L’histoire que je vais vous raconter est authentique. Je suis aujourd’hui une transsexuelle soumise à mon maitre et avec l’accord de mon maitre je dévoile ici toute mon histoire. Je lui suis soumise et je vis à ses cotés, nous avons une sexualité débridée et il m’a fait tourner dans des pornos d’abord avec lui puis comme actrice pro. Quand je conclurai cette histoire je vous donnerai peut être les liens. Je suis une chienne perverse mais quand commence cette histoire, je n’étais qu’un ado efféminé et mal dans sa peau.
A l’époque je vivais à Grenoble, chez mes parents et j’avais douze ou treize ans. Je me faisais souvent brutaliser à l’école, j’étais le plus intelligent mais aussi le plus gringalet et le moins fort, bref j’étais seul. Je ressentais depuis longtemps cette envie d’être une femme. Cherchant sur internet j’ai fini par découvrir les sites pornos et surtout les transsexuelles dont j’admirais le corps rêvant de devenir comme elles. C’était un idéal de beauté et de luxure qui m’attirait, loin d’une réussite professionnelle et sociale comme le voulait ma famille. Je commençais à me travestir surtout avec des collants. Ceux qui ont essayé connaissent cette délicieuse sensation des collants portés. Je mettais aussi la nuit une petite culotte et soutien gorge, tous pris à ma mère. Quand j’avais du temps libre seul, je portais aussi des robes de ma mère. J’essayais aussi de me maquiller mais la c’était pas joli à voir. C’était sympa, puis un jour mon père découvrit les collants planqués sous mon lit et ce fut ma pire expérience. Il se mettait souvent en colère parfois pour un rien mais la ce fut catastrophique, certains hématomes mirent plusieurs semaines à disparaitre, l’œil au beurre noir fit l’objet de blagues des élèves du collège et même de l’odieux prof de musique.
Les années passèrent je ne recommençais pas à me travestir, c’était trop traumatisant, mais j’essayais une autre solution je me laissais pousser les cheveux, je mangeais un peu moins pour affiner ma silhouette déjà pas épaisse, je me mettais aux jeans serrés, bref lentement je me glissais vers un style plus androgyne, moins masculin. Ce fut fréquemment l’objet de disputes avec mon père, mais je tenais bon et puis profitant de mes choix d’études je changeais de ville et je venais à rennes pour continuer ma licence.
Vivant seul et ne rentrant que pour les vacances, mais sans trop d’argent je commencés par augmenter mon régime. Puis je commençais à commander quelques vêtements féminins sur internet. Le soir chez moi le petit étudiant timide devenait une travestie, épilée et habillée mais au maquillage perfectible. Et puis je commençais à discuter sur internet avec des travesties puis je me mis en quête d’un maitre ou d’une maitresse qui me transformerait en transsexuelle et pour qui je serais la soumise. Je m’inscrivis sur des sites de rencontres SM ou non, je déclinais par peur plusieurs offres, puis je rencontrais d’abord Enzo un jeune militaire qui aimait les travestis avec qui il assouvissait quelques fantasmes comme faire l’amour à une fille ligotée, la gorge profonde, l’anal et l’éjaculation faciale. Il vint chez moi plusieurs fois et devint mon premier amant. Il était bien monté. La première fois je le suçais maladroitement mais il me conseilla pour faire mieux, j’étais follement amoureuse de lui. Il était beau et viril avec de beaux muscles et des tatouages. Son sperme avait un petit gout salé. La seconde fois il me fig faire une gorge profonde. Passé la sensation d’étouffement et de rejet, je pris un plaisir fou et il me passa sa bite trempée d’un mélange de sperme et de salive sur mon visage. On se retrouvait ainsi plusieurs fois chez moi comme ça pour qu’il remplisse ma bouche, je devenais une bonne suceuse. Un samedi après midi ou sa copine n’était pas la il me prépara l’anus avec ses doigts puis enfonça son pieux en moi. La sensation de l’anus écartelé par sa bite en moi fut une grande douleur dont je tirais beaucoup de plaisir. Je criais ma joie de ces orgasmes de femelle, il m’enfonça dans la bouche une de mes petites culottes pour me faire taire. Il ressortit sa bite de mon anus et me la brandit devant le visage me montrant la merde qui recouvrait la capote me disant que j’étais sale. Pour seule réponse je retirai la culotte dans ma bouche et je suçais la capote avalant ma propre merde. Il était stupéfait, il me dit sue j’étais plus crade qu’une pute et je ressentis de la fierté. J’adorais nos moments intimes. À la suite de cela je m’achetais un plug pour me dilater le cul et le rendre accueillant pour mon amant. Je le portais à la fac au même titre que les collants et les petites culottes mais dissimulée sous mes vêtements
Durant deux mois nos rendez vous continuèrent, souvent brefs parfois longs, quelque fois il m’attachait les mains avec des collants. Mais je voulais plus, je ne voulais plus vivre en homme, plus avoir seulement du sexe oral et anal de temps en temps je voulais quelque chose de plus sale et de plus régulier. Je demandais bien à Enzo de me pisser dans la bouche ou de me frapper, mais il ne voulait pas. Je décidais donc de reprendre mes recherches sur le net.
Je discutais avec des dominateurs, certains étaient de vieux lubriques inintéressants ou des mecs pas sérieux, je contactais sans réponse plusieurs couples. Puis un jour il me contacta, c’était celui que je connaîtrais sous le nom de Maitre Victor. Quand je répondis à ce message je mettais le doigt dans l’engrenage qui allait me conduire à devenir la transsexuelle chienne et soumise que je suis. Mais ça je vous le raconterai plus tard.
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