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cadeau du ciel

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Une aventure professionnelle. Passagère. Qui n’arrive pas souvent dans une carrière. Enfin pas à moi toujours.
Un sacré souvenir. Voici l’histoire.

Aujourd’hui, c’est samedi. D’ordinaire une sacré journée d’affluence au magasin. Les gens se pressent et profitent d’être en famille pour faire leurs achats.
Dehors il fait beau.
« Dommage de donner une journée comme celle là au patron » pensais-je. »mais bon, ce soir c’est le week-end ».

Les clients se présentent au magasin munis du bon de commande que leur a remis le vendeur en magasin. Mécaniquement, avec mes collègues nous les servons les uns après les autres. Le hall d’attente se rempli, et parmi tout ces gens, une femme attire mon regard.
Une belle femme brune, 25-35 ans avec de très longs cheveux noir, des yeux bleus hallucinants, vêtue d’une jupe arrivant à mi cuisse, d’une chemisier blanc. Le tout grimpé sur des chaussures à talons haut.
« woauou ! La plante. Avec le cul que j’ai c’est même pas moi qui vais la servir. »

Et la ronde du service se poursuit. A chaque allée venue un coup d’œil à la fille. Je remarque que mes collègues et les hommes dans le hall en font de même.
Sur l’imprimante je prends le prochain bon de commande transmis depuis le poste vendeur.

Un meuble de rangement « jerangetoutdedans ». Machinalement je jette un coup d’œil au nom du client « Sylvia …X…, demeurant à …. ». Tiens pas très loin de chez moi. Le prénom me plaît, c’est déjà çà.
Avec les trois cartons je reviens dans le hall et appelle :
« Mme. Sylvia …X….. »
« Oui » et la grande brune s’approche.
« Merde, le bol ». Un moment je reste interdit sur place. « pour une fois, j’ai de la chance »
J’essaie de ne pas la détailler trop ouvertement. Vue de près : un léger rouge a lèvre incolore, des boucles d’oreilles créole. Et ces yeux ! Hypnotique, qui vous regardent sans détour. Et ce chemisier ouvert laissant deviner la naissance de deux seins probablement délicieux. Elle semble s’apercevoir de mon trouble et me sourit. Même ses dents sont parfaites. « aller fils, remues toi ! »

« vous êtes seule ? »
« oui »
« Je peux vous aider à ranger vos achats dans la voiture »
« je veux bien. C’est gentil mimi tout plein ». Çà dit sur un ton minaudant, pour un peu je grimpe au rideau….

Elle passe devant. Le verso vaut amplement autant que le recto. Le galbe des mollets, deux fesses ondulant au rythme de la marche. Le corps droit, la tête haute. Une femme qui sait ce qu’elle veut… La voiture ?! Oui, celle dans laquelle je l’aurais imaginée. Une mini. Trois cartons. Il va falloir un chausse pied pour tout rentrer la dedans.
« Sans compter qu’il faudra rentrer la plante aussi ». Ma pensée me fait sourire.
Elle ouvre le coffre en se penchant. Le tissu tendu sur ses fesses laisse supposer qu’il n’y a pas grand chose dessous. Alors qu’elle se penche, la jupe remonte de quelques centimètres. Des cuisses de rêve.
« il faudrait rabattre aussi les sièges arrières » lui dis-je.
« Ah ! Voilà autre chose ». Et elle se penche dans le coffre. Un moment elle bataille avec le système d’attache et n’arrive pas à le faire jouer.
« attendez, je vais essayer »
Elle se pousse sur le coté, je me penche dans le coffre. Elle est toujours là, courbée observant la manœuvre. Du coin de l’œil rapide, je regarde l’échancrure du chemisier. Je ne vois pas trace de soutien gorge. Ses seins se tiennent magnifiquement seuls. Lorsque je lève les yeux, je m’aperçois qu’elle a remarqué mon coup d’œil. Je bafouille un peu. Elle sourit. Elle doit savoir l’effet qu’elle fait, et elle le sait.
Dans mon pantalon, je sens que çà bouge.
« Hé ! Popaul. Reste tranquille ! C’est pas le moment ! »

Culbute des sièges arrières. « Je culbuterais bien autre chose que les sièges moi ! ».

A deux, nous rangeons les cartons dans la voiture. Penché, je lance un nouveau coup d’œil au décolleté. Vision idyllique. Et ce parfum ! J’en reconnais la fragrance : « Opium ».
Au hasard des manœuvres. Un frôlement de mains. Une geste paraissant maladroit. Contact de peaux. Pas de retrait.
« Tiens, tiens ! »

Elle rabaisse le hayon du coffre. Et, dans un état second, je lance :
« Si vous voulez, je peux vous aider à décharger chez vous. J’ai regardé le bon de commande et je passe près de chez vous pour rentrer à la maison. Je termine vers 17 heures 30. A 18 je suis chez vous ». Et tout çà dit d’un trait.
« je ne voudrais pas vous déranger. Mais si çà ne vous fait pas faire un trop grand détour, je veux bien »
« bon Dieu !! c’est mon jour !! il faut que je joue au Loto ! » Un ange passe, sonnant les trompettes du paradis et m’ouvrant les voies célestes.
« OK, 18 heures je suis chez vous »
Ce sourire ! Cette bouche ! Ces dents. Cette femme !

Et nous nous séparons là.
Le regard goguenard des collègues. Les remarques des collègues.
« une gonzesse comme çà et même pas un rencart. ». « une gonzesse comme çà c’est pas pour toi ».
Bande de tâches.
La fin de journée dans un état second.
17h30. Je me rue sur mon placard. Changement ultra rapide. Et hop, en voiture.

18 heures. Je suis chez elle. La mini est là devant la porte du garage. Les cartons sont encore dedans. Cà va, elle m’a attendu.
Je sonne, re-sonne. Personne.
« tu parles gogo, une femme comme elle. C’est pas pour toi. Elle n’a voulu que te faire fantasmer »
Je remonte l’allée vers le portail. Et je m’arrête, interdit. Elle remonte l’allée en courant. Ses cheveux battent la mesure dans son galop, des écouteurs aux oreilles. Un tee shirt et un short moulant. Luisante de sueur.
« j’ai eu peur d’arriver en retard et que vous soyez parti. On y va ? »
« passes devant ma jolie. Je te suivrais jusqu’en enfer »
Les trois cartons sont vite descendus de la voiture et entreposés au garage.

« je vous offre quelque chose ? Un café ? une bière ? L’apéritif ? »
« Oui, merci »
On rentre dans la maison. Elle me fait asseoir dans un grand canapé. Je choisi une bière brune (comme elle, je dois être accro).
« Vous m’excusez 5 minutes. Je vous laisse seul. Je vais me rincer vite fait et me changer »
J’entends la douche qui coule. Je l’imagine caressant son corps.
« Popaul ! Du calme. »

Et elle revient. Elle a passée une jupe écossaise assez courte avec un chemisier. Elle s’assoit près de moi, buvant au goulot d’une bouteille d’eau.
« Ces mains ! cette gorge ! »
« Je cours un peu moi aussi, mais seul c’est pas entraînant » lui dis-je
« Si tu veux, comme tu n’habites pas loin, on peut courir ensemble le dimanche matin ! »
Le tutoiement crée une ouverture.
On parle de choses et d’autres.
« J’ai une douleur dans le creux des reins, çà te déranges de me passer un peu de crème ? »
« Euh… Non »
Elle soulève le bas de son chemisier. Cette chute de reins. Je pose les mains sur sa peau et commence mon massage. Dans mon pantalon, mon sexe n’en peut plus. Je bande, raide et dur. « putain ! Calmes toi merde »
« Cà fait du bien. Vous avez des mains douces. Elles caressent agréablement. Merci »

Une sonnerie. Le téléphone. « Celui qui a inventé çà aurait dû se casser la gueule en pa****nte ce jour là. »
« Véro ? Non il n’y a plus de pain. Prends en. A ce soir ma chérie. Je t’aime. »

J’enrage. Toutes ces pensées pour en arriver à ce qu’elle soit lesbienne. Tu n’es qu’un gros idiot mon garçon.
Elle se rassoit. Me tourne le dos en relevant le chemisier.
« Continues ton massage. Cà me fait du bien. »
Au bout d’un moment, elle défait les boutons du chemisier et l’enlève. Pas de soutien gorge.
« Ce sera plus facile » dit-elle dans un sourire enjôleur.
Ces seins magnifiques. Qui tiennent tout seuls. J’ai les yeux fixés sur eux.
« Ils te plaisent ? » me demande-t-elle en les prenant par dessous. « Je te fais de l’effet ? »
« Oui, tu me fais de l’effet. J’en peux plus »
« ah bon ?! Je peux voir ton émoi ? » Sa main s’envole vers mon entre jambe. Elle tâte au travers de mon pantalon. « Oh ! Mais çà a l’air plein de promesses ! »
Je suis affalé dans le canapé. Elle se soulève et se met à califourchon sur moi, me faisant face. Ses lèvres prennent possession des miennes. Sa langue pénètre ma bouche et s’enroule avidement autour de la mienne. Je sens les pointes de ses seins durs sur mon torse.
Je la caresse. Le dos, les seins. Mes deux mains ont l’air de ne pas être assez….
« Attends » me dit-elle « tu as un préservatif ? »
« Oui, dans mon portefeuille »
« Donnes »

Elle ouvre la ceinture de mon pantalon et ma braguette. Baisse le vêtement sur mes chevilles. Ma bite est franchement dressée, raide, dure, pleine de désir.
Elle ouvre le sachet, le met dans la bouche et se penche sur mon sexe. Éberlué , je la regarde faire. Je sens ses lèvres le long de ma hampe. Quand elle redresse la tête, comme par magie je m’aperçois que le préservatif est en place. « Merde, elle sait même faire çà. La femme parfaite. On ne me l’avait jamais fait çà ! »
D’un mouvement, elle ôte sa jupe. Le sexe est intégralement épilé. Et elle reprends sa position sur moi. Je la tiens par les hanches. Elle me regarde droit dans les yeux et en même temps, avec un léger sourire sur les lèvres, elle s’abaisse. Elle s’empale lentement sur mon pieu. Mes mains se crispent sur ses hanches. Ma tête bascule en arrière.
« C’EST BON ! ENCORE ! »
Mes mains se portent sur ses fesses. Mes doigts passent entre et trouvent le petit trou. Sa main calme mes ardeurs.
« Non, çà c’est réservé. Pas pour toi. On ne touche pas. »

« Bouges, mets toi à quatre patte » lui dis-je. Et je passe derrière elle. Je présente mon gland à l’entrée humide et chaude, je la prends par les hanches et d’une seule poussée je la pénètre.
Je lui fais l’amour à grand coup de reins. C’est trop bon. C’est délicieux. Ce corps rien que pour moi, qui s’offre. Ces fesses dont j’entrevois l’entrée qui m’est interdite. Elle prends du plaisir à cette pénétration… Comme moi.

« Suces moi, j’ai envie de ta bouche »
Elle enlève le préservatif. Ces lèvres, cette bouche, cette langue. Cette expérience.
Je suis assis à la droite de Dieu sur son nuage.
Je sens monter du fond de mes reins une boule. Qui passe mon entre jambe et se précipite dans ma bite. Je m’enlève de cette bouche accueillante et j’éjacule, à longs jets, dans un cri sur ses seins magnifiques. »
Lorsque je reprends mes esprits et que je regarde Sylvia à mes pieds, je remarque son sourire étincelant.
« çà t’as plu ? »
« Il faudrait être un cheval de bois pour que çà ne plaise pas. Mais je croyais que tu étais lesbienne. Le coup de fil de tout à l’heure. «
« Bi. Entièrement bi. Et je le revendique. Tu viendras m’aider à monter le meuble ?»
« Oui ! On est si bien reçu, pas de problème »
Eclat de rire.
« J’attendais çà depuis le magasin. J’ai remarqué tes œillades, et j’ai aimé tes incertitudes » me dit-elle. « Tu veux te nettoyer un peu ? »
Direction la salle de bain. Elle se remet sous la douche. Je profite du lavabo tout en la regardant.
« Ouais ! Décidément, mon jour de chance. Je vais jouer au Loto »

Elle se rhabille (si on peux dire). On échange nos 06. Elle me raccompagne à la porte. Avant d’ouvrir elle m’embrasse de nouveau, a pleine bouche.
« Ne m’appelle pas. Jamais. Je te rappellerai. D’accord ? »

A ce jour, le meuble n’est toujours pas monté. Enfin je crois. Mais j’ai un doute, depuis le temps il ne doit plus être dans le garage. Que range-t-elle dedans ? Sa lingerie ? Ses sex toys ? Les affaires de sa compagne.

J’ai joué au Loto le soir même. J’ai pas gagné. Je suis donc reparti travailler.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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