Sandrine va-et-vient nue dans la pièce, sous mon regard avide. Ses seins lourds se balancent légèrement à chacun de ses mouvements. Elle se tourne un moment devant moi, agitant ses fesses délicieuses juste sous mon nez puis, d’un geste, détache une barrette sur sa tête. Ses cheveux blonds bouclés ondulent jusqu’au milieu de son dos.
Je suis assis sur un fauteuil du salon, nu aussi, les mains écartées, attachées l’une à l’autre par une corde souple qui passe derrière le siège. Mes chevilles sont également menottées aux pieds du fauteuil, me maintenant les cuisses légèrement ouvertes. Je bande à tout rompre, et ma copine prend un malin plaisir à ne pas me toucher, à m’exciter en se caressant doucement, et en passant sa langue sur ses lèvres.
Je ne sais pas ce qui a pris Sandrine. Ce n’est pas la première fois qu’elle s’amuse à m’attacher, avant qu’on fasse l’amour, mais les autres fois, elle ne s’oblige pas à résister à l’envie de m’offrir du plaisir.
— Me laisse pas comme ça, supplié-je en relevant mon bassin.
— Tu veux que je te fasse jouir ? me rétorque-t-elle d’une voix autoritaire. Alors là, tu rêves !
S’avançant vers le fauteuil, elle masse quelque peu sa lourde poitrine en me couvant d’un regard lubrique. Puis elle touche négligemment mon sexe tendu.
— Hmmm ! Tu m’as l’air rudement excité…
Je tente de refermer mes genoux et mes mains autour de son corps, mais je suis solidement entravé.
— Non, tu ne peux pas bouger, apprécie-t-elle avec un sourire.
Elle descend une main entre ses cuisses et se caresse un instant, me regardant en soupirant de plaisir. Et puis, en prenant grand soin de ne presque pas me toucher, elle monte sur le fauteuil, un pied de chaque côté de mon bassin, et se tient debout en s’agrippant à ma tête qu’elle plaque contre son entrejambe en ordonnant :
— Lèche-moi !
Elle s’avance encore un peu et replie une jambe, posant son genou sur l’appuie-tête et écartant bien les cuisses. Je penche légèrement la tête en arrière et elle écrase sa fente trempée et odorante contre mon visage. Avec avidité, je parcours sa raie, de ses lèvres jusqu’à son clitoris, lapant sa vulve, tentant d’y enfoncer ma langue. Ça a l’air de lui plaire, elle se crispe en gémissant tandis que je dévore son sexe, et elle presse toujours ma tête contre son corps. Se frottant contre mon visage, elle se déhanche d’avant en arrière, se dandinant de plus en plus vite au-dessus de moi, m’écrasant presque sous son bassin tandis que je continue de la lécher avec passion, de titiller son clitoris, de mordiller ses lèvres, de glisser ma langue à l’orée de son vagin. Elle est trempée, son plaisir coule dans ma bouche, sur mes joues, sur mon menton. Et bientôt, dans un long hurlement, elle jouit en se crispant dans une dernière série de spasmes, et en m’arrachant les cheveux. Reprenant ses esprits au bout de quelques secondes, elle descend du fauteuil en commentant d’une voix blasée :
— Mouais, c’était pas mal…
Je la supplie encore une fois du regard de ne pas me laisser dans un tel état d’excitation. Malicieuse, elle observe ma queue bandée à tout rompre.
— Non, il va falloir te montrer bien plus efficace que ça, si tu veux que je m’occupe de toi.
Je la maudis des yeux ; elle s’éloigne en oscillant exagérément des fesses. J’écume de désir, alors qu’elle revient bientôt avec son téléphone à la main, et lèche ses doigts en le portant à son oreille.
— Qu’est-ce que tu fais ? m’alarmé-je.
Elle ne répond rien et me lance seulement un sourire satanique.
— Qui appelles-tu ?
— Pose-toi simplement cette question : est-ce que tu préfères que la personne qui va nous rejoindre soit un homme ou une femme ?
Mes pensées vont et viennent à toute allure, dans un mélange affreux de honte, de pudeur, et d’embrasement.
— Allô ? Oui, c’est bon, je crois qu’il est prêt… Tu peux venir.
Ah, la salope ! En plus, c’était prémédité !
— Qui c’est ? À qui parlais-tu ?
— Surprise ! me répond-elle d’un ton machiavélique en raccrochant et en posant le téléphone.
Je râle d’impuissance, puis soupire d’excitation.
— Alors, mon amour ? Que dirais-tu de me voir baiser avec un autre homme ?
— Non !
— Hmmmm ! Pourtant ça m’excite… Et toi, attaché, qui ne pourrais rien faire…
— Noooon !
— Ta queue parle pour toi ! dit-elle en tâtant vaguement mon sexe toujours tendu à bloc.
Je tente un mouvement de bassin pour me frotter contre sa main. La retirant aussitôt, elle me réprimande encore :
— Tu plaisantes ! Pour l’instant, je te laisse imaginer ce qu’il va me faire… et ce que moi, je vais lui faire…
Je grogne et soupire de nouveau.
— Et peut-être qu’il pourra te baiser aussi… ou mettre sa grosse queue entre tes lèvres…
Ça doit réellement l’exciter car elle se remet à se caresser en parlant.
— J’aimerais tant te voir sucer une grosse bite. Et il jouirait dans ta bouche…
Moi ce ne sont pas ses paroles qui m’excitent, ni la situation qu’elle imagine, mais plutôt le fait qu’elle soit dans cet état, à confier ses fantasmes en déambulant nue devant moi qui suis complètement à sa merci.
Et la sonnette retentit soudain. Je commence à paniquer, à me poser des tas de questions : qui est-ce ? Est-ce que je le connais ? Va-t-elle vraiment faire ça en face de moi ?
— Ah ? Déjà ? rigole Sandrine.
Elle att**** son chemisier qu’elle enfile sans le fermer ; on devine les courbes enchanteresses de son corps divin.
— Je ne vais tout de même pas aller ouvrir toute nue.
Elle tâte encore une fois mon sexe, pour s’assurer que je suis toujours en pleine forme. C’est horrible ! C’est l’excitation qui prend le dessus sur tout le reste, sur la peur, sur la honte, sur le dépit. En roulant encore des fesses, Sandrine s’éloigne, jusqu’à la porte d’entrée. Je l’entends l’ouvrir et accueillir l’inconnu :
— Salut. Viens, entre.
L’oreille aux aguets, je cherche à reconnaître une autre voix. Leurs pas s’approchent, derrière moi. Je tente de tourner la tête pour découvrir qui arrive. Et je pousse soudain un cri de stupeur en voyant Sandrine passer devant moi, finalement accompagnée d’une femme : une petite rouquine, que je n’ai jamais vue de ma vie, mignonne comme tout, vêtue d’un blue-jean et d’un chemisier qui laisse deviner une poitrine généreuse. Elle porte un sac en toile qu’elle dépose sur l’autre fauteuil. Elle me salue d’un sourire, puis regarde mon sexe toujours gonflé à bloc et observe :
— Oui, on dirait qu’il est rudement excité.
— Qui est-ce ? demandé-je à Sandrine.
— Une amie.
Elle farfouille dans le sac de la jeune femme.
— Et regarde ce qu’elle a apporté.
Elle en sort un énorme gode muni d’un harnais. Empoignant la grosse bite factice, elle fait mine de la branler un instant en me provoquant du regard. Mon sexe soubresaute sur mon bas-ventre. La jolie rousse passe derrière Sandrine et lui ôte tout naturellement son vêtement, en l’embrassant dans le cou. Elle ferme ensuite ses mains sur sa poitrine qu’elle pelote doucement. Je grogne encore, cette fois d’excitation pure. De voir ma chérie se faire caresser par une autre femme, d’imaginer qu’elle l’a sans doute déjà fait, me rend fou d’envie et de désir.
Et l’inconnue guide bientôt Sandrine jusqu’à l’autre fauteuil, l’y installe, les cuisses bien ouvertes, le bassin relevé, et s’agenouille pour plonger la tête contre son intimité. Ma copine se met aussitôt à se tortiller en gémissant de plaisir. Et elle me regarde droit dans les yeux tandis qu’elle se fait lécher par cette femme. Je suis en sueur et je tremble presque, tellement je suis excité. Sandrine se déhanche de plus en plus vite et crie de plus en plus fort ; l’autre n’a pas relevé la tête et doit lui dévorer le sexe à toute allure. Et il ne faut qu’un court instant pour que ma chérie jouisse de nouveau en hurlant littéralement.
La jeune femme se redresse finalement, et embrasse Sandrine qui se remet doucement. Toutes deux se relèvent et s’approchent de moi.
— Elle s’y prend mieux que toi !
Je lis autant d’excitation et de malice dans les yeux bleus de ma copine que dans le regard vert que l’inconnue braque sur moi.
— Je crois qu’il est temps de le soulager, murmure la belle rouquine.
Sandrine acquiesce vaguement et att**** le gode qu’elle fait mine de me planter dans la bouche, appuyant contre mes lèvres.
— Tiens, suce !
Elle presse fort ; je tente de détourner la tête.
— Suce ou on ne s’occupe pas de toi !
J’ouvre les lèvres ; elle y enfonce vivement le gland qu’elle fait aller et venir dans ma bouche. Ses yeux sont braqués dans les miens tandis que j’essaie de pomper maladroitement l’énorme sexe factice. Derrière sa main, je devine l’autre jeune femme s’agenouiller à mes pieds, et je sens qu’elle empoigne ma verge. J’oscille fébrilement du bassin pour me branler dans sa main. Elle me lâche aussitôt.
— Arrête ça tout de suite ! me crie Sandrine en enfonçant profondément le gode dans ma bouche. C’est nous qui décidons si tu auras du plaisir.
Et comme pour m’empêcher encore davantage de bouger, ma copine s’assoit sur moi, sur mon bas-ventre, juste au-dessus de ma queue qu’elle a tenue relevée. Mon gland appuie désormais sur le haut de ses fesses. Et je ne peux plus voir l’autre jeune femme. Je n’ai que sous les yeux les gros seins de Sandrine, qui m’excitent tout autant. Je tente de baisser la tête pour les lécher. Mais ma jolie blonde me repousse et me remet le gode dans la bouche, tout en maintenant ma tête levée d’une main sous mon menton. Je suce de nouveau ; elle m’encourage :
— Oui, voilà, c’est bien. Tu t’y prends bien. Hmmm, j’aime te voir sucer une grosse bite !
Je sens que Sandrine ruisselle encore de désir sur le bas de mon ventre. Malgré ses deux orgasmes. Et je sens aussi que l’autre jeune femme me saisit de nouveau la queue et y referme ses lèvres. C’est à mon tour de gémir. Je tente encore tant bien que mal d’accompagner du bassin les va-et-vient rapides et profonds de la bouche qui entoure mon sexe.
— Alors, elle te plaît, ma copine ? Elle suce bien ?
Je gémis et soupire de plus en plus fort, tandis qu’amusée, Sandrine me baise littéralement la bouche. Et la belle rousse me suce fort, vite, profondément. C’est extrêmement bon, et vu mon état, ça devrait aller vite.
— Tu as envie de jouir, hein ?
Je gémis encore. Je sens que je ne vais pas tarder à exploser. Enfin !
— Je te préviens que si tu jouis dans sa bouche, je t’encule !
Mais ni l’une ni l’autre ne ralentissent leur rythme et tandis que le gode s’immisce encore à toute allure entre mes lèvres, je pousse une longue plainte d’extase en éjaculant copieusement entre celles de la jeune femme qui continue de me pomper et de me branler sans faiblir jusqu’à la dernière goutte.
Me décrispant finalement, je reprends peu à peu mes esprits. Sandrine retire son jouet d’entre mes dents. La rouquine relâche mon sexe, qui se presse contre les fesses qui me chevauchent toujours, puis elle se relève, les lèvres bien fermées, et embrasse ma chérie à pleine bouche. Des filets de sperme s’écoulent jusque sur leurs mentons. Elles se décollent bientôt ; la jolie rousse s’essuie le visage d’un revers de la main, tandis que Sandrine se précipite pour m’embrasser à mon tour. Et enserrant ma tête, elle me crache presque mon sperme dans la bouche.
À son tour, elle se relève enfin. Les deux jeunes femmes me contemplent avec satisfaction.
— Regarde, il est toujours aussi excité, constate l’inconnue, avec envie.
— Laisse tomber sa queue, rétorque farouchement Sandrine en désignant le gode, j’ai bien mieux à t’offrir !
Et devant mes yeux toujours avides, Sandrine s’équipe du gode-ceinturon tandis que l’autre jeune femme se déshabille rapidement, me dévoilant un corps somptueux aux courbes divines. Quand elle enlève sa culotte, elle me jette un regard espiègle et la lance vers moi. Le morceau de tissu s’échoue sur mon visage.
— Tiens, sens !
Je secoue la tête pour faire tomber le sous-vêtement.
— Eh, mais ça me donne une idée ! s’exclame Sandrine.
Harnachée du sextoy géant, elle s’éloigne. L’autre jeune femme se caresse impudiquement devant moi en me regardant droit dans les yeux. Ma copine revient finalement, rapportant un foulard noir.
— Je vais baiser notre invitée, m’explique-t-elle, mais je ne veux pas que tu nous voies. Tu nous entendras et ça suffira ; ton imagination fera le reste…
— Non ! Arrête ! J’ai trop envie de vous voir !
— Tu plaisantes ? Tu oses protester ?
Elle enroule le foulard et s’en sert pour fouetter ma queue à deux reprises. Puis elle enjambe de nouveau le fauteuil et fait mine de venir passer le tissu autour de mon visage. Je remue la tête.
— Laisse-toi faire ou on s’arrête là. Réfléchis bien.
Je m’immobilise et laisse Sandrine nouer le bandeau devant mes yeux. Je ne vois plus rien ; je ne peux qu’entendre ; et imaginer. Imaginer Sandrine descendre du fauteuil, deviner qu’elle s’approche de la jolie rouquine, percevoir le son de leurs corps qui se frôlent, qui s’étreignent. Et puis celui d’un glissement presque visqueux accompagné d’un léger gémissement.
— Hmmm ! Mais tu ne voulais pas l’enculer ?
— Tout à l’heure… Gardons le meilleur pour la fin !
Malgré moi, ma queue pourtant tendue à bloc soubresaute encore un peu. Et, bien que je sache que je suis immobilisé, je tente un nouvel effort pour me libérer de mes entraves. Et je secoue la tête pour essayer de faire tomber le foulard qui me cache la vue des deux jeunes femmes. Mais ma copine continue de m’exciter :
— Hmmmm, Mathieu, c’est dommage que tu ne puisses pas sentir ça : c’est impressionnant comme elle est trempée !
L’inconnue pousse un long hurlement, puis une série de gémissements saccadés.
— Aaah ! Elle est vraiment bonne ! beugle Sandrine. Regarde comme je lui défonce sa petite chatte avec ma grosse bite ! Et ses gros seins qui se balancent… Hmmm ! C’est trop bon ! Quel dommage que tu ne voies pas ça !
J’enrage ! Je grogne sans retenue ! Je me débats encore une fois dans mes liens, mais sans effet. Et la jeune femme hurle littéralement tandis que ma copine doit être en train de la prendre de toutes ses forces. Je suis dégoûté de ne que pouvoir m’imaginer la scène : Sandrine derrière son invitée, la tenant par les hanches et lui assenant de puissants coups de bassin, lui enfonçant la verge factice et lui caressant les seins. Je tremble tellement je suis excité.
— Attends ! Attends ! Ralentis !
Que se passe-t-il ? Que font-elles ? Il n’y a plus aucun bruit… Puis je les entends chuchoter… et rigoler… Et je sens soudain qu’on enjambe encore le fauteuil. Laquelle est-ce ? Je m’attends à recevoir contre le visage le gode trempé odorant. On s’appuie de part et d’autre de moi. Une des deux est montée sur le fauteuil. Je devine l’odeur d’une vulve dégoulinante. J’avance la tête, et me heurte contre un corps ; ce doit être le pubis de la rouquine. Je tire la langue, frôle ses poils ; je ne perçois pas le gode. Je lape encore, touche ses lèvres chaudes. Elle écrase son bas-ventre contre moi.
Et je sens que Sandrine monte à son tour sur le fauteuil ; ses pieds contre mes cuisses, derrière l’autre jeune femme. Elle dirige le gode sous ses fesses, poussant le gland tout contre mon visage. Et je la devine le saisir pour le relever et l’enfoncer de nouveau dans le sexe ruisselant qui surplombe mes lèvres. Un nouveau long gémissement. Je me redresse pour lécher avidement, à l’aveugle ; je sens les lèvres trempées, le clitoris durci ; et je sens le gode qui va-et-vient dans le vagin de la pulpeuse rouquine. De plus en plus vite. De plus en plus fort. J’ai mal à la langue tellement je la tends pour caresser la jeune femme. Je la devine se crisper, se raidir, par à-coups. Je suis au bord de l’explosion. Et soudain, elle m’agrippe par les cheveux, se cambre en m’écrasant plus encore ; le strapon de Sandrine, qui accélère encore son rythme, me râpe le menton ; la jeune femme crie ; ses doigts plongent entre ma langue et son sexe, tournoyant à toute allure. Et elle jouit en hurlant tandis qu’un liquide chaud ruisselle de son sexe à mon menton et mon torse, le long de la verge factice de Sandrine qui s’agite toujours quelques secondes avant que la rouquine ne s’écroule au-dessus de moi.
Elles descendent finalement du fauteuil, Sandrine d’abord, puis l’autre jeune femme, en prenant bien soin de ne presque pas me toucher.
— Tu as senti comme elle a joui ? me demande ma copine d’une voix innocente. Dommage que tu n’aies pas vu ça, ça valait le coup…
Je me débats une fois de plus dans mes entraves.
— Je crois qu’elle a bien aimé ma grosse queue. Mais ça va être ton tour, Mathieu. Tu es prêt ?
Je grogne plus ou moins. Je sens une main se refermer sur ma queue.
— Hmmm, oui ! Tu es prêt !
J’entends farfouiller dans un sac plastique.
— Tiens, regarde ce qu’elle a apporté aussi : du lubrifiant. Ton cul va en avoir bien besoin pour une queue de cette taille…
— Raaah ! Sandrine ! Détache-moi ! Que je puisse vous baiser toutes les deux ?
— De quoi ? Mais tu rêves ou quoi ? C’est nous qui allons te baiser toutes les deux !
— Sandrine ! Je t’en supplie ! J’ai trop envie ! Détache-moi !
— Oui, supplie-moi ! Je veux que tu me supplies…
— Oui, oui, je t’en supplie ! Détache-moi !
— Non, tu n’as pas compris ! Je veux que tu me supplies de t’enculer…
— Non, Sandrine, détache-moi et je vous ferai jouir comme jamais !
— Prétentieux ! Non… ce qui me ferait jouir, c’est de te mettre ma grosse bite dans ton petit cul !
— Raaah !
Je sens soudain un liquide visqueux et froid couler sur la base de mon sexe, sur mon bassin, et sur mes testicules. L’une des filles doit être en train de répandre le lubrifiant sur mon corps. Je me débats une fois encore. Et deux mains au moins me caressent alors entre les cuisses, étalant le liquide gras de mon bas-ventre jusqu’à mes fesses. Des doigts se glissent dans ma raie jusqu’à mon anus. Et à nouveau du liquide coule, à nouveau des mains l’étalent. Un doigt force mon sphincter.
— Hmmm ! J’ai très envie de ton petit cul ! Allez, supplie-moi !
Je me cambre et tente encore de me défaire de mes liens. Deux doigts entrent en moi.
— Allez ! Je veux te l’entendre dire !
Une main enserre la base de mon sexe, une autre mes testicules. Je sens qu’on m’écarte les jambes. Et puis le contact d’une peau chaude contre mes cuisses. Ce doit être Sandrine qui s’avance. Elle passe ses mains sous mes fesses qu’elle tire vers elle en les relevant. Je me laisse glisser dans le fauteuil et soulève les genoux. Je sens le latex de son gode se presser contre moi, entre mes fesses.
— Allez ! Dis-le-moi ! Tu veux que je t’encule ?
Elle dirige son gode juste contre mon anus. Et l’une des deux me masturbe fermement.
— Raaah !
— Tu veux ?
— Oui, soufflé-je, baise-moi.
— Je n’ai rien entendu ! Qu’est-ce que tu veux ?
Les caresses sur mon sexe et la pression sur mon sphincter s’intensifient.
— Aaah ! Ouiiii ! Encule-moi !
De nouveau, du lubrifiant s’écoule entre mes jambes. Le gode parcourt ma raie ; je sens qu’on me soulève encore les fesses ; j’accompagne le mouvement en relevant mon bassin et en ouvrant les cuisses. Le gland factice se presse contre mon anus, l’écartant doucement. Je suis au bord de la jouissance. La main qui tenait ma verge s’éloigne, descend et me caresse la bourse ; une autre guide la progression du strapon ; une autre encore se pose sur mon visage et deux doigts s’immiscent dans ma bouche. Je suce avec acharnement et écarte encore les fesses. Le gode s’enfonce doucement en moi, poussé par ma copine qui maintient mes cuisses ouvertes. Je sens que l’autre jeune femme m’enjambe et vient s’agenouiller à califourchon sur mon bassin avant de s’empaler sur mon sexe toujours tendu à bloc. J’accompagne les va-et-vient de son corps tout en subissant ceux qu’imprime Sandrine. Mes gémissements se confondent à ceux de la rouquine qui me chevauche. Je sens sa lourde poitrine s’écraser sur mon torse et son souffle chaud effleurer mon visage. Les sensations inconnues mêlées à l’excitation de la situation… je bande comme jamais… Je ne vais pas tarder à jouir. Sandrine me sodomise puissamment, tout en tenant fermement mes cuisses quelque peu relevées. Je balance mon bassin autant que mes entraves le permettent, défonçant la jeune femme au-dessus de moi, que je devine passer une main jusqu’entre nos deux corps pour caresser à toute allure son clitoris exalté. Et nous jouissons bientôt, simultanément, hurlant, ma semence propulsée hors de mon corps spasmodique se mêlant au liquide chaud qui s’écoule encore une fois de sa vulve enflammée.
Je me détends, finalement, au bout de quelques minutes. La jeune femme se relève, me libère de son étreinte, et Sandrine se retire de mon corps quelque peu douloureux. Je soupire d’extase. Mon sexe se ramollit. Le bandeau devant mes yeux est soudain arraché. Sandrine me sourit, sans plus la moindre malice. Elle détache le harnais qui la ceint toujours.
— Je t’aime ! chuchote-t-elle.
Je lui souris en retour.
— Tu es incroyable ! Mais je t’aime aussi…
Elle s’écarte pour, sous mes yeux ébahis, embrasser à pleine bouche l’autre jeune femme qui semble peiner à reprendre ses esprits, puis se laisse tomber dans l’autre fauteuil en face de moi en soupirant. Je me secoue encore pour tenter une fois de plus de me libérer de mes entraves.
— Je… euh… Sandrine, tu veux bien me détacher ?
Elle me darde de nouveau ses yeux malicieux et un sourire narquois.
— Tu plaisantes ?
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