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Mon histoire – Parie 15 – Tio

Mon histoire – Parie 15 – Tio



Décembre 2014

Notre divorce est prononcé.
Je suis désormais un homme célibataire. Véro et moi avons décidé d’attendre un peu avant d’officialiser notre liaison.
Nous continuons d’expérimenter de nouveaux jeux.
Surs de nos sentiments réciproques et après une longue discussion, nous avons décidé de ne pas exclure l’apport de tierces personnes dans nos amusements, pourvu que nous restions ensemble dans ces moments là.
Un soir, je l’ai retrouvée dans son appartement.
Elle m’a ouvert vêtue d’une robe noire, courte, moulante sous laquelle aucun sous vêtement ne laissait de marques .
– Superbement érotique !! un véritable appel au viol, on dirait que tu ne portes rien !
– Merci mon amour, rentre, on attend quelqu’un.
– Ah ? Qui ?
– Tu verras bien …
Nous sommes installés dans le salon, buvant un verre. La sonnette retentit. Elle va ouvrir.
J’entends une voix de femme.
– Bonsoir ma chérie, comment vas tu ?
Je me lève pour accueillir son invitée .
Entre dans la pièce une demoiselle blonde, cheveux courts, un joli minois constellé de taches de rousseur et des yeux bleus, pétillants.
– Bruno , je te présente Corinne
– Corinne , Bruno dont je t’ai souvent parlé. Donne , je te débarrasse.

Sous son manteau, je découvre une charmante vision. Une robe unie, noir également, moule joliment une poitrine généreuse qu’un décolleté audacieux met en valeur.
Ses jambes sont gainées de brun et des escarpins aux talons vertigineux complètent le tout .
La silhouette est féminine, gracieuse.
Nous dégustons une coupe de champagne.
Elles sont assises , cote à cote, sur un canapé, en face de moi .
Le tableau est, ma foi, charmant d’autant que, ni l’une ni l’autre, ne porte de dessous et que je peux facilement le constater.
Véro s’aperçoit que mon regard a tendance à baisser.

– Dis donc, ne te gênes pas .. !!
– Désolé ma chérie, mais mes yeux n’en font qu’à leur tête .
– Tu as vu ça Corinne ? Quel effet crois tu que ça lui ferait s’il nous voyait nous amuser toutes les deux ?
– Je pense qu’il en serait fou d’excitation
– On va bien voir !

Et elle lui prend la bouche avec appétit.

– Humm !! C’est bon !! j’en avais envie , dit elle quand leur baiser prend fin. Depuis combien de temps ?
– Depuis que tu es dingue de ce Monsieur , rétorque Corinne amusée.
Véro s’adresse à moi:
– Tu vois Bruno, Coco est mon amie, mon amante , ma maîtresse. Mais ça tu le sais, je t’ai déjà parlé d’elle.

Effectivement, je connais tout d’elle.
Sensiblement du même âge que Véro, elles ont fait leurs études ensemble.
Aussi libérées l’une que l’autre, elles partagent les mêmes goûts pour les femmes, les hommes, les amours plurielles et toutes sortes de choses qui pourraient aisément passer pour de la perversion aux yeux des gents , dits, normaux.
Célibataire, sans enfant, comme Véro une très belle situation, elle vit sa vie en toute liberté.
Elle se moque du regard des autres mais, par respect pour ses parents, notables connus de notre bonne vieille ville, elle sait rester discrète .
Véro et elle partagent tout, enfin presque, et je sais qu’elle n’ignore rien de moi, de nous.

Visiblement les deux filles ont envie l’une de l’autre .
Elles se dévorent des yeux . Seules au monde en cet instant leurs bouches s’égarent.
En un tour de main, elles sont nues sur le sofa.
Corinne est assise, les jambes écartées. Véro est à genoux, devant elle, la tête enfouie dans son intimité.
Une de ses mains caresse sa partenaire tandis que l’autre s’occupe activement d’aller et venir sur sa fente humide.
Je ne veux surtout pas troubler leurs retrouvailles. Je me lève pour quitter la pièce et les laisser seules .
Corinne me voit et me demande ou je vais.
Je lui dis doucement que je ne veux pas les déranger.
Les yeux déjà troublés par le plaisir qui monte, elle me dit
– Non reste, si tu veux, s’il te plait .

Si ça me plait ? Une énorme bosse déforme mon pantalon.
J’ai une vue de rêve sur le joli fessier de Véro qui se trémousse devant moi. De ses lèvres écartées, je vois sortir des filaments de mouille, témoignages indubitables de son excitation.
Corinne a les yeux fermés. Elle soupire, elle ronronne du plaisir que lui procure la langue agile de son amie.
Ses mains jouent avec ses tétons, montent sur sa nuque, passent dans ses cheveux.
Rapidement, son bassin ondule de plus en plus.
Fermement maintenue par Véro, elle pousse un cri, rauque, guttural , rejette sa tête en arrière.
Son corps se tend quand elle jouit.
Véro se laisse aller à son tour imitant son amante dans les soubresauts du plaisir.
Rouge, souriante, décoiffée, elle se relève, me sourit tendrement vient vers moi et s’assied sur mes genoux.

– Merci d’être resté là , à regarder, sans intervenir….
Elle m’embrasse goulûment.
– Elle a bon gout ma copine ?
– Délicieux !! , ce qui est vrai.

Sensuellement, elle défait un à un les boutons de ma chemise, passe ses mains sur mon torse, me caresse de sa bouche.
Sa main habile s’attaque à ma ceinture.Mon pantalon et mon boxers suivent ma chemise au sol.
Je suis aussi nu qu’elle, le sexe dressé entre nos deux corps.
Corinne a récupéré de son orgasme . Elle nous regarde en souriant.
Mon amour m’embrasse. Sa bouche descend sur mon torse, titille mes seins.
Sa langue s’attarde sur mon nombril et pour finir lape mon sexe , léchant avec délectation les gouttes de premier plaisir qui en sortent.
Enfin elle gobe mon sexe.
Elle me fait décoller, planer, je ne suis plus loin du 7eme ciel.

Je ne sens pas Corinne se lever et s’approcher. Elle s’agenouille à côté de Véro et lui demande si elle peut lui faire goûter .
– Bien sur ma chérie, sers toi !

Sensation divine que je ressens à me faire câliner par elles.
Ma queue passe de bouche en bouche pendant que des mains me cajolent l’intérieur des cuisses et plus encore , allant même jusqu’à insinuer un doigts dans ma propre intimité.

Je ne peux bientôt, plus me contenir.
Mon sexe explose en mille feux d’artifices . Les complices n’en ratent pas une étincelle.

Leurs bouches jointes partagent ma semence. Véro vient me la faire partager, Corinne la rejoint. Nos trois langues se mêlent, s’emmêlent.

Le reste de la soirée se passera dans l’intimité de la chambre.
Au matin, exténués, n’ayant plus de secrets l’un pour l’autre, Corinne et moi regarderons avec amour Véro dormir.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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