J’étais toujours amoureuse de mon mari. Il y avait deux ans que nous étions mariés et je le connaissais depuis la maternelle et je n’avais jamais au grand jamais imaginé épouser un autre que lui.
Il n’y avait qu’une chose qui me chagrinait : c’était qu’il ne voulait pas qu’on ait un enfant tout de suite et moi je n’aspirais qu’à être enceinte. J’avais des cousines et des tantes qui l’étaient et ça me faisait vraiment envie. J’avais eu l’occasion de leur caresser le vendre. L’une d’elles m’avait même dit qu’une fois enceinte, je pourrais faire l’amour tous les jours sans prendre de précaution. Elle ne m’avait pas montré que son ventre car elle m’avait aussi montré ses seins et elle en avait fait couler un liquide blanchâtre puis elle m’avait montré sa vulve et j’avais pu voir les immenses ailes de papillons qu’étaient devenues ses petites lèvres. Elle m’avait aussi avoué que si par hasard son mari ne la baisait plus, elle n’hésiterait pas à prendre un amant puis elle m’avait fait l’apologie de la masturbation. Elle voulait tout savoir.
– Pourquoi, tu as honte, m’avait-elle demandé en glissant ses doigts dans ma petite culotte et elle m’avait masturbée et j’avais eu un orgasme mais j’avais surtout eu honte.
Ce week-end-là, avec mon mari, nous devions aller déjeuner chez ses parents le dimanche midi mais la veille de l’événement, mon mari m’a annoncé qu’on n’y irait pas parce qu’il doit partir d’urgence pour son boulot. Je n’ai pas pensé qu’il aurait pu me mentir et il ne m’était jamais venu à l’idée qu’il pourrait me tromper. Il est parti le samedi matin. Dans l’après-midi, il m’a appelé pour me dire qu’il était bien arrivé. J’avais à peine raccroché que le téléphone a resonné. J’ai cru que c’était mon mari et j’ai décroché mais c’était une voix de femme mais je n’arrivais pas à mettre un nom dessus.
– Catherine ? Tu ne te souviens pas de moi ? C’est Simone !
Maintenant, je me souvenais. Cette fille avait été plusieurs années de suite dans mes classes mais mes souvenirs étaient vagues et elle m’a rappelé quelques faits que je n’avais sans doute pas oublié. Après, elle m’a demandé ce que je suis devenue et quand je lui ai dit que mon mari travaille, elle m’a invité à dîner. Pourquoi aurais-je refusé. Elle m’a donné rendez-vous et j’y suis allé. C’était un bel établissement. Il faisait beau et Simone avait les bras nus et j’ai découvert qu’elle avait le bras droit entièrement tatoué du poignet à l’épaule. Je me suis étonnée et je lui ai demandé si elle en a d’autres. Elle a ri puis elle a ajouté qu’elle avait fait inscrire quelque chose sous son sein gauche.
– Ah, et quoi, lui ai-je demandé ?
– Le nom de mon père, m’a répondu Simone ! Il est mort l’année dernière et c’est ma façon de ne pas l’oublier !
Après, elle m’a demandé si je n’aurais pas besoin de me faire tatouer quelque chose, prenant prétexte qu’elle connaît un bon tatoueur mais j’ai refusé. En sortant du restaurant, nous avons traversé le par cet nous nous sommes assises sur un ban.
– Il y a une chose que je ne veux pas te cacher, a ajouté mon amie Simone ! Je suis bi mais je suis surtout lesbienne !
– Ah !
– Toi, tu n’es pas du genre à avoir fait ça avec une fille ! Tu sors du moule !
– Quel moule, lui ai-je demandé ?
– Celui qui veut que les femmes sont pour les hommes, a ajouté Simone !
J’ai protesté que je ne suis pas comme ça et elle m’a proposé de venir finir la soirée chez elle. Je l’ai suivie et nous avons fait l’amour. Elle n’avait pas cessé de me caresser et elle m’avait tété les mamelons et je n’avais jamais eu d’orgasmes aussi intense.
– Alors, m’a demandé Simone ?
– Alors quoi ?
– Dis-moi au moins ce que tu en penses !
J’ai rougi puis j’ai avoué que c’était bien et elle m’a proposé de finir la nuit ensemble. Je n’avais jamais imaginé qu’il ait pu y avoir autant de façon de faire l’amour. Le lendemain matin, c’est Simone qui m’a réveillée.
– Ma pauvre chérie, m’a-t-elle dit… J’ai compté les fois où tu as joui !
Je lui ai avoué que je n’ai plus de jambes et c’était la vérité. J’avais la vulve encore gonflée et je n’avais pas besoin d’y mettre les doigts pour le savoir.
Tout à coup, mon portable a sonné. C’était mon mari qui m’annonçait qu’il rentrait plus tôt que prévu et qu’il sera là à deux heures puis il a ajouté qu’il a envie de me faire l’amour.
J’en tremblais presque. Simone m’a dit que dans cet état, je n’aurai pas de mal à faire bander mon mari. Savait-elle qu’avec lui tout était réglé d’avance ? Quand il rentrait de son boulot, il m’embrassait puis il me demandait si j’ai envie de faire l’amour. Je ne pouvais jamais lui dire non. Je portais un diaphragme et si c’était difficile de le mettre au début, je n’avais plus aucun mal.
Je n’avais pas de raison de m’inquiéter. A deux heures de l’après-midi, mon mari est arrivé et nous sommes tout de suite allés au lit. Je pouvais encore sentir le corps de mon amie Suzanne sur mon corps, ses mains sur mes seins et des doigts dans mon vagin. Elle m’avait même enfoncé son pouce dans l’anus. Nous avons fait comme nous faisions d’habitude : après nous être déshabillés, je me suis allongée sur le dos et mon mari s’est mis sur moi. Il a enfoncé son pénis dans mon vagin et il a fait le nécessaire. A un moment, j’ai poussé un cri :
– Simone !
– Quoi, m’a demandé mon mari ?
– Non, rien !
Il a continué. Ma vulve était si excitée parce que j’avais fait la nuit précédente que je n’arrêtais pas de mouiller et j’étais impatiente d’avoir un orgasme mais mon mari m’a dit de me retourner.
– Tu veux dire à quatre pattes, lui ai-je demandé ?
– Oui, c’est ça !
Je me suis mise à quatre pattes. Mon mari m’a attrapée par les hanches et il s’est enfoncé mais j’ai trouvé ça bizarre et je lui ai demandé s’il ne s’est pas trompé. Il s’est arrêté et je pense qu’il a vérifié puis il m’a répondu qu’il s’est trompé.
– Comment ça ?
Il m’a avoué qu’il s’est enfoncé dans mon anus. Il avait l’air tout penaud. Je lui ai répondu que ce n’est pas grave et qu’il n’a qu’à recommencé et il s’est enfoncé dans mon vagin puis il m’a fait l’amour.
Si j’ai joui, c’est en me masturbant parce que je voyais bien que je n’y arriverai pas. Après m’être lavée et d’avoir lavé la bite de mon mari, je me suis allongé à côté de lui sur le lit. Il m’a demandé s’il m’a fait mal. Je lui ai répondu que non, que le mieux est de n’en plus parler mais je me suis retourné vers lui et je lui ai demandé s’il ne voudrait pas recommencer. Il m’a demandé si je suis sûre.
– Je sais pas ! Après tout, pourquoi pas ? Tu pourrais aussi me prendre dans la bouche ?
Il est resté sans répondre puis il a dit que je ne suis pas une putain. Pourquoi me parlait-il de ça ? J’ai commencé à me poser des questions puis je me suis adressé à lui directement en lui demandant s’il est allé voir une putain au lieu d’aller travailler. Il m’a juré que non et il m’a dit que je peux même demander à son patron qui est resté avec lui tout le temps de l’intervention.
– Je ne veux pas te mentir, m’a-t-il dit au bout d’un moment, je suis allé voir des putains quand je faisais mon service militaire !
Je lui ai répondu que ça n’a pas d’importance pour moi mais j’ai pensé que nous nous étions fiançés le mois précédent son départ à l’armée.
– C’était comment ?
– Tu veux savoir ?
Mon mari m’a expliqué qu’il avait recherché des filles qui me ressemblent, avec des gros nichons.
– Pourquoi ?
– Parce que je n’ai jamais osé te demander, a ajouté mon mari ! Tu ne m’as jamais demandé de jouer avec… C’est bien que tu aies des gros nichons ! C’est ce que j’aime chez toi !
J’étais en train de lui caresser la bite et elle était devenue raide.
– Tu sais ce qu’on va faire, lui ai-je proposé ? Tu vas la passer entre mes seins puis tu me la mettras dans la bouche !
C’est ce qu’il a fait mais une fois sa bite dans ma bouche, il m’a attrapé la tête et il s’est branlé et il a joui au fond de ma gorge. Après ça, il m’a dit que je suis sa putain puis il m’a sodomisée. J’ai pensé par la suite qu’il me sodomisait un peu trop souvent mais ça me plaisait.
J’avais complètement oublié Simone. Un soir, elle m’a téléphoné. Nous avons discuté et j’ai fini par l’inviter à dîner chez nous. Elle est arrivée avec un bouquet de fleurs. Pendant le dîner, notre conversation a dévié sur le sexe.
– Je suis lesbienne, a fini par dire Simone à mon mari !
J’ai eu l’impression qu’il ne comprenait pas ce qu’elle venait de lui avouer.
– Je suis lesbienne ! J’aime les femmes, a insisté Simone ! Tu n’as jamais voulu que Catherine couche avec une femme ?
Je m’attendais à ce que mon mari lui dise non, mais il a semblé hésiter.
– Tu sais, c’est pas dangereux ! Pas question qu’elle tombe enceinte !
Mon mari lui a répondu qu’il s’en doute un peu.
– Tu ne voudrais pas qu’elle essaie avec moi, a insisté Simone ? Ça ne sera pas comme si j’étais une étrangère, a-t-elle ajouté !
Mon mari me regardait.
– Tu veux, a-t-il fini par me demander ?
– Tu veux vraiment, lui ai-je répondu ?
La cause était entendue. Après un passage par la salle de bains, nous nous sommes retrouvés tous les trois dans la chambre.
– Ah, chérie, m’a fait Simone !
Elle m’a enlacée et elle m’a caressé les fesses.
– Je fais ça pour toi, a-t-elle lancé à mon mari !
Après, elle m’a roulé un patin. Après ça, elle m’a tété les mamelons. Mon mari s’est enfoncé dans le fauteuil. Nous avons fait un soixante-neuf. Je n’arrêtais pas de le regarder.
– Tu veux qu’il vienne, m’a demandé Simone ?
Je ne pouvais pas m’y opposé et mon mari nous a rejointes sur le lit.
– J’aime aussi la queue, lui a lancé Simone et mon mari a enfoncé la sienne dans nos trous, en passant de l’une à l’autre. A un moment, Simone s’est retrouvée à quatre pattes. Mon mari était derrière elle. Je lui ai dit de la baiser et il l’a prise par les hanches. Je n’ai plus arrêté de l’encourager mais ce qui m’a le plus énervé est qu’ils semblaient faits l’un pour l’autre. Il a fini par jouir au fond du vagin de mon amie et je me suis précipitée pour le rincer.
– J’aime les chattes, mais un coup de queue de temps en temps, ça fait pas de mal, nous a lancé Simone en se rhabillant ! On recommencera ?
Maintenant, c’est ce que j’attends.
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