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Chienne de cinema porno

Chienne de cinema porno



Je commence par enfiler avec douleur mon corset noir qui me fait facilement gagner deux tailles, m’aplatis le ventre à souhait, offre mes fesses comme deux pastèques bien dures, je souffre, mais c’est très excitant de se sentir devenir une bonne petite chienne soumise.

Après avoir attaché mon porte-jarretelles et un corset très sexy, j’enfile de très beaux bas très fins, marrons, coutures apparentes, taille 3 pour forcer le voile de nylon à s’étirer au maximum et rendre les jambes de la pute encore plus excitantes. Je passe mon string minuscule qui laisse mon clito libre, puis une mini-jupe noire en cuir.

Le haut de mon corps sera un pull transparent laissant apparaître ma fausse poitrine de grosse chienne soumise. Voilà, je suis prête ! Enfin, pas encore. Pour préparer ma petite chatte, j’enfile un plug anal assez gros pour me préparer à recevoir de la bite et des doigts. Ce soir, j’ai un peu bu et je me sens très pute. J’ai envie de me faire défoncer à fond.

J’ai enfilé mes fringues de mecs au-dessus pour voyager discret comme j’en ai l’habitude. Bas de jogging, un coupe-vent et basket. Dans un sac j’ai préparé mes chaussures à talons hauts, ainsi qu’une perruque aux cheveux longs, noirs. Le bâton de rouge à lèvres, mon stock de préservatifs et mon lubrifiant (chauffant). Ce soir-là, je suis allée en cinéma porno, à Genève. Apprêtée comme une grosse pute soumise.

J’arrive au cinoche, je paye l’entrée et après être descendue au sous-sol, j’entre dans les toilettes. J’enlève rapidement mes fringues de mecs pour devenir la grosse pute soumise en lingerie sexy. J’enfile ma cagoule en dentelles, ma perruque et chausse mes talons hauts. Je me maquille vulgairement la bouche avec un bâton de rouge vif sur mes lèvres gourmandes sachant qu’il faudra refaire cette manœuvre plusieurs fois après avoir sucé des pines. J’ajuste ma perruque après l’avoir secouée vivement pour qu’elle retrouve son flou naturel, je sens maintenant les boucles sur mon visage et soudain mon personnage devient réel dans le reflet du miroir me renvoie l’image d’une bonne salope. Je ressors des chiottes et tombe sur 2 mecs qui me regardent vicieusement plonger dans leurs pensées lubriques. Je me dirige dans la grande salle principale. Je pousse la double porte.

Le film est très sexe. Une fille suce une grosse queue. Ça me donne envie. Il y a déjà plusieurs mecs assis un peu partout. Les habitués sont assis tout au fond de la salle. Dans la dernière rangée, 3 vieux ont déjà sorti leur chibre depuis un moment. Je me sens épiée, quelques regards me déshabillent, la sensation est très agréable. Je me rapproche de leur position perchée sur mes talons de pute. Ma démarche n’est pas très assurée, car mes talons sont hauts.

Je n’ai pas remarqué un rebeu d’environ 45 ans qui vient droit sur moi d’un pas décidé. Il me prend le bras, il me touche les fesses à travers le cuir de ma mini-jupe et m’entraîne doucement, mais d’une assurance directive dans les toilettes que je viens de quitter.

Perchée sur mes talons de pute, j’ai failli tomber, mais il m’a retenue. Je subis son côté directif. Le bruit de mes talons sur le sol doit l’exciter, à peine entré dans les chiottes, il me plaque contre le mur et commence à me caresser mes feux seins comme un fou et me malaxe brusquement les fesses. Il passe ses doigts sur la raye de mon cul à travers la jupe. J’ai l’anus qui commence à me démanger. Il doit le ressentir et a sans doute senti le plug brillant qui enjolive mon trou de chienne. Il relève le bout de cuir de ma mini-jupe, prend, mes fesses à pleine main pour les malaxer comme une malade avec beaucoup de fermeté. C’est un pervers et ça m’excite. Mon clito bande aussi. Après quelques secondes, il met sa main derrière ma nuque et me force à me baisser contre sa bite. Je suis en déséquilibre sur mes talons de putes qui me font mal au pied. Je me retrouve devant un gros membre bien dur, qui ne demande qu’à se faire sucer. Je le prends dans la bouche doucement et avec ma langue, je lui titille le petit frein, ce qui a pour effet immédiat de le faire redresser et gonfler encore plus son chibre. Je le travaille bien et je sens qu’il prend du plaisir. Il m’insulte en arabe. Je m’applique à bien le sucer. J’espère qu’il ne va pas décharger trop vite sa semence dans ma bouche alors je ralentis le rythme de mes allers-retours. Je sens qu’il est à deux doigts d’exploser. Je sens ses mains sur mes fesses. Il se crispe. Je contracte et relâche ma chatte anale pour la préparer comme il faut. Mon plug enfoncé profond m’excite encore plus. Soudain, alors qu’il me tient toujours fermement la nuque, j’entends la porte des chiottes s’ouvrir et des pas arriver vers nous. Je veux regarder ce qui arrive, mais il s’enfonce encore plus dans ma gorge, manquant de me faire vomir. Je suis bloquée par sa queue. Penchée en avant, la bouche remplie d’une grosse queue, les fesses offertes, les jambes largement écartées. Je suis prise au piège.

L’autre comparse qui vient d’arriver m’enserre directement la taille. Il prend mes fesses à pleine main et semble reluquer mon cul d’un regard lubrique, car si je ne le vois pas, je sens qu’il passe son doigt sur mon plug et le long de ma fente. Il joue avec mon plug et dis quelque chose en arabe à celui qui me fourre la bouche.

Puis il écarte mon string, me retire lentement le plug anal.

Flop !

Mon trou est grand ouvert. Ça fait des heures de que je porte mon jouet anal.

Le gars observe mon trou ouvert et dit en français :

« Putain de salope, elle est déjà ouverte la chienne ! »

L’autre lui répond :

« Encule-moi cette putain ! »

Le plug m’a chauffé les muqueuses. Je suis chaude comme la braise. L’autre me lubrifie le trou en crachant plusieurs fois dessus. Je sens ses doigts éparpiller sa salive sur ma fente et dans mon trou. Je suis prise au piège par ces deux rebeu pervers.

Celui de derrière se débrouille très bien et me caresse le trou en enfilant ses doigts. D’abord un, puis deux, puis trois, puis il doit m’écarter la fente avec 4 doigts, car je sens que ça me tend la chatte à fond.

Le type devant moi me ramone la bouche lentement, puis accélère avant de ralentir à nouveau. Je sens qu’à chaque fois qu’il veut décharger, il s’arrête de me limer la bouche, mais reste dans ma cavité buccale. Ma salive s’écoule sur le menton et pour terminer sur le sol et faire une petite flaque visqueuse. Puis d’un seul coup, le gars enfonce sa bite tout au fond de ma gorge et la laisse comme ça. Ça m’étouffe et je bave de plus en plus. Puis il relâche la pression et ressort pour me permettre de reprendre mon souffle. Un filet de salive se fait de plus en plus visqueux entre son gland et ma queue.

Le rebeu derrière moi frôle mes cuisses gainées de bas. Il se fait monter la queue en la frottant contre le nylon transparent de mes bas et se branle un peu.

Au bout d’un moment, j’essaye de sortir la queue du rebeu de ma bouche, mais il reste dedans de force. Elle glisse à merveille dans ma bouche qui salive fond. Je la rentre très loin, ça doit l’exciter, car il dégage un goût sucré. Elle gonfle encore dans ma cavité de chienne.

Il commence à appuyer doucement sur ma chatte anale. Je sens son engin entrer à petits coups dans mon anus, ouvert, bien excité et trempé de plaisir. J’écarte mes cuisses au maximum, croupe soumise aux assauts de ce salop arrivé à l’improviste. Mes talons hauts dé****nt un peu sur la surface du sol, mais l’autre me tient fermement par les hanches. Je ne suis plus qu’une poupée gonflable et il commence à me péter le cul bien profond. Il commence son va-et-vient lentement, puis de plus en plus vite. J’harmonise tant bien que mal mes deux pénétrations (buccal et anal). Les secousses se succèdent à un rythme que je ne maîtrise plus.

Ça doit exciter l’autre dans ma bouche, car il me défonce jusqu’au fond de la gorge. Le salop prend mon cou pour faire rentrer son chibre encore plus profondément, comme si j’étais une oie à gaver. Il se tend de plus en plus et j’ai des reflux et suis à deux doigt de vomir. Mais à chaque fois il se retire un peu et ça me soulage.

Avec ce traitement de choc, j’écarte instinctivement mes fesses au maximum pour éviter la douleur, car l’autre me pilonne l’anus bien à fond. J’ai mal au cul. J’ai mal aux pieds qui sont enserrés et prisonniers dans mes sandales à lanières. La position est inconfortable, mais ça m’excite, car je me sens encore plus vulnérable.

Celui qui m’encule comme un sauvage ne tient pas longtemps et je pense surtout qu’il se fiche de mon plaisir à moi. Il jouit bruyamment en donnant un puissant coup de reins et en m’insultant sans doute. Je ne comprends pas, car il le fait en arabe, mais l’intonation de sa voix prouve qu’il laboure une chienne soumise et non une amoureuse. Il me fait mal le salop. J’ai l’impression qu’il va me transpercer avec sa queue. Enfin, il se met à râler et se retire brusquement, relâchant mon sphincter qui était super tendu, prêt à se déchirer. Je suis soulagée de sentir ma chatte anale qu’il a démolie libérée de ses assauts sauvages. Il la recouvre de jets de sperme en gueulant :

« Putain de salope à rebeu. »

Puis, après avoir essuyé son gland contre mes bas nylons, il dit :

« Et elle bande la grosse salope »

Il me prend ma queue depuis derrière et commence à me masturber contre le bas pendant que son copain prend ma tête à deux mains et éjacule par saccade dans ma bouche secouée par les spasmes de sa jouissance. Puis il se retire brusquement.
Du jus coule autour de ma bouche. Un filet blanchâtre tiède coule le long de mon visage. Je ne tiens plus sur mes jambes distendues. L’autre lâche enfin mon clito bandé à fond, ce qui me permet de me mettre à genou pour détendre les muscles de mes jambes et mes pieds talonnés.
Celui qui venait de me détruire la chatte anale a jeté sa capote bien remplie à mes pieds en me disant :

« Tiens traînée, tu avaleras ce jus pour le dessert ! »

Puis il éclata de sa blague avec son copain.

Un autre mec plus vieux qui devait observer la scène depuis un moment prend la place du rebeu qui se trouvait en face de ma gueule de pute. Il a la queue à l’air. Il sait que je ne suis qu’une vide-couille qui ne va pas dire non. Sa verge est petite, mais il bande le vieux. Il l’enfile dans ma bouche sans même me laisser essuyer du sperme de l’autre qui est encore dans ma bouche.

Les rebeu sont partis, mais un autre vieux arrive pour compléter le duo de baiseurs de trav. Le gars qui doit avoir 70 ans place sa queue pratiquement contre ma joue. Décidément, c’est le défilé de queues. Je suis comblée.

J’ai la bouche fatiguée, mais je n’ai pas besoin de sucer longtemps le vieux qui se vide en quelques aller-retour. Il devait être très excité par la scène que je venais de lui offrir avec les Rebeu.

Mon petit cul n’est pas resté non plus sans amateur. Car pendant que l’autre qui se frottait le gland contre ma joue, et que l’autre vieux remballait sa marchandise bien nettoyée par ma langue, un autre est venu me pilonner la chatte avec ses doigts.

Je me suis mise à quatre pattes pour lui présenter ma croupe et mon trou plein de sperme. À quelques centimètres de mon visage, le vieux qui s’était mis devant moi s’est agenouillé pour me forcer à le sucer. La bite du vieux que je venais de prendre en bouche bande mou. J’entends leurs commentaires  :

« Quel beau cul »

« Elle est bonne cette chienne »

« J’ai rarement vu une chienne aussi soumise »

« J’adore sa tenue de pute »

« J’aime bien ses bas nylon et ses hauts-talons. Ça le rend chienne ».

« Ouah, elle suce mieux qu’une gonzesse cette salope »

Le vieux qui bandait mou n’ait pas réussi à éjaculer dans ma bouche, il s’est tiré sans demander son reste.

L’autre est resté encore un moment à jouer avec ma chatte en enfilant ses doigts et en enfilant mon plug avant de le ressortir. Je pense que c’était la première fois qu’il pouvait jouer avec un fruit défendu, car il s’amusait à écarter mon trou le plus large possible. Il devait aimer cette sensation de puissance. Combien de temps cela a duré, je ne peux le dire. Mais une fois le calme revenu et son départ, je me suis relevé pour me rincer la bouche au lavabo et m’essuyer le trou explosé.

Perchée sur mes talons aiguille, je n’en pouvais plus. J’avais mal aux pieds, à la bouche et à la chatte.

Je suis sortie des toilettes décoiffées, la perruque ne devait plus être vraiment à sa place, je suis retourné dans la salle et me suis assis dans un fauteuil à regarder sans le voir le film de cul. Une blonde en tenue de latex se faisait défoncer le cul. Je me suis remise de mes émotions.

J’ai été sollicitée par de nouveaux arrivants, mais je leur ai fait comprendre que je faisais un petit break. Après quelques minutes, un type est venu s’asseoir à côté de moi et a commencé à me caresser le clito. J’ai vite bandé. Mon haleine devait sentir le sperme, car il m’a embrassé à pleine bouche et m’a fait un petit bruit de plaisir. Puis, avec sa bouche pleine de salive, il s’est penché sur ma queue et a commencé à me sucer et me branler dans sa bouche.

Après quelques minutes, j’ai joui comme une salope dans sa bouche. Rassasiée, je me suis rendue aux chiottes, remis mon pantalon, ma veste et mes baskets pour ressortir du cinéma.

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