Le lendemain matin, après une nuit mouvementée au cours de laquelle Tante Mado m’avoua ne pas avoir connu beaucoup d’hommes depuis son veuvage, il y a 10 ans. Et surtout pas des jeunes… Quelques coups tirés avec des hommes murs…
Le matin donc, je me lève, en pyjama, descends de la chambre et me dirige vers la cuisine où j’entends Mado s’affairer.
– Bonjour ma tante.
– Bonjour mon neveu … Bien dormi ?
– Comme une souche, je crois que j’ai un peu forcé sur l’alcool avec les copains !
– Y a pas que sur l’alcool que tu as forcé ! Fit-elle en me faisant un clin d’œil.
C’est vrai que je m’étais bien lâché la veille, mais elle aussi…
Ce matin là, elle portait (comme souvent à la campagne il y a 30-40 ans), une blouse qui la boudinait et laissait apparaitre son corps pulpeux (poitrine imposante et fessier important). Elle me dit de m’assoir à table et qu’elle allait me servir mon petit déjeuner. Je dégustais mon café au lait avec pain et confiture…
Pendant tout le temps qu’elle s’occupe dans la cuisine (ranger, balayer…), son corps me frôle (innocemment ?). Moi de mon coté je la matais du coin de l’œil. Faut dire qu’avec le corps qu’elle se trimbalait… J’adorais ces formes généreuses. Elle était toujours en blouse. Il était évident qu’elle ne portait pas de soutien-gorge tant cette poitrine ballottait au rythme de ses pas. J’adorais cette poitrine lourde et je bandais pour elle. Je pouvais m’imaginer en train de la pétrir, de la sucer, de la traire, comme la veille… Ce qui fait que ma bite commençait à durcir et à soulever le bas de mon pyjama…
– Tu as fini de déjeuner mon petit ?
– Oui Tatie
– Bon débarrassons la table !
Ceci dit, elle s’installa devant l’évier pour faire la vaisselle. Moi je me levais de table pour lui apporter bol et couverts… Aie aie aie, J’en ai plein le pyjama… Je bande comme ce n’est pas possible (à 18 ans on est très « émotif »). Tante Mado continuait sa vaisselle, et moi je reluquais son gros cul ! J’admire son cul, ses deux grosses fesses bien remplies. Je me dirige vers elle et je me colle contre son dos. Son corps si chaud me fait bander de plus belle et je n’hésite pas à lui faire sentir ma queue si dure ! J’arrive à insérer ma bite dans le sillon de ses grosses fesses et je mime l’acte sexuel en allant et venant…
– Oh le coquin ! Cela ne t’as pas suffit la nuit passée ?
– Ben non Tatie ! Tu me plais tellement !
– Une vielle comme moi te fait quelque chose ?
– Sens dans quel état tu mets ma bite… c’est pour toi qu’elle est comme ça.
– C’est sur que tu es dans un état !
– C’est toi qui m’excite ainsi avec ton gros cul et tes gros tétés.
– Eh ben mon neveu, toi tu sais me parler !
Je prenais tout mon temps pour me griser de ces attouchements qui mettaient le feu à mes sens. Je triturais à pleines mains les flancs charnus qui oscillaient sensuellement sous mes doigts, tout en frottant avec volupté ma verge gonflée contre les fesses opulentes. Je fis tomber sa blouse et moi je me débarrassais de mon pyjama. Çà y est je suis de nouveau contre sa chair nue. Ma bite me fait mal tellement elle est gonflée.
– Tu dois me prendre pour une vieille salope ?
– Pourquoi vielle et pourquoi salope ? – D’abord tu n’es pas vieille, je te trouve même très appétissante. Et puis si tu en as envie je ne vois pas ce qu’il peut y avoir de choquant. Moi aussi j’ai envie de baiser avec toi, donc tout va bien.
– Parce que je suis ta tante et après la nuit que l’on a passé tu dois croire que c’est mal ce que nous faisons !
– Mal ? Mais nous nous faisons que du bien ! Est-ce que tu sens ma queue qui demande qu’une chose ?
– Ah ça oui pour la sentir, je la sens. Salaud de neveu qui me fait mouiller !
A sentir la raideur qui lui meurtrissait le derrière, Mado ne pouvait ignorer la force de mon désir. A un moment elle tourna la tête vers moi, et me souriant d’un air complice, elle glissa vivement sa main droite entre nos deux corps accolés. Sans avoir à chercher, elle trouva immédiatement ma virilité. Avec émoi je sentis les doigts féminins se refermer sur l’énorme protubérance, qu’ils pressèrent avec autant de fièvre que j’en mettais de mon coté à pétrir les hanches. Elle se mit à branler furieusement à l’aide de ses doigts refermés en pince autour de ma verge gonflée. Moi je caressais toujours son corps épanoui… Mes mains remontèrent et vinrent se poser sur son imposante poitrine. Je massais ses seins, les prenaient à pleines mains, les caressaient… Toujours collé dans son dos je me régalais de toute cette chair qui m’était offerte.
J’en profitai pour la serrer dans mes bras, pour lui souffler à l’oreille, qu’elle était encore très belle. Ce qui la laissa sans voix. Lui faisant comprendre sourdement mon désir en me collant à sa croupe, tout en la tenant par sous les aisselles, avec mes mains sur sa poitrine, pelotant sans vergogne ses gros nénés. Qu’elle me soupira d’une voix émue :
– Oh tu es fou… qu’est-ce qui te prend… Non laisse-moi tranquille.
Mais comme elle ne faisait véritablement rien pour se dégager de mon emprise. J’en profitais tout en continuant à peloter ses gros nichons d’une main, pour me hasarder plus bas entre ses cuisses, qu’elle resserra en protestant faiblement, courbée devant moi.
– Non … non il ne faut pas. non je t’en supplie … je suis trop vieille pour toi.
Ne tenant pas compte de ses protestations, par l’intense désir qui s’était emparé de moi. Parcourant fébrilement ses cuisses de caresses. Pour arriver d’une main sur le dernier rempart, son slip de coton, qui défendait mal son envie. C’est alors que je profitais un peu plus de la situation, en la coinçant davantage contre ses éléments de cuisine en glissant sans plus attendre, ma main entre la chair et l’élastique. Touchant du bout des doigts son pubis, en le caressant quelque peu pour la rassurer, avant de plonger un doigt dans sa chatte… Puis j’en introduisis trois autres pour la branler avec frénésie. Floc floc floc faisait sa chatte tant elle était mouillée.
– Ah salaud tu branles bien ta tante, et moi est-ce que je te branle bien.
– Vas-y Tantine continue ! T’es une bonne branleuse vue l’état de ma queue !
– Tu as réussi ce que tu veux hein… T’as réussi à m’exciter, t’entends comme je mouille. Bon je vais continuer à te branler et toi, tu peux continuer à caresser mes seins. Coquin.
– Putain j’ai une de ces triques.
– Ouais t’es bien dur mon saligaud.
– Oui Tatie je bande pour toi
– Tu me fais du bien mon petit ange !
– Quelle jouisseuse.
– T’as l’air d’être à ton affaire !
– Ben toi aussi si j’en juge à la grosseur de tes tétons. Putain, t’es une sacrée nana… Quelle paire de nibards t’as… Après ça tu t’étonnes que je me branle pour toi et que je rêve de te baiser, de te prendre et de te faire jouir en tétant tes grosses mamelles.
– Continue.
– Je vois, je vois ma Tante. T’es sensible des nichons toi hein? Ca doit être super quand tu te branles? Çà t’arrive je suppose?
– Oui bien sur, de temps en temps..
– Et tu jouis en te les caressant?
– .. Oui ou en me les suçant…
– Tu arrives à te les sucer?
– Ben oui, 105 C, c’est quand même assez gros !
– Oui oui ça contente un homme !
– Maintenant, vas-y prend moi !
– Oui Tatie.
– Tu veux quoi?
– Je vais te prendre en levrette. J’ai tellement envie de me voir m’enfoncer entre tes fesses et voir tes gros seins ballotter sous l’effet de mes coups de bite…
– Coquin… C’est d’accord… Vas-y !
Et je n’ai pas besoin de me faire prier. Mado sans une seconde d’hésitation prend la position idéale. Elle a pris appui sur les paumes de ses mains et attend ma pénétration. Je me délecte quelques secondes de ce spectacle de cette femelle qui attend son mâle. J’admire son cul, ses deux grosses fesses et son sillon très poilu. Ses jambes sont suffisamment écartées pour moi voir cette chatte dans laquelle je vais plonger mon dard dans quelques instants. Et que dire des nichons? Ils sont entièrement libres et pendouillent entre les bras. Mado s’impatiente et me lance un regard par dessus son épaule.
– Tu viens?
– Je t’admire ma belle, j’admire tes grosses fesses.
– Alors regarde comme ça et vient…
Et Mado se cambre en avant . Le spectacle est sublime. Je vois sa chatte entr’ouverte et impatiente de m’accueillir. Je ne peux résister et prend ma bite à pleine main pour la diriger vers ce puits de plaisir. Ma pénétration est franche et même un peu violente. Mes couilles viennent s’écraser contre ses grandes lèvres ce qui a pour effet de faire crier de bonheur ma maîtresse. Je suis en elle et elle se redresse comme pour mieux me serrer. Je commence mon mouvement de va et vient en ayant les deux mains sur chaque hanche de la belle.
Je commence mon mouvement de va et vient en ayant les deux mains sur chaque hanche de la belle. Mon rythme est rapide et d’une belle amplitude puisqu’à chaque va-et-vient, je peux apercevoir mon gland et ne plus voir du tout ma bite quand je suis dans elle. Ce mouvement à pour effet de faire ballotter ses énormes nibards. Ils se frottent et se cognent l’un contre l’autre. Le spectacle est sublime. Mado ferme les yeux et se mord les lèvres. Mes jambes sont bien écartées pour bien sentir les impacts de ma bite et de mes couilles. Je veux la faire jouir et jouir en même temps qu’elle. Mes mains glissent sur son corps pour aller ses saisir des deux grosses gouttes en folie. J’y parviens et commence à malaxer ces deux masses blanches. Au passage je sens le mamelon; je m’en saisis et je le pince sans le moindre ménagement. Tatie ne se retient pas et remue magnifiquement son cul. Au va-et-vient linéaire que je commande, elle ajoute des mouvements de gauche à droite qui ont pour effet d’accroître le contact de mon gland sur les parois chaudes et humides de son fourreau. Mes mains caressent les grosses mamelles Nos corps glissent l’un contre l’autre et l’un dans l’autre. Ses fesses vibrent à chaque coup de boutoir provoqué par mon membre tendu. Mado se cambre, ondule, vibre et remue son cul comme si elle voulait faire de sa chatte une véritable pompe à sperme.
– Cochon, bourres moi bien !
– Tiens tiens
– Oui, c’est bien. Continue… Encore… !
– Saloooope t’aimes la bite !
– Non c’est TA bite que j’aime !
– Pourquoi t’aimais pas la bite des hommes qui t’ont baisé ?
– Si si la queue de ton oncle était boooone ! Les autres hommes c’était pas pareil ! mais toi. Oooooh toi !
– Quoi moi ?
– J’aime ta bite épaisse qui me baise.
– Elle est pas longue ma bite ?
– Pas longue mais bien large… Tu me tues mon salaud !
– Oui oui salope.
– Tu es fou, me disait-elle mais ses paroles démentaient ses pensées.
– Tiens, ma vieille cochonne, tiens, je te la fous au fond de ta chatte ! Tiens tiens !
– Bite moi bien ! Saligaud ! Baise ta tante ! Salopard tu baises ta tante !
– T’es pas ma tante, t’es une femelle qui veut de la bite !
– Oui vas- y… c’est bon !.. Enfonce bien ton doigt, Baise-moi bien le … Oui… Plus fort, c’est bon continue, surtout ne t’arrête pas maintenant, allez défonce-moi bien.
Aucun doute ma tante chérie est sur la voie d’un orgasme. Elle va jouir dans quelques instants sous l’effet de ma bite. Je me recule un peu et regarde ses grosses fesses et son gros ventre onduler sur mon dard. J’arrête mes mouvements mais le mouvement de va-et-vient continue sous la seule initiative de Mado. Elle se saisit de ses globes mammaires pour se les malaxer et pince fermement ses grosses tétines brunes. C’est elle qui me baise car elle c’est elle qui va au-devant de ma queue. Je sens que la fin est proche car le foutre monte dans ma bite, je ne vais pas tarder à tout envoyer
Et d’une forte poussée je la fourrai bien à fond. Elle hurlait, mais de bonheur :
– Salaud, cochon, tu me baises, bien au fond, je jouis, je jute comme une salope que je suis… Aaaaah oui salaud ! Je mouille ouiiiiiii ! Je mouille ! Je viens !
Et en criant des obscénités, elle jouissait comme une folle. Je sentais des flots et des flots de mouille couler sur mes cuisses. Une forte odeur de foutre emplissait mes narines, m’excitant encore plus
– Maintenant, vas-y, jute, gicle dans mon con, gicle dans mon boyau, salaud… Pousse plus fort mon lapin !… Enfonce-la à fond. Oui ! J’ai jouis… A toi maintenant ! Tu bandes comme jamais
– Super ma chatte !… Écarte bien tes cuisses… Oui comme ça c’est magnifique, comme tu es excitante.
– Décharge putain ! T’en peut plus ?
– Si si attend tu vas sentir ma queue !
– Tu baises vraiment bien, petit salaud.
– Attend t’as pas tout vu !
Après avoir caressé sa chatte gonflée, je m’aventurais vers la rosette de son cul. Elle ne dit rien tout de suite mais protesta quand je tentais d’introduire mon majeur dans son intimité.
– Hé là, tu te trompes, ce n’est pas le bon endroit
– Ho que non je ne me trompe pas, c’est le meilleur endroit. J’ai envie de gouter à ton petit trou.
– A mon petit trou. tu n’y penses pas. Je ne veux pas, ça doit faire mal.
– je ne pense qu’à ça, ma belle, je veux t’enculer et puis… Tu n’as pas vraiment le choix.
– Comment ça je n’ai pas le choix.
– Ben non t’as pas le choix. Imagines que les gens sachent que tu es une salope qui baise avec son salaud de neveu qu’elle héberge ?
– C’est vrai t’es un petit salaud, mais continue continue !
Je la consolais en l’embrassant et en lui garantissant que je serais très doux.
« -Tu ne t’es jamais faire prendre comme cela ?
– Non jamais, en fait personne ne me l’a proposé.
– Donc tu es vierge de là. Je vais te dépuceler ton gros cul, ma belle. Fait moi confiance, tu verras, tu aimeras ça après.
– D’accord mais sous très doux… Et puis je n’ai pas le choix » me dit-elle résignée.
Peu à peu et sous la bite qui la perforait elle jouit une nouvelle fois. Pendant que je la baisais j’avais longuement lubrifié sa rosette. Et dès son orgasme retombé, j’appuyais ma queue sur son petit, j’appliquais une pression constante en la tenant fermement pas les hanches. Sa résistance était forte mais je ne relâchais, ni n’augmentais ma poussée. Je sentis son cul se dilater doucement et petit à petit, presque insensiblement ma queue s’enfonçait dans son cul. Je me retirais pour lubrifier ma bite et je revins aussitôt, encore un peu plus profond. Je fis cela plusieurs fois jusqu’à je sente son petit trou suffisamment lubrifié. La queue enfoncée à moitié, toujours sans la forcer plus que cela, je repris mes caresses sur ses gros nibards lui malaxant les tétons. Autant, Mado au début de la sodomie était restée immobile, figée, tendue, autant dès que je commençais à m’occuper de son petit bouton, elle se déchaina.
Elle bougeait elle même d’avant en arrière, s’empalant elle même sur mon dard, en gémissant :
– Merde, c’est vrai que c’est bon une bite dans le cul.
– …
– Bourre-moi avec ta queue, mon chéri. Je te sens bien. Haaaaa !!!, je vais jouir !
– Je vais te remplir le cul !
Elle s’excitait elle de ses propres paroles. Elle était maintenant totalement détendue et ma queue s’enfonçait sans effort dans son cul dilaté. Je pouvais la défoncer à grands coups de reins sans qu’elle se plaigne bien au contraire. Elle jouit en hurlant de plaisir, ma queue au fond de son ventre. Je la rejoins très vite dans l’orgasme en me vidant dans son cul. J’éjaculais en longs jets dans son cul bien serré.
-Aaaah salope !
-Tu es complètement fou, mais tu es un phénomène. Tu es le premier à m’avoir pris « au cul ». Même mon mari n’y a pas gouté.
– Avec ton gros cul et tes gros nibards, tu me faisais envie et je n’ai pas pu résister.
-Tu as eu raison car j’ai bien joui mon petit pigeon.
-Oui Tatie salope, tu t’en prendras encore des coups de bite…
-Tu as envie de continuer avec moi
– Bien sûr Tatie salope. Je veux que tu sois ma maîtresse régulièrement. Et puis, ce coté i****tueux de nos relations est tellement excitant…
– Ne te pose pas ce type de question. Ce qui importe c’est qu’on puisse faire l’amour sans retenue et ensemble, que tu puisses me branler la bite et les couilles quand tu en as envie ou que je puisse te téter les gougouttes ou te sucer la chatte ou te prendre le cul quand j’en ai envie ou quand tu as envie.
-Oui, j’étais très excitée en partie à cause de ça mais c’est terriblement dangereux…
-Oui mais je suis une femme respectable et d’autre part, je suis ta tante… mais enfin, je ne pourrais pas me passer d’un amant comme toi. Allez viens ! On remonte dans la chambre se reposer… Tu m’as épuisée !
Et sur ces paroles pleines de promesses, Je lui roulais un baiser bien baveux qu’elle me rendit en me mordant la langue sensuellement. Je la suivis dans l’escalier, où son gros cul me précéda… Dans la chambre…
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