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Tante Mado, la grosse Gina… Et moi!

Tante Mado, la grosse Gina… Et moi!



La grosse Gina (voir mes histoires avec elle), devait quitter sa maison pour quelques temps car des ouvriers en refaisaient tout le carrelage…
Tante Mado me dit :
– Nous allons accueillir Gina pour un petit moment car sa maison est en travaux
– Oui Tata, OK Ok !
Donc voilà Gina installée dans la maison de tante Mado ! Gina était la meilleure amie de ma tante, mais aussi il leur arrivait d’aller plus loin que l’amitié… Moi aussi, d’ailleurs, j’étais allé plus loin… Avec tante Mado …Et Gina…
Gina, la cinquantaine, brune d’origine italienne, femme forte, près d’1 m 70, pas loin du quintal. Des seins énormes et un cul de jument !
Un jour, elles partirent de la maison, toutes deux séparément, pour faire des courses…
Je me trouvais donc seul dans la maison, les deux femmes parties pour un moment…
Mes pas me conduisirent au premier étage, vers la chambre de tante Mado.
J’ouvris alors quelques tiroirs et découvris la lingerie de ma tante. Il y a en avait dans trois tiroirs, culottes, soutien-gorge, je sortis plusieurs porte-jarretelles, guêpières, et dans un autre tiroir, des paires de bas, dont beaucoup de vrais bas nylon, d’ancienne mode, ne tenant qu’avec des jarretelles. Je glissais mes mains dans la soie, le nylon, la dentelle. Je sortais ces sous-vêtements, laissant mon imagination .
Je ne sais me l’expliquer mais je fus soudain pris d’un besoin irrépressible de me déshabiller et de revêtir ces dessous féminins. Je choisis une guêpière noire et rouge, des bas couture noirs et un string rouge.
Je me mis nu et enfilais ces dessous. J’étais très excité et le string était distendu par ma bite que je touchais en déambulant dans la chambre, puis à l’étage. Je descendis au rez-de-chaussée, visitai le séjour toujours ainsi accoutré, allumai du feu dans la cheminée.
Soudain, je sentis une présence derrière moi. Je me retournai vivement et j’aperçus Gina, encore en manteau, qui me regardait, surprise et qui me dit simplement qu’elle était rentrée plus tôt que prévu.
— Je ne te dérange pas Yves ? me dit-elle d’une voix profonde.
Elle s’approcha de moi tout en posant son manteau sur un fauteuil. Elle portait une robe légèrement décolletée et des escarpins.
Je vis son regard fixer mon sexe bandé qui tendait le fin tissu du string et dont le gland dépassait en haut de l’élastique.
Je ne faisais pas un geste, interdit, et honteux de me trouver ainsi vêtu devant cette femme impressionnante.
— Je, euhh… Tu ne le diras pas à ma tante, Gina?
Elle me toisa et je vis son regard briller d’un éclat inattendu, espiègle et mutin.
— Non sans doute pas… si… nous trouvons un arrangement…
— Quel arrangement ?
— Ça t’excite, petit coquin, de porter de la lingerie féminine ? Ne dis pas le contraire, ça se voit ; tu bandes…
— Gina, je, euh…
— Tais-toi, petit vicieux.
— Oui, je…
— Tu ne bouges pas, je reviens de suite, dit-elle.
Je restai seul alors qu’elle quittait la pièce et je l’entendis monter vers sa chambre. Encore sous le choc d’être ainsi découvert, je m’interrogeai sur la conduite à tenir. Soit je filais me rhabiller normalement, ranger les dessous de tante Mado mais je prenais le risque de la dénonciation, sachant que Gina ne cachait rien à Mado, soit je me remettais entre les mains de cette sculpturale italienne et je me doutais que cela ne serait pas sans contrepartie.
J’étais finalement resté et j’entendis Greta revenir après quelques minutes et, ô surprise, elle avait ôté sa robe et entrai dans le salon en soutien-gorge balconnet en dentelle noire, qui ne cachait rien des mamelons de ses gros seins, un slip assorti et un porte-jarretelles mauve soutenant des bas résilles. Elle portait un petit sac à la main.
Elle s’approcha de moi et me demanda de me mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Je n’osai lui désobéir. Soudain, je sentis sa main qui me caressait les fesses.
— Tu as un beau cul, tu sais mon garçon, des fesses bien fermes. Un bel culo !
Sa main soupesait par-dessous mes couilles et la situation m’excitant de plus en plus, j’avoue que je triquais très fort.
Je me tournai et la vis qui se pelotait les seins en s’excitant les pointes. Elle se pencha vers mes fesses et promena ses mamelons sur mon cul. Je sentais ses tétons durs frotter sur mes globes et jouer sur ma raie avec le fil du string.
Je l’entendais s’affairer par ailleurs et je compris tout, lorsqu’elle vint se planter face à moi, munie d’un gode-ceinture, avec une verge factice noire d’honnête dimension.
Elle me présenta fièrement cet engin et m’ordonna :
— Suce-la.
Je regardai Gina dans les yeux puis mon regard descendit sur ses gros seins excités et enfin sur cette bite factice et presque malgré moi, mais avec le sentiment de l’interdit et de briser un tabou, j’embouchai cette fausse pine et commençai à la sucer.
D’une main, je palpais les fesses de Greta et de l’autre je tenais les couilles de cette queue qui allait et venait dans ma bouche.
— Petit cochon, tu aimes ça, vicieux, me disait Greta.
Malgré moi, et ne me reconnaissant pas, car j’étais loin d’imaginer que je me serais trouvé dans une telle situation pour faire ce que je faisais en ce moment, je me surpris à être prodigieusement excité par cette fellation. J’arrêtai de peloter les grosses fesses de Gina pour me branler en même temps que je gobai cette bite, salivant dessus comme la plus salope des putes.
— Ne bouge pas, m’ordonna-t-elle soudain, alors qu’elle se portait en arrière pour retirer le gode.
Je restai ainsi à genoux sur la table basse. Je sentis bientôt ses mains qui écartaient mes fesses. Ses doigts prenaient possession de ma raie et de ma rondelle. Un doigt me pénétra…
— Ne n’inquiète pas, j’ai mis de l’huile, me dit-elle et le fait est que, à mon grand étonnement, ses doigts pénétraient facilement par cette entrée pourtant inviolée.
J’avais naturellement compris le projet et je sentis bientôt que les doigts avaient laissé place au gode dont le gland appuyait sur le muscle lubrifié. D’un coup, il s’enfonça et je me trouvai, sodomisé.
La douleur prit le dessus dans un premier temps, je me sentais totalement empli de ce sexe ; puis, peu à peu, je perçus une sensation plus ambiguë. La conscience de me livrer à une telle pratique n’était pas étrangère à ce sentiment.
Greta s’activait maintenant de plus en plus vite et je crois bien que cela suffisait à cette cochonne pour jouir. Moi-même, à ma surprise, je bandais ferme et me mis à me branler.
Mais bientôt, Gina se retira et vint devant moi, ses gros nénés à hauteur de ma queue. Elle me fit alors ce qu’il est convenu d’appeler une branlette espagnole.
La coquine ne tarda pas à me faire jouir ainsi et j’inondai ses seins de plusieurs giclées de sperme qu’elle répandit d’une main, se tartinant bien ses deux gros nibards, tandis que de l’autre main, la coquine se branlait impudiquement, ajoutant à son après-midi un autre orgasme.
Alors qu’elle reprenait ses esprits, me rendant compte de la perversité de ce que nous venions de faire, je remontai à l’étage retirer ma lingerie et me rhabiller « normalement ».
En redescendant, Gina avait disparu et je l’entendis s’activer à la cuisine.
Je sortis faire une courte promenade et rentrai en même temps que le crépuscule attendant pour dîner le retour de ma tante. Elle arriva bientôt et passa quelque moment avec Gina après s’être changée.
Je me dis que mon heure avait sonné et que Greta allait certainement faire état de mes exploits à Mado et lui dire quel pervers et vicieux j’étais.
Au dîner du soir, ma tante Mado était resplendissante. Elle portait une jupe assez courte, ses jambes gainées de gris, un chemisier de soie grège sous lequel on devinait un soutien-gorge blanc sexy.
Nous faisions honneur au repas et conversions gentiment, mon appréhension s’atténuant voyant que Gina n’avait apparemment pas vendu la mèche.
Après ce dîner de qualité, arrosé de vins parfaits, nous nous installâmes au salon devant la cheminée, en compagnie de Gina, qui partageait la soirée avec nous
.Nous devisions banalement, Gina lisant un roman, écoutant de la musique, lorsque ma tante me dit brutalement :
— J’ai compris que tu t’étais bien amusé cet après-midi, mon neveu…
— …
— Et que tu portes très bien mes dessous et ma lingerie.
— Euh… je… je vais t’expliquer ma tante…
— Ooohh, inutile, j’ai bien compris que tu étais un vilain cochon, un vicieux, tu n’as pas honte ?
— Euh… ma tante, je… euh…
— Alors comme ça, tu aimes les dessous sexy ?
— …
— Alors ? Réponds-moi franchement. Mon jeune neveu cochon !!!
— Oui, ma tante.
— Comme ça, par exemple ?

Mado ouvrit alors ses solides cuisses pour dévoiler de superbes jambes gainées de ses bas gris tenus par un porte-jarretelles rouge. J’aperçus son string tendu sur son pubis, qui à vrai dire ne cachait pas grand chose.
Elle était ainsi prodigieusement excitante et me regardait dans les yeux, sûre d’elle, un rien provocatrice et narquoise.
— Gina m’a dit que tu étais particulièrement coquin pour un jeune homme… Gina, je pense que dans ces circonstances, nous pouvons reprendre nos habitudes…
Gina sourit et, posant son livre, vint à quatre pattes, sur l’épais tapis, vers ma tante, pour poser sa bouche sur le sexe de Mado. Je matais, éberlué, Gina qui léchait la chatte de ma tante, qui écartait l’élastique de son string pour permettre à la langue experte de son amie de pratiquer un savant cunnilingus.
— Déshabille-toi, m’ordonna ma tante, enlève tout.
Je n’osai naturellement désobéir à un tel ordre, entrevoyant une soirée peut-être plus intéressante que les précédentes.
— Alors, dis-moi mon petit, précisa Mado lorsque je fus nu devant elle, Gina t’a enculé cet après-midi non ?
— Euh oui…
— Alors ? Qu’est-ce que tu attends pour lui faire pareil ?
Comme si de rien n’était, Gina continuait de brouter sa maîtresse et moi je matai son gros cul qui bougeait sous sa robe.
Je me levai alors et me rapprochai de Gina. Je relevai lentement sa robe sur ses cuisses, reconnaissant les bas qu’elle portait l’après midi et, surprise, elle ne portait rien d’autre, et notamment pas la moindre culotte.
Je me mis à caresser, palper le gros cul de Gina qui ondulait sous ma main. Je lui tripotai ses globes, les écartant pour passer mon index sur sa raie. Je n’hésitais plus à glisser mes doigts de plus en plus bas, touchant sa fente que je sentais humide.
D’une main, je me branlais devant ces deux femmes libertines et lubriques, en moi-même fort heureux de voir que ma tante se révélait une sacrée cochonne.
— Approche-toi me dit-elle.
Je compris qu’elle voulait me sucer et je vins mettre ma queue à portée de sa bouche. Aussitôt, elle avala mon jeune membre. La coquine salivait sur ma hampe bandée, suçant alternativement le gland, puis la queue et les couilles pour finir par l’emboucher en entier. Je bandais sec…
Elle s’arrêta après quelques minutes.
— Allez Yves, petit cochon, va enculer cette grosse salope de Gina. Elle le mérite. N’est-ce pas Gina ? Gina ?
— Mmmmffff, oui Mado, je le mérite.
— Alors, demande-le à Yves, ce jeune queutard !
— Oui. Yves, veux-tu bien m’enculer, s’il te plait ?
Trop excité pour répondre, je m’étais déjà posté derrière les belles fesses de Gina qui, des deux mains, se les écartaient, attendant semble-t-il sans la moindre réserve, une rigide intromission.
Je poussai de mon gland sur l’anus de Gina et sa jolie rosette, bien éduquée, me laissa immédiatement entrer, si bien d’ailleurs que je me trouvai rapidement à lui fourrer le cul jusqu’à la garde.
La cochonne, enculée à fond, continuait de sucer la chatte de ma tante qui se répandait en commentaires et propos pornographiques.
— Oui mon neveu, vas-y, encule-la cette grosse salope. Elle aime ça, la vicieuse. Vas-y, défonce-lui son gros cul… Bourre-la.
– Oui, Tatie je lui casse son cul !
– Vas-y ! Enfile-la !

Et à Gina :
— Vas-y salope, bouffe-moi la moule, tu aimes ça qu’on se gouine toutes les deux… oui, enfonce ta langue encore…
– Hmmpf !!!
– Quelle bonne lécheuse de chatte, tu fais !
– …
– Se faire sucer par une grosse salope de 50 ans qui se fait enculer par un petit jeune de 20 ans ! Quel tableau !
– …
– Ah ! Nom de dieu !!! Enfonce ta langue, ma chérie !

Il va de soi qu’une telle ambiance décuplait mon excitation, ce qui, ajouté à la pression de l’anneau culier de Gina sur ma queue, me fit bientôt jouir. Je lâchai mon foutre dans le cul de Gina, qui d’une main, ayant apparemment cette habitude, se masturbait le clito.
Après cette première estocade si j’ose dire, je me contentai de mater les deux coquines qui se mirent en 69. J’entendais les bruits de succion, de lapement de cyprine, le clapotis de leur mouille tellement elles s’excitaient. Elles ne tardèrent pas à jouir avec force soupirs, feulements et gémissements.
Mais à mon grand regret, après cet intermède lesbien, Mado et Gina me laissèrent et regagnèrent leur chambre respective.
Je me couchai donc et m’endormis bientôt, pas mécontent de la journée, avec le souvenir de ma tante qui se gouinait avec cette grosse salope de Gina.
Je me réveillai au cours de la nuit, sentant quelque chose d’inhabituel. Le temps de reprendre mes esprits, je m’aperçus qu’il y avait non seulement une autre personne dans mon lit mais qu’en plus cette personne, profitant du fait que je dormais nu, avait tout simplement mis ma queue dans sa bouche. Et c’était cette sensation d’une bouche chaude, m’aspirant le sexe qui m’avait tiré du sommeil. Je fis naturellement semblant de dormir encore quelque temps me demandant, dans la pénombre, qui cela pouvait-il être entre ma tante et Gina.
J’espérai que ce fut ma tante, car la soirée interrompue trop tôt pour moi, m’avait laissé sur ma faim de goûter la bouche et autre chose de ma tante que je découvrais si perverse.
En tout cas, celle qui me suçait savait y faire. Je sentais un doigt se promener sur ma raie et agacer ma rosette, ce qui me fit croire que la belle Gina revenait à l’attaque. Mais soudainement, j’entendis une voix qui disait :
— Alors mon gentil neveu, tu es réveillé ?
Le suspense était levé et j’avoue que savoir que ma tante était en train de me tailler une pipe redonna, si c’était encore possible, plus de vigueur à ma queue.
— Ohhh, Tatie c’est toi… oh oui… j’avais… j’avais tellement envie de toi…
Sans autre formalité, je me relevai à demi sur mon lit, renversai Mado et la pénétrai avec toute ma vigueur.
— Oh Yves, doucement…
– Humm, ma belle cochonne, tu aimes ça !
– Ouiiii.
– C’est tout mouillé !
– C’est vrai, je mouille !
– …
– Vas-y, baise-moi !
– …
– Oh cochon, tu me trais les seins, tu me tire dessus. C’est bon !
– C’est vrai, Tatie ?
– Ah!!!, tu es au fond … Dieu que tu me remplis !
– …
– Je jute comme une salope que je suis… Aaaaah oui salaud ! Je mouille ouiiiiiii ! Je mouille ! Je viens !
– Aaaah ! Moi aussi je décharge, tiens tiens prends tout mon foutre !
– Vas-y, jute, gicle dans mon con, gicle, salaud… Pousse plus fort mon lapin !… Enfonce-la à fond. Oui oui oui ! J’ai jouis…
Elle finit la nuit dans mon lit.
Dès le lendemain, l’ambiance avait changé et il ne se passait pas un jour sans que je ne baise avec l’une ou l’autre et parfois, le soir, les deux en même temps.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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