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Mûres53/vieille domina.veut encore ma bite

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Contre toute attente, Mireille, la vieille pute dominatrice ne s’était pas contentée de branler sa motte bien grasse pendant que je lui racontais mes histoires en m’astiquant la bite.
Elle ne m’avait pas seulement dit:
« Regarde comme je mouille avec tes récits de cochon, tu vois ce que tu me fais? Petite pute, tu l’as bien baisée, la vieille Brigitte,…tu fourres ta grosse bite dans le cul des vieilles dames, tu les fais couler comme moi, pas vrai petite pute? »
sur son ordre, je m’étais levé, et debout devant elle, la grosse cochonne énergique aux cheveux courts de matrone autoritaire s’était pliée en deux, ses gros nichons touchant presque ses genoux, pour m’octroyer une fellation en plein décalage avec son comportement autoritaire et méprisant. Car elle me gâtait, la salope, sa langue faisait des courbes gracieuses sur mon gland, comme si elle voulait se donner du mal pour me faire jouir.
En réalité, c’est pour son propre plaisir qu’elle cherchait à m’entendre gémir lorsqu’elle m’aspirait goulûment le membre avec détermination, avec une efficacité d’ouvrière qui ne fait pas les choses à moitié.
Peut-être qu’à force d’humilier les hommes, avait-elle besoin pendant quelques minutes de se sentir elle-même dans la peau de la salope qui se met au service de ce gentil jeune homme qui, tout habillé, dans un fauteuil en face d’elle, vient de la faire mouiller avec sa grosse queue dressée hors de son pantalon, et surtout avec ses histoire qui de vieilles enclumes, de vieilles suceuses en chignon.
Je me voyais gravir les marches de cette maison humide et vétuste, la maison des putes en vieille ville. Il n’y pas plus d’une semaine, j’étais nu sur la grosse maquerelle et je jutais dans ses formes grasses, et maintenant je suis déjà de retour. La séance va-t-elle aussi bien se dérouler?
J’étais un peu fatigué, il faisait froid dehors. En fait, je ne savais pas quand j’aurais l’occasion de retourner dans cette ville. Je m’étais décidé: si je ne retourne pas maintenant chez Mireille, je n’y reviendrai pas avant longtemps. Ma queue n’était pas très vigoureuse car je m’étais branlé la veille abondamment. Tant pis, me disais-je, elle est tellement cochonne, elle va bien réussir cette fois encore à m’exciter avec son obscénité forcenée.
Il faut dire que rien ne m’excite plus qu’une vieille dame qui sort de toute réserve, me regarde avec des yeux fixes de prédatrice en passant un bout de langue obscène sur ses lèvres, qui se touche entre ses cuisses potelées et relevées sur les accoudoirs de son fauteuil en cuir pour finalement m’inviter à « lécher maman », à « fourrer ma bite dans maman, qui a envie… », et qui hurle des obscénité pendant que je m’enfonce en rebondissant sur ses formes maternelles.
très cordiale, très souriante, elle m’invita de nouveau à prendre place dans un fauteuil en face d’elle. De nouveau, notre conversation s’engagea, volontairement retenue pour créer un contraste d’autant plus excitant lorsque jailliraient les premiers mots orduriers, comme des flèches écarlates, au million de notre causerie. ainsi, le moment où je sortirais mon obélisque apparaîtrait comme un acte délicieusement choquant, décalé.
Je discute avec une vieille dame, nous sommes habillés, et tout en continuant de nous parler dans une langue châtiée, je me mets soudain à me branler. Ce contraste brusque nous excitait, alors qu’en fait, rien n’aurait été plus banal que de me foutre à poil directement, puisque j’étais avec une pute.
A cet ainsi, on frappa à la porte.
-viens, Angela, entre!
Une jeune blonde espagnole d’une beauté à couper le souffle fit son apparition.
Je la saluai poliment, excité d’être interrompu en pleine conversation, la bite à l’air.
Après son départ, Mireille s’approcha de mon fauteuil, releva sa jupe, et me tourna le dos. D’une main, elle guida ma queue dans sa chatte qui avait faim, disait-elle. Elle s’empala avec de brusques va-et-vient. Ma bite était noyée dans cet énorme fessier. Je ne voyais que cette lune plus que généreuse, qui s’abaissait et remontait frénétiquement. J’avais plaisir à caresser la peau très douce de ces deux globes. Passivement, je goûtais la chaleur de son vagin qui se communiquait à mon membre. La jouissance n’était pas exceptionnelle, mais cette chatte bien chaude que je ne pouvais pas voir me faisait du bien après avoir erré longtemps dans les rues glacées. Les profondeurs de son sexe offraient un coude qui procurait une sorte de pression sur mon gland, un peu comme si je m’étais branlé entre le pouce et l’index. Le préservatif m’empêchait de goûter pleinement la texture visqueuse de son vagin, ce que je regrettais.
elle s’offrit sur le lit, étonnamment passive, pour une dominatrice réputée assez féroce, ce que l’abondance de son matériel sado-maso ne démentait pas.
Au milieu des chaînes, des fouets, de la croix noire et cloutée sur laquelle elle sanglait ses victimes, je fourrais une grosse mémère qui était finalement contente, comme bien d’autres, de se faire enfiler.
Je lui disais à quel point cela m’exciterait de venir baiser chez elle, ou avec elle, en compagnie de Marlène
L’idée de me voir enculer cette rousse toute fine et distinguée de soixante ans lui plaisait.
Elle avait l’habitude de faire venir des couples, et se faisait volontiers lécher sa grosse motte par des femmes. C’était d’ailleurs sa seule participation envisageable: je devis baiser Marlène, et la vielle Mireille accroupirait son gros cul au-dessus de Marlène pour se faire lécher.
Mireille me résumait ainsi ce que nous ferions: « Tu la baises. Elle me lèche ».
Ma queue se ressentait des interminables branlettes de la veille.
-Qu’est-ce que tu as regardé pour t’exciter ainsi toute la nuit, me demanda Mireille.
-Un peu de tout…mais surtout des petites minettes qui lèchent des vieilles dames aux gros nichons. J’aime voir leur petite frimousse, le petites langues de chattes qui lapent les grosses vulves aux poils gris, tandis que la vieille pute gémit, croyant rêver en voyant une étudiante à la face de gamine coller sa bouche à sa fente pour lui aspirer respectueusement sa mouille de grand-mère.
-Sors, branle-toi. On va se branler.
Elle voulait qu’on se regarde face à face, les jambes repliées, pour se branler un moment sur le lit.
-Reviens. Défonce-moi. Ah, tu vas me défoncer, petite pute.
Je bandais mou. Trop fatigué.
Mireille en prit son parti.
-Branle-toi, dit-elle en enfilant un gant de latex.
Je vis quel progrès j’avais fait depuis la toute première fois où elle avait voulut m’enculer, sans succès. Mon cul se refusait à toute pénétration. Maintenant, grâce à Mme Rosina, ma rondelle appelait la pénétration du majeur de la pute. J’avais envie de me faire toucher la prostate, de mon sentir hissé vers cette jouissance, cette pression qui, même sans aucun mouvement, me faisait dresser la tige.
Je me suis juté sur le ventre, en l’encourageant.
C’est vrai que c’est bon de se faire enculer chez les putes…presque aussi bon que de se faire lécher par Brigitte!

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