouiller pour ressentir aussitôt une douleur vive au dos.
— Seigneur, non ! Pitié !
Le gâteau
Quelques minutes plus tard, après être monté rapidement et en silence au grenier sur la pointe des pieds avec juste une serviette sur le dos, j’avais démarré un enregistrement dans ma chambre par la caméra que Mélany y avait cachée. Sur l’écran géant, en grelottant j’avais regardé les deux garçons rigoler, bander dur, visiblement très exciter. Ils se parlaient en se branlant lentement, mais il n’y avait pas de son. Toute fois, j’imaginais très bien ce qu’ils devaient se dire.
Et la, j’étais étendu sur le dos entre eux, à genoux dans mon lit, magnifique et bander dur tous les deux et François regardait l’écran de son téléphone. Ils avaient collé les boucles rouges sur leurs glands. Je les décoller et les jeter au loin. Leurs bites étroites et courber vers le haut sursautaient au rythme de leurs coeurs. Leurs beaux corps jeunes et leurs membres palpitants me fire saliver d’envie et mouiller. Je me caressais les seins d’une main et les poils du pubis de l’autre en me demandant ce qu’ils attendaient pour me sauter dessus.
— Voilà ! Déballer le cadeau. Je suis prête les gars. Toi François, lâche ton téléphone.
Je voulus agripper leurs bites qui me faisait tellement envie pour les branler, mais ils me tapèrent sur les mains.
— Pas touche Luce. Dit Jérémie.
— Quelle sorte de cadeau vous êtes si on ne peut pas jouer avec les gars ?
— Mélany nous a donné des instructions pour préparées (un gâteau Luce.) Fit François toujours a regardé son téléphone.
Ils rirent en se regardant, mignons comme tout.
— Un quoi ? Seigneur ! Encore un de ses jeux de fou. Il fait froid les gars, rentrons sous les draps.
— Désoler Luce, on doit suivre la recette.
— La recette ?
— WAIS ! Si on veut avoir nous aussi notre cadeau après Noël.
— Et c’est Mélany le cadeau j’imagine.
Pas de réponse et ils s’amusaient, très exciter par mon corps les jeunes, ils me dévoraient des yeux et ça, ça fait toujours terriblement plaisir a une femme de mon âge. Jérémie se branlait doucement me faisant saliver tandis que François lisait sur son écran :
1— Bien pétrir la pâte tout partout pour l’attendrir au moins 5 minutes. Ne pas oublier de retourner. Elle doit devenir chaude et douce, mouiller de l’intérieur, et même gémir comme toute bonne pâte à gâteau. Mais cette pâte ne doit pas remuer toute seule sinon, le gâteau ne lèvera pas.
J’écoutai ça sans y croire et François démarra le chrono en riant et posa son téléphone sur la table de chevet pendant que je riais moi aussi en laissant mes bras reposer le long de mon corps. Mais quand leurs mains glacer commencèrent à me masser les bras, des poignets en remontant, mon sourire s’évanouit. Je fermer les yeux en me demandant ou Mélany prenait toutes ces idées tordues. Mais je jubilais d’avoir pour la première fois les garçons pour moi toute seule. Comme tous les ados, il bandait vite et finissait trop vite a chaque fois qu’il nous rendait visite, je décider donc de me laisser faire. Après tout je les avais pour 2 h. Et puis être le jouet à mon âge de deux jeunes gars fringuant c’était plutôt flippant. Heureusement, mon dos me laissait tranquille.
En les sentant me palper les bras, les épaules, les seins évidemment et longuement me donnant de gros frissons je me demandais s’il allait me prendre à tour de rôle ou en même temps. Je me sentais prête à me laisser faire, quoi qu’ils me fassent, à les laisser prendre leurs plaisirs comme ils le voulaient. Ils étaient gentils, prévenants et beaux comme des dieux surtout avec leur sexe et leur couille sans poils. Ils m’avaient déjà prise les deux ensemble et cela avait été fabuleux, flippant. Et puis, je faisais partie de ses femmes qui adoraient laisser les hommes les placer comme ils le souhaitent, être leur jouet. Finalement, c’était plutôt moi le cadeau. Me revoilà étendu à me laisser tripoter, ce qui me fit penser a ma mère. Je l’imaginais prendre son plaisir avec un des jeunes et moi l’autre. Pourquoi pas ? Mais elle n’était plus là. Mon corps se réchauffait délicieusement surtout quand ils me massèrent le ventre, le pubis et entre les cuisses avant de presser ma vulve déjà très humide, je ne pus m’empêcher de gémir, de me tortiller, en agitant les orteils. Et je filmais ça ; merci pour ta génératrice Gaston.
Leurs mains douces se réchauffèrent tout autant que moi. Je me mourais d’envie de les toucher, mais j’arrivais encore à me maîtriser. Les jeunes aussi devaient mourir de vouloir me pénétrer, mais, ils continuaient. Ils me tripotèrent partout avant de me retourner comme une crêpe. Je ris un moment, la face dans l’oreiller en les sentant me pétrir les fesses directement. Apparemment il semblait s’impatienter. Ah, la jeunesse ! C’était si bon que je me serais laissé faire ça toute une semaine. Quand ils me massèrent le dos et les reins cela me fit vraiment du bien et me détendit. Quoi de mieux qu’un massage a 4 mains si ce n’est un massage à 6, voir 10 mains. Je fut masser et palper des pieds à la tête, un pur bonheur. Je planais si détendu, mais je fus soudainement de nouveau retourné et je dis en riant en enlevant mes cheveux encore mouillés de mon visage :
— La pâte est prête, les gars.
Mort de rire François reprit son téléphone.
2— Vérifier avec vos doigts si la pâte est bien humide a l’intérieur. Sinon, servez-vous de votre langue pour augmenter le taux d’humidité de celle-ci aux endroits que vous jugerez un peu sec si vous voulez que ce gâteau lève et soit vraiment délicieux a dégustés. Je parle ici évidemment des trois endroits ou vous aurez à y fourrer de la crème bien sûr. Je vous conseille pour cette vérification de placer la pâte sur le côté et d’y aller très délicatement. Rappelez vous, vous avez 2 h pour bien préparer ce gâteau, la placer dans un bol et la mettre au four, alors inutile de vous presser. Ensuite, après la cuisson, il ne vous resteras qu’a le recouvrir de crémage.
Bon appétit les gars !
Mon coeur se mit à battre en entendant ça.
« Seigneur, Mélany, tes malades. Délicieusement malade. »
Ils me mirent sur le flanc droit, les yeux encore plus vicieux en se suçant chacun un doigt. Je fermer les yeux en glissant une main entre mes cuisses et l’autre sur mes seins écraser l’un sur l’autre comme ceux de ma mère ce matin que j’avais tripoter.
La pâte se préparait à gémir en frissonnant.
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