Je me remémore mes jeunes années et ceci me fait revenir très loin en arrière dans ma vie.
Je suis née et j’ai grandie dans un village d’environ 350 habitants ou tout se sait et ou la moindre chose se colporte à la vitesse de la lumière et prend des proportions énormes.
Je vais à l’école primaire quand mon corps se transforme, surtout ma poitrine et ma taille, dans ma douzième année physiquement je deviens une belle jeune fille blonde pas très grande mais bien proportionnée et avec des formes attirantes.
Mentalement également je commence à me sentir différente.
Je ne me sens plus être une gamine et inconsciemment mon comportement change.
Très rapidement les garçons sont attirés par mon physique, mes attitudes et surtout mon regard (de salope comme ils disent) quand je les observe.
Ils me tournent autour, me tiennent des propos assez osés et voulent me faire croire qu’ils sont plus évolués alors qu’en réalité ils ne sont que des jeunes puceaux n’ayant aucune expérience amoureuse ou sexuelle.
Ce ne sont pas mes sourires, qu’ils qualifient d’aguicheurs, qui les découragent bien au contraire.
Quand ils parlent entre-eux ils me traitent déjà de salope qui les cherchent.
Il est vrai que j’en fais déjà beaucoup pour captiver leur attention car cela me flatte de sentir leurs regards sur moi.
Dans le village mon air et ma façon de marcher attirent aussi le regard des hommes, même d’un âge avancé, qui ne me quittent pas des yeux quand je passe dans la rue et parlent entre-eux.
Quand je m’assois dans la cour de récréation ou ailleurs ma robe ou ma jupe remonte et inconsciemment je montre jusqu’à ma culotte.
Quand avec les copines nous allons nous asseoir dans l’herbe, dans un square en bordure de route, des garçons et même des hommes mariés viennent s’installer sur le talus de l’autre côté de la route pour mater nos cuisses et nos fesses.
C’est l’âge ou ça commençe à me chatouiller entre les cuisses et je prends conscience de mon pouvoir sur les garçons.
Un jour, en fin d’après-midi, en sortant des cours je passe dans une rue ombragée que l’on appelle « la charmille » quand deux garçons me rejoignent.
Sans ménagements ils m’att****nt et me couchent sur le sol, soulevant ma robe ils passent leurs mains dans ma culotte.
Je réussis à me relever et me sauver.
Bien que surprise et n’ayant pas apprécié ce que les deux garçons m’ont fait cela m’a fait une drôle d’impression ces mains sur mon sexe.
Le lendemain je suis très gênée, même honteuse, en les croisant mais il me faut bien affronter leurs sourires narquois.
Me trouvant trop jeune mon père ne veut pas me laisser sortir bien que j’insiste pour aller retrouver mes copines et surtout pour aller au cinéma avec mes copines.
Je ne peux pas compter sur ma mère qui est plutôt « grenouille de bénitier » alors je me sauve de chez moi.
Au cinéma, à l’entracte, je retrouve Gérard un jeune de mon âge et dans un coin sombre nous nous enlaçons et embrassons, il passe sa main sous mes vêtements pour caresser mes seins et mon sexe, moi je caresse sa queue sur son pantalon.
Déjà consciente de l’attirance que j’exerce auprès des mâles je collectionne beaucoup de flirts avec des garçons de mon âge qui ne sont pas très hardis se contentant de m’embrasser et se frotter un peu contre moi.
Lors d’un voyage en autocar je commence une relation avec Albert un peu plus âgé que moi, dans un coin discret nous nous sommes embrassons.
Nous continuons à nous voir, je le laisse faire quand il passe sa main sous mes habits pour me peloter, j’aime les sensations que me procurent ses mains qui caressent mes seins et surtout mon sexe.
Il insiste pour avoir une relation intime ce que je finis par accepter.
Allongée dans l’herbe les jambes écartées il se met sur moi et sort son pénis du pantalon.
Quand il essaie de l’introduire dans mon intimité après avoir écarté ma culotte je change d’avis et je le repousse.
Malgré son insistance je refuse la pénétration, fin de notre relation.
Dans le village je suis à bonne école et je pense que c’est pour ça que des filles de mon âge ne sont pas restées longtemps sages, elles suivent l’exemple d’adultes loin d’être sérieux (ses).
En face de chez moi Jacqueline une femme mariée avec plusieurs enfants raconte à qui veut l’entendre qu’elle aime la bite et ne peut pas s’en passer, qu’il lui faut toujours beaucoup de bite.
Pendant que son mari passe son temps libre à se souler dans le bar voisin elle ne se prive pas, je vois entrer les hommes chez elle dont un très chaud question sexe qui sort sa queue de son pantalon dés qu’il a frappé à la porte et avant même que celle-ci ne s’ouvre.
La maison accolée à la mienne côté gauche Maryse, la mère de Patricia une copine, sans se soucier de son époux et ne cherchant pas la discrétion a couché pendant plusieurs années avec Jacques un homme de vingt ans son cadet.
Patricia une fille de mon âge a depuis un bon moment des relations sexuelles avec des garçons et son amusement c’est de piquer les copains des autres filles, comme elle écarte facilement les cuisses elle arrive sans peine à ses fins.
Au bar, au coin de la rue, Charlotte la patronne a eu longtemps une aventure avec Gérard un homme qui réside dans le village voisin.
Ensuite elle a eu d’autres amants avant de finalement s’enfuir avec Charles le mari de la mère de ma meilleure copine Marie Josée.
Dans ce bar le couple a trois filles qui depuis très jeunes ont des relations sexuelles avec bon nombre de garçons sans se cacher.
Puis les deux premières Michèle et Denise se sont mariées, ont divorcé et se sont mises en ménage avec d’autres hommes détruisant des couples mariés au passage.
La troisième Edith plus jeune que moi mais pas plus sage accumule les aventures puis a détourné un homme marié père de deux enfants qui exerce la profession de menuisier, ils ont vécu ensemble pendant une période et ensuite quand il a eu fini de rénover le bar elle l’a largué.
Jacqueline une autre fille d’un village voisin, un peu plus âgée que moi, a eu une longue relation avec Daniel le frère de Madeleine une autre de mes copines.
Devant nous Daniel la pelotait passant les mains sous les vêtements, sans parler d’autres attitudes indécentes. C’est tout juste s’il ne la sautait en notre présence, parfois ils faisaient l’amour derrière un buisson qui seul nous séparait d’eux.
Elle racontait ce qui se passait pendant leurs ébats, qu’elle lui faisait tout: elle parlait des pipes et comment elle avalait le sperme, comment il la sodomisait, etc.
Un homme qui réside dans le village avec sa troisième femme a abandonné dans deux villages voisins ses précédentes femmes avec chacune deux filles.
Celles-ci bien que pas très âgées sont des spécialistes pour écarter les cuisses et collectionner les aventures, deux d’entre-elles se sont retrouvées plusieurs fois enceintes et donc devenues de très jeunes mères célibataires.
Yolande la mère de ma copine Marie Josée, sans gêne, me raconte qu’elle va faire l’amour avec des routiers, qu’elle leur fait des fellations et qu’ils adorent quand elle avale leur sperme.
Elle finira par se mettre en couple avec l’amant de Maryse.
Comme nous parlons de tout ensemble elle me pose beaucoup de questions (l’air de rien elle a la manière de me tirer les vers du nez).
Avec des copines nous allons souvent nous assoir dans l’herbe, sur un talus, en bordure de la route pour discuter dans un petit parc à la sortie du bourg.
Souvent des jeunes hommes nous rejoignent et parlent avec nous, d’autres préfèrent aller s’assoir sur le talus de l’autre côté de la route.
Nous avons vite compris pourquoi: nous sommes souvent vétues de robes ou jupes assez courtes comme c’est la mode à cette époque alors ils ont une belle vue sur nos cuisses, notre entre-jambes et notre culotte.
C’est là que je commence une relation avec celui qui deviendra mon mari, il est du village voisin et est plus âgé que moi, il n’est pas mal sans être vraiment beau.
Je triche sur mon âge me vieillissant de plusieurs années.
Il avait fréquenté plusieurs de mes copines et connaissances sans jamais s’attacher.
Je l’avais rencontré plusieurs fois en différents endroits auparavant. Je ne m’intéressais pas à lui mais au fil des rencontres et de nos discussions mon regard sur lui a évolué.
Un jour il passe un bras derrière ma tête et cherche à m’embrasser. je résiste un moment puis j’abdique écartant mes lèvres pour que sa langue pénètre dans ma bouche ensuite ma langue vient à la rencontre de la sienne. nous échangeons un long baiser et une douce chaleur encahit mon ventre.
Ce jour là nous échangeons plusieurs baisers mais avec les copines à côté c’est tout.
En le quittant je lui donne un rendez-vous pour quelques jours plus tard afin que nous soyons seuls.
Le mercredi suivant sa voiture s’arrête à côté de moi, je monte et nous échangeons un long baiser, nos langues ne veulent pas se séparer.
Nous gagnons un chemin tranquille ou il se gare.
Il m’enlace, place une main sur un de mes seins, nous nous embrassons ne nous arrêtant que pour reprendre notre souffle. La chaleur a envahi mon ventre et ma chatte est bien humide.
Un peu calmés nous parlons surtout de nous.
Nous passons l’après-midi ainsi à parler et nous embrasser. Il ne tente rien d’autre.
Plusieurs semaines passent avec le même type de rendez-vous.
Un jour je suis surprise, Tout en m’embrassant il caresse mes seins puis mon ventre par dessus les vêtements puis il pose sa main sur mon sexe.
Je ne réagis pas et le laisse faire.
La fois suivante il refait la même chose puis il glisse une main sous mon pull, il caresse mes seins sur mon soutien-gorge puis sans réaction de ma part il soulève celui-ci et le déplace.
Il caresse longuement mes seins et agace les tétons qui ne tardent pas à s’ériger et durcir. Ces caresses me procurent des sensations agréables. Je l’embrasse fougueusement.
Sa main caresse mon ventre et descend vers mon entre-jambes tout en se glissant dans ma culotte après avoir dégraphé la fermeture de mon pantalon.
Ca y est il atteint mon sexe et le caresse, machinalement j’écarte les cuisses. Il m’embrasse pendant que son autre main s’occupe de mes seins.
Je ferme les yeux et je l’étreins de mes bras en le serrant fortement.
Un doigt pénètre mon intimité et fait des mouvements de va-et-vient puis vient masturber le clitoris. Il passe de l’un à l’autre mettant le feu en moi et provoquant un bruit de clapotis car je mouille beaucoup.
Je me retiens pour ne pas gémir ou crier sous la torture que subissent ma chatte et mes seins et qui dure un bon moment.
Il ne s’arrête que quand mon corps se soulève, prise de spasmes j’atteins l’orgasme pendant que des giclées de liquide sortent de mon intimité et mouillent ma culotte et mon pantalon.
Je suis surprise par ce qui m’arrive et également gênée car c’est la première fois et je ne savait pas encore ce que c’est la jouissance pour une femme.
Ensuite les rendez-vous se passent de la même façon, cela ne le dérange pas que je reparte avec le cul trempé après qu’il m’aie fait jouir.
Et puis un jour il me dit:
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<<ça va être au tour de ma queue d'explorer ton vagin>>.
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Il me ramène à l’entrée du bourg et nous nous séparons après nous être embrassés.
Le mercredi suivant mon amoureux m’attend à m’endroit habituel, il sourit quand il me voit arriver en jupe. Je suis un peu crispée et anxieuse en pensant à ce qui va se passer.
Je monte dans la voiture et nous nous embrassons, son baiser est fougueux et il caresse mes joues.
Il démarre et va se garer dans le lieu discret ou nous nous cachons habituellement.
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Je m’exécute puis il me rejoint.
Nous commençons par les embrassades puis il déboutonne mon corsage et déplace mon soutien-gorge.
Il caresse mes seins et torture les tétons puis ses lèvres entrent en action embrassant et lèchant les seins et les tétons, ses dents mordillent ceux-ci.
Il prend son temps faisant monter les envies et le plaisir dans mon ventre.
Il me complimente pour ma poitrine qu’il voit pour la première fois.
Une de ses mains caresse mon ventre et descend vers ma chatte en écartant ma culotte. Il caresse mon sexe et constate qu’elle est bien humide.
Pendant un bon moment un doigt puis deux fouillent mon vagin avec le bruit des clapotis car je mouille abondamment. C’est au tour de mon clitoris d’être pris pour cible par ses doigts, le plaisir augmente et je me retient pour ne pas gémir.
Le moment fatidique approche, pour lui je suis prête à recevoir son pènis en moi.
Tout en gardant sa main sur mon sexe et un doigt dedans il me demande de m’allonger au mieux sur le siège, il m’aide à me positionner, il écarte mes jambes au maximum.
Il vient se placer entre mes jambes, il déboutonne son pantalon puis le baisse ainsi que son slip.
Je ferme les yeux à la vue de sa queue, c’est la première fois que j’en vois une d’aussi près.
Il se met sur moi, une de ses mains écarte ma culotte, l’autre dirige son pénis vers ma chatte contre laquelle il butte. Ses mains écartent les lèvres de mon sexe, je sens la pénétration de son membre qui vient butter sur quelque chose, il exerce une poussée et son pénis s’enfonce inéxorablement dans mon ventre.
Il m’embrasse et caresse mes seins et mon corps pendant que sa queue commence les va-et-vient.
Ses bourses viennent cogner contre mes fesses et le bruit du clapotis s’amplifie à cause de la mouillure et de la cadence de son pilonnage.
Il me défonce un bon moment s’arrêtant quand il sent que l’éjaculation est proche puis calmé il reprend ses mouvements tout en embrassant et caressant mes seins.
J’éprouve beaucoup de plaisir mais je serre les dents pour ne pas le montrer ce qu’il me reprochera plus tard car pour lui je dois me laisser aller.
Il finit par me faire jouir pendant qu’il continue à me pilonner.
Il finit par se retirer et éjaculer dans un kleenex. Moi mes fesses sont bien mouillées, je les essuie.
Nous remettons de l’ordre dans nos vêtements, il m’embrasse et caresse mes joues.
<<ça va tu n'es pas traumatisée>>.
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Nous parlons encore un peu puis il me ramène.
Après cet épisode et en dehors du weekend nous nous voyons deux fois dans la semaine.
Mon amant me caresse beaucoup en me procurant beaucoup de plaisir avant de me pénétrer.
Nos ébats suivant le temps se passent sur le siège arrière de la voiture ou sur un plaid posé sur l’herbe. Parfois dans les bois debout: il me prend en se mettant face à moi jambes fléchies ou je m’agrippe à son cou et lui me soulève en mettant ses mains sous mes cuisses puis il m’empale sur sa verge et nous remuons tant bien que mal.
Un jour il me dispose différemment sur le siège puis il met sa tête entre mes cuisses, il lèche ma chatte puis la fouille avec sa langue avant de s’en prendre à mon clitoris qu’il lèche et mordille.
Une fois pendant que son pénis me défonce avec entrain le vagin, entre deux baisers, il me dit à l’oreille:
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Lors de nos rencontres suivantes je n’en fais rien. Pourtant je connais la pratique car la mère de mon amie Josée se vante sans détour qu’elle fait des pipes à ses amants avec maints détails sur sa façon de procéder, elle me parle du sperme qui coule dans sa bouche et comment elle l’avale car les hommes adorent ça.
Bien que j’aie des sentiments pour lui cela ne m’empêche pas parfois dans la journée de flirter avec d’autres jeunes hommes.
Puis un jour je flirte avec Daniel un copain de mon amoureux, celui-ci veut aller plus loin dans notre rapport et me donne un rendez-vous pour le lendemain.
Je m’y rends, il me prend dans ses bras et nous commençons à nous embrasser, son frère qui est assis pas loin de nous me parle de mon amoureux et pour paraître indifférente je sors une méchanceté concernant celui-ci.
Quelle surprise quand celui-ci sort d’un fourré situé de l’autre côté de la route.
Là je me sens mal, je ne sais plus quelle attitude adopter.
Il vient vers moi et je reçois une paire de gifles puis il s’en va après m’avoir traitée de putain et autres.
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