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L’ex- femme et l’alcool….

L’ex- femme et l’alcool….



Voilà une histoire que j’ai vécue ou rêvée très fort, je ne sais plus très bien, il y a quelques années mais dont les détails malgré le flou de ma mémoire restaient assez clairs pour encore bien m’exciter. Les prénoms ont été modifiés mais si elle lit cette prose, elle se reconnaitra facilement.
Avec Gabrielle, nous sommes séparés depuis 5 ans. Nous voulions une séparation à l’amiable mais la vie en a décidé autrement : nous nous sommes déchirés !
Nous nous sommes mariés tôt, avons eu nos enfants et des relations sexuelles classiques, quelques fantaisies, rien de très libertin !
Elle ne m’a sucé que deux fois dans toute notre relation, et ne s’est jamais caressée… selon ses dires ! Dois-je la croire ? après tout, je me souviens d’une nuit, où la prenant en levrette, elle a « osé » se caresser. Elle en a pleuré !
Elle avait un peu d’embonpoint qui lui donnait des seins bien lourds avec lesquels j’aimais jouer. Plus notre relation avançait dans le temps, plus j’avais envie de son cul ! Je lui procurais régulièrement des massages. Je pouvais ainsi me frotter le sexe tout gonflé entre ses fesses et oser un doigt curieux. Elle ne détestait pas. Un soir, lors d’un massage qui l’a rendu un peu plus chaude, je lui ai versé un peu d’huile dans sa raie, j’ai posé mon gland sur sa rondelle. J’ai essayé de pousser mais elle m’a refusé ! Trop gros me disait-elle quand elle parlait de mon sexe ! Je n’ai jamais pu aller plus loin !
Puis, pour de multiples raisons, nous nous sommes séparés ! J’ai connu d’autres femmes, d’autres coquineries, d’autres plaisirs !
Un matin, mon fils dont elle avait la garde m’appelle, affolé.
« Papa, je ne sais pas ce qui se passe avec Maman, je crois qu’elle a trop bu et je ne peux rester avec elle, je dois aller au collège… »
« Ne t’affole pas mon grand, je viens voir ce qui se passe. Pars sans crainte au collège »
45 min me séparait de la maison dans laquelle Gabrielle avait emménagé avec mes enfants que je ne voyais que le week end. Je n’y étais jamais allé. Vous imaginez bien qu’elle ne voulait pas m’y voir ! Mais la détresse de mon collégien de fils rendait la situation urgente et je pouvais m’y soustraire. Je me gare juste devant. Je sonne, inquiet de me faire recevoir avec mépris ou de me faire fermer la porte au nez… comme elle sait le faire !
Pas de réponse… et pourtant je la savais présente, sa voiture est dans l’allée et la musique est à fond ! Lui est-il arrivé quelque chose ? a-t-elle fait un malaise ? il fallait que je rentre pour m’en assurer. J’avais promis au fiston d’intervenir… Je me souviens que les enfants avaient évoqué une clé cachée dans un pot de fleur sur la terrasse. Je contourne donc la maison, arrive sur la terrasse. Trois pots de fleurs en ornaient les coins. Je regarde à travers la baie vitrée du salon et voit une tête dépasser du canapé, de dos. Elle bougeait… Elle était donc vivante ! point positif ! une vidéo porno passait sur l’écran et, en regardant bien, sa tête bougeait en rythme ! Elle se masturbait ! Je n’arrivais pas à la croire ! Si si, elle se caressait en rythme. Je suis resté là à la regardait se faire du bien. En me mettant un peu de coin, j’arrivais à pourvoir mieux la voir, je ne voyais que ses jambes. Elle était en robe de chambre, les jambes découvertes jusqu’aux cuisses bien ouvertes. Sa main s’activait entre ses cuisses. Je commençais à durcir devant ce spectacle. Ses pieds se sont alors tendus… Elle jouissait ! Avec la musique à fond, je n’ai pas pu entendre ses râles que je connaissais bien à l’époque ! Rapidement, j’ai quitté mon poste d’observation, ou plutôt de voyeur pour ne pas me faire surprendre. La queue bien dure dans mon pantalon, je n’avais qu’une envie : me faire du bien !
Excité comme je l’étais, je contourne la maison et décide à sonner. Pas de réponse ? Je re sonne et attends. Des pas hésitants résonnent derrière la porte. Elle ouvre. Etonnée de me voir, elle me dit d’une voix pâteuse :
« Qu’est-ce que tu fais là ? »
Elle était en robe de chambre nouée sur le devant, pas coiffée, pas maquillée mais avec un décolleté assez ouvert qui ne m’a qu’excité encore plus.
« Je suis venu car Arthur (notre fils !) m’a appelé inquiet pour toi. Il se passe quoi ? Ça ne va pas ? »
« Ecoute, non ça ne va pas fort. Tu sais mon nouveau mec est parti… alors j’ai un peu bu… un peu trop »
« Je peux entrer ? on prend un café, ça va te requinquer »
Elle ne dit rien, se retourne pour se diriger vers la cuisine en titubant… je matais son bon gros cul qui balançait !
Dans la cuisine, elle lance deux cafés et s’assoit ou plutôt s’affale sur sa chaise, les jambes un peu ouvertes, l’alcool ne lui permettant plus de conserver un minimum de pudeur !
« Alors raconte-moi tes misères … »
« Pff… cela faisait 6 mois qu’on était ensemble…. Un bon amant mais un peu con ! mais je ne vais pas te raconter ma vie sexuelle ! il est parti, c’est tout ! »
« Mais si, ça m’intéresse bien au contraire ! » osais-je penser tout haut !
« rhooo, tu es resté coquin ! »
En prenant son café, sa robe de chambre s’est ouverte un peu plus, dégageant ainsi la naissance d’un sein, presqu’au téton…
« Oui très coquin… d’ailleurs, ferme ton décolleté, ça va me chauffer ! »
« Oups pardon ! » et d’un coup, en me fixant du regard, elle ouvre en grand son peignoir m’offrant pour un trop court instant ces seins lourds et bandants !
« Tu as toujours des seins splendides qui me font un effet que je ne peux plus te montrer lol ! »
« Je sais qu’ils te faisaient toujours de l’effet » dit-elle en refermant sa tenue à mon grand regret…
Un silence pesant est venu alourdir l’ambiance. Elle buvait son café, le regard dans le vide et moi, je n’osais plus la regarder… Je pensais encore au spectacle qu’elle m’a offert sans le savoir quand j’ai pu l’observer derrière la baie. Mon sexe se trouvait de plus en plus à l’étroit… Je la savais nue sous sa robe de chambre, si proche et si inaccessible en même temps. Cependant, vu son imprégnation énolisée et sa faible résistance quand elle est dans cet état d’ivresse, j’ai tenté le tout pour le tout.
« Tu sais que je n’ai qu’un seul regret avec toi… ? »
« Ah bon ? est-ce de n’être pas rester avec moi car je suis devenue une accro au sexe, ce que, je le reconnais volontiers, je n’étais pas quand on était ensemble »
Était-ce de la provocation ? un humour de femme ivre ? ou la réalité ? Elle m‘a stupéfié par cette réponse ! J’ai profité de sa désinhibition pour oser…
« Non, pas de rester avec toi mais de n’avoir jamais pu te sodomiser… Je me masturbe souvent en l’imaginant » ….
Ouch, j’avais osé… tant pis si la réaction n’est pas celle que j’espérais. On verra bien !
« M’enculer ? (L’alcool lui faisait dire des termes que je ne lui connaissais pas !) C’est vrai mais tu avais une grosse queue et je ne l’avais jamais fait avant. J’avais peur d’avoir mal… Je dois avouer que ta queue large me manque parfois »
« Je me souviens que tu te ne masturbais pas… le souvenir de mon sexe te fait des effets ? Tu te caresses maintenant en y pensant ? »
« Je dois reconnaitre que ça m’est arrivé »
Wouah… mon ex se masturbe en pensant à moi ! quelle surprise !
« Quand tu as ouvert ton peignoir tout à l’heure, j’ai eu un début d’érection en te voyant nue… »
« Qu’un début ? tu m’étonnes, je te connaissais plus rapide, lol ! qu’est-ce qu’il te faut maintenant pour devenir tout raide ? tu vieillis mon ami ! »
« je dirais que ton cul pourrait suffire à me rendre très dur… » lançais-je sans trop d’espoir !
A ce moment, elle me regarde droit dans les yeux… puis baissa son regard vers mon sexe qui formait une petite bosse dans mon jean. Elle ouvre alors à nouveau son peignoir m’offrant ses seins, son sexe qu’elle avait soigneusement taillé. Sa main droite se porta vers son sein pour bien le pétrir… et d’un air malicieux me toisa du regard en me demandant si ça, suffisait à me rendre « viril » ! Je ne pouvais mentir devant mon sexe qui en durcissant gonflait la bosse de mon jean !
« Tes fesses me rendraient encore plus dur mais ce ne serait pas raisonnable… »
En se retournant, elle avait remonté sa robe de chambre, m’offrant le spectacle de ses fesses blanches…
« Quand j’ai trop bu, plus rien n’est raisonnable ! Profite alors… »
Elle se penche contre la table de la cuisine pour bien mettre en valeur son cul… je ne bande plus, je suis prêt à exploser !
J’avance la main pour lui caresser la fesse… devant l’absence d’objection, je glisse alors la main entre ses fesses pour descendre vers sa vulve ainsi offerte. Elle était trempée ! Mes doigts la caressaient d’avant en arrière … elle commençait à gémir… hmmm … tout en la caressant de mes doigts, mon pouce titillait sa rondelle… elle se laissait faire, mieux elle poussait son cul en arrière pour que j’appuie plus sur son petit trou qui a rapidement accepté mon pouce… de l’autre main, je lui appuyais sur ses reins pour mieux la cambrer… elle se tortillait de plaisir….
« Caresse toi, touche-toi, branle-toi »
Je retire alors la main pour lui laisser la place… ses doigts ont vite remplacé les miens… elle coulait littéralement !
J’ai déboutonné mon jean, sorti ma queue toute tendue, le gland rouge de turgescence, humide par le liquide séminal…. et viens me frotter contre sa raie… elle se masturbait de plus belle… mes premières gouttes ont fini de bien lubrifier sa raie, je me frottais de plus en plus…
« Prends ta mouille et viens te préparer le cul » lui ordonnais je… elle se laissait dominer…j’adore !
Ses doigts dégoulinant de mouille sont venus sur sa rondelle pour bien la lubrifier… je présente alors mon gland sur celle-ci…. Elle me caressait les couilles en me disant qu’elles lui manquaient… en poussant un peu, son cul s’est facilement ouvert, je commençais à l‘enculer…. Mon fantasme se réalisait… c’est elle qui s’est sodomisée en poussant son cul sur ma bite que je voyais s’enfoncer…
« vas y … fous la moi bien au fond »
Des odeurs de cul se dégageaient de ce moment, ça m’excitait encore plus…
je lui ai pris les hanches à pleines mains et commençais mes allers et retour… je la prenais très fort… ses fesses claquaient sur mes cuisses… elle gémissait de plus en plus…
« oui, oui, comme elle est grosse, comme elle me remplit…. Continue… »
J’allais de plus en plus fort… sortais, rentrais dans son cul… sa robe de chambre était quasi enlevée… ses seins balançaient frottant ses tétons sur la table… elle criait maintenant… je n’allais pas pouvoir tenir encore longtemps. Elle s’est mise à trembler de partout, à gueuler de plus en plus fort…
« Donne moi tout ton jus… oui … mon salaud…. Tu me fais jouir…. hmmmm »
J’aurais voulu lui gicler sur ses fesses mais je n’ai pu sortir à temps… j’ai jouis dans son cul, dans le cul de mon ex qui me faisait tant bander…. C’était très intense… en me retirant, mon sperme a coulé le long de ses cuisses… elle ne bougeait plus, reprenait doucement ses esprits… je me suis rapidement rhabillé… ça a été rapide, il n’y avait que le pantalon à remonter, je n’avais pas pris le temps d’en enlever plus !
Elle a rajusté son peignoir, sans rien dire, tremblant encore un peu…
Je l’ai laissé dans sa cuisine, assise, en train de se recoiffer sommairement… les cuisses recouvertes mais encore entrouvertes, du liquide blanc coulant le long de l’intérieur… preuve s’il en fallait encore que je n’avais pas rêvé…,
« Essaye quand même de diminuer ta consommation d’alcool… ça inquiète notre fils… sauf si tu as encore envie de mon sexe ! » rajoutais-je avec un clin d’œil !
En sortant, je téléphonais à mon fils pour le rassurer : « ne t’inquiète pas. Maman avait un peu bu et en conséquence, elle a eu un petit problème intestinal qui a vite été résolu ! Elle m’a confirmé qu’elle ne boirait plus autant, sauf pour les grandes occasions ! »

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