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J’ai baisé ma tante de 45 ans (1)

J’ai baisé ma tante de 45 ans (1)



Chapitre 1

Bonjour,

Je m’appelle Jean.
Revenons en arrière dans l’espace temps.

En 1995, fort de mes 18 ans avec le bac en poche, j’échoue dans ma 1ère année de fac de lettres.
Ma mère me propose étant donné mon échec de partir une année complète en Angleterre dans la boite de ma tante pour parfaire la langue internationale par excellence..
Ma tante, Chantal âgée de 45 ans avait épousé un british .
Elle travaillait dans une grosse boite et lui était en maladie pour des problèmes de coeur depuis une dizaine d’années.
Sur ce, ma mère prit les devants .
Elle appela ma tante (elles étaient très liées) qui lui suggéra qu’en octobre , la boite en question cherchait un stagiaire au service commercial pour la liaison France – Angleterre dans leurs échanges commerciaux.
Un petit studio serait mis à disposition pour le dit stagiaire (moi !) au 18ème étage . Je précise que les bureaux occupaient 6 niveaux dans cette tour au coeur de Londres.
Du 18ème, les bureaux étant situés entre le 10 et 16ème, pas de problème pour moi pour « aller » au boulot.
Ma mère me fit les derniers préparatifs. Je laissai mon jeune frère passer son brevet des collèges et remerciait ma mère.
Mon père acquiesça d’un signe de la tête.

Ma tante Chantal m’accueillit à l’aéroport avec un large sourire et m’embrassa tendrement.
Elle avait un fils unique de 20 ans parti en Australie finir ses études et compter même s’y installer.
Elle ne le voyait jamais à son grand regret.
Nous bavardâmes dans la voiture et le soir, elle m’invita à diner chez mon oncle qui ne parlait pas un mot de français .
Conversation assez futile.
Ma tante m’avait toujours attiré.
Il est vrai qu’à 45 ans, du haut de son mètre 70 et avec ses 54 kg, elle était disons séduisante mais elle restait la soeur de ma mère.
Sa poitrine était aux alentours d’un 85 b , petits seins bien fermes que je devinais avec des jambes très fines sans deviner ses cuisses puisqu’elle portait des jupes et pour conclure, un très joli petit cul.
Donc repas terminé, elle me raccompagna le soir à la tour pour retrouver mon logement.
Sympa cette soirée.

Je commençais le lundi dans mon open office avec les collègues (je devais traduire des modes d’emploi en …anglais). Ambiance calme et studieuse. Il y avait une pause entre 12h30 et 13h30.
Ma tante avait son bureau à elle et je m’empressais de lui demander conseil pour des traductions.
Une fois le déjeuner fini, nous prenions l’habitude de faire un tour au parc.
Très sensible, nous bavardions du boulot et ma tante me prenait par le bras.

2 mois passèrent et certains we, ma tante m’invitait avec 2 amies à elle à faire une partie de golf.
force est d’avouer que je me débrouillais plutôt pas mal sous l’admiration de ma tante.
Nous étions au mois de juin est la température oscillait entre 22 et 24 degrés.
En revenant du golf, j’avais pris pour habitude de prendre une douche au retour chez elle.
Elle aussi.
Inutile de préciser une fois ma douche terminée que le fait d’entendre ma tante prendre sa douche dans l’autre salle de bain me donnait des frissons.
Elle revenait comme d’habitude …habillée, pas même un peignoir .
Les mois passèrent jusqu’en septembre.

Chantal m’invita un soir à dîner au resto. Son mari Andrew ne pouvait pas. Toujours fatigué avec son coeur et son traitement …
Ce fut une soirée où nous parlâmes de moi.
Je lui parlais de mes copines (j’exagérais un peu ..) puis elle me parlât à son tour de son expérience de la vie.
Nous rentrâmes et nous nous vîmes le lendemain au bureau.
Dès que ma tante se déplaçait , je ne pouvais m’empêcher de la regarder, ses jambes parfaites, ses seins arrogants, ses pieds soignés et ses lèvres si bien dessinées .
Au fil du temps, je lui donnais mon linge sale et elle repassait mes chemises.
Un dimanche, au détour d’une partie de golf à laquelle je ne fus pas convié, elle me dit « Jean, je passerai t’amener tes chemises, tu seras chez toi vers 16h ? ».
Je répondis par l’affirmatif .
A 17h la sonnette retentit.
Ma tante entra avec mon sac de linge et chemises .
Je la remerciais en lui faisant une bise sur la joue et lui proposait de boire un verre.
Elle me dit qu’elle prendrait bien une douche chez elle et dans la foulée me fit la bise pour partir.
Il était 17h, c’était l’heure des embouteillages.
Moi : « Tu vas mettre au moins 1 heure à rentrer …prends une douche ici, j’ai une serviette propre ».
Elle était un peu gênée, aussi je l’appelais Tatie dans ces cas là pour la décoincer.
Elle me dit « ok pour une douche et après je file , c’est sympa de ta part ».
J’entendis un filet d’eau , signe que ma tante avait terminé.
Elle sortit de la salle de bain ayant enfilé mon peignoir puisque ses vêtements suspendus « s’aéraient » pour mieux sécher la dite transpiration.
Elle me dit qu’elle trouvait ma compagnie rassurante et admirait ma façon d’être avec les collègues.
Du coup je m’approchais d’elle et l’embrassais dans le cou à sa grande surprise .
Elle en rougit un peu puis me fit un sourire rempli de tendresse.
Comme elle sentait bon, elle sentait la femme mûre, j’avais une envie folle de la sauter .
Elle se rhabilla ensuite puis me fit un baiser sur le bord des lèvres et s’éclipsa …

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  • L’avance de mon beau frère.
    Lors de l’anniversaire de mariage de mes parents, les autres jouaient aux boules et autres jeux, avec mon beau frère Olivier, étant tout les deux dans le domaine du médical parlions de ce dernier. Puis à un moment, notre conversation prenait une autre tournure, il me mis une main sur le haut de la cuisse et au lieu de lui retirer j’ai eu une petite lâché de mouille dans mon string. Suite à ce moment nous étions pratiquement à l’écart des autres, rapidement nos lèvres se sont rapprochés et nos langues entremêlées. Une existation supplémentaire parcouraient mon corps, celle de ce faire surprendre. Mais nous avons poussé l’exploration plus loin, mais cette fois à l’abri des regards dans le cabanon de jardin.
    Il découvrit mes seins et à commencer par les sucer et je commençais à gémir doucement et mouillais comme une folle, ce qu’Olivier s’appercu quand il passa la dans ma combinaison. Il me frotta ma chatte qui n’arrêtait pas de mouiller et mes gémissements un peu plus fort, je me suis agenouillée devant lui, lui est descendu pantalon et caleçon, sa bite déjà bandé m’invitait à la sucer comme jamais j’avais sucer. A ce moment nous étions seul au monde existé comme des bêtes. Il remonta en me quittant ma combinaison me retrouva complètement nue et cela me faisait mouiller encore plus et n’avais qu’une idée en tête de me faire prendre ce qu’il a fait.
    L’excitation de ce faire démasquer me rendais encore plus réceptive. J’étouffais mes gémissements en mettant mon string dans la bouche. Après plusieurs va et vient et quelques coups de reins bien appuyé , j’ai senti son sperme innondant mon vagin détrempée. Nous avons remis nos vêtements et remis les cheveux en place afin de ne pas trahir nos débats. Ne travaillant pas les lundis, nous nous retrouvons certains de ces jours, dans un hôtel où dans un coin tranquille, et m’a connaître d’autres positions, certaines nouvelles aussi pour lui, et une qui me fait jouir fortement c’est quand il introduit sa grosse queue dans mon cul .
    Je suis devenu depuis 2 ans sa maîtresse et chaque fois que l’on dit que nous devons arrêter cela repart de plus belle. Pas facile les repas de famille