La femme était sur le quai quand je suis arrivé. Je lui ai donné 50 ans. 20 ans de plus que moi. Il était 6h33 et un panneau d’affichage indiquait que le train aurait 45mn de retard.
Elle portait un blouson en cuir, une robe qui lui arrivait au-dessus des genoux et des bottes. Le tout était noir, tout comme ses collants. Elle avait des cheveux mi-longs, noirs également, bouclés. Elle avait le teint un peu mat. Elle m’a adressé un long regard tandis que j’allumais une cigarette à dix mètres d’elle.
Il faisait à peine jour et de la brume planait au-dessus des rails. La gare était déserte. C’était celle d’un village de moins de mille habitants où vivaient mes parents à qui j’avais rendu visite.
J’ai tiré quelques taffes, puis la femme est venue vers moi.
Elle m’a dit :
« Auriez-vous une cigarette, s’il vous plait ? »
J’ai ressorti mon paquet de mon manteau et l’ai ouvert pour le lui tendre. Elle a pris une cigarette, puis je lui ai donné du feu. J’ai observé la fumée qui s’est éloignée vers la brume, puis la femme m’a dit :
« Merci, c’est gentil. Vous allez à Paris ? »
« Oui, dis-je en la regardant. »
« Moi aussi, dit-elle. C’est agaçant ces retards. C’est systématique sur cette ligne. Je m’appelle Valérie. »
Je lui répondis que je m’appelais Antoine et elle dit :
« Enchantée, Antoine. »
Puis une minute s’écoula dans la fraicheur matinale. On n’échangea pas une parole pendant ce temps, mais la femme resta près de moi. Elle aurait pu être ma mère.
Elle tira sur sa cigarette trois ou quatre fois, puis me regarda en disant :
« Je suis en train de divorcer, ce n’est pas simple. »
Je n’ai pas répondu.
Elle ajouta :
« C’est mon troisième divorce. Je vais faire en sorte d’éviter qu’il y en ait un quatrième, c’est trop galère. Tu es marié ? »
Le tutoiement me surprit.
Je répondis :
« Je viens de divorcer pour la première fois. »
Elle sourit, puis dit :
« Dans ce cas, n’insiste pas. C’est l’époque qui veut ça. On se marie pour divorcer, et puis on recommence, ainsi de suite. Tu as quel âge ? »
« Trente et un. »
« Moi, cinquante-deux, dit-elle en regardant la voie ferrée. Il ne faut pas te remarier, ça échouera. Reste seul, c’est mieux. »
Je ne répondis pas non plus.
Je l’observais. Elle regardait toujours les rails. Elle avait un corps assez voluptueux. Une forte poitrine et un large cul bien ferme. Elle était assez chic et je sentais son parfum, à un mètre de distance. Un parfum discret. Je me suis laissé dire qu’elle avait pris une douche avant de venir prendre son train. Comme moi. Son blouson en cuir tombait au-dessus de son cul, et le tissu de sa robe était fin. Souple. Elle avait dû être belle par le passé, mais à présent elle était fanée. La vie avait accompli son œuvre.
Je lui ai dit :
« Vous avez des enfants ? »
Elle s’est tournée vers moi et a répondu :
« Oui, deux. Deux filles. La plus âgée à 31 ans. La cadette en a 28. Et toi, tu en as ? »
« Non, aucun. »
« C’est mieux comme ça, dit-elle en revenant aux rails embrumés. Ça complique les choses, les enfants. N’en fais pas. »
« Vous regrettez d’en avoir eu ? »
« Non, dit-elle sans me regarder. J’aime mes filles, mais c’est compliqué. Je me suis fait une raison. »
J’ai jeté mon mégot dans les cailloux bruns des rails et mis mes mains dans les poches de mon manteau. Il faisait frisquet. Aucun autre voyageur ne semblait décidé à pointer son nez sur le quai, ni contrôleur, personne.
Il nous restait plus ou moins 37 minutes à patienter quand Valérie jeta son mégot à son tour et se tourna vers moi en disant :
« Sais-tu s’il y a des toilettes dans la gare ? »
J’ai désigné le bout du quai du menton et répondu :
« A droite, contre le pignon, il y a un petit bloc. »
Elle suivit la direction du regard, puis revint à moi :
« Tu m’accompagnerais ? »
« C’est simple, c’est juste à droite, vous verrez. »
Elle remua la tête et dit :
« Oui, mais est-ce que tu veux venir avec moi dans ces toilettes ? »
Je suis resté un moment à la regarder, sans bien saisir. Elle avait un petit rictus, les bras croisés sur son blouson ouvert qui révélait les marques de son soutif sous sa robe.
Je me suis décidé à lui dire :
« C’est étonnant comme proposition… »
« C’est comme tu veux, dit-elle. Il nous reste une demi-heure à poireauter ici. Mais je comprendrais que tu n’aies pas envie d’une vieille. »
Tout en détaillant son visage et en me répétant ses paroles, je me suis mis à bander.
Je lui ai répondu :
« Qu’est-ce que vous proposez ? »
Elle a haussé une épaule et dit :
« Rien de particulier. Tout ce que tu veux. »
Je me suis autorisé à toiser sa poitrine moins discrètement qu’auparavant, puis son ventre et ses genoux.
J’ai relevé les yeux et dit :
« D’accord. »
Sur ce, elle a pris sa valise et m’a tourné le dos pour prendre la direction des toilettes. J’ai ramassé mon sac et je l’ai suivie. A l’angle du bâtiment, elle s’est tournée vers moi, puis s’est engagée sur une allée de gravier qui menait au bloc en question. Elle a poussé une porte en bois, puis est entrée.
C’était un petit espace de quatre mètres carrés où se trouvaient un lavabo, deux urinoirs et deux portes. Sols et murs étaient carrelés de blanc et l’on pouvait lire quelques inscriptions sauvages sur des carreaux. Il y avait une forte odeur de produit d’entretien et un très mince relent d’urine.
Valérie a posé sa valise au sol et m’a regardé :
« Tu veux qu’on reste ici, ou qu’on aille dans une cabine ? »
Je bandais à mort.
« Dans une cabine, ai-je répondu. »
J’ai posé mon sac contre un mur et suivi Valérie qui venait d’ouvrir la porte de gauche. Je suis entré derrière elle et j’ai fermé la porte, tourné le verrou et fait face à la femme qui se tenait debout.
« De quoi as-tu envie ? dit-elle. »
Je n’ai pas réfléchi longtemps, j’ai répondu :
« De vous toucher. »
« Eh bien, vas-y. Touche-moi où tu veux. »
J’ai hésité quelques instants, puis j’ai tendu une main vers ses nichons. J’en ai palpé, puis je l’ai soupesé. Valérie suivait le geste des yeux, sans rien dire, sans sourire.
J’ai mieux tripoté son nichon, puis mon autre main s’est posée au bas de son ventre, juste au-dessus de son pubis. Je l’ai laissée glisser et j’ai touché sa chatte par-dessus le tissu de la robe.
Valérie a dit :
« Oui, c’est bien… »
Je l’ai regardée dans les yeux et j’ai dit :
« Vous vous déshabilleriez ? »
« Bien sûr, dit-elle. Tu veux que j’enlève quoi ? »
« Tout, sauf vos bottes. »
Elle a commencé par ôter son blouson en cuir en disant :
« Et toi, tu enlèves quoi ? »
« Rien pour l’instant. Je veux vous voir à poil. »
Elle a souri, puis posé son blouson sur le couvercle de la cuvette. Ensuite, elle a défait la fermeture de sa robe dans son dos, puis fait glisser le tissu jusqu’à ses chevilles en veillant à ce qu’il n’entre pas en contact avec le sol. Elle portait un soutif noir en dentelle, semi-transparent, et une culotte assortie qui révélait une toison sombre. Ce n’était pas un collant qu’elle portait, c’étaient des bas.
Elle a plié la robe sur son blouson, puis, tout en baissant ma braguette, je lui ai dit :
« Enlevez votre culotte, gardez votre soutif. »
« Ça me plait bien, dit-elle en pinçant l’élastique de son sous-vêtement pour le baisser en se penchant en avant. »
Ses poils étaient coupés courts sur un mont de Vénus bien bombé.
Elle a posé sa culotte sur sa robe, puis s’est tournée vers moi. Je tenais ma bite entre mes doigts. Elle était raide.
De l’autre main, je me suis mis à lui caresser la chatte, doucement. Elle regardait mon gland qui n’était pas encore décalotté. Ses gros nichons étaient à la limite de déborder de ses bonnets.
« Ça te plait ? demanda-t-elle. »
« Oui. »
Ses lèvres étaient mouillées.
Elle continua en disant :
« Veux-tu qu’on ait une relation sexuelle ? »
J’ai secoué la tête :
« Oui, debout, comme ça. »
Elle a légèrement écarté ses pieds, et donc ses cuisses. Je me suis avancé en écartant de même mes jambes afin d’approcher ma queue de sa grosse chatte à la bonne hauteur. J’ai frotté mon gland contre son clito, puis contre ses lèvres humides. C’est le moment qu’elle a choisi pour faire glisser une bretelle de son soutif et libérer son nichon gauche que je me suis mis à sucer aussitôt, tout en sentant ma bite pénétrer sa moule. J’ai dû m’y reprendre à trois fois pour qu’elle entre tout entière.
Cette position inconfortable me convenait. Elle me permettait de faire des va-et-vient assez lents. L’arôme de la mouille sur ma bite se mélangeait à l’odeur de produit d’entretien. J’avais empoigné sa fesse droite pour bien la malaxer, aventurant mes doigts à la jonction des deux afin de toucher un peu l’anus qui était tout chaud.
Un peu plus tard, je l’ai prise par derrière. Ses fesses bien ouvertes et ses mains plaquées au mur au-dessus de la cuvette, elle avait enlevé son soutif et ses nichons se balançaient vigoureusement dans les mouvements saccadés et les chocs de mon bas-ventre contre son gros cul qui portait la marque d’un bikini. C’est dans cette position que j’ai éjaculé.
Ça m’a échappé au moment où Valérie m’a dit comme ça :
« Tu peux décharger au fond de ma chatte, il n’y a aucun risque. »
J’ai senti la giclée monter à vive allure, et je l’ai effectivement expédiée au fond de la chatte. La deuxième, en revanche, a percuté l’anus et s’est mise à couler mollement tandis que j’envoyais la troisième sur la fesse gauche.
Pour finir, Valérie m’a sucé. Elle a gobé les dernières gouttes de sperme collées à mon gland et, penché en avant, j’en ai profité pour lui tripoter une dernière fois les nichons.
Je venais de remonter ma braguette quand le train est entré en gare. Je suppose que le conducteur nous a vus sortir des toilettes tous les deux en même temps. Peut-être qu’il s’est demandé ce qu’on avait fabriqué. Peut-être pas. Je ne le saurai jamais.
Les retards de trains ne présentent pas que des inconvénients.
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