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Suzie 1

Suzie  1



Un petit bonheur

Montréal, St-Henry, 1984

Par un beau samedi matin chaud et ensoleillé de printemps, assit nu sur le sofa du salon, jambes écartées, ne portant que des bas nylons vert lime a large bande élastique décorative aux cuisses, je me faisais faire une pipe par ma copine sous le regard attentif du chat bien installé dans mon fauteuil préférer. Un gros matou de ruelle gris avec du long poil de Yack et des yeux verts luisants comme des pierres précieuses. Roulé en boule au soleil, il me fixait comme s’il m’enviait celui-là. Je ne pus m’empêcher de lui tirer la langue entre deux gémissements de plaisir tout en remontant mes bas qui faisaient paraître la peau lisse et laiteuse de mes cuisses longues et fines encore plus blanches.

Depuis que je suis tout jeune, j’adore m’épilé complètement et porter des bas nylons ou des bas culottes et toute sorte de vêtements féminins. Cela m’as toujours fait bander très dur et surtout jouir avec beaucoup plus d’intensités. D’abord les vêtements de ma mère quand elle était au travail, puis les miens quand j’ai enfin pu quitter la maison a 18 ans pour fuir ma région natale et émigré a Montréal, une vraie délivrance. Je me suis monté rapidement toute une garde-robe que j’achetais en général usager à l’armée du salut ou dans des friperies. Acheter du neuf en magasin était beaucoup trop gênant. J’ai toujours été très efféminé avec de belles courbes, une fille manquée en quelque sorte et la risée des autres a l’école et je m’en foutais royalement a l’époque. Alors en privé je m’habillais en femme, mais restais un homme au travail ou pour baiser des filles a l’occasion. C’était mon grand secret jusqu’à ce que je rencontre Suzie, une femme plus âgée que moi, et qu’on décide d’habiter ensemble. Quand je lui avais avoué mon petit penchant pour les vêtements féminins, elle avait voulu me voir en porter et cela l’avait allumé complètement. Non seulement ça lui plaisait que je me transforme en femme, mais elle m’avait convaincu de sortir ainsi tellement je donnais le change et même de vivre en femme, car j’étais bien plus heureux comme ça. Même baisé avec elle était plus bandant, plus excitant. Avec mes cheveux longs et fins teints en roux, ma taille de mannequin, un soutien-gorge à peine rembourré et un léger maquillage, j’étais vraiment jolie et tournaient les têtes. On passait maintenant parfois pour un couple de lesbiennes. Ça, c’était trop drôle.

Suzie, ne portait ce matin qu’une camisole blanche étirer par ses gros seins fermes qui se balançait mollement et un minuscule slip noir laissant a l’air la moitié de ses belles fesses bien rondes. Elle était à genoux entre mes jambes et elle y mettait du cœur à sa pipe, comme toujours. Cette femme-là adorait vraiment sucer. Son sein droit au minuscule mamelon rose était sorti de la camisole et heurtait le sofa en rebondissant. C’était si beau à voir que je souris, trop heureuse de ce traitement de faveur matinal en me languissant de plaisir la peau chauffée par les doux rayons du soleil entrant par une grande fenêtre a carreau sur ma gauche.

Suzie était un petit bout de femme aux épais cheveux bruns toujours tressés à la Française, dans la quarantaine, juste bien ronde comme je les aime ; jolie, grosse poitrine et beau cul bien rebondit. Une fille douce, gentille, intelligente et tout aussi vicieuse et voyeuse que moi, même plus parfois. Elle ne me refusait rien, je ne lui refusais rien, alors on filait le parfait bonheur depuis 3 ans.

Elle donnait de la tête depuis 10 bonnes minutes, mes couilles dans une main, me masturbant lentement de l’autre et j’étais sur le point de jouir, je n’en pouvais plus, ça me coupait le souffle, me rendait presque folle. Je soupirais, grimaçait en caressant mes petits mamelons si sensibles et serrait les fesses en gémissant de plus en plus, les orteils repliés dans mes bas tous les sens exacerber par cette pipe fabuleuse. Jamais je n’avais connu une fille qui suçait aussi bien et elle était folle de ma bite sans prépuce. Un beau membre droit et veiné de presque 8 pouces. Je me léchais les lèvres, goûtant mon rouge, tout près de l’orgasme, couilles rentrer par en dedans, scrotum durcit. Je me retenais de plus en plus difficilement voulant profiter au maximum de se moment fabuleux, mais le matin, c’est difficile pour moi de m’empêcher de jouir trop vite, moi le sexe, je préfère ça tôt dans la journée. Elle me suçait juste le bout de la bite en plus, c’était agaçant au possible et elle le savait bien, même que ça l’amusait de me voir grimacer autant. Mon gland en forme de cloche était tout rouge et luisant de salive. Par réflexe j’essayais de le pousser le plus loin dans sa bouche, mais avec sa petite main qui enserrait si bien ma hampe couverte de salive, c’était impossible, même un peu frustrant.

Cette femme-là adorait vraiment sucer, pas de doute là-dessus et elle le faisait bien, vraiment bien. Faut dire qu’elle avait plus de 30 d’expérience en la matière, car elle avait commencé très jeune apparemment, vers 12 ou 13 ans avec son jeune frère et ses cousins en campagne au fin fond de la Gaspésie — les chanceux. Ensuite ils l’avaient baisé à qui mieux mieux et elle avait adoré, m’avait-elle avoué, un soir en buvant du vin. Même qu’elle était vite devenue la fille facile du village et de son école. Elle aimait trop le sexe, c’est tout. Moi, j’aurais tout donné pour avoir une sœur ou une cousine aussi vicieuse sous la main. J’avais tout de même commencé à sucer des bites vers 13 ans moi aussi, celle de mon meilleur ami pour commencer, aussi vicieux que moi, même plus, puis celle de tous les gars que je pouvais dans ma ville natale. Un vrai obséder des pipes moi aussi. Ensuite il y avait eu les filles, et j’avais vite compris que j’étais bi et pas homosexuel comme je l’imaginais.

Posant une main sur sa tête, l’autre sur son sein a l’air, je sentais parfaitement mon gland glisser sur sa langue humide en frottant contre son palais, c’était vraiment flippant. Elle la sortait régulièrement de sa bouche pour reprendre son souffle en me souriant comme une gamine espiègle, mais surtout pour m’empêcher de jouir trop vite. Elle me la léchait alors de haut en bas, mordillait mon gland au passage à m’en couper le souffle et m’arrachai des cris de plaisir. Puis gobait mes couilles l’une après l’autre ou me titillait l’anus avec un doigt ou du bout de la langue en me regardant les yeux rieurs avant de me ravaler comme si ma queue était un délicieux dessert. Jamais de ma vie je n’avait connu une fille comme elle, une fille qui aimait tant ; toucher, caresser, lécher et sucer une bite, une vraie obsédée, comme moi d’ailleurs. Dès qu’elle voyait mon membre ou celui d’un autre, ses yeux bruns un peut brider se fermait presque et luisait de malice et elle mouillait.

Alanguie, le cœur battant, mes yeux à demi fermer river sur sa bouche arrondit ou sa grosse poitrine qui se balançait toujours mollement, je me retenais encore, dieu seul sait comment. Mes longues cuisses de fille, fine et délicate, se refermaient toutes seules contre ses épaules, mes pieds glissaient sur le plancher de bois franc, mes petites fesses serrer se contractaient. Seigneur ! Je me lamentais comme une pucelle qui se fait lécher le sexe pour la première fois. Je n’en pouvais plus, je ne pensais qu’à lui jouir dans la bouche, car elle avalait sur demande sans rechigner pour dire ensuite très souvent et tout heureuse – « Hum, il est bon ton sperme Pierre. »

J’ai assez sucé de gars dans ma vie et avalé de foutre depuis mes 13 ans pour savoir que ce n’est pas vraiment le cas, enfin, rarement. Mais bon, rien ne l’y obligeait, si elle aime ça, tant mieux pour moi, j’allais pas m’en plaindre et je lui rendais la politesse à volonté. Mon coup de langue était excellent apparemment.

— Suzie, je… ouf… je vais venir. Dis-je tout bas.

Elle la sortit encore de sa bouche, se lécha les lèvres en stoppant le vas et viens de sa main, en serrant ma hampe a la base contre mes grosses couilles comme un garrot pour m’empêcher d’éjaculer. Puis elle cueillit du bout de la langue une goûte de liquide séminal sur mon gland rougi si sensible, l’avala, puis se lécha encore les lèvres et me sourit en disant :

— Pas question, ces trop bons, ta trop une belle bite. Retiens-toi encore et arrête de te plaindre.
— C’est pas correct de me faire ça.
— Je sais, je suis vraiment méchante avec toi ma belle, fit-elle moqueuse en secouant ma bite avant de la frotter un moment contre son sein qui prenait l’air, contre son petit mamelon durcit.
— Ouf, Suzie…
— Mais qui aime bien châtie bien, non ?
— Oui, mais la, je.. Je sens que je vais m’évanouir… Je n’en peux plus d’être châtié.

Elle rit en rajoutant :

— Poff ! Menteuse.

Elle me ravala et le fabuleux supplice reprit. Quelle chance j’avais eu de rencontrer cette femme la.

Je fixer un instant le plafond en me languissant de plus belle avant de tourner la tête vers la grande fenêtre du salon a ma gauche qui donnait sur les cours arrière des immeubles voisins. Notre appartement était au troisième et dernier étage d’un bâtiment de brique centenaire. Un vieil italien voyeur nous espionnait avec des jumelles depuis 2 ans et il était là, fidèle au poste, au même étage que nous. Ça aussi ça me fit frissonner, comme d’habitude, de me savoir observer. Quand on en avait envie, on ouvrait les rideaux du salon et de la cuisine en grand comme maintenant pour baiser devant lui. Il regardait, toujours à moitié nu, juste un vieux t-shirt sur le dos en se branlant. On le voyait à peine, y comprit son gros membre recourbé vers le haut qui me faisait tout de même saliver. Voyeur a l’extrême nous aussi on comprenait bien le plaisir qu’il ressentait a nous reluqué et quand on le croisait parfois dans le cartier il se contentait de nous saluer en souriant. Il était le seul du coin a savoir que la jolie rousse que j’étais a l’époque avait une bite sous sa mini-jupe.

Suzie se foutait complètement de s’exhiber devant lui ou de n’importe qui d’autre, même quelle adorait. L’été, elle pouvait se mettre nue sur n’importe quelle plage juste pour le plaisir de se baigner nue, de faire du nudisme, qu’il y ait foule ou pas. De plus, cette femme-là était incapable de dire non a un homme ou de résister a une bite ( moi aussi d’ailleurs ) elle aimait le sexe plus qu’aucune autre femme que j’avais connue jusqu’à maintenant et ne me refusait jamais rien, le paradis. Et non, je ne suis pas jaloux et elle non plus. Même que la première fois qu’on avait baisé chez elle dans une minuscule chambrette, son voisin de palier avait débarqué. On l’avait baisé ensemble, cul et con, couille contre couille, mon premier trio. Il y en avait eu bien d’autres depuis ce temps, surtout avec notre meilleur ami qui venait faire son tour à l’occasion, une ou deux fois par mois. On buvait de la bière ou du vin avant de se ramasser au lit tous les trois. Il était bi lui aussi alors, on s’amusait bien. Rien de tel que de se faire enculé en enculant une femme, ou de lui mettre deux bites dans la chatte.

Mais là, je voulais en finir, je n’en pouvais vraiment plus.

— Suzie, fini moi, dis-je dents serrer, a bout de souffle, en appuyant plus sur sa tête tout en me lamentant presque fiévreuse.

Elle me regarda un instant les yeux vicieux et se mit a me masturber plus vite, ne gardant que mon gland entre ses lèvres luisantes de salive comme elle le faisait a chaque fois qu’elle se préparait a avaler mon foutre. La délivrance approchait ( merci, mon dieu. ) Les yeux mis clos je fixaient ses gros seins écrasés contre le sofa et mes couilles sans poil et son cul splendide en me raidissant. Ça y était presque… J’allais éjaculer, mon cœur pompait et je manquais de souffle les doigts de pieds tous raides. Mais soudain notre vieux téléphone noir a cadran des années 60 sonna juste à côté de moi en me faisant sursauter. Comme on avait pas de répondeur à l’époque, je devais décrocher sinon, ça risquait de sonner longtemps.

— Merde ! Fis-je agacer en me disant que c’était probablement pour me vendre un nettoyage de tapis.

Suzie stoppa, juste au bon moment, c’était rater, pour l’instant. Mon sperme resta dans ma hampe. Elle voulut se redresser pour répondre, mais je la forcer a continuer en appuyant fortement sur sa tête de la main droite tout en étirant le bras gauche pour décrocher le combiné.

— Oui ! Dis-je en voyant le vieil Italien qui se branlait toujours dans la pénombre de son salon en nous regardant à travers ses jumelles ? Je lui tirer la langue en souriant, il me rendit mon sourire.
— Salut, Pierre, ça va bien ?

Je figer de surprise langue sortit… La mère de Suzie au bout du fil. Elle habitait en Gaspésie à 12 heurs d’autobus de chez nous. Entendre sa voix, pile en ce moment, me donna des frissons supplémentaires, surtout en sentant les bas nylons me chatouiller les cuisses. Rien de plus bandant que de parler a une mère au téléphone pendant que sa fille vous suce la bite et qu’on porte des bas nylons, en tout cas, pour moi. Ça, c’était une première en 3 ans, c’était inattendu et des plus excitant. J’en frémis de plaisir.

— Oui, et vous ?
— Oui, merci, Suzie est là ?

Sa mère me faisait bander également parce que ces seins étaient deux fois plus gros que ceux de sa fille et qu’elle se ressemblait terriblement. Je ne l’avais jamais rencontrée, juste vue en photo. Les gros seins me rendre fou et j’aime les femmes âgées depuis l’enfance, depuis que je me branle, elles m’ont toujours exciter. Et la, juste de lui parler en imaginant sa poitrine me fit bander encore plus dure dans la bouche de sa fille. Dieu que j’aurais aimé que la mère soit là pour me sucer avec elle ou pour baiser ensemble. Mais sa mère était ultra religieuse, alors, ça n’arriverait jamais, même si elle était toujours très cool au téléphone, même si elle doit sucer elle aussi, les femmes le font toutes. Et évidemment, elle ne savait pas que ça fille habitait avec un travesti, elle en aurait sûrement fait une crise cardiaque.

— Suzie, c’est ta mère au téléphone, criai-je comme si sa fille était loin.

Suzie me regarda intriguer et je lui fis un clin d’œil.

— Elle est aux toilettes, Mme Cormier, elle dit que ce ne sera pas long.

Suzie stoppa, la bouche arrondit par ma queue, le menton plein de salive en réalisant que c’était sa mère au téléphone. Elle déglutit en écrasant mon gland contre son palais, je faillis exploser encore une fois. Je lui pesé sur la tête pour lui signifier de continuer, ce qu’elle fit sans rechigner sachant que j’étais tout près de jouir.

— Bon, je vais attendre. Répondit sa mère.
— Ça va bien en Gaspésie ?

Suzie stoppa et me mordilla le gland les yeux rieurs. Outch ! Seigneur ! Je déglutis en retenant un cri tout en me mordillant la lèvre inférieure en la fustigeant du regard. Elle rit en me donnant un baiser sur ses empreintes de dents bien visibles sur mon gland rougi.

— Oui et toi Pierre ? À Montréal, y doit faire chaud et humide, déjà ?
— Hein ! Eh… Oh oui ! Moi ça va, et votre gros chat, toujours aussi nono ?
— Va chier Pierre, dit-elle avec entrain avant d’éclater de rire avec moi.

Même si l’on ne s’était jamais rencontré, chaque fois qu’on se parlait au téléphone on s’entendait bien. J’aimais la taquiner sur son chat, car apparemment, son gros matou obèse regardait passé les souris sans bouger, comme le nôtre, qui me fixait toujours aussi intensément d’ailleurs.

V’là Suzie qui se suce le majeur de la main droite pour bien l’enduire de salive en me fixant droit dans les yeux, puis me le montre en souriant, me faisant un doigt d’honneur, avant de me le glisser tout doucement dans le cul l’autre main enserrant toujours ma hampe. Seigneur ! Ma bite raidit encore plus sous ses petits doigts. Qu’elle me fasse ça pendant que je parlais avec sa mère, c’était bandant à mort. Une fois son doigt bien enfoncer entre mes fesses, elle l’agita puis fit un lent mouvement de vas et viens qui m’agaça au possible.

Jésus, Marie, Joseph ! Me v’là la bouche ouverte à chercher mon air, les orteils tout croches dans les bas nylons et les yeux tout ronds.

— Pierre ! T’es fâché ?
— Hum ! Mais non ! Madame Cormier, vous êtes mal engueulé tabarnouche, vous avez pas honte ?
— Pentoute, je suis une fille de pirate moi et insulte plus mon chat ma tabarouette, sinon je descends a Montréal juste pour te donner la fessé.
— Comprit madame le pirate.

Elle rit tandis que je grimaçais terriblement, les joues en feux m’imaginant couché sur ses genoux, cul nu à recevoir une fessée la bite coincer entre ses cuisses en sentant ses gros seins appuyer sur mes reins. Oh oui ! Quand elle voulait.

— Et ma fille, toujours aux toilettes ?

« Non, elle me suce à nouveau en me masturbant et me passe un doigt dans le cul. »

— Eh oui, la grosse commission, j’imagine.
— Quant y faut, y faut.

Je me demandais ce que ça faisait a Suzie de me sucer et de m’enculer avec son doigt en sachant que je parlais a ça mère. En tout cas, elle sembla y mettre plus d’ardeur en agitant la langue autour de mon gland. Ses gros seins durs se bousculaient joliment et elle lâchait des ( Humrfff… Hurmfff… ) par le nez. C’était bandant comme tout, surtout son doigt allant et venant entre mes fesses. Le vieil italien devait en saliver comme un pitbull devant un facteur. Ça redoublait toutes mes sensations, ça agaçait tellement, a rendre folle. Même mes petits mamelons en étaient plus durs et beaucoup plus sensibles. Ça me fit penser qu’il y avait trop longtemps qu’un homme ne m’avait pas enculé.

— Et… et votre jardin ? demandai-je sans réfléchir.
— Sous 10 pieds de neige, nono, c’est pas Montréal ici et il y a un maudit raton laveur qui s’est installé dans mon garage… L’autre jour, je cherchais ma pelle quand…

Heureusement, sa mère aimait parler alors, je l’écoutais distraitement en regardant le beau cul rebondi de sa fille, ses seins et sa bouche imaginant sa petite culotte détremper. Je songer un instant a lui passer le téléphone pour la baisé pendant qu’elle parlerait a ça mère, lui faire rebondir les fesses et les seins, mais l’idée de lui jouir dans la bouche m’excitait plus que tout.

— … j’ai appelé l’exterminateur, mais…. Pierre, t’es là ?
— Hum, oui…
— T’as l’air essoufflé toi.
— Oui, je viens de.. de.. Ouf… de faire mon jogging.
— Par un froid pareil, tu vas att****r la mort.
— Mais non… je… ici il fait vraiment chaud.
— Vous êtes chanceux, fait que la, le gars s’amène, un beau gars à part ça, et….

En sentant mon scrotum durcir et des gouttes de liquide saler tomber sur la langue Suzie, je compris qu’elle avait compris que j’allais jouir cette fois. Elle me masturba avec vigueur au point où je devins tout raide et toute grimaçante en soulevant les jambes pour croiser mes pieds sur ses reins orteils retrousser au risque de percer mes bas nylons préférer. Je du mettre la main sur le combiner pour ne pas que ça mère, qui parlait toujours, ne m’entende gémir de plaisir. L’orgasme approchait, le sperme montait dans ma hampe, mon cœur accélérait et j’en avais le souffle coupé. J’en pleurais presque de plaisir.

— … pis la, y ma sauter dessus le maudit, pas le gars nono, le raton, et j’ai crié, et…

Et je jouis soudainement en retenant de peine et de misère un cri de plaisir. Mon premier jet de sperme jaillit avec force dans la bouche chaude de Suzie arrosant son palais puis sa langue. Elle sursauta un peu avant d’avaler rapidement, puis chaque giclée de sperme qui suivit. C’était divin, fabuleux, libérateur, surtout avec son doigt dans mon cul. J’en pleurais presque de soulagement. Je déchargeais en écoutant sa mère qui parlait toujours, mais distraitement, sentant la langue de sa fille écraser mon gland contre son palais chaque fois quelle déglutissant. Mon corps si féminin était parcouru de spasme, le cœur voulait me sortir de la poitrine. Mon anus expulsa lentement le doigt de Suzie, un petit plaisir de plus.

— Pierre !
— Hum !
— Je t’ennuie ?
— Oh non.
— Ça va ? On dirait que tu te tapes une crise cardiaque.
— Oh oui, je veux dire, oh non ! Pis, le raton laveur ?
— Yé mort.
— Pauvre lui.
— Bof ! Y va faire un bon ragoût.
— Hein !!!
— Mais non, je te niaise nono.
— Ben drôle, la Gaspésienne, fille de pirate. — Ma fille est-tu morte aux toilettes, cou dont ?
— Non, elle arrive justement…

J’avais fini d’éjaculer, j’étais à bout de souffle, soulager, alangui en reposant mes pieds par terre. Suzie se redressa, les joues rougies, les yeux vitreux en finissant d’avaler. Tout sourire, je lui donner le téléphone avant qu’elle n’est eu le temps de s’essuyer la bouche et le menton dégoulinant de sperme épais et gluant.

— Allo, maman, dit-elle assise sur ses talons me faisant des petits yeux méchants, tandis que je secouais ma queue rougit pour bien me la vider en jetant un coup d’œil au vieil italien en levant le pouce en signe de victoire, il fit pareil. J’en conclus qu’il avait dû jouir lui aussi.

La vie vous apporte de ses petits bonheurs parfois.

Fin

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