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Sylvie, un adultère consenti (Partie1)

Sylvie, un adultère consenti (Partie1)



Eric travaillait dans une société d’information fournissant des logiciels à des centres de reprographie, dans des mairies ou des conseils régionaux. Il avait la place de directeur technique et travaillait avec une dizaine de développeur. D’un milieu aisé, il détenait la moitié de la société et avait investi dans beaucoup d’appartements qui lui assurait une très bonne rente. Malgré tout, il avait décidé de travailler pour ne pas s’ennuyer chez lui. Marié et avec 2 enfants, sa vie à 50 ans s’écoulait tranquillement sans encombre.
À la suite de la sortie d’une nouvelle version très prometteuse, sa société avait recruté une jeune commerciale. La direction l’avait choisi pour ses qualités de vendeuse, mais aussi approcher ce milieu très masculin avec une touche de féminité.
Sylvie 25 ans, jolie femme brune et fluette, savait ce qu’elle voulait dans son travail. La promotion de la nouvelle version lui avait été confiée, et elle avait bien l’intention de tout faire pour que cela soit une très grande réussite. Mariée avec une petite fille de 2 ans, sa vie personnelle était beaucoup plus calme et paisible que son travail.
Après plusieurs bonnes affaires signées, un jour elle espérait beaucoup d’une affaire qui malheureusement ne s’est pas faite. De retour du client, elle est passée par le bureau très déçue. En arrivant elle a croisé le patron avec qui elle a discuté une bonne demi-heure.
Eric était resté aussi au bureau pour savoir.
– Salut Eric, comme tu as dû l’apprendre, j’ai raté l’affaire.
– Bonsoir Sylvie, oui j’ai appris, mais nous aurons d’autre bonne affaire dans les prochains jours ne doutant pas de ta capacité de les signer.
– Oui je sais mais je suis quand même très déçue, car je pensais vraiment que c’était bon. Je n’ai rien vu venir du client qui pourtant me semblait au taquet depuis le début.
– T’inquiète, nous pouvons nous passer de cette affaire. Rentre chez toi retrouver ton homme et ta puce.
– Ce soir ils ne sont pas là, car avec le déplacement nous nous étions organisés pour mettre ma puce chez mes parents.
– Ils vont te rejoindre un peu plus tard et ton homme te fera un câlin pour te consoler.
– Peu probable.
– Ah bon ?!
– Contrairement à ce que tu connais de moi au travail, ma vie de famille est assez tranquille. Nous nous occupons de notre puce, de temps en temps nous sortons ou recevons des amis, sans oublier la maison qui nous prend un peu de temps. Mon homme est très bricoleur et cela nous aide bien pour construire un chez nous sympa à pas trop cher. Pour le reste, mon homme n’est pas du style à y penser tous les jours.
– Ah d’accord.
– Je peux te demander un truc ?
– Dit toujours.
– Tu ne veux pas nous allions boire un verre, cela me permettra ne pas trop repenser à cette défaite.
– Si tu veux, je peux te proposer de le boire ici.
– Ici ?
– Oui, j’ai un petit frigo qui nous sert avec le patron quand nous avons à discuter de certain sujet le soir, et cela sera avec plaisir de partager ce verre, même si toi c’est pour noyer ton chagrin. Je préviens juste mon épouse que je suis encore au bureau.
– Quelques minutes plus tard, Eric convie Sylvie dans son bureau.
– Je peux te proposer soit un whisky soit une bière.
– Je veux bien un whisky.
– Je vois que tu ne rigoles pas, mais juste un pour éviter d’avoir des ennuis avec les gendarmes si tu les croises sur la route.
– Oui pas de souci.
– Je sens bien que tu es embêtée avec cette défaite, mais comme je te disais tu vas rebondir. Cependant puis-je me permettre de te poser une question ?
– Si je peux y répondre !
– Depuis que tu es au bureau, je vois l’énergie que tu dépenses. Cela donne de bonnes affaires et je trouve ça super pour toi. C’est aussi très bien pour la société.
– Oui j’aime beaucoup ce que je fais et même si tous les jours c’est un nouveau défi, que je peux rater comme aujourd’hui, c’est vraiment ce que je recherchais pour mon activité professionnelle.
– Je partage ton ressenti, mais cependant j’ai l’impression que sur ton point de vu personnelle c’est l’opposé, je me trompe ?
– Non tu ne te trompe pas, comme je te le disais tout à l’heure.
– Mais vu ton tempérament, cela m’étonne. Je t’aurai plus vu dans une vie personnelle aussi active que professionnelle.
– Je ne sais pas si j’ai fait le bon choix avec mon homme, mais c’est vrai que cela est un peu en désaccord avec entre les 2 mondes. Mais maintenant je ne vais pas tout change, juste pour me donner un peu plus d’action dans ma vie de famille. Et peut être que ces 2 opposées me permettent aussi d’avoir un équilibre général.
Ils continuèrent à discuter sur le sujet et finalement s’aperçoivent que leur vie de couple est un peu la même. Sous l’effet du whisky, Sylvie laisser partir une phrase assez personnelle.
– Tu vois, il y a quelquefois, j’aimerai bien que la femme que je suis se fasse un peu brutaliser sexuellement par l’homme. Car toujours être la jolie femme de son chéri et de se faire des câlins toujours de la même façon installe une sorte de lassitude. Mais excuse-moi, je ne sais pas pourquoi je te raconte çà.
– Tu n’as pas t’excuser, mais je comprends ce que tu viens de dire, car je vie un peu la même chose. Pourtant une jolie brune portant une tailleur pantalon noir avec ton chemisier blanc sans oublier tes escarpins à talon vertigineux, ne peut pas laisser indifférent tout homme normalement constitué.
– Ah, je ne savais pas que je te faisais de l’effet.
– Il faudrait être aveugle pour ne pas remarquer la féminité que tu incarnes sans être provocatrice. Mais tu n’as pas à rougir du charme que tu dégages.
– C’est gentil, mais c’est vrai que je fais attention à ce que je mets pour travailler. Même si je ne souhaite pas jouer de ma féminité vis-à-vis de nos clients, je sais aussi que cela peut aider. Après personnellement, j’aime me faire plaisir pour moi et mettre ce que j’aime.
– J’avais remarqué et ce que je peux voire est toujours raffiné et en même temps il y a une part de mystère que tu métrises parfaitement en ne montrant que ce que tu veux montrer.
– Je te vois venir !
– Dans quel sens ?
– Tu me parles de ce que tu peux voire, mais que tu aimerais lever ce mystère de ce que tu ne peux pas voir.
– Ce n’est pas exactement ce que j’ai dit, mais cependant j’écoute toujours quand les gens me parlent.
– Je ne suis plus à çà prêt, j’ai ensemble un caraco, un shorty et porte jarretelle en satin rose et noir avec une paire de bas noir. La lingerie et les chaussures sont mes points faibles que j’adore.
– Quand je disais que tu métrisais parfaitement ce mystère, j’avais raison., et j’entends bien que le visible et non visibles sont tous les 2 très raffinés. Mais maintenant que tu m’as dévoilé cette information, permet moi d’être un peu plus curieux. Un caraco et non soutien gorges, ce qui me semble étonnant de porter aussi peu d’importance au maintien de ta poitrine.
– Aujourd’hui juste un caraco, tu as dû voir que je n’avais pas beaucoup de poitrine et elle ne nécessite pas d’être soutenue.
– Je ne pensais pas tant que cela.
– C’est normal, généralement je mets un soutien gorges rembourré comme les gamines pour me donner du volume et paraitre normale.
– Mais la lingerie c’est pour toi ou pour ton homme ?
– J’aimerai bien que ce soit pour mon homme, mais cela n’est pas le cas, alors c’est surtout pour moi.
– C’est dommage, car moi une femme qui serait en dessous comme tu me l’as décrit devant moi, je ferai le nécessaire pour la combler.
– Et cela consisterai en quoi ? Assume ton dire et dit-moi tout sans retenu, maintenant que tu as percé mon mystère, je souhaite percer le tien.
– Tu me pièges, mais il faudrait que tu me dises un peu plus sur le contexte.
– Par exemple, là maintenant ici, que me proposerais-tu ?
– Ici, tu n’as pas froid aux yeux, mais cela te ressemble bien. Il faut que cela réponde aussi à ton souhait de « brutalité » ?
– Par exemple.
– Ce qui est sûr, il commencerait par s’approcher de la femme pour que les 2 se mettent debout afin de favoriser la proximité de corps. Ensuite, il commencerait par laisser parcourir mes mains le long de son corps afin de réveiller ses sens intérieurs.
– Bon début.
– Etant face à elle, je pense qu’il entourait sa partenaire avec ses bras en positionnant ses mains au niveau des fesses, lui permettant de coller leurs deux corps l’un contre l’autre mais dans le but de renforcer l’excitation de chacun. Les mains pourraient remonter sous la veste pour lui caresser le dos à travers le chemisier. La femme pourrait faire de même.
– Pas mal, et en suite ?
– Il pourrait lui enlever sa veste avant de retourner sa partenaire pour qu’elle vienne coller son dos sur l’homme. Ses mains continueraient le parcours sensoriel sur le haut du corps avant de descendre plus bas.
– Ça devient très intéressant.
– Ses mains qui parcourent le haut du corps descendraient le long de son torse et au niveau de la ceinture att****rait le chemisier pour le sortir du pantalon, laissant la liberté à ses mains de parcourir son corps sous le chemisier et découvrir lingerie ainsi que ses formes mise en valeur par celle-ci. La lingerie en satin permettrait à ses doigts de glisser facilement et de ressentir la chaleur qu’elle dégage.
– Très coquins !
– Après avoir caresses son torse et sa poitrine à travers le satin, il pourrait être coquin et passer sa main sous sa lingerie et découvrir la douceur de la peau de sa partenaire sous ses doigts. Son exploration pourrait remonter jusqu’à sa poitrine ferme et réceptive à ses caresses. La femme elle positionnerait ses mains derrière au niveau de ses fesses pour ressentir également le désir de l’homme.
– Humm, les idées sont pas mal.
– Après une de ses mains pourrait descendre vers la ceinture du pantalon qu’il détacherait, comme le bouton de son pantalon avant de continuer de descendre jusqu’à son entrejambe par-dessus la lingerie.
– Oh la la !, c’est très chaud !
– Il commencerait par un petit mouvement circulaire sur son intimité déjà bien humide ressenti à travers la lingerie, avant un mouvement entre les jambes pour stimuler son intimité, là où il découvrirait que le shorty est ouvert à l’entrejambe.
– Beaucoup d’imagination !
– Tu me demandes, je te dis ce que j’aimerai aussi.
– J’aime beaucoup cette partie très érotique, mais voyons la suite.
– Après minutes, il lui descendrait le pantalon sur le haut des cuisses et déboutonne son pantalon qu’il baisse un peu et laisse sortir de son caleçon une verge en plein érection. Dans un premier temps, il la fait glisser sur le satin recouvrant les fesses avant de trouver l’ouverture plus basse et pénétrer sa partenaire. A chaque pénétration l’homme soulève légèrement la femme par la puissance et la petite différence de hauteur. Il croise ses bras sur le ventre de sa partenaire afin de mieux la tenir et augmente de plus en plus la puissance et la vitesse de son va et vient. La femme ne reste pas indifférente à une telle excitation qui la fait jouir la première. Même si l’homme aurait pu prolonger le plaisir, il s’arrange aussi pour jouir avant que le désir de la femme s’estompe. Il finit par se retirer et remonter les pantalons de chacun et ajout « divin !»
– Très intéressant.
– Alors, cela répondrait à ce que tu aimerais ?
– Je ne te cache pas que cela ne serait pas désagréable. Même si cela est très bien raconté, on aurait envie de le vivre.
– Je n’en doute pas mais tu sais comme moi que cela ne serait pas raisonnable au vu de nos situations personnelles.
– Je sais, mais au moins tu m’as donné une sorte de plaisir.
– Je te propose que nous rentrions chez nous.
– En tout cas merci pour ce moment qui m’a un peu sorti de mon échec.
– Les collègues c’est aussi pour cela.
Eric n’a pas dit à Sylvie que lui aussi avait pris un très grand plaisir à lui raconter cette histoire.
Plusieurs semaines se sont écoulées et un vendredi soir, Eric qui voulait finir un compte rendu avant le week-end avait un peu perdu la notion du temps. De son côté Sylvie finissait de mettre de l’ordre dans proposition commerciale car nous étions en fin de trimestre et c’était le moment de calculer les primes.
Il ne restait plus qu’eux deux à la société.
– Toc toc, je peux entrer ?
– Vas-y Sylvie.
Sylvie entre dans le bureau avec un petit sac.
– L’autre jour tu m’as offert un verre, puis-je t’en offrir un à mon tour. J’ai apporté tout ce qu’il fallait.
– C’est inattendu, mais si tu veux.
Sylvie sort de son sec 2 petites bouteilles de whisky mini bar et les verres.
– A ta santé.
– Merci et à la tienne, répond Eric, mais tu sembles joyeuse aujourd’hui, as-tu signé une bonne affaire ?!
– Disons que j’ai signé plusieurs affaires ces derniers jours, me permettant de dépasser mes objectifs déjà bien élevés et comme tu as pu le voir aujourd’hui le soleil s’était ajouté à cette bonne nouvelle, même si maintenant il fait nuit.
– C’est super pour les affaires et félicitation pour ces réussites.
– Merci.
– Avec les bons résultats et le soleil, tu as fait chauffer la carte bleue, à la vue de la nouvelle tenue que tu portes, sauf erreur de ma part.
– Tu as bien remarqué et c’est vrai qu’hier je suis allé acheter cette jolie robe en cuir, enfin en simili cuir, et ensuite j’ai craqué pour cette paire de cuissardes aussi en cuir.
– Oui l’ensemble est très sympa et je suis assez certain que nos clients apprécieraient cette tenue un peu sexy.
– Sexy ?
– La robe arrivant à quelques centimètres des cuissardes laissant ainsi apparaitre un petit bout de jambe est quand même un peu sexy !
– Oui si tu veux un peu, mais je savais qu’aujourd’hui je n’allais pas en clientèle, sinon je n’aurai pas osé. En plus, les cuissardes c’est la première fois que j’en prends avec un plateau aussi important, donc je ne savais pas si j’arriverai à marcher normalement.
– Mais tu as pris de la hauteur.
– Oui plus 12 cm avec les talons !
– Ah quand même.
– Je reste toujours plus petite que toi avec mes 1m76 avec talons par rapport à ton 1m90, mais je me sens quand même plus à ta hauteur. On va faire le test, tu veux bien te mettre debout.
Une fois debout, afin de mieux comparer la hauteur, ils se mettent épaule contre épaule. Puis sans rien dire, Sylvie se retourne et vient se coller à Eric.
– Tu veux bien me descendre le zip de ma robe.
Eric ne réagit pas à la demande Sylvie de suite, mais finalement se laisse entrainer dans sa demande. Une fois le zip en bas de zobe, Sylvie laisse descendre sa robe avant de l’enlever et la poser sur le bureau d’Eric. Il pouvait admirer une magnifique lingerie en satin rose et noire composée d’un caraco à petite bretelle sous lequel elle portait un soutien gorges pour ampliforme accompagné de son petit shorty. On Pouvait deviner la présence d’un porte jarretelle en voyant les jarretières, tenant les bas, dépassées légèrement du shorty. Les cuissardes assez hautes, mais pas trop, pour ne pas cacher le haut du bas en dentelle, l’ensemble donnant un effet des plus sexy. Elle revient ensuite coller son dos sur son torse. Ses mains sont allées chercher les siennes pour les mettre sur le devant de corps, avant d’aller à la recherche de la verge d’Eric.
Sylvie voulait vivre en vrai l’histoire de l’autre jour. Eric qui ne savait pas trop quoi faire, se laisse embarquer dans cette aventure. Beaucoup plus actif, il commence par caresser tout le corps par-dessus cette lingerie très douce et excitante. Sylvie avait trouvé la brayette de son pantalon afin de libérer la verge énorme par rapport aux petites mains de Sylvie. Elle jouait avec et la faisait glisser sur le satin du shorty.
Après plusieurs minutes, Eric emmène Sylvie vers la porte et la colle à celle-ci en lui mettant les bras vers le haut. Il guide ensuite sa verge entre ses jambes et s’apercevant que le shorty est ouvert comme dans l’histoire. Raide et gonflé à son maximum, Eric vient se mettre au niveau de son petit et force la pénétration mettant Sylvie sur la pointe des pieds. La puissance et la force de la pénétration coupe la respiration de Sylvie lié à la douleur que la pénétration lui procure. Elle n’ose pas crier mais les mains essayent de trouver accroche pour se tenir sans succès. Eric démarre un va et vient très puissant tout en mettant ses mains devant pour maintenir et masturber son intimité en même temps, la faisant jouir la première. Rapidement il sent sa jouissance arriver et intensifie fortement les coups de reins. Au moment de celle-ci il soulève Sylvie ses mains toujours positionnées entre ses jambes mais surtout par la puissance de pénétration exercée par sa verge devenue énorme et d’une raideur équivalente à du bois. Après avoir repris son souffle Eric repose Sylvie sur le sol avant de se retirer doucement.
– Je n’aurai jamais pensé que nous l’aurions fait, mais tu étais divine, dit Eric en se rhabillant.
– Moi non plus, mais la réalité est à la hauteur de l’histoire.
Sylvie reprend son souffle et doucement revient vers le bureau pour récupérer sa robe. Elle reste encore quelques instants en lingerie avant d’enfiler sa robe.
– Tu veux bien me remonter mon zip, stp.
Eric remonte le zip puis s’assoie dans son fauteuil.
– Ton histoire était pas mal, mais la pratique est à ma grand surprise beaucoup plus intense.
– En même temps, il m’aurait été difficile de ne me contenir quand je t’ai vu en lingerie.
– Je t’accord que c’était un peu voulu, mais je ne savais pas du tout si tu accepterais.
– Et si j’avais dit non ?
– Dans un sens j’espérai que tu me dises « non » et dans ce cas je pense que je me serai trouvé une peu conne. Cependant j’espérai aussi que tu me dises « oui » et surtout de me montrer quelque chose que je ne connaissais pas.
– Et alors, cela a-t-il répondu à tes attentes de « brutalité sexuelle » pour te citer.
– Bien au-delàs, même si je ne m’attendais pas cette pénétration.
– Tu as fait le nécessaire pour cela en mettant un shorty ouvert comme dans mon histoire ouvrant la porte de ton petit. C’était une première fois ?
– Oui.
– J’espère que je ne t’ai pas fait mal.
– Même si j’ai du mal à qualifier cette douleur extrême, tu n’as fait que répondre à ce que je voulais sans savoir exactement ce que je voulais. Mais sache que je suis comblée par cette expérience.
– Permets-moi de t’offrir un second verre.
– Il me faut bien cela pour me remettre de mes émotions.
– Mais assis toi dans le canapé le temps que je sorte les verres.
– Sans façon, je pense que je vais rester debout, car je vais avoir un peu de mal à m’assoir dans les prochaines heures.
– A ce point ?
– Oui quand même, mais ce n’est pas grave. Même si j’ai mal, j’ai aussi mon shorty qui est imbibé du jus de mon plaisir et cela faisait bien longtemps que ça ne m’était pas arrivée.
– En tout quand, j’ai trouvé très amusant que tu portes un shorty ouvert, car je ne pensais pas que cela puisse exister.
– Ton idée m’avait beaucoup plus, comme j’aime bien la couture, j’ai fait le nécessaire pour découdre la couture initiale et faire le nécessaire pour que cela ne se voit pas. Je l’ai fait le week-end suivant et je l’ai déjà porté plusieurs fois depuis, même mon homme ne s’en est pas aperçu.
– Tu es une coquine.
– Disons que cela me permet de mettre un peu de piquant dans ma vie sexuelle.
– Là c’est plus que du piquant, c’est quand même une limite que nous avons dépassée.
– Dans un sens oui, mais j’ai plus envie de dire que nous échangeons des histoires sexuelles mais sans arrière-pensée autre que des besoins sexuels.
– Si tu veux.
Après avoir fini leurs verres, Sylvie retourna à son bureau pour préparer ses affaires et rentrer chez elle toute joyeuse à cause des bons résultats qu’elle va indiquer à son homme en arrivant à la maison. Eric ferme son ordinateur et rentre chez lui certes fatigué mais aussi très contant de sa journée.

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