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La découverte

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Mon amie Sarah était venue me voir chez moi. Au bout d’un moment, elle m’a demandé si j’ai jamais embrassé une fille.
Ça faisait pourtant plusieurs années qu’on était amies et je me suis demandée pourquoi elle me posait cette question maintenant.
– Euh, non, lui ai-je répondu !
– Tu ne veux pas qu’on essaie, a-t-elle insisté ?
Elle s’est penchée sur moi et elle m’a embrassée sur la bouche tout en posant sa main sur mon ventre. Ce fut une drôle de sensation. Un de mes cousins m’avait embrassée comme ça par surprise et ça avait été ma première fois. Après un long baiser, Sarah m’a laissée.
– Qu’est-ce qui te prend, lui ai-je demandé ?
– J’ai jamais embrassé un garçon, m’a-t-elle répondu, et je crois que je suis lesbienne !
– Toi !
Il nous était souvent arrivé de prendre une douche ensemble, par pure commodité et j’avoue aussi qu’il m’était arrivée de penser, alors qu’elle marchait devant moi dans la rue, qu’elle avait un cul sur lequel j’aurais bien voulu frotter mon ventre.
– Tu crois que je suis normale, a insisté Sarah ? Je n’ai jamais été attirée par un garçon… Qu’est-ce que ça t’a fait quand je t’ai embrassée ?
Je ne savais quoi lui répondre, même si j’aurais pu lui avouer que ça m’avait troublée.
– Ça serait bien si tu étais lesbienne toi aussi, a insisté mon amie ! Disons que ça serait plus facile ! Ça fait longtemps qu’on se connaît. Tes parents me connaissent… Tu vois que ça t’a plu !
J’ai suivi son regard et je me suis aperçue que je me touchais et j’avais même ouvert la fermeture éclair de mon jean.
– Ne va pas t’imaginer, ai-je ajouté…
J’ai refermé le zip et Sarah a ouvert le sien puis elle m’a demandé si je peux la caresser.
– Ah, non, je ne fais pas ça, lui ai-je répondu et elle m’a dit que ça serait bien si on se frottait, con à con.
– Con à con, lui ai-je demandé ?
Je ne l’avais jamais entendue parler comme ça.
– Oui, con à con, a-t-elle insisté !
Elle a rouvert mon zip et elle a glissé ses doigts dans ma braguette et elle s’est mise à masturber mon clitoris. J’étais prête à m’abandonner quand la porte de la chambre s’est ouverte et ma mère a fait irruption.
– Mais, s’est-elle étonnée ? Qu’est-ce que vous faites ?
Après avoir dit ça, ma mère est ressortie et elle a refermé la porte.
– Il faut que je m’en aille, m’a fait mon amie en refermant son pantalon puis elle a pris son sac et elle est partie.
Je suis restée un bon moment allongée sur mon lit sans bouger puis j’ai trouvé le courage d’aller retrouver ma mère. Comment pouvais-je lui expliquer ce qui s’était passée, que je m’étais laissée entraîner par Sarah, que je ne suis pas lesbienne…
Ma mère était dans la cuisine en train de préparer le dîner.
– Ça va, m’a-t-elle demandé quand elle m’a vue ?
– Je…, ai-je bafouillé !
– Il fallait bien qu’un jour que tu te décides, a continué ma mère ! Tu n’as pas de honte à avoir à être lesbienne ! Je le suis moi aussi ! Pourquoi crois-tu que je ne suis pas mariée et qu’il n’y a pas d’hommes dans ma vie ?
Je suis restée bouche bée puis j’ai demandé à ma mère si elle a quelqu’un.
– Pas en ce moment, m’a-t-elle répondu ! J’étais avec Gisèle depuis plusieurs années ! Tu te souviens d’elle ? Je crois que j’ai eu le tort de te le cacher car je crois que c’est à cause de ça qu’elle m’a quittée pour une autre !
Gisèle, je m’en souvenais très bien mais c’était une femme ordinaire, pas très belle et je n’aurais jamais imaginé que ma mère puisse avoir une relation homosexuelle avec elle.
– Qu’est-ce que tu lui trouvais, ai-je bafouillé à ma mère ?
Je ne me sentais pas très à l’aise.
– Tu vois, m’a répondu maman, ce que j’aime d’abord chez les femmes, ce sont les seins et le cul ! Si ça me plaît, je peux envisager autre chose !
Cette Gisèle avait des mamelles de nourrice, à mon avis de taille GG en bonnets et son cul. Plusieurs fois je m’étais demandée comment elle pouvait aimer être obèse à ce point.
– Ses seins, ai-je encore bafouillé ?
– Oui, ses seins, a ajouté maman ! Ça doit être mon côté masculin mais j’aime les gros seins chez les femmes et qu’est-ce que je ne donnerais pas pour avoir les mêmes ! Et toi, qu’est-ce que tu préfères chez Sarah ?
J’ai bien senti que je suis devenue écarlate. Chez Sarah, le cul mais je ne pouvais pas avouer ça à ma mère.
– J’espère au moins que vous êtes bien ensemble, a insisté maman ! En tout cas, quand je vous ai vues, vous alliez bien ensemble ! Dans l’amour, le plus important, c’est le sexe et quand on s’accorde bien là-dessus ! Ce que j’aime surtout c’est quand on me fait une minette, a ajouté maman ! Il n’y a rien de plus efficace qu’un bon coup de langue ! Tu aimes ça ?
– On mange quand ?

J’avais presque crié. Maman m’a répondu que ça sera prêt dans une heure et je suis remontée dans ma chambre et je me suis masturbée en pensant à Sarah mais il n’y a jamais rien eu d’autre entre nous. Quelques mois plus tard, j’ai commencé à travailler. Je ne savais pas que Gisèle travaillait dans cette entreprise-là. Aussi quand je suis tombée nez à nez avec elle dans le couloir, j’ai été paralysée.
– Ah, ma chérie, m’a-t-elle dit ! Il y a longtemps qu’on ne s’est pas vues ! Si tu veux, je t’invite à diner ?
J’ai accepté et je suis avec elle depuis ce jour-là et je lui ai même fait un bébé. C’est aussi pourquoi je me suis fâchée avec ma maman.

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