Ma belle-mère est diabolique
Cela fait plusieurs mois que nous avons acquis 4 cages de chasteté dont je porte l’un des exemplaires en quasi permanence. Ma nouvelle femme de 72 ans exige surtout si je suis hors de sa présence, que je sois vérouillé au niveau de mes parties génitales. C’est une tigresse jalouse et j’aime cela. N’importe qui serait agacé de ses demandes constantes sur ce que je fais, qui j’ai vu (c’est-à-dire quelle autre femelle), si j’ai rencontré des femmes séduisantes,… mais j’ai décidé une fois pour toutes que son questionnemment incesssant et ses jérémiades soupçonneuses et inquisitrices sont des signes de son amour, et je me plie à toutes ses volontés.
Je me suis habitué à tout lui confesser. Si je vois une belle femme dans la rue ou au restaurant, je lui dis. Cela la met en colère mais Elle se retient un peu car Elle veut savoir pourquoi je trouve une femme désirable. Je lui dis aussi si j’ai eu une tentative d’érection : dans mon travail, il y a beaucoup de femmes et certaines sont séduisantes. Elle sévit par des claques et autres épreuves humiliantes, mais Elle continue d’exiger de connaître tout de moi.
J’ai le droit de retirer ma cage pour ma toilette, pour lui faire l’amour (uniquement quand Elle veut que je La prénètre), pour éjaculer quant Elle me branle pour me soulager, quand je fais du sport, ou bien si Elle veut faire un geste de gentillesse. Après plusieurs mois, je ne m’y habitue toujours pas. On sent toujours une cage quand on la porte, spécialement au petit matin…. Ca tape un peu sur le système mais je sublime la contrainte pour mon amour.
Béatrice exige aussi que chacune de mes jouissances ne vienne que d’Elle ou sur son instruction. Plus aucune masturbation comme j’aimais tant dans le passé, à moins qu’Elle ne m’y autorise. Je peux regarder des vidéos pornos uniquement si je porte ma cage. Elle m’autorise à ne regarder que les thèmes sur les hommes soumis aux femmes, y compris le masochisme. Elle me laisse regarder les hommes qui se font frapper les parties, les scènes d’humiliation (urine, mots, crachats…) et de coups. Ou alors des vidéos montrant de vieilles femmes faisant l’amour y compris de vieilles lesbiennes qui soit dit en passant sont souvent très vicieuses. Interdiction de regarder des photos ou vidéos de femmes de moins de 50 ans. Elle m’encourage à regarder des vidéos de femmes de 80 ans. Lorsqu’une Maitresse âgée soumet son valet, alors c’est selon Elle l’idéal du film porno.
Quasiment tous les jours et toutes les nuits, je porte la cage qu’Elle désigne : celle en métal, lourde, courbée vers le bas, environ 7 cm, ou bien l’un de mes deux cages CB en plastique, ou alors une petite en métal de 4 cm de long, très serrée, avec un tube et le bout en plaque métallique, non pas en barres : très contraignante ! et très peu de place pour passer la base de mes testicules. Les cages en plastique ont différents diamètres, et les différentes tiges entre anneaux permettent d’écarter plus ou moins l’espace entre les deux bases devant et derrière les testicules. Ma Maitresse adorée me fait progressivement porter des diamètres et tailles plus petits.
Il y a quelques jours, Elle me dit :
– Mon amour, je vais commander pour toi une cage en métal encore plus petite que ta courte car je te veux à ma merci. J’aime l’idée de te contraindre, de contrôler ta virilité. De mémoire il s’agit d’une capsule en métal posée directement sur les anneaux qui t’enserrent. Je crois que la longueur maximale est 2,5 cm en tout. J’ai vu une photo d’une lopette qui en portait une, tu te débrouilleras pour que tout rentre. Rien ne doit dépasser hormis tes testicules.
– Chérie, j’ai déjà vu cette cage et elle me fait un peu peur : je ne suis pas sur de rentrer là-dedans ?
– Et bien, on verra. Tu te débrouilleras. Tu me dis que tu aimes être une femme ? alors je vais t’y aider (elle ne peut s’empêcher de rire avec moquerie). Honnêtement ça m’arrange car je ne rajeunis pas et je ne peux m’empêche de penser à ton avenir, le jour où je serai partie (son ton devient grave).
– Chérie, tu es en core jeune, je t’aime de tout mon cœur, et pour toujours, ne dis pas des choses tristes.
– C’est bien, ma petite lopette (elle se marre). Plus sérieusement, voici comment je vois les choses. J’ai lu que le port prolongé d’une cage peut diminuer les érections et les faire disparaître à moyen terme. Aujourd’hui, j’aime que tu me désires et que tu me prennes car j’adore sentir en moi ton sexe dur et tendu. Mais je ne supporterai pas que plus tard, quand je disparaitrai tu tombes amoureux d’une autre femme.
– Mais non, Chérie, je ne serais amoureux que de toi, vieille Maitresse adulée (je la provoque gentiment).
– Bon et bien dans ce cas là, comme tu dis que tu n’aimeras que moi, et que par ailleurs tu veux devenir progressivement une femme, je vais gérer ta cage de façon à te priver d’érections au fur et à mesure des années qui passent. Je veux que tu sois impuissant lorsque nous nous quitterons.
Je suis soufflé par cette demande d’une perversité inouie. Ma Maitresse de 72 ans est diabolique. Elle exige de moi plus que le maximum : Elle me demande d’abandonner ma virilité. Je reste sans voix en la regardant. Je lui demande doucement un peu de temps pour y réfléchir.
– Je veux ta réponse dans une semaine. Viens là que je trais ton sperme d’obsédé. Après, tu remettras ta cage en plastique courte que je ne retirerai que lorsque j’aurai ta réponse positive.
Ma belle-mère subit une opération
Depuis plusieurs semaines, Elle sait qu’Elle doit se faire opérer d’une hanche. Je l’accompagne à ses divers RV. Béatrice m’a demandé de poser une semaine de congés à partir de la date d’opération afin que je l’accompagne à la clinique et m’occupe d’Elle ensuite. Notre famille a été informée qu’Elle passerait sa convalescence chez moi. Ayant deux chambres, l’honneur est sauf, mais c’est limite. Ceux qui ont déjà un doute sur une relation qui va beaucoup plus loin qu’une grande affection sont confortés dans leur opinion que nous sommes devenus un couple.
Je la vois sombrer progressivement dans l’inquiétude et son humeur devient plus désagréable que d’habitude. Elle est sèche et ne me ménage pas. Je reste une semaine sans geste sensuel avant la date fatidique . Honnêtement, c’est dur. Je m’efforce d’être patient et tendre.
– Tu n’oublies pas mon RV avec l’anesthésiste ? C’est mardi à 15h. Ne sois pas en retard pour venir me chercher comme la dernière fois. Tu es pénible, je ne peux pas compter sur toi.
Béatrice me soule avec son opération et la gestion de la logistique pendant et après.
– T’es tu occupé des papiers ? C’est tout bon pour le devis et la prise en charge ? Tu resteras joignable à tout moment. Va me chercher cela à la pharmacie. Tu penseras tous les jours à passer voir si Jacques (son mari officiel) va bien et ne manque de rien. Poste ces enveloppes. Prévois des fruits frais à mon retour. Tu porteras bien ta cage, et mes culottes, n’est-ce-pas, etc….
Le jour de son opération est arrivé. Je retrouve ma Maitresse dans son lit à son réveil. Elle n’est pas belle, elle a le teint blanc, en nuisette coton épais, sans ses lunettes, des poches sous les yeux, des traits marqués, la peau du cou très flasque, des cheveux gris poussant à la base de sa coiffure clairsemée et en pétard, un petit duvet sous son nez.
Je me penche vers Elle et doucement approche mes lèvres des siennes bien pales : je craque, Elle se laisse embrasser. Sa main se tend vers mon pantalon : Elle vérifie que je porte ma cage.
– Chérie, je t’ai apporté l’essentiel de mon maquillage, aimerais-tu que je te donne un peu de couleur ?
– C’est trop gentil, pour une fois, j’aime que tu aimes te travestir : fais moi profiter de ton savoir-faire.
Je lui pose délicatement un léger fond de teint non gras, un trait de rimmel puis un léger voile sur chaque œil, je la coiffe puis pose un rouge léger sur ses lèvres. Elle a meilleure allure et je lui tend un petit miroir. Elle glousse, elle va mieux.
Plus tard, de retour à la maison, Elle me remercie doucement, puis m’autorise à me masturber exceptionnellement devant Elle. Ma cage retirée, c’est avec un grand soulagement que je peux enfin, sous le regard bienveillant de ma belle-mère, me vider en la regardant et calmer la tension qui dure depuis trop longtemps.
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