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Le stage d’Elodie 1

Le stage d’Elodie 1



Histoire réellement vécue par doggy57 dont le pseudo était alors à cette époque Elodie, n’étant pas encore aux mains de son Maître, MaîtreY.
doggy57 raconte elle-même le stage qu’elle a volontairement suivi de sa propre initiative.
En voici le premier épisode :

« Cela à commencé il y a environ deux ans par mon inscription sur un « chat » en Belgique. C’était un site de discussion et en surfant sur celui-ci, je fais beaucoup de connaissances, mais rien de vraiment extraordinaire. Cela dure pendant environ 3 mois ou j’envoie des demandes de discussions et ou j’attends encore pour beaucoup une réponse. A la fin du premier trimestre je me suis convaincue qu’il n’y a que des fantasmeurs beaucoup d’homme, quelques couples. Je suis en train de désespérer et de vouloir quitter le « chat ». Puis juste avant de faire la radiation définitive une réponse d’un couple qui désire discuter avec moi. Je me ravise donc et commence à entamer une discussion qui va pour la première fois m’émoustiller sur le long terme. De fil en aiguille, nous nous retrouvons presque tous les jours à discuter de domination / soumission mais aussi de la vie de tous les jours avec les bonheurs et les peines. De plus en plus leurs dialogues me manquent quand nous ne sommes pas en ligne au même moment.

Nous échangeons très régulièrement à peu près deux messages par jour et peu à peu ils s’insinuent dans ma vie et connaissent certains pans de ma vie familiale et professionnelle. Nous discutons de plus en plus de me faire vivre mon fantasme dans la réalité d’un stage.
Au fur et à mesure, j’en éprouve un besoin et mes nuits se peuplent parfois de rêves ou de cauchemars sur le sujet.
Puis un jour en ouvrant mon mail je découvre un messages d’eux me demandant si je suis partante pour essayer pendant une période définie un stage. Je suis assez prise dans le tourment des mails que je réponds presque sans y réfléchir que cela m’intéresse.
Bien sur maintenant il vas falloir mettre tout cela noir sur blanc prendre les dispositions, surtout pour ma fille, je ne veux pas qu’elle sache et je ne peux pas la laisser seule. Donc cela devra se faire pendant les vacances quand elle va chez son père.
Là toutes les choses reviennent dans ma tête toutes les lectures, je suis en ébullition permanente avec mon cerveau et bien sur je tremble à chaque fois que j’ouvre mes mails de lire leurs réponses.
Cette période va durer environ deux mois où nous continuerons de dialoguer mais aussi par téléphone. Je commence à être excitée en permanence et surtout quand la sonnerie du téléphone retentit. »

Nos échanges se font plus fréquents aussi bien par mail que maintenant par téléphone. Au bout d’une quinzaine de jours le couple me propose une période pour le stage. J’en suis toute excitée mais en même temps un peu de peur s’insinue en moi. La période m’arrange assez, ma fille sera partie chez son père et moi je peux poser les jours de congés. Après avoir répondu, je reçois un autre message me demandant mes mensurations exactes. Je pense que c’est dans la relation de soumission et donne les renseignements demandés. Puis je n’ai plus de réponses et je commence au fur et à mesure des jours qui passent à vraiment angoisser.
La veille du début de la période indiquée je reçois par la poste un colis. Il vient de mon couple domi. Je l’ouvre avec beaucoup de frénésie et je découvre une lettre dans une enveloppe et des vêtements. Il y a une chemisier blanc très fin, un pantalon en PVC latex et un minuscule string ficelle en latex noir brillant. C’est vrai en recevant ce colis et en l’ouvrant je reste assez désabusée, je ne comprends pas vraiment.
Puis j’ouvre la lettre qui accompagne ce colis. En la lisant mes mains ne s’arrêtent pas de trembler. C’est une liste de chose à faire pour me rendre à un rendez-vous programmé pour le lendemain vers midi. Dans 24 heures je saurai ce qui m’arrive…

Dans la lettre je trouve les instructions assez simples mais pas forcément faciles à faire. On me demande de ne me vétir que de ce qui se trouve dans le colis. Donc je ne dois pas porter de soutien gorges ce qui en fait me gène beaucoup, car le chemisier est assez fin et vas laisser deviner ma poitrine. En plus dans chacun de mes mouvements elle va ballotter. Je dois me raser ou m’épiler complètement le sexe.
Puis dans la missive, je peux y lire l’heure qui m’est imposée pour le rendez-vous c’est 13 heures. Je dois m’y rendre en train à partir de la gare de Metz. Le billet uniquement aller est disponible. Il y a changement de train dans une petite gare avec une attente de 30 minutes.
Je suis trés excitée mais en même temps morte de peur.
Après avoir relu au moins trois fois la lettre, je me décide à faire une séance d’essayage pour ma tenue. Donc voilà j’enfile le string avec difficulté il faut bien le reconnaître car il est une demi taille en dessous de la mienne. En plus le latex ne coulisse pas facilement sur le peau. C’est un minuscule triangle qui doit cacher mon sexe et cette ficelle qui me scie les fesses.
Pour le pantalon, je n’avais jamais portée de PVC et cuir c’est brillant légèrement satiné et bien sur hyper moulant. J’ai un mal fou à l’enfiler et à l’ajuster. Il me vas bien mais lui aussi est plus petit que ma taille, donc cela me contraint un peu plus et surtout galbe mes fesses comme je ne l’ai jamais imaginé. Puis vient le tour du chemisier facile lui à enfiler mais très très osé dû à sa légèreté et avec mes seins libres dessous cela ne peux absolument pas se manquer. Si je sors avec cette tenue tout le monde va le savoir.
Je suis partagée entre faire ce qui est écrit et mettre un soutien gorges jusqu’à mon arrivée et peut être avoir une punition. Ce n’est surement pas le moment de fâcher mes dominants.
Je me regarde pendant de longues minutes dans la glace afin de me découvrir sous toutes les coutures puis je décide de tout enlever et de commencer par m’épiler complètement le sexe. Une fois glabre je suis contente de se résultat mais je suis tellement excitée que je mouille comme une folle. La dernière soirée passe lentement mais aussi trop vite, j’essaye d’oublier ce qui va m’arriver le lendemain mais c’est impossible. Je relis la lettre et essaye de dormir pour que le lendemain je sois présentable et en pleine possession de mes moyens.

Ce n’est pas la peine de vous le dire mais je passe ma dernière nuit chez moi d’une façon horrible, je fais des cauchemars et ensuite des rêves, si bien que lorsque le petit jour pointe le bout de son nez, je n’est pas fermé l’œil ou presque.
Le réveil me tire de ma torpeur, j’ai une boule à l’estomac. Je me lève prend une douche et décide de me préparer. Je m’habille et j’opte pour un léger maquillage, juste pour me relever le teint qui n’est pas à son apogée.
Il faut encore que j’aille à la gare pour prendre mon train. Comme je ne sais pas vraiment le temps que devrait durer le stage, je préfère appeler un taxi, cela m’évitera de payer un max de parking pour la voiture. Le taxi arrive très vite, ce qui m’empêche de penser à ce que je vais vivre.
Je m’engouffre à l’intérieur et tout de suite je vois le sourire du chauffeur, bien sur il s’est déjà rincé l’œil sur mes formes. Maintenant il va le faire sur la poitrine pendant tout le temps du trajet.. Cela ne manque pas je le vois dans le rétroviseur faire des balayages incessants.
Un fois arrivée à la gare je suis assez angoissée de devoir être vue avec cette tenue mais en même temps cela m’excite. C’est la première fois que cela m’arrive mais à ma décharge c’est aussi la première fois que je m’habille de la sorte.

Je monte sur le quai et j’ai beaucoup de chance, le train est déjà là comme cela je ne vais pas faire le pied de grue sur le quai en l’attendant, c’était ma hantise. Je m’installe rapidement et le train démarre. Bien sur il fait tous les arrêts sur le trajet jusqu’à la gare de mon changement.
Beaucoup de voyageurs passent à coté de moi et c’est vrai que certains me détaillent vraiment. Chez les hommes je vois les yeux briller et pour les femmes c’est la réprobation. Heureusement c’est en semaine donc ce sont tous des travailleurs et ils n’ont pas que cela à penser.
En fait je suis bien contente de leur avoir procuré ce plaisir. Je descends après 1 h 30 de voyage à la gare d’interconnexion.
Le temps va me paraître long, car ma correspondance ne vas arriver que dans 30 minutes. Ainsi je vais être exposée aux divers regards. Je cherche un banc tranquille une peu à l’écart de tous. Puis l’attente commence avec mes angoisses, la boule à l’estomac et aussi l’humidité à l’entre-cuisses.

Donc je m’engage dans le tunnel sous les voies, celui-ci n’est pas très long, je dirais une centaine de mètres. Je viens d’en parcourir environ un tiers, lorsque à son extrémité donnant sur le quai principal je vois apparaître deux silhouettes en fait un homme et une femme. Instantanément mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je me doute fort que cela soit le couple de dominants venant à ma rencontre. Je ralentis instinctivement le pas comme si je voulais prolonger le temps et reculer l’échéance. Mais cette réaction est bien ridicule car les deux silhouettes sont maintenant dans le tunnel et avancent à ma rencontre.

A quelques mètres de distance, je vois les deux personnes s’écarter légèrement de façon qu’elles occupent la largeur du souterrain, celui-ci n’est pas très large. Je dois maintenant passer entre eux deux. A trois mètres de distance environ, l’homme me regarde et demande: « Madame Élodie? » Je lui réponds, en ayant pris une grande inspiration, que c’est bien moi. A ce moment il sort de sa poche un papier qu’il me montre en me disant: « Nous avons quelques questions à vous poser ». Je ne m’attendais pas à ce style de phrase. Presque au même moment, la femme m’intime l’ordre de me placer face au mur, jambes écartées et mains appuyées sur celui-ci. Je tends à la femme ma pochette contenant mon téléphone, mes papiers et un peu d’argent, elle s’empresse d’en inspecter le contenu. Bien sur je m’exécute, sachant que rien ne sert de résister, c’est bien le début du stage. Très rapidement l’homme commence une palpation en règle en insistant, vous vous en doutez, sur les points très sensibles d’une femme.
Cette palpation m’électrise encore un peu plus. Je suis vraiment mouillée et j’ai peur qu’ils le découvrent rapidement. Les mains de l’homme glissent sur mes formes, seins, la taille, les hanches, le mont de vénus, les fesses, je sens des contractions, si cela dure un peu je vais jouir. Le plus humiliant c’est quand il passe une main entre mes cuisses puis c’est au tour de celles-ci de recevoir de la visite et ainsi de suite jusqu’aux chevilles.

Me voilà dans la peau d’une future prisonnière. Le femme m’intime l’ordre de mettre mes mains dans le dos, paumes à l’extérieur. J’entends le cliquetis de menottes que l’on sort d’une poche et je sens instantanément le froid des bracelets étreindre mes poignets. Une fois menottée, la position me fait creuser le dos et ressort du même coup ma poitrine. Les menottes sont à charnière donc je ne peux absolument pas bouger un poignet par rapport à l’autre. De plus les menottes comportent une chaîne que la dominatrice garde dans la main. Je suis en fait en laisse. L’homme passe devant avec ma pochette. Je le suis, poussée par la femme. J’ai honte et peur aussi car je ne voudrais pas que l’on me voit ainsi comme une criminelle. Je baisse un peu la tête. Nous sortons du souterrain, montons la rampe menant au quai, quand nous débouchons je jette un coup d’œil rapide, ouf, personne. Notre petit convoi pénètre dans le hall de gare là aussi il est vide. Puis rapidement nous sortons sur le trottoir et une camionnette nous attend juste devant la porte. L’homme fait marcher la serrure et avant que je réalise, la femme me place sur la tête une cagoule en cuir descendant jusqu’aux épaules, type celle de bourreaux, mais il n’y a pas d’ouverture pour les yeux me voilà attachée et en plus dépendante de leur bon vouloir. La femme me fait monter à l’intérieur du véhicule.

A suivre…

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