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Femme BCBG, escorte, non pute….(5)

Femme BCBG, escorte, non pute….(5)



Note du nègre : Afin de ne pas alourdir le texte, toutes les scènes de sexe sont toujours protégées par des préservatifs.

Des petits baisers sur mes yeux, mon nez, me ramènent à la réalité.
Je les ouvre, mon petit amour me prodigue ses baisers.
Nous nous étreignons de nouveau après la soirée que nous avons passée.
Anne porte une main à ma chatte et fait entrer deux doigts sur les bords de mes lèvres.
Je me mets sur le dos, j’ouvre les cuisses pour que sa petite main puisse progresser en moi. Anne hésite à aller plus loin, faisant comme elle l’a fait pour elle hier au soir, j’empoigne son poignet et le pousse en avant.
Elle arrive au plus large de son poignet, elle insiste un peu et mes parois vaginales s’écartent pour laisser passer ses doigts. Le sexe en ébène que Virginie m’avait introduite a déjà écarter ma vulve, mais cette main, même petite me procure une sensation bien différente, elle est chaude, elle bouge, elle est humaine, elle est celle de ma petite poupée.
— Va au fond mon amour.
Aussitôt elle donne le dernier coup de poignet et, par la même, déclenche en moi un orgasme montant du centre de mes entrailles.
Nous ne faisons plus qu’une par l’intermédiaire de cette main.
— Je peux écarter les doigts ?
— Oui, c’est si bon, n’hésite pas, je veux sentir ce que tu as senti hier.
— Ses doigts s’ouvrent, mes parties intimes se distendent et je repars vers les étoiles que je viens à peine de quitter. Elle attend que l’équilibre se refasse dans mon corps et commence à bouger sa main, elle la sort de presque la moitié pour la replonger au fond de ma grotte.
Je jouis, je jouis, je jouis encore…
Mon corps n’est plus qu’une jouissance, mon cerveau est déconnecté.
Le temps s’arrête, je viens encore de franchir une étape dans mon éducation sexuelle.
Ma puce arrête de bouger sa main, vient jusqu’à la hauteur de mon visage et pour la première fois nos bouches se trouvent, s’ouvrent, nos langues se tournent, se retournent. Elle finit par sortir sa main et comme pour elle un bruit de succion ce fait entendre. J’att**** cette main, la monte vers nos bouches et chacune nous léchons mes sécrétions émises par ma petite chatoune.
Anne se blottit dans mes bras, les yeux dans les yeux, nous nous regardons amoureusement.
Subitement un rire nerveux arrive à mes lèvres. Anne, forte étonnée, me regarde avec incrédulité pensant certainement avoir fait quelque chose de mal.
— N’ait pas peur, tu n’y es pour rien. Comme toi, j’ai été trahi par mon homme, qui avait un tout petit sexe qu’il faisait entrer dans ma chatte. Après la séance que nous venons de vivre toutes les deux, je voyais sa verge se perdre au centre de mon corps.
Elle éclate, elle aussi de rire.
— Tu viens à la piscine ?
Elle est d’accord, nues toutes les deux, main dans la main, nous plongeons ensemble dans cette eau agréable, la température étant énormément montée dans les dernières minutes entre nous.
Après le bain, nous mangeons et elle part rejoindre sa fille non sans oublier de me donner un tendre baiser. Virevoltante, elle s’éclipse, me laissant seule dans cette grande maison.

Ne sachant pas à quel moment Virginie va revenir, je m’installe devant la télé et lance le CD porno.
Une heure plus tard, c’est là que Virginie me trouve. Le film est fini, je n’ai rien eu le temps de voir, je me suis endormie comme une masse en deux minutes.
Les folies que j’ai faites avec mon corps ont eu raison de ma résistance.
Lorsque je me réveille, Virginie est nue près de moi sur le canapé.
— Je ne t’ai pas entendu arriver. Anne n’est pas là ?
— Elle est partie, il y a quelques minutes pour rejoindre sa fille.
— Comment vas-tu, as-tu fais bon voyage ?
— Ta soirée, c’est bien passé ?
— Comment était-t-on rendez-vous ?
— Avant embrasse-moi.
Nous-nous étreignons, retrouvant nos bouches qui se sont manquées depuis deux jours.
Repue de nos baisers, j’attends qu’elle me donne quelques renseignements sur son voyage à Londres.
— Tout c’est bien passé ?
J’ai retrouvé la capitale Anglaise pour une fois sous le soleil. A la sortie de la gare, j’ai pris un taxi qui m’a conduit à l’hôtel. Ma chambre était magnifique. Je me suis reposée quelque temps, nue sur mon lit.
Alors que j’allais me préparer, quelqu’un a frappé à la porte, j’ai ouvert dans le plus simple appareil.
C’est un chasseur qui m’apporte un exceptionnel bouquet de roses sur lequel un bristol est tenu par une agrafe.
Les yeux du chasseur sont exorbités. Il est rouge de confusion, ne sachant pas où poser son regard.
Les fleurs placées dans le vase sur la table, il prend le chemin vers la sortie. —— Attendez !
Je saisis mon sac et récupère un billet. Obligé, à mon appel, de se retourner, il ne peut échapper à la vue de mon intimité qui se trouve dans l’axe de ses yeux.
Rapidement il l’att**** et détalle le plus vte possible.

Après son départ, je me saisis du bristol.
Quelques mots écrits en anglais d’une écriture raffinée « Je m’appelle Patrick, je suis irlandais je vous attends à vingt heures au bar de l’hôtel »
A l’heure prévue, je pénètre dans le bar où de nombreuses personnes sont présentes. Je m’installe le carton à la main. Je n’attends que quelques secondes et un homme très élégant approche.
— Vous êtes Valérie !
Nom dont je me sers lorsque je rencontre des clients.
— Oui bien sûr !
— Vous êtes française, nous pouvons parler votre langue, je la pratique assez bien et cela me servira pour progresser.
Il m’entraîne vers une table ou deux autres couples sont installés. Patrick fait les présentations.
— Que voulez-vous boire ?
Lorsque je suis en mission, je ne prends jamais d’alcool. Je commande un cocktail aux fruits.
Patrick a déjà, en bon Irlandais, un double whisky dans son verre. Il m’explique que tous sont réunis pour fêter son anniversaire et comme il est seul dans sa vie, ses amis lui ont offert ma présence.
— Tu sais depuis que j’ai commencé à être escorte girl, tu ne peux pas savoir le nombres d’hommes seuls, fêtant leur anniversaire offert par leurs amis ont passé la soirée avec moi.
Ayant repris une autre tournée de whisky, nous partons vers un restaurant très chic. Repas de haute qualité que je déguste fidèle à mon habitude arrosé d’eau minérale.
Patrick continue à « carburer » au whisky. Les deux couples semblent légitimes. Ces dames sont très agréables et élégantes. Elles m’expliquent que les trois hommes ont un cabinet de gestion d’entreprise à Dublin.

Le repas terminé, nous prenons le chemin d’une discothèque très moderne.
Patrick commande une bouteille de whisky et une bouteille d’eau pour moi.
Nous dansons jusqu’au bout de la nuit. Patrick a de plus en plus de mal à tenir debout. J’ai vu défiler une, deux, trois bouteilles de whisky.
Vers quatre heures, les femmes me disent de rentrer me coucher. Elles assureront le retour des trois hommes.
Elles ont commandé un taxi qui m’a conduite à la porte de l’hôtel.
Je prends un bain et me couche en pensant à toi. Que faisais-tu avec Anne ?
Je me suis endormie jusqu’à onze heures, heures anglaises.
On frappe à la porte, j’ouvre le chasseur de la veille m’apporte une enveloppe.
Dommage je suis déjà habillée. Son regard marque sa déception. Il tourne les talons.
J’ouvre l’enveloppe, quelques mots « Sorry, bon retour en France. Patrick »
J’ai repris le train pour la France.
Avant Paris, mon téléphone sonne, il faut que je passe à une adresse donnée déposer mon passeport pour que l’on s’occupe de mon visa.
— Je dois me rendre en Russie pendant trois jours à partir de mercredi.
— Je prendrais un vol aux environs de 14 heures depuis Roissy Charles de Gaules. Vol direct pour Moscou. Je dois retrouver un monsieur « Igor » avec qui j’ai déjà passé des soirées.
— Et toi, qu’avez-vous fait toutes les deux, raconte moi ?.
Rouge de confusion, je bredouille quelques mots.
Elle m’arrête.
— Parle librement, je peux tout entendre.
Je reprends mon souffle et je me lance, je lui explique que la petite a voulu faire un sauna, où je l’ai rejointe.
Je lui raconte l’initiative que j’ai prise pour la première fois de ma vie en lui mettant ma main sur son mollet. L’initiative de faire monter ma main jusqu’à son genou. Celle qu’elle a prise, faisant tomber sa serviette, en saisissant mon poignet et en plaçant mes doigts au contact de sa petite chatte de poupée couverte d’une toison très noire.
En disant ses mots, mon cerveau fait repasser les images devant mes yeux, je sens que ma chatte mouille.
Le passage de mes doigts dans sa vulve, la pénétration de mes phalanges, de la partie épaisse du poignet sont autant d’images qui seront gravées à vie dans mon cerveau.
L’écartement de mes doigts lorsque j’atteins le font de sa grotte, les mouvements d’avant arrière et ses cris lorsqu’elle a joui.
Tout en expliquant ces moments intenses à Virginie, ma main s’est posée sur sa fente. Elle se laisse pénétrer par deux de mes doigts. Elle mouille, elle aussi.
Je lui conte notre nuit et notre réveil. La main de la petite au bord de ma vulve, ses doigts, son poignet, la pénétration maximale et l’écartement de ses doigts.
Mon premier orgasme, sa main et son poignet coulissant librement.
Mon ventre tendu à l’extrême et pour finir les râles de plaisir émis venus du fond de mon corps.
Virginie est aux anges en entendant mon récit.
— Anne et toi vous avez, seules, découvert le « fisting ». Vous savez, cette pratique sexuelle est utilisée par de nombreuses femmes.
Elle- même a eu une expérience de ce genre mais n’en a pas conservé un souvenir impérissable.
J’enlève mes doigts, lui fais sucer. Je prends sa tête et la conduits jusqu’à mon abricot qui n’est plus doré après le traitement d’Odile. Elle me lèche, me fouille avec sa langue, je jouis.

Le lendemain, nous reprenons le chemin de l’institut. Mon portable sonne, l’avocat du divorce m’appelle pour me faire savoir que l’appartement est vendu. Il peut donc démarrer la procédure de conciliation au palais de justice et d’ici quelques jours le juge nous convoquera. Je lui donne l’adresse de l’institut pour qu’il fasse suivre les papiers et les lettres de convocation.
La journée se passe rapidement, rentrez cher nous Virginie prépare ses affaires pour son départ le lendemain.

Le mercredi, elle part au début d’après midi vers l’aéroport. Vu mon travail, je ne peux l’accompagner. Je l’embrasse et la regarde s’éloigner les yeux embués.
A la fin de journée, je prends le chemin de l’auto-école. J’ais mon premier cours de code. Je m’y rends avec Odile.
Virginie, Anne ne pouvant pas passer les nuits à Chennevières, lui a demandé de m’emmener chez elle pour que je ne sois pas seule isolée.
Stéphane m’attend, nous passons dans la salle de projection où nous travaillons studieusement pendant une heure.
Le cours terminé, Odile et moi, prenons un taxi pour nous rendre à Montrouge où elle habite. Il nous dépose devant un immeuble de construction récente.
Nous prenons l’ascenseur jusqu’au quatrième, elle ouvre sa porte et entrons. Une voix masculine se fait entendre.
— Tout va bien ma chérie ?
Un homme apparaît, Odile me présente Alain, son mari. Je tombe des nues. Lorsque j’ai accepté de venir, personne ne m’a dit qu’Odile était mariée.
Bel homme, trente à quarante ans, il enlace mon amie et lui donne un baiser à la hauteur de son amour.
Il nous entraîne dans la salle à manger où le couvert est mis pour trois.
Voyant mon étonnement, Odile me dit qu’après que Virginie lui ait demandé de me recevoir, elle a téléphoné à son mari pour le prévenir de mon arrivée.
Odile m’installe dans la chambre d’amis et me montre la salle de bain.
Je fais un brin de toilette et les retrouve au salon. Nous prenons l’apéro, passons à table. Alain est un vrai cordon bleu, le jambon salade est savoureux, le plat magnifiquement présenté.
Nous prenons le café et devant nous lever de bonne heure, surtout lui, nous regagnons nos chambres. Je rejoins la salle de bain et prends une douche avant de retrouver mon lit douillet.
J’entends des bruits d’eau pendant quelques minutes. La porte de ma chambre s’ouvre, Odile m’apparaît nue.
— Je peux entrer ?
J’ouvre le drap du lit, l’invitant à me rejoindre.
— Et ton mari ?
Elle rigole.
— Nous sommes un couple libertin et vivons selon nos envies. Je t’expliquerai plus tard.
Elle m’embrasse, me caresse surtout les seins qui semblent pour elle une source de plaisir intense.
J’entends la porte s’ouvrir, je me retourne Alain est là, nu.
— Accepte-tu qu’il nous rejoigne. Tu sais nous nous disons tout et il sait ce qu’il s’est passé entre nous dans la cabine de l’institut.
J’ai un moment d’hésitation mais j’ouvre le drap pour qu’Alain prenne place à côté de moi.
Je sens pour la première fois depuis longtemps une peau d’homme le long de la mienne. Une peau d’homme et surtout une tige qui grandit le long de ma hanche.
Alors qu’il embrasse sa femme, elle prend ma main et la pose sur la verge de son homme. Celle-ci se développe encore et je peux contempler son membre puissant.
Me souvenant du film vu au pavillon, je me penche et embrasse son gland.
Le sexe d’ébène était légèrement plus gros mais cette verge ne manque pas de charme. Pour la première fois je prends une queue en bouche, je la suce, l’embrasse sur toute sa longueur et finit par la faire pénétrer jusqu’au fond de ma gorge. Contrairement à la première fois avec le gode, je ne m’étouffe pas.
Pendant ce temps, Odile a rejoint ma chatte qu’elle suce méticuleusement. J’ai hâte de sentir cette belle verge au fond de mon vagin.
Ne connaissant que la position du missionnaire, je m’allonge et écarte les cuisses.
— Non, viens t’empaler sur moi !
Voyant mon désarroi, Odile me fait pivoter au-dessus de son homme. Elle empoigne sa verge et la guide dans mon vagin.
Que c’est bon, que c’est chaud, que ça me remplit bien.
— Maintenant, fais coulisser en toi cette tige qui va te donner beaucoup de plaisir.
Je prends un rythme lent et rapidement mon plaisir monte en moi. Pendant que nous copulons, il m’embrasse les seins principalement mes tétons qui sont gonflés au maximum.
Que c’est bon une bonne queue bien grosse, bien tendue au fond de mon ventre !
Alain m’arrête.
— Je veux vous prendre toutes les deux. Odile, fais voir à notre nouvelle amie comment se mettre en levrette.
Elle prend la position me demande de faire de même, côte à côte, nous sommes à quatre pattes.
Alain passe dernière nous et prend mon amie par les hanches et plonge son sexe dans sa vulve. Il la laboure rapidement, Odile me regarde avec les yeux déjà troubles.
Nos bouches se trouvent, je sens sa première jouissance arriver sur mes lèvres. Alain se retire, m’empoigne à mon tour et me cloue avec son mandrin.
La sensation est bien différente de ce que je connaissais, son sexe va et vient à vitesse soutenue. Ses testicules viennent battre contre mon clitoris qui se trouve ainsi bien stimulé.
Il m’empoigne les seins si fortement, que j’ai l’impression qu’il veut me les arracher. Je jouis. Il me quitte et poignarde Odile. Il fait des aller- retour en chacune de nous de plus en plus rapidement. J’ai l’impression que sa queue est en permanence en moi. Une immense jouissance nous saisit toutes les deux au même moment. Il passe devant nous et pressente sa tige à nos bouches. Nous la suçons chacune à notre tour ou, nos langues se retrouvent le long de cette verge. Odile lui malaxe les boules, je l’imite, il faut bien apprendre.
— Je vais partir. Vous êtes prête ?
Odile lâche la verge et ouvre sa bouche, je l ‘imite, joue à joue, un, deux, trois jets de sperme partent vers nous. J’ai la chance qu’un de ces jets arrive au fond de ma gorge. Chacune notre tour, nous reprenons en bouche l’intimité de notre partenaire. Il pousse des râles de plaisir que j’entends aussi distinctement pour la première fois.
Pierre, lui, lorsqu’il déchargeait dans ma chatte, fermait hermétiquement la bouche, son éducation l’empêchait de faire apparaître son plaisir.
Voyant Odile avaler le sperme de son homme avec envie, je l’avale moi aussi .
Le goût un peu fade, n’est pas désagréable.
Vidés, surtout Alain, nous sombrons dans un repos bien compensateur.
Le matin le réveil sonne. Je constate que discrètement notre homme s’est levé et est parti travailler.
Nous nous préparons et nous prenons le chemin de l’institut.
La journée passe rapidement, vu la charge de travail. Je reçois simplement un appel de la momie de Pierre, bref de l’avocat. Je vais recevoir la convocation au palais pour le mardi après midi suivant, mon ex étant à Paris ce jour là.

Le soir, nous faisons ensemble le chemin de Montrouge avec Odile.
Avant de monter, nous passons dans une charcuterie acheter le repas du soir.
Alain n’est pas encore rentré, nous préparons la table, il arrive, nous embrassent et nous mangeons rapidement.
Il nous propose de rejoindre la chambre.
— Acceptes-tu de devenir notre esclave, dans le respect de ta féminité et de ton honneur ?
Odile me dit d’accepter, je ne le regretterais pas.
— Faites de moi ce que vous voulez.
Odile me couvrir les yeux avec un loup. Je ne vois plus rien.
Pendant ce temps, Alain me déshabille, Il m’installe sur le lit et m’attache les mains avec une cordelette douce comme du velours au montant de lit. Je ne peux plus m’échapper.
Es-je vraiment envie de m’échapper ?
Suis-je vraiment leur esclave ?
Ne suis-je pas simplement à la recherche de mon moi intérieur ?
Est-ce que je ne suis pas simplement dans l’attente de savoir jusqu’où mon corps est capable de rejeter mon éducation rigoriste ?
Lorsque je ne peux plus me défendre, est-ce bien sûr la cordelette est si fine ?
Je suis persuadée que si je tire dessus, elle cédera, je pense que ce ne sont que des liens psychologiques.
— Odile, va trouver dans la rue, un inconnu qui a envie d’une cochonne !
Un instant je me crispe, mais l’envie de casser mes barrières, me fait accepter la situation.
La porte claque, Alain est seul avec moi, il me prend immédiatement avec son sexe.
Les mouvements dans ma vulve, liés à l’attente q’un inconnu arrive à son tour pour me prendre font rapidement monter en moi un premier orgasme.
— Place-toi en levrette petite femelle, il va arriver !

Peu de temps s’est écoulé quand le bruit de la porte se fait entendre.
— Enter !
Alain s’est retiré, mon sexe est en attente.
— Déshabillez-vous, elle vous plaît ?
Un grognement semble dire oui.
— Tu verrais le beau morceau bien tendu que je prends en bouche mon cœur. Allez- y elle est à vous !
Mon ventre n’en peut plus d’attendre, qu’il vienne vite, je l’attends, même si mon cerveau se demande, comment est-il, grand, petit, gros, maigre, beau ou laid.
Je sens un mouvement sur le lit, deux doigts fouillent ma vulve.
D’un coup, je sens un mandrin écarter mes grandes lèvres et pénétrer aux tréfonds de moi.
Quelle sensation ! Ses mains se posent sur mes hanches en appuyant légèrement pour que je me cambre, mon sexe s’ouvre un peu plus, il gagne quelques millimètres.
Un inconnu me fouille, pourtant, je l’admets, la quête de mon plaisir me fait accepter bien volontiers cette situation.
La verge dans mon con, a des mouvements d’avant arrière très lents comme si l’homme qui me besogne voulait, me donner du plaisir et faire durer son plaisir. N’a-t-il pas beaucoup de chance de baiser cette jolie femme !
Une bouche vient à la hauteur de mon visage et une langue me lèche amoureusement, le nez, les oreilles.
Je sens Odile à coté de moi, son parfum arrive à mes narines.
— Alors qu’en penses-tu, c’est bon de se faire prendre par un inconnu ?
La boule qui monte dans mon ventre me confirme que la situation qu’ils me font vivre est exceptionnelle.
Je jouis, plus que cela, je n’ais jamais senti une telle jouissance dans ma vie.
La verge se retire.
— Alain, reprends la, pendant que sa vulve est chaude, ne laisse pas retomber son plaisir. !
Aussitôt il s’exécute, je sens bien les mouvements de mon premier amant plus forts, plus virils que ceux de l’inconnu. Les deux verges qui se succèdent son relativement de même taille.
En maîtresse de nos jeux, Odile commande.
— A vous monsieur, reprenez là.
l’inconnu me ré enfile.
Aussitôt les mouvements plus lents dans mon vagin recommencent.
Que c’est bon ! Que je jouis, jouis, jouisssssssss.
— A toi Alain !
De nouveau son sexe remplace l’autre et reprend son mouvement plus rapide.
— A vous !
Changement de sexe, avec en plus de la pénétration et les mouvements plus doux, des caresses sur mes hanches, mes fesses, sa main entoure mon corps et ses doigts viennent stimuler mon clitoris.
Une fois de plus un, deux, trois orgasmes me dévastent. Ma chatte est en feu. Enfin, celui qui est en moi pousse un cri de jouissance et je sens les jets de spermes venir taper mes cloisons vaginales à travers le préservatif.
— Veux-tu que je te libère ?
— Oui ma chérie !
Elle m’enlève les cordelettes et le loup.
Quelques secondes je ne vois rien.
Pourtant je souhaite voir cet inconnu qui a été si doux avec moi, je me retourne, surprise !
Alain et Odile sont seuls derrière moi.
Une fraction de seconde je suis triste que l’inconnu soit parti si rapidement.
— J’ai vécu la même situation, et ai ressenti la même frustration. Nous n’avons toujours été que trois dans la pièce. Alain a joué le double rôle de ton amant et de l’inconnu. Un simple jeu de vitesses, rapide ou lente, lorsqu’il te faisait l’amour t’a donné l’illusion qu’ils étaient deux.
Je tombe dans leurs bras, je les embrasse avec tellement d’amour dans les yeux.
Nous-nous endormons rapidement. Dans mes songes, un homme tronc sans visage me donne du plaisir jusqu’à ce que mon cerveau déconnecte.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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