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Le péage

Le péage



Cela faisait maintenant trois heures que nous roulions sur cette autoroute, le soleil avait été présent durant toutes nos vacances et le trajet du retour nous ramenait vers nos vies sociales et professionnelles habituelles, un monde pas déplaisant en soi mais un peu lassant, routinier.
Je rêvassais et me remémorais certains souvenirs agréables et excitants durant le trajet, tout en regardant le décor défiler devant mes yeux d’un œil distrait.
Soudainement, la voiture s’engagea sur une bretelle menant à une petite aire de repos, le genre de petite aire sans sanitaires, assez petite, mais boisée et flanquée de quelques bancs de bois pour permettre aux voyageurs un petit break entre deux phases de trajet.
Dès l’arrêt de la voiture, il me demanda de sortir du véhicule et de le suivre.
« Il » c’est mon maitre, celui qui depuis un moment déjà me possède pour mon plus grand bonheur, je suis sa chose, sa chienne, sa salope, … sa truie.
J’aime tout de lui et serait prête à tout pour apercevoir un regard de satisfaction de sa part, un sourire, un geste me signalant qu’il est heureux de ma présence et de mon comportement.
Il est grand, et plutôt bien bâti (de partout) et possède un don pour me faire vibrer, le son de sa voix, son autorité naturelle, son côté pervers, chacun de ses ordres froids et détachés, tout de lui me rend dingue. D’ailleurs je sens que la situation va une nouvelle fois m’échapper pour mon plus grand plaisir même si je ne peux m’empêcher de ressentir une certaine crainte comme à chacune de nos rencontres.
« Suis-moi »
Comme à son habitude il prend un air détaché et froid, comme pour me signifier que je ne suis rien entre ses mains sinon un objet qu’il peut utiliser à sa guise. Son jouet favori à qui il peut tout infliger, même les dépravations les plus intenses.
Comme je tarde à sortir de la voiture en tâchant de descendre ma minijupe son ton se fait plus ferme
« Allez salope, je ne t’ai pas donné la permission de te resaper, avance »
Je m’exécute dans l’instant afin qu’il ne soit pas davantage contrarié, je passe devant lui tandis qu’il me regarde et il m’arrête en me saisissant le bras.
« Sors moi tes mamelles immédiatement et relève cette jupe »
Le frisson d’excitation qui s’empare de moi est immédiat, tout aussi immédiat que cette crainte que je ressens à chaque expérience dans un lieu public. J’obtempère et laisse sortir de mon haut ma poitrine généreuse, je sais qu’il aime me la voir sortir, qu’il aime la voir tout court d’ailleurs, mais pas que…
Ce matin avant le départ il m’avait ordonné de porter une tenue moulante et courte ; et surtout de ne pas porter de sous-vêtements. Il savait très bien que cela me mettait mal à l’aise mais que pour son plaisir je ne lui refusais rien. Du coup me voilà les seins lourds et pendants à l’air libre, ainsi que mon postérieur blanc et rebondi, même si l’air est chaud je ne peux m’empêcher de ressentir un frisson parcourir mon échine.
« Allez avances maintenant et dirige toi vers le banc »
Docile, j’obtempère à nouveau et m’arrête au niveau du banc
Il me regarde, sans rien dire, en souriant. Il me juge, son regard me transperce et je sens malgré moi poindre un certain émoi entre mes cuisses.
« Allonge toi dos sur la table, tête dans le vide et écarte largement tes grosses cuisses »
Aussitôt demandé de sa part, aussitôt exécuté de la mienne
« Relève les genoux et écarte encore plus largement tes cuisses, je veux voir ta moule reluire au soleil »
Je le vois alors baisser lentement sa braguette, glisser sa main à l’intérieur et après un court instant en ressortir son sexe à moitié bandé
« Ouvre ta gueule et tire la langue »
Je ne peux que me laisser guider par sa voix autoritaire et l’excitation qui me gagne
Il vient alors poser son sexe sur ma joue et s’adresse à moi
« Alors petite truie, que veux-tu faire maintenant »
Je sais exactement quel est mon rôle et je lui répond donc que j’ai envie de le pomper comme une vraie salope, il joue avec moi en glissant son gland sur mon visage, en tapotant mes joues de son dard, passant sur ma langue tirée plusieurs fois avant de se décider à se glisser dans ma bouche qui reste bien ouverte en attendant sa prochaine demande
« Tiens, il me semblait que tu voulais me pomper comme une salope, alors qu’attends tu ? »
Et comme pour me faire comprendre que je ne dois pas discuter ni jouer les naïves, il pousse davantage son gland dans ma bouche et att**** fermement mes mamelles qu’il malaxe puissamment avant que ses doigts viennent se refermer sur mes tétons déjà bien tendus
« Tu n’es vraiment qu’une vache à lait, allez avale et pompe comme seule une salope sait le faire »
Je me mets docilement à le pomper, alternant les jeux de langue, les sucions bruyantes et les tentatives de gorge profonde ce qui irrémédiablement me fait saliver abondamment. Je tente de me faire la plus chienne possible pour le satisfaire, je mouille ou plutôt je dégouline, ce qu’il constate rapidement, il sort alors un jeu de pinces reliées entre elles par une cordelette réglable. Cordelette qu’il passe rapidement autour de son cou en prenant soin de régler la longueur, il applique alors la première pince sur l’un de mes tétons, machinalement, sans me regarder tandis que je m’applique à le pomper goulument. La seconde pince se referme sur le second téton, elle est beaucoup plus serrée que la première et elle m’arrache un gémissement plaintif.
« Surtout ne t’avise pas de t’arrêter sinon tu sais très bien ce qu’il pourrait arriver »
Je sais qu’il l’a fait exprès, et cela est rapidement confirmé car il règle la pression de la première pince pour arriver au niveau de l’autre. Serrés de cette manière mes tétons ne peuvent s’échapper de l’emprise de ces mâchoires en caoutchouc. Et ce sont de véritables ondes électriques qui traversent mon corps. Je n’interromps pas cependant le traitement que ma bouche procure à sa queue grossissant toujours plus.
Réglant la longueur de la corde, il la tend davantage jusqu’à ce que mes seins soient littéralement suspendus par mes tétons, son cou servant de poulie, à chaque mouvement de sa part mes seins sont ballotés et cela m’inflige à la fois douleur et une terrible excitation, quelqu’un pourrait me voir dans cette position humiliante, en train de me faire baiser la bouche par cette queue énorme, les mamelles torturées et moi à poil sur la table.
Sa main gauche vient alors se glisser entre mes cuisses et commence alors son petit jeu.
« Plus ton plaisir monte et plus tu vas pomper comme une chienne, étouffe toi avec s’il le faut, je veux sentir que tu veux me vider les couilles’
Ses doigts commencent d’abord par récupérer ma mouille dégoulinant entre mes cuisses avant de l’appliquer grossièrement sur ma moule béante, puis son geste se précise et ses doigts me titillent le clito, sans ménagement ses doigts me le massent, l’emprisonnant dans le sillon séparant son index et son majeur, ainsi lubrifié et massé mon bouton m’électrise et ma cyprine se met à dégouliner de plus belle entre mes cuisses. Je ne peux hélas exprimer mon état que par des gargouillis et des gémissements étouffés par sa queue.
Rendue folle par ce traitement et les tractions répétées des pinces sur mes tétons je bascule en mode salope gobeuse de bites, dans mon esprit se mêlent ondes de plaisir, images lubriques, fantasmes orgiaques et envie de vider les couilles de mon maitre telle la plus dépravée des putains.
J’en arrive même à désirer être surprise par des inconnus, sentir d’autres mains violer mon intimité, d’autres sexes venir me remplir, des bouches et des langues jouer sur la moindre parcelle de chair de mon anatomie.
Je me force à gober son sexe tandis que mon maitre me procure un plaisir inavouable, je suffoque et mon visage doit être rouge vif. La salive me dégouline de la bouche vers les narines et les yeux, mon maquillage doit couler de partout.
Ses doigts s’insinuent en moi tandis qu’une main me gifle sans précaution les mamelles, augmentant encore mon plaisir.
« Tu vas me faire jouir salope, je vais tout t’envoyer à la gueule et tu resteras comme ça aussi longtemps que je ne te dirai pas le contraire »
Mon corps tressaille et son sexe convulse dans ma bouche.
Juste avant que nous ne jouissions il se retire, son geste de recul arrache les pinces de mes tétons torturés qui retombent lourdement.
Mon maitre me saisit l’arrière de la tête et pose son gland sur mon front en se masturbant puissamment. Son sexe se gonfle une ultime fois avant de répandre son foutre sur mon visage.
« Haaaaa salooooope, ne bouge pas, ne bouuuuuge pas »
Plusieurs giclées retombent sur mon visage et au-delà, mon cou, mes seins, j’en ai partout, son sperme est chaud et épais, abondant. Il fait tomber les dernières gouttes sur mon front en secouant ton sexe au-dessus de mon visage
Sitôt son plaisir retombé, il reprend sa contenance et revient à cet état de contrôle qui me fascine tant
« Tu as le droit de rabaisser ta jupe et de rentrer tes seins dans ton haut mais je t’interdis de te refaire une beauté, tu es parfaite comme tu es »
Je suis surtout complètement dégoulinante de salive et de sperme, mon maquillage doit couler et je ne ressemble certainement plus à rien.
« Tu prends le volant, et comme je l’ai dit tu restes comme tu es, je ne me répèterai pas »
Je monte alors dans la voiture sans rien dire, aussitôt le moteur démarré il allume la clim de la voiture au maximum et oriente la ventilation vers mes seins.
Je démarre et reprends la route, mais bien entendu l’air sortant des buses est glacé et la seule réaction possible de mon corps est une érection de mes pointes à la limite de la douleur.
Lui en profite pour les titiller afin de davantage les réveiller.
Je suis à la fois honteuse et satisfaite, il sourit alors je suis heureuse.
C’est à ce moment que j’aperçois le panneau d’annonce du péage à venir.
Ce n’est plus la clim qui me glace à présent, non, il n’a pas osé ?
Je jette un regard en sa direction, je le vois mettre ses lunettes de soleil et sourire.
« Je ne veux rien entendre surtout »
Plus que 500 mètres, malgré le froid dans l’habitacle je me sens transpirer. Je suis terrorisée et voudrait disparaitre.
« Ah oui, et tu évites les guichets automatiques, je veux que l’on voie quelle merveilleuse salope tu es »
Plus que 100 mètres, je commence à ralentir, j’ai l’impression que tous les passagers des véhicules qui nous entourent me regardent.
Lui glisse une main entre mes cuisses et le contact de ses doigts sur mon intimité déclenche un mini orgasme, je le pense davantage provoqué par la honte et la panique que par un quelconque plaisir physique. Mes tétons pourtant pointent encore davantage, deux déformations absolument inratables sous mon haut.
Je jette un œil dans le rétro et m’aperçois alors, décoiffée, le visage luisant de salive et de sperme, dont un filet se balançant d’ailleurs de manière absolument obscène sous mon menton. Le rimmel ayant coulé dessinant de granges balafres noires de part et d’autre de mes yeux.
Nous arrivons enfin au guichet, je suis pétrifiée, morte de honte. La femme m’annonce le prix en me souriant, je voudrais disparaitre. Je vois à présent à son regard qu’elle vient de réaliser ma situation.
Lui sourit et salue la guichetière.
« Bonjour, nous revenons de vacances, elles ont été fabuleuses, n’est-ce pas ? »
Je bredouille un « oui » à moitié étouffé, en bégayant plusieurs fois.
L’expression de la femme est passée en quelques instants de l’étonnement à l’écœurement, puis à la pitié et enfin à l’amusement.
Je lui tends le billet que mon maitre m’a laissé, elle le passe dans la machine tandis que je prie pour que tout se termine vite. Je la vois qui va encaisser puis semble se raviser et fait mine de le repasser à nouveau plusieurs fois. Elle s’adresse alors à moi en souriant
« Un instant s’il vous plait »
Je la vois alors s’adresser au micro
Je suis complètement mortifiée, je voudrais disparaitre et c’est là que j’aperçois un guichetier sortir du box de droite et se diriger vers celui de sa collègue.
Il arrive alors près d’elle et je les vois discuter un instant tous les deux avant que l’homme ne jette un regard en ma direction.
Je le sens m’observer avec attention et puis l’instant d’après il sourit de toutes ses dents, se rapproche de la fenêtre et s’adresser à nous.
« Merci à vous pour avoir illuminé ma journée, nous vous souhaitons un excellent voyage de retour de vacances, nous vous offrons le péage pour cette fois et surtout n’hésitez pas à repasser par ici »
La jeune femme me tend alors notre billet en me souriant avant de me glisser un dernier
« Quelle chance vous avez »
FIN

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