Nous sommes restés longtemps immobiles. Elle les yeux clos, étendue en travers du canapé, moi, assis par terre à ses pieds. De ma position je la voyais comme L’Origine du Monde de Gustave Courbet : sa poitrine opulente se soulevait avec sa respiration, ses mamelons étaient dressés sur de très larges aréoles sombres, presque violettes. Au sommet du triangle de ses cuisses j’apercevais son sexe rose encore humide surplombé par une toute petite touffe de poils noirs. Je serai resté ainsi pendant des heures. Mais bientôt elle ouvrit les yeux,s’étira comme une chatte, ferma son peignoir et se leva après m’avoir repoussé du pied.
« Tu dois partir maintenant, je te contacterai ».
Sans un mot je m’habillais rapidement dans l’entrée où mes vêtements étaient restés pendant qu’elle regagnait la salle de bain. Au moment où je franchissais la porte d’entrée elle réapparu et me glissa dans la main une petite pièce d’étoffe
« Un souvenir ».
C’est seulement dans la rue que je réalisais qu’il s’agissait d’un de ses slips, imprégné de son odeur dont je m’enivrais tout au long du chemin de retour. Chez moi je pus à loisir sentir, lécher, m’imprégner de cette culotte et bien sûr l’utiliser pour me masturber longuement et y décharger tout le foutre et la tension accumulée pendant cette séance inoubliable. Durant plusieurs jours j’ai attendu son appel ou son contact, naviguant sur le site ou je l’avais rencontré ou sur des sites semblables, respirant sa culotte dont l’odeur initiale était de plus en plus faible, remplacée par celle de la semence que j’y déposais généreusement. Alors que je commençais à désespérer je reçu un message comminatoire et nous pûmes reprendre et approfondir notre dialogue : elle était satisfaite de ma prestation et disposée à la réitérer sur une base régulière. Elle exigeait une obéissance et une discrétion absolue, je devais être à sa disposition aux jours et heures de son choix, ne parler que lorsque elle m’interrogeait, n’avoir aucun secret pour elle et en tout point me comporter comme un parfait domestique. En contrepartie je pourrai me masturber dans ses culottes, la faire jouir avec ma langue et peut être plus… Étant professionnellement disponible (je travaille chez moi aux heures que je choisis) et libre de toute attache sentimentale j’acceptais cette offre avec enthousiasme. Deux jours plus tard j’étais chez elle, avec, suivant ses instructions, sa culotte raide de mon sperme. Le cœur battant je sonne, elle m’ouvre, je me déshabille entièrement et lui tends le slip souillé qu’elle examine avec un sourire satisfait.
« C’est bien tu n’est pas resté inactif ces jours derniers…. tu la laveras avec les autres »
Elle m’explique les tâches qui m’attendent : nettoyage de la cuisine, la salle de bain, le salon…lavage à la main de ses sous vêtements délicats … Toujours nu et bandant je m’y attelle avec entrain. Le lavage des slips et soutien-gorges me fait presque éjaculer. Elle porte des bonnets D.. comme j’aimerai sucer, téter le bout de ses seins, ses mamelons dressés, ses aréoles sombres tout en la pénétrant au plus profond..Peut être tout à l’heure ? Quand je pense avoir fini je frappe à la porte de son bureau pour le lui annoncer avec déférence.
« Bien, mais je n’ai pas le temps de m’occuper de toi aujourd’hui donc tu peux disposer. Tu reviendras mardi soir à 18 heures. »
Dépité mais obéissant je me rhabille et au moment où je quitte les lieux, elle relève sa jupe et descend sa culotte qu’elle me donne.
« Tiens ça te consolera, ramène la comme la précédente ».
À partir de ce moment nos relations sont devenues régulières. Presque chaque semaine elle m’invitait à venir chez elle faire le ménage, la vaisselle et la lessive, toujours nu et toujours bandant comme un cerf. En fin de séance je devais la brouter et c’était ma récompense. Chaque fois je partais avec sa petite culotte que je ramenais la fois suivante bien utilisée. Après plus d’un mois de ce régime il y eu un changement important : alors que j’avais comme d’habitude exécuté mon travail avec conscience et activé efficacement ma langue dans son sexe, elle me fit étendre par terre sur le dos et m’équipa d’un préservatif. Elle n’eut pas de difficulté à s’empaler sur ma verge raide comme jamais. Elle me présente sa poitrine qui s’agite devant mes yeux au rythme du lent va et vient de ses hanches. Je suis aux anges. Son sexe bien lubrifié coulisse sans effort sur le mien qu’il avale et masse sur toute sa longueur, mon gland frappe régulièrement contre sa matrice tandis que ses fesses écrasent mes couilles puis elle remonte presque jusqu’en haut avant de redescendre tantôt à moitié tantôt à fond. Petit à petit elle accélère la cadence en se penchant vers l’avant, ses seins frôlent mon visage et j’ose saisir .. un mamelon entre mes lèvres pour le téter avidement … Elle laisse faire et semble même apprécier. Elle va de plus en plus vite et de plus en plus fort, je ne peux plus me retenir, j’éjacule dans mon préservatif les jambes tendues et le corps arqué, heureusement elle atteint son orgasme presque en même temps, elle se crispe, m’enfonce ses ongles dans la poitrine et pousse un véritable rugissement. Dans son vagin mon sexe est serré comme dans un étau…elle se détend, moi aussi… quelles sensations…
Au cours de mes travaux ménagers j’ai découvert ses sex-toys dans le tiroir de sa table de nuit. Rien d’extraordinaire : un boite de préservatifs, des boules de geisha, un vibromasseur et un gode-ceinture de bonne taille. Avec qui l’utilise-t’elle ? J’aurai la réponse quelques jours plus tard.
Un vendredi, répondant à sa convocation je me présente à sa porte comme d’habitude, je me déshabille et elle me charge de nettoyer sa chambre et son bureau puis me dit :
«Je suis au salon avec une amie, tu nous servira le thé d’ici une demie-heure ».
J’ose demander :
« Dans cette tenue ? »
« Oui »
Exactement 30 minutes plus tard je frappais à la porte du salon avec, sur un plateau, une théière de Pu Erh, deux tasses et quelques biscuits shortbread. J’ouvre la porte, elles sont sur le canapé, serrées l’une contre l’autre, les joues rouges et les cheveux quelque peu ébouriffés. Madame a un sein en dehors du chemisier et sa partenaire, une rousse opulente est largement dépoitraillée. Elle m’observe.
« Voila ton fameux bouffeur de chatte dont tout le monde parle ? Je peux l’essayer ? ».
Sur un signe de Madame je m’agenouille entre ses cuisses dodues -elle a déjà ôté sa culotte ou elle est venue sans – j’éponge avec ma langue, de l’anus à la vulve, ses sécrétions qui ont coulées abondamment et j’entreprends d’exciter son clitoris et de lui « bouffer la chatte » comme elle le dit élégamment. Elle mouille abondamment et je bois sa liqueur avec délectation. Pendant ce temps Madame ne reste pas inactive, elle caresse la poitrine de son amie qu’elle a extraite de son soutien-gorge, l’embrasse la lèche, elle lui dévore les lèvres et la langue et j’aperçois du coin de l’oeil qu’elle se caresse le sexe en même temps. Sous ce double traitement la rousse ne tarde pas à jouir en lançant dans ma bouche avide une grande quantité de mouille. Madame me fait comprendre que je dois céder la place mais m’indique que je peux rester dans la pièce comme témoin passif des ébats qui reprennent. Debout à quelques mètres j’assiste à un spectacle terriblement excitant : les deux femmes s’embrassent à pleine bouche, se frottent l’une contre l’autre, vulve contre vulve, passent en 69 pour se lécher et se doigter…moi, je ne peux pas rester inactif et je me masturbe avec ardeur jusqu’à éjaculation. J’essuie les traces de ma jouissance, je renouvelle le thé qui s’est refroidi pendant ces débats et je m’apprête à partir quand j’entends la rousse dire à Madame :
« Pourrais tu me prêter Jacques mercredi après-midi, mon mari n’est pas là et j’ai besoin d’un peu de détente ? ».
« Pourquoi pas, je te donnerai ses coordonnées pour que tu le convoques ».
Le mercredi suivant je me présente chez Céleste à 15 h 30, elle m’ouvre en déshabillé transparent et me fait dévêtir dans l’entrée. Ici, pas de ménage, pas de préliminaires, elle veut que je la sodomise, plaisir que son mari, trop âgé et trop occupé, ne lui offre que trop rarement. Elle s’installe à quatre pattes sur le lit conjugal et me présente son cul que je lèche pour le préparer à la pénétration avant de l’enduire du lubrifiant qu’elle m’a fourni pour ensuite introduire un puis deux doigts. Elle est prête et elle s’impatiente. Je m’équipe d’une capote et j’appuie mon gland sur son anus, une poussée, il est entré assez facilement. Elle n’est pas si novice que cela de ce côté. Je reste quelques instants immobile et c’est elle qui recule ces fesses pour absorber entièrement mon mandrin. J’att**** ses hanches et je la fait aller et venir sur ma queue. La tête dans un coussin elle roucoule tout en se caressant la vulve. Elle clame sa jouissance et me demande d’éjaculer sur sa poitrine. Elle se retourne pendant que j’ôte ma capote. En quelques coups de poignets j’envoie plusieurs giclées de foutre sur ses gros seins. Elle les étale avec délectation sur sa poitrine et même son visage.
Quelques jours plus tard quand je retourne chez Madame pour mon service habituel je dois lui décrire en détail ma visite chez Céleste. Çà l’excite et pour la première fois elle prend ma queue en main pour une lente masturbation mais elle ne va pas jusqu’au bout et me laisse sur ma faim.
Plusieurs semaines plus tard Madame m’explique :
« Dans quinze jours je reçois six personnes pour un dîner professionnel important. Tu feras le service ».
« Nu? »
« Bien sûr, peux tu également cuisiner ? »
« Oui. Que devrai je préparer ? »
« Fais moi des propositions, je choisirai. Pas de porc. Je te donnerai les clés de ma cave pour le vin, mon défunt mari était un connaisseur il y a une belle collection. Avant cela je dois te marquer pour que tout le monde voit que tu est à mon service. Es tu d’accord ce sera un peu douloureux ? »
J’accepte avec un peu d’hésitation mais je dois montrer ma confiance. Elle prend une badine, sorte de longue cravache, dans le porte parapluie de l’entrée, me fais pencher et m’assène deux coups à toute volée.
« Voilà, dans 15 jours tu auras de belles marques bleues. Dernière chose, interdiction absolue de se masturber et de jouir d’ici le repas, il faut que tu soit en forme car on aura certainement besoin de toi.. »
Je ne vis pas passer cette quinzaine, tout à l’excitation des préparatifs. Sur mes propositions elle choisit : en entrée, tartare d’écrevisses aux avocats, puis lièvre à la royale, fromages et en dessert : mousse légère aux 2 chocolats. Pour boire : champagne Krug millésime 1985 à l’apéritif, Corton-Charlemagne Louis Jadot sur l’entrée et pour le lièvre deux très rares bouteilles de Romanée Conti 1978 ! Son mari était vraiment un amateur éclairé qui lui a laissé un cave exceptionnelle. Le jour dit j’arrive dés le matin avec les provisions pour commencer la préparation. Elle quitte l’appartement vers 10 heures en me prévenant qu’elle ne rentrerait qu’à 17 heures pour se préparer et attendre les invités qui étaient prévus vers 20 heures. Quand elle arrive en fin d’après-midi tout est prêt, elle inspecte la cuisine, la table que j’ai dressé et parait satisfaite. Elle se retire dans sa chambre et sa salle de bain pour se préparer tandis que je retourne en cuisine pour les derniers préparatifs dans mon uniforme de maître d’hôtel moderne, c’est à dire le sexe à l’air et les fesses zébrées de deux belles marques bleues. À 19 h 30 elle est prête, resplendissante dans une robe noire moulante très décolletée dans le dos, qui met sa poitrine en valeur et lui arrive à mi-cuisse. Peu de maquillage, juste son rouge à lèvres écarlate et les ongles assortis. Je marque mon approbation par une énorme érection ce qui semble la satisfaire. Elle m’explique qu’elle reçoit son amie Céleste, dont j’ai déjà fait la connaissance, le président de la Bank Eschenbach, banque privée Suisse où elle travaille comme chargée de clientèle à Paris, sa compagne et un très riche Qatari qu’elle doit convaincre de confier la gestion d’au moins une partie de son immense fortune à sa banque. L’enjeu est de taille et il ne faut pas se louper.
A huit heure moins le quart Céleste est la première à sonner, un peu boudinée dans une jupe trop courte mais très appétissante. Elle me salue gentiment en me saisissant le sexe et les couilles sur le pas de la porte. Quelques minutes plus tard, le banquier : la soixante portant beau et sa compagne une fausse blonde un peu plus jeune couverte de bijoux. Le qatari qui doit être l’objet de toutes nos attentions arrive vers neuf heure moins le quart accompagné d’une bimbo décolorée. C’est un bel homme encore jeune, cheveux noirs, yeux noirs, souriant et décontracté. Apparemment personne n’est choqué d’être accueilli par un homme nu, en tout cas personne ne me fait de remarque. Seule la femme du banquier me toise de la tête aux pieds en s’attardant sur mon sexe qui à ce moment est au repos. L’apéritif puis le repas que je sers dans ma tenue habituelle se passent sans incident, l’ambiance est détendue, les rires fusent de plus en plus forts au fur et mesure que je sers les vins auxquelles tout le monde, même le qatari fait honneur. Je suis malheureusement incapable de suivre la conversation qui se déroule en allemand pour l’essentiel et parfois en anglais et je le regrette tout particulièrement quand, au moment ou je sers le dessert la femme du banquier m’att**** les couilles en faisant une remarque que je ne comprends pas.
C’est lorsque les invités passent au salon pour déguster le café et les liqueurs que j’y avait préparés que les choses dégénèrent, si l’on peut dire. Je dessers la table de la salle à manger, charge le lave-vaisselle et retourne au salon voir si les invités désirent quelque chose. Le spectacle que je découvre est intéressant : sur le canapé Madame se fait sucer les seins et doigter la chatte par le qatari, à côté Clémence taille une pipe au banquier qui a quitté son pantalon mais pas sa cravate. En face dans un fauteuil la compagne du banquier observe la scène d’un œil concupiscent tout en se caressant le minou. Lorsque elle m’aperçoit elle me fait signe et je comprends que mon talent de « bouffeur de chatte » est requis. Je m’installe donc à genoux entre ses cuisses, lui ôte sa culotte et entreprends de lui pomper le clito sans hésiter cette fois ci à lui enfourner deux puis trois doigts dans la chatte pour stimuler son point G. Elle apprécie et le tiens la tête en m’enfonçant ses ongles dans le crâne. C’est dans cette position que je sens soudain une caresse humide sur mon anus et ayant réussi à me retourner à demi je vois que c’est la bimbo qui me prodigue gentiment une feuille de rose. J’apprécie cette délicate attention et me re-concentre sur ma tâche de faire jouir la banquière. Je sens quand même que la jeune fille m’enduit l’anus de lubrifiant puis y introduit un de ses petits doigts charmants. C’est agréable. Quelques instants plus tard, alors que j’ai toujours la tête entre les cuisses de la banquière qui roucoule agréablement, mon anus est envahi par quelque chose de beaucoup plus gros qu’un doigt de jeune fille. Je me retourne et découvre que je suis sodomisé par le qatari qui, hilare, s’en donne à cœur joie. Ça ne m’est plus arrivé depuis le collège, quand un surveillant avait abusé de ma candeur, mais une fois l’intromission effectuée, ça n’est pas douloureux. Bien plus, au fur et à mesure des va et vient de mon partenaire j’y prends de plus en plus de plaisir au point d’éjaculer sur le plancher sans même m’être touché le sexe ! Après cela je perds la notion du temps et des convenances et je me précipite sur Madame qui est maintenant esseulée pour lui sucer les seins et même l’embrasser sur la bouche ce qu’elle tolère prise par l’ambiance. Jusqu’à une heure tardive nous nous sommes retrouvés tous emmêlés. Je crois avoir à nouveau enculé Céleste ainsi que la banquière, sucé le qatari et baisé la bimbo. Lessivé je regagnais mon domicile au petit jour après avoir quand même mis de l’ordre dans l’appartement de Madame, sauf dans le salon ou les participants de cette soirée mémorable restaient étendus. Je sus par la suite que nos efforts avaient été fructueux et que mon enculeur avait confié une somme rondelette, pour ne pas dire énorme, à Madame qui m’en remercia.
Après ce jour j’ai continué d’entretenir avec ma maîtresse des relations de plus en plus étroites mais cela est une autre histoire.
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