Je me promène nu dans un endroit paradisiaque, une oasis avec un plan d’eau d’un magnifique bleu translucide. Je m’y baigne et tout d’un coup, j’aperçois une jeune femme nue elle aussi qui rentre à l’eau. Ni une ni deux, je la rejoint pour faire connaissance. Elle accepte de faire connaissance; en fait, je comprend qu’elle cherche à le faire. C’est une jolie grande blonde, comme moi, dont le pubis rasé, comme moi, ne demande qu’à vibrer.
Nous virevoltons dans l’eau, jouons, nous effleurons. Mmmmm! Quelles careses, mon sexe en est gorgé et durci, malgré la fraicheur de l’eau. Il est en manque depuis quelque temps; alors vous pensez bien, un petit tour vers ce bas ventre!!! Petit à petit, elle m’entraîne vers le lieu d’ou elle est venue. je la suit, en manque que je suis, mais sans me douter de ce qui va m’arriver…
Aprés avoir franchi la plage de sable fin, derrière la végétation, nous arrivons sur un campement dont la particularité est qu’il comporte une dizaine de jeunes femmes comme notre naïde, quelques ados d’environ 15 ans et un homme emmasculé. Ces femmes sont toutes d’origine différentes; noire, asiatiques, arabiques, latinas et blanches. les jeunes filles présentes sont vierges et les garçons certainement car ces jeunes n’ont pas le droit de s’amuser entre eux, suivant un réglement strict. La plupart des femmes étaient étéro, mais il y à des lesbiennes farouches et une paire de jumelles; en fait notre blonde et sa soeur.
Je découvre cette petite société, qui m’apprend qu’elle vit là en autarcie depuis longtemps, qu’elles m’ont vu arriver et qu’elles m’ont piégé. Certes, je suis fort, mais elles sont nombreuses et ont envoyé leur énuque saboter ma voiture. Donc je suis leur prisonier. Je demande à l’enuque ce qu’il lui est arrivé; il me dit que comme moi, mais il y à 17ans, il est tombé sur ce groupe d’amazones, décidées à fuir la société et qui se sont attachées ses services en le piégeant aussi.
Il me dit que ces femmes, bien que pratiquant l’amour entre elles (certaines sont de vraies lesbiennes) sont en grand manque et que je vais devenir leur jouet, jusqu’à plus soif. Il y à longtemps que mon érection était tombée, mais là, je suis scié… L’énuque me console et me dit qu’en fait, j’aurais un challenge à remplir, en 2 mois et que peut être je pourrais m’en sortir si je le remplis. Bien que l’émmasculation supprime les hormones mâles; notre (ex) homme n’a pas grossi; c’est sans doute du au régime que les femmes lui font faire, mais aussi l’exercice et entre autre les masser à profusion. Il me propose d’ailleurs ses mains expertes. Pourquoi pas? Aussitot dit, aussitot, je me retrouve allongé et pétri par ces mains puissantes. Tout mon corps est exploré et massé, au vu de toute la communauté; je suis un peu gêné à cause des enfants, mais il m’explique qu’ils sont de lui et qu’il n’a pas rempli son challenge, ce qui fait qu’il s’est retrouvé à devoir jouer son sexe aux dés.
En effet, il avait devant lui deux dés. Un pour l’avenir de son sexe et l’autre sur la manière dont serait pratiqué cet avenir. Sachant que le double six le sauvait de tout, il n’a pas eu de chance là non plus. Le premier dés, hors le six, le 1, c’est une boule en moins; le 2, deux boules; le 3 le gland, le 4 la verge et le 5, l’emmasculation. Pour le deuxième dés (la manière de faire) le six, rien, le 1, c’est à la serpe ou la hachette sur un billaud, le 2, au couteau de cuisine, le 3, à l’élastique qui serre et à la longue sêche ce qui est sérré et tombe, le 4, la partie qui doit être supprimée est attachée et un lourd pois est laché, pour arracher cette partie; le 5, au bistourri chirurgical; notre homme était tombé sur le 5 et le 3 et qu’il a ensuite passé sa vie avec ces femmes et ses enfants. Mais il n’avait pas pu remplir le premier challenge de 2 mois; à savoir faire l’amour à toutes ces femmes, les faire jouïr tous les jours et les mettre enceintes toutes. Au bout de 8 jours, il n’en pouvait plus et a commencé à rater d’honorer quelques unes des trés jeunes femmes de l’époque. Elles ont donc appliqué leur sentence et aprés plusieurs jours de souffrance, son sexe et les bourses sont tombées déséchées. Seul subsiste un petit trou pour uriner car les femmes avaient pris la précaution d’installer une sonde pour permettre la cicatrisation d’un moyen d’uriner. L’enuque participe aux jeux sexuels de ces dames en les carressant et les massant, il à fait de même avec ses enfants et maintenant, il est sur moi et curieusement, je sens du plaisir malgré la pression de ce qui m’attend. Il remarque que mon penis est circoncis et que mes bourses sont fermes et prés du corps, qu’il serait peut être difficile de les éliminer si cela devait se faire. Ces paroles décuplent mon érection et l’action de ses mains devient sublime; il ne me masturbe pas en va et vien, mais comme faisaient les hommes de la préhistoire pour allumer le feu. Comm je me contorsionne de plus en plus, des mains viennent m’immobiliser, membres écartés; impossible de bouger; tout ce monde mesure mon plaisir, évalue ce que je vais pouvoir donner plus tard et tout d’un coup, une décharge de plaisir m’envahit, pendant que mon éjaculation est lèchée par beaucoup de langues, sur mon abdomen. Je suis épuisé, mais je sent que l’on veut me faire refaire ça. Mais ce n’est plus l’énuque; mais un troupeau de furies qui se déchainent pour faire remonter l’errection. Cela ne tarde pas et cette fois, ce sont des langues et des bouches qui se ruent sur ma verge dure qui finit par me faire mal. Cette fois, je n’arrive pas à éjaculer, tellement je suis congestionné; ça dure, mais j’entends une femme qui semble être respectée, interdire de se servir de mon sexe dans les leurs; seulement des féllations avant le challenge. Finalement, aprés quelques massages supplémentaires, au bout d’un temps interminable, je ressens à nouveau cette décharge d’adrénaline qui me fait éjaculer à nouveau.
La chef dit que c’est fini; pour cette soirée, je serais laissé libre et devrait me reposer car un challenge m’attend. L’enuque, qui veut un peu me protéger, propose de m’entraîner pendant une semaine, à l’écart, avec les ados hommes, pour me permettre de réaliser le plus possible le challenge. Je suis donc emmené hors du camp, chez ces jeuns hommes qui vont participer à mon entraÎnement. Ils ont tous de jolis corps, comme leur seul père est notre énuque, ils ont pour certains des couleurs métis trés réussies, sont encore imberbes, mais tous sont bien équipés; ce qui me fait penser que leur père l’était aussi. Je m’étonne qu’il n’ait pas réussi et m’inquiète au fond de moi pour mon sexe d’un calibre plus normal. Leur père m’indique que certaines des femmes ont projeté de les castrer pour ne pas avoir de problèmes, mais que d’autres, qui n’ont pas de lien de parenté, verraient bien s’accoupler avec eux. En attendant, je vais devoir me préparer, surveillé par tout ce petit monde et leur père. La première nuit, alors que je n’arrivais pas à dormir, j’ai senti une main me parcourir le corps et le frolement d’n jeune corps musclé. Je n’osais pas réagir de peur de représailles et tout d’un coup, la main a approché mon trou et s’est mise à le triturer. Au bout d’un momment, le jeune corps, s’est glissé sur mon derrière et j’ai senti quelque chose glisser en moi. Je n’avais pas l’habitude et ça m’a fait mal. Mais au bout de quelques instants, j’ai cambré mon dos pour faciliter la tache et en plus, la main s’est glissée sous mon ventre et a pétri ma verge. Quel plaisir; je ne me connaissais pas de penchants aussi décalés. La jeune verge s’est sans doute répandue en moi car au bout d’un peu de temps, elle a arreté ses va et vien et a fini par se retirer moins dure. Mais la main continuait à me triturer ma verge et j’en avais mal aux abdominaux; à tel point que je commençais à comprendre pourquoi m’entraîner; assurer 10 services par jour, ce doit être trés difficile. Je ne l’ai jamais fait et il y à déja quelques temps que je n’ais pas usé mon sexe; donc je me soumet à ma torture, en espérant qu’elle sera bénéfique. Je n’ai pas le droit de penettrer les jeunes, sinon la sanction est immédiate, donc, je me demande comment les prochains jours vont se passer.
J’ai la réponse le lendemain; footing autour de l’oasis, nage, toujours nu comme un ver. J’ai droit à des fellations, j’ai droit à jouer avec l’énuque, toujours à la vue de tous, j’ai les muscles durs, à la limite des crampes, on me masse, j’ai aussi droit à frotter mon sexe en face à face, avec l’entre jambe des garçons, entrejambe un peu huilée mmmm et leur sexe au même endroit chez moi, quelle exitation, la même chose l’énuque, les femmes évaluent ma progression, mes performances, elles commencent à s’attribuer des tous de rôles, à parier sur ma durée… Mon corps devient celui d’un athlète en 8 jours; même si je suis aussi fatigué.
Mais, il y à encore un problème; jusqu’à présent, je me rasais le sexe, avec tous les inconvénients que cela comporte et la règlede la tribu, est d’être imberbe. Mes poils repoussent et c’est affreux; l’énuque m’annonce donc que je vais être épilé par la communauté, poil par poil comme c’est fait par tous et toutes. Je me retrouve donc à nouveau étendu avec une multitude de mains équipées de pinces rudimentaires mais efficaces, qui vont passer un certain temps à enlever le moindre duvet blond de mon corps.
Le neuvième jour, la tribu se réunit et je suis en train de devenir leur objet.
Il m’est donné la loi; je vais devenir à la fois l’esclave, l’espoir de renouvellement de la tribu en étant un sang extérieur et si je fais bien, j’aurais une récompense, qui sera de deflorer les jeunes filles en les mettent enceintes obligatoirement, sinon, la punition s’appliquera encore.
J’apprend toutefois que les femmes seront actives pour m’aider, que l’énuque m’aidera aussi, mais que chaque 24h, j’aurais du une fois au moins couvrir de joie chaque femme adulte et qu’elles devront tomber enceintes rapidement. En outre, les vraies lesbiennes ont la faculté de décider à chaque fois si j’ai été à leur hauteur et qu’n conséquence, à chaque fois que je ferais l’amour avec elles, un fil à couper le beurre sera entourré autour de la naissance de mon sexe et qu’un simple geste de non satisfaction ferait que la partenaire derrière moi actionnerait son fil et tel un morceau de viande, mon sexe resterait dans le vagin de la lesbienne insatisfaite. Je n’ai plus le droit à de la masturbation ou fellation qui me ferait perdre de ma semence; la sanction est celle du challenge, avec les dés.
Je n’ai pas le choix de toute façon et m’adresse à la reine en lui proposant mes services pour commencer . C’est une jeune femme d’environ 35 ans, asiatique et trés bien faite. J’avais remarqué qu’elle s’était chauffée avant et mon sexe était en pleine érection; aussi, j’ose directement; je la couche sur le dos, replie ses jambes sur elle en les tenant fermemant, ce qui fait ressortir ses lèvres et comprime son vagin et rend la pénétration ferme. Surprise, elle se laisse faire et dans cette position, je fais claquer mes bourses sur ses fesses. J’ai les yeux mis clos pendant mon va et vien, mais je vois les autres femmes s’entrelacer, se frotter le minou, se caresser les seins et mon rythme augmente. Je me retire partiellement et ne fais pénétrer qu’une partie de ma vege, afin que mon gland ferme (toujours à l’air parce que circoncis) éxite son clitoris, avec un rythme le plus rapide possible. Tout d’un coup, je la penettre profondément et brutalement; surprise, elle explose de vibrations et je la ramone encore un peu, avant que mon exitation ne se transforme en jouissance. Je lache ses jambes et tout en maintenant mon sexe à l’intérieur, enserre sa taille avec mes bras et la ramène à moi, assise sur moi. Tout en réalisant ce geste, je sens un objet huileux me pénétrer l’anus; je suis assis sur cet objet, la reine assise sur mon sexe qui du coup ne ramolit pas. S’ensuit encore des va et vien dont je profite en mon sein et la reine aussi, du fait de la sur-éxitation. Au bout de quelques instant, nous nous écroulons de plaisir. Et nous endormons presque enlassés, mon objet encore enfourné quand soudain, un coup de fouet me sort de cette situation. On ne m’avais pas dit que je ne devais pas rester enlassé; je ne dois que faire plaisir et ensemencer ces dames. De fait, je me relève et un autre coup de fouet claque sur mes tétons. Quelle douleur. Mais comme j’ai encore mon objet dans l’anus mes tétons durcissent et mon sexe reste en semi érection. Les femmes m’attachent debout à un arbre et je crains le pire; les deux jumelles attaquent mon sexe, mes tétons et mon derrière à coup de langue, de bouche humide de manipulation du plug et d’exitation visuelle. Elles tirent au sort qui va avoir mon sexe; l’une des deux gagne bien sur promet à l’autre de lui laisser bien dur à la suite. C’est une immense exitation que d’avoir des jumelles, à la peau légèrement hallée, au galbe du corps parfait, aux trés petits seins bien pointus et à une chatte humide et chaude dont mon gland se repait avec ses mouvements car je suis attaché et elle me présente son derrière, pendant qu’elle se tient à sa soeur et qu’avec une main, elle lui titille le clitoris et que la soeur lui malaxe les tétons. Je suis tétanisé et mon bas ventre à nouveau congestioné de plaisir et la jumelle s’écroule tout d’un coup en ayant plein de spasmes de plaisir; sa soeur en profite et de face, en s’accrochant à moi et à l’arbre, se plante sur ma verge toujours tendue. Elle est éxitée et moi aussi, ce qui fait que nous ne mettons pas longtemps pour un immense plaisir mutuel.
Peu de temps aprés, je reste à mon arbre et l’énuque vient m’avertir que je vais rester un peu ainsi car ces dames sont parties manger et se faire plaisir. Lui aussi part et c’est à ce momment là que les jeunes filles du camp, viennent observer mon corps de prés; me tater, regarder de prés cet objet du désir qui les intriguent tant. Elles me massent, m’essuient, jouent avec mon sexe, se frottent à lui. A nouveau, un coup de fouet, mais pas pour moi; pour l’une de ces filles, en réalité leur meneuse qui à transgressé l’interdit; elle se retrouve face à moi, à un autre arbre et est fouêttée de 10 coups sur les seins et le pubis, qui deviennent rouge. Elle est laissée là avec moi et la punition des filles sera d’être à l’isolement un momment. Je la console en parole et lui promet de m’occupper bien d’elle plus tard. En attendant, je suis rejoint par l’enuque qui me donne à manger et me promet des momments difficiles.
Je suis libérer et tancé de remplir mes obligations. Je me soumet et découvre l’amour avec ces femmes à la peau et la morphologie différente; je n’avais jamais vu en vrai, de femmes noires nues, arabes ou latinas. Je pensais qu’il y avait une telle différence que ça ne me faisait pa vraiement bander. Mais si, celles ci étaient en plus connaisseuses pour me faire parvenir à leurs désirs; mais je ne dois jamais perdre mon sperme ailleurs que dans leurs vagins. Les premiers jours, je parviens à combler ces sexes avides, je ne sais pas si tant de relations soutenues, favorisent la production d’un sperme capable de féconder ces dames; mais je parviens tant bien que mal, entre les pénétrations et les préliminaires à les satisfaire sexuellement; je peut même les surprendre la nuit; pourvu qu’en 24h, j’ai fait le tour. Je suis quand même inquiet et un matin, patratas, pas d’érection. Dans la nuit, la petite jeune que j’avais réconforté était venue me voir et me dire qu’elle avait trés envie de moi et de s’enfuir avec moi. L’érection en panne, c’était avec l’africaine et pas moyen. Elle m’a menacé des pires sévices, tout en me faisant une fellation, mais c’était bien mou; quand la jeune s’est approchée à quelques pas et m’a montré son envie en portant son doigt à la bouche, puis au sexe; alors mes ardeurs sont revenues. Je ne parle pas de l’éxitation procurée par le fil à couper en acier, au contatc de ma peau; les lesbiennes qui voulaient mon sexe ne l’avaient pas encore. D’ailleurs, aprés m’en être ouvert aux femmes, elles décident de me poser des anneaux autour à la base du sexe et par empilage autour des bourses, pour les allonger un peu à la mode de certaines peuplades qui allongent le cou des femmes. L’anneau à la base du sexe me plait, mais ceux des bourses me font peur. Effectivement, une fois installé, le 2° 3° et 4° anneau, les testicules comprimés me font un peu mal, mais il y à un certain plaisir et les femmes me taquinent en me disant que les boules seront plus faciles à couper.
Ainsi, au bout d’un mois, la chef vient me dire que toutes sont en retard de leur cycle. C’est une bonne nouvelle lui dis-je; oui, mais il ne faut pas molir pendant encore un mois et si ça se confirme, j’aurais le droit d’explorer les bouches et les anus.
Une nuit, je suis un peu à l’écart, la jeune vient me voir car elle ne tient plus; elle veut de moi et s’offrir à moi; j’ai trop peur et la rejette. Mais plus tard, je somnole et tout d’un coup, je sens que l’on me fait une fellation; n’y prétant pas garde, je me laisse faire et mon sexe enfle comme dorénavant il est entraîné. Je sens qu’on le manipule différement de d’habitude, mais l’erection est là et quelqu’un le dresse et je sens une pénétration hésitante et lente. Il y à une résistance et tout d’un coup, un petit cri étouffé et la personne s’écroule un peu sur moi. Je sors de ma somnolence et vois cette jeune fille qui consciente de ce qu’elle a fait s’essaie aux va et vien assise sur moi. De peur, je la jette un peu plus loin et elle revient en me suppliant de continuer. Je ne sais que faire quand surgit l’une des lesbiennes, réveillée sans doute par le petit cri…
Elle réveille le camp et d’un coup, je suis prisonnier, comme la fille et tout le monde hurle. La fille pleure et dit qu’il ne s’est rien passé, mais la lesbienne répond que la petite trace de sang à la base de son pubis et du mien trahit le contraire. Elle réclame la sentence totale sans jeu de dés et le fouêt pour la fille qui devra manger mon sexe. Je me justifie, en disant que c’est la fille qui est venue pendant mon sommeil, mais rien n’y fait. La furie me met des coups de pieds dans les parties, ce qui me fait me tordre de douleur « en accompte » me dit elle.
La reine dit qu’il faut constituer un tribunal pour décider des punitions. Tout le monde décide de nous attacher en attendant et nous laisser ainsi jusqu’au lendemain. Mais la nuit sera longue et pleine de rebondissements.
D’abord, plusieurs femmes viendront à mon chevet, profiter de ce qui existe encore; puis les filles elles aussi qui ont ces envies, elles s’offriront à leurs demi frères, mais se finiront sur moi, puis l’enuque qui viendra me délivrer avec sa fille et me donner les indications pour rejoindre dans la nuit puis deux jours tout nus dans le désert, une autre oasis ou nous serions en sureté car la sentence est tombée: demain, on me scalpera le pubis, la peau des bourses, m’emmasculera et supprimera les testicules; puis on me lachera dans le désert. La fautive sera lapidée en plein soleil, donc l’enuque préfère prendre le risque de nous lacher et nous sauver car tout le groupe va imploser.
Mais notre fuite sera éventée et nous allons être pourchassés; mais nous ferrons tout de même l’amour pour de vrai; j’oubliais, ma jeune fuillarde est métisse et son corps est sublime; elle sait aussi tous les secrets pour faire plaisir à un homme; elle a été à bonne école
Bien entendu, tout ceci est factice et vous pouvez cher lecteur modifier la fin selon vos fantasmes
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