Soumis malgré moi – part 6 (BDSM) – Rencontre inattendue
Enfin une bonne nuit de sommeil. Mais vu tout ce qui s’était passé la veille il n’est pas étonnant qu’il en soit ainsi.
Une très bonne nuit mais un réveil très douloureux, mon érection matinale était telle que j’avais du mal à me redresser droit et à marcher jusqu’au toilette. Il faut dire qu’avec la session de Sophie d’hier, j’étais gorgé de sperme qui ne demandait qu’à sortir.
Pour me calmer et stopper la douleur, je vais même me passer de l’eau froide au pommeau de douche pour que mon sexe diminue.
Comme chaque matin, je me sers un café et je consulte ma boite mail.
Presque sans étonnement, j’ai un nouveau message.
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Bonjour Sue,
Comme je te l’ai dit hier, profite bien de cette journée pour te reposer en restant chez toi.
Je veux aussi te dire que notre communauté apprécie tes galeries photos et que ceux qui t’ont rencontré donne plutôt des avis prometteurs sur la nouvelle vie qui commence pour toi.
Soi irréprochable demain soir avec mes invités.
Madame Emmanuelle
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Je profite donc de cette journée de calme pour faire le ménage de fond chez moi.
Après avoir fait tout le rez de chaussé, je m’attaque à la chambre que j’avais laissé en l’état la veille. Rien que la vision de la chaise et des accessoires qui trainent au sol et me voilà à nouveau en érection comprimé par ma cage. En m’approchant, je distingue directement l’auréole laissé au sol par la cyprine de Sophie qui avait coulé de son sexe. Je n’avais pas remarqué la veille mais elle avait mouillé énormément car la tache au sol qui n’a même pas l’air séché fait presque 10 cm de diamètre à vue d’œil et 1 mm d’épaisseur.
Sans comprendre pourquoi, je me mets à genoux et lèche une première fois la cyprine séchée. Elle n’a quasiment pas de gout alors je recommence plusieurs fois. Au fur et à mesure, ma salive dessèche la cyprine et le gout et l’odeur deviennent alors de plus en plus prononcée. Je suis excité comme un fou de me voir ainsi faire mais aussi un peu surpris par mon comportement. Ceci étant, je lèche toute la cyprine et le sol parait comme neuf lorsque j’ai fini.
Le ménage fini, je prends une bonne douche, grignote un morceau et décide d’aller faire quelques courses. Assez peu de monde dans le magasin à cette heure de la journée, je décide donc d’aller dans le magasin et de ne pas faire une commande au drive.
Comme prévu, peu de monde. Il ne me reste que quelques achats à faire quand j’entends derrière moi un homme dire
« Bonjour Sue ».
Je suis tétanisé. Qui est-ce ? Et pourquoi cet homme me renvoi à mon statut de soumis en m’appelant Sue dans cet endroit public ? Que va-t-il m’arriver encore alors que cette journée devrait être une journée de repos accordé par Madame Emmanuelle. J’ose à peine me retourner, mais de toute façon que faire d’autre…
« Bonjour Monsieur » lui dis-je en me retournant.
C’est un homme mûr qui doit avoir environ 55 ans, en costume avec une mallette en cuir, taille et corpulence moyenne, rasage et coupe de cheveux impeccable : Un homme passe partout qu’on ne remarque pas, style commercial.
– Alors Sue, tu n’as encore pas compris la règle n° 5. Manu en était persuadé et m’a demandé de la rappeler à nouveau si nécessaire. Tu vois de quelle règle je parle ?
– Oui, il me semble que c’est celle qui me demande d’obéir mais je ne comprends pas car je n’ai pas …
– Tu n’as pas quoi ? dit-il d’un ton sec.
Mon cerveau entre en ébullition, j’ai beau chercher, je ne vois pas du tout à quel moment j’ai désobéi mais je vois bien sur son visage et sur le ton qu’il a pris pour me couper la parole que j’ai fait quelque chose que je n’aurais pas dû. Mais quoi ? Et que va-t-il encore m’arriver car je sais bien que si une règle n’est pas suivie, une punition tombe immédiatement.
– je m’excuse mais je…
– tais-toi Sue !!! Déjà tu commences par t’adresser à moi en disant « Monsieur ». Maintenant, je te laisse 10 mn pour finir tes courses. Tu m’attendras avec ta voiture à la sortie du parking et tu me suivras. J’ai moi aussi quelques emplettes à faire.
Je fini donc rapidement mes courses en n’arrêtant pas de penser à ce que j’ai bien pu faire depuis ce matin pour enfreindre cette règle n°5.
Cela fait 5 bonnes minutes que j’attends dans ma voiture quand je vois des appels de phares dans mon rétroviseur. Je démarre et suit la voiture comme il me l’a demandé. C’est une énorme berline allemande noire aux vitres teintées immatriculée au pays bas dont je n’ose même pas imaginer le prix.
Après seulement quelques kilomètres, la berline s’arrête sur un parking, la vitre se baisse et l’homme me fais signe de venir le rejoindre.
Au moment où j’arrive au niveau de la voiture, il me dit sourire aux lèvres
– Montes derrière, la place de devant est réservée aux amis, les soumis c’est derrière…
J’ouvre la portière, les sièges sont en cuir noir intégral et la place ne manque pas. La berline est équipée d’une vitre de séparation actuellement baissé, d’accoudoir pour chaque passager, de tiroir de rangement sous les sièges avant et arrière et il y a même un mini bar entouré de LED bleu sous l’accoudoir central.
– Allez montes !!!
– Oui Monsieur.
– Ouvre le tiroir sous le siège passager et équipe-toi maintenant. Ne garde aucun vêtement sur toi.
Sans attendre, je m’exécute et ouvre le tiroir. Il est encore plus grand que ce que je pensais et je comprends que je risque de ne pas rentrez de sitôt en voyant ce qu’il contient :
Deux petites boites (une bleue et une rouge), 1 paires de bracelets en cuirs relié entre eux avec chaine d’environ 20 cm, 2 bracelets plus petit, un collier muni d’anneaux argentés, un plug de taille raisonnable (env. 4 cm de diamètre et une longueur de 10-12 cm), un bâillon boule, un bandeau, une chaine de 30 cm de longueur et une petite dizaine de cadenas ouvert.
– Ouvre la petite boite bleue en premier et passes-moi la chaine et les deux gros cadenas. Quand tu seras équipé, tu ouvriras la boite rouge avant de mettre le bandeau et j’attacherais alors tes mains dans le dos. Allez dépêches toi !!!
Pratiquant régulièrement l’auto-bondage, je n’ai aucun problème pour savoir à quoi sert chaque accessoire. Une fois totalement nu, à l’exception de ma cage, j’ouvre cette fameuse petite boite bleue dans laquelle je trouve deux pinces à seins avec des petites clochettes que je positionne sur mes seins et un sachet monodose de lubrifiant. Le pincement est supportable, j’ai connu des pinces qui faisaient beaucoup plus mal mais je sais très bien que la douleur sera proportionnelle au temps que je devrais les garder, je fais donc bien attention à les positionner correctement.
Je passe aux bracelets de poignet, au collier puis aux bracelets de cheville qui sont déjà reliés entre eux par une chaine de 20 cm. Les bracelets sont en cuir noir dont l’usure montre une utilisation intensive et l’intérieur est molletonné noir lui aussi. Leurs fermetures est simple : un œillet en métal avec crochet que l’on fait passer dans un trou pour fermer ensuite par un cadenas. Autant l’on peut envisager de se détacher avec des bracelets standards, autant l’on sait qu’avec ce type de fermeture, il est impossible d’enlever les bracelets sans avoir la clé du cadenas.
Je prends le sachet de lubrifiant et en applique sur le plug. Il rentre sans aucune difficulté, je me dis même qu’il pourrait ressortir si je ne serre pas mon sphincter.
En attrapant le bâillon et le bandeau, je continu à réfléchir sur mon erreur. Impossible de tenir plus longtemps et comme je vais bientôt porter un bâillon, je dis :
– Excusé moi Monsieur, mais pouvez-vous me dire ce que j’ai bien pu faire s’il vous plait.
– mets ton bâillon !!! Prépare le bandeau et ouvre la boite rouge.
Puis avec à nouveau un petit sourire sadique,
– la route est suffisamment longue, nous en discuterons.
Je ne savais plus quoi penser sauf me poser des questions : pourquoi suis-je la ? Discuter ? Alors que je vais être bâillonné tout le trajet. Et où va-t-il m’emmener ?
Je mets donc le bâillon et j’ouvre la boite rouge.
– Ouvres les deux fioles et vides les dans le verre qui est ici me dit-il en me montrant le porte gobelet placer juste derrière l’accoudoir central. Après tu mets ton bandeau et tu te rapproches que je puisse attacher tes poignets dans le dos.
J’ouvre les fioles dont je reconnais la marque très connue de vaso dilatateur « poppers » et les vides dans le verre. J’attache le bandeau et m’approche de la banquette avant en me retournant.
Il m’attache les poignets ainsi que le dernier maillon de la chaine avec un cadenas puis tire la chaine vers le haut et utilise l’autre cadenas pour fixer un des maillons au collier. La position est très inconfortable, mes poignets sont remontés au milieu du dos et tire sur mon cou, je dois rester tout droit même cintré en arrière pour ne pas trop tirer sur le collier et m’étouffer ce qui étire mon torse et provoque des douleurs aux seins.
J’essaie de me pencher en avant pour réduire cette douleur mais impossible de rester ainsi car mes bras tirent tellement que je risque de finir par m’étouffer alors que j’ai déjà de la peine à respirer avec le bâillon boule dans la bouche.
L’odeur du Poppers commence à se rependre dans la voiture, deux fioles dans un si petit environnement vont rapidement faire leurs effets. Je connais justement les effets et sais très bien ce qu’il va surement m’arriver, je vais surement avoir droit à une sodomie. C’est à ce moment-là qu’il referme la vitre de séparation pour ne pas inhaler lui aussi le poppers et me dit :
– Nous allons discuter un peu comme promis Sue. Nous avons un peu de route avant d’arriver à destination. Installe-toi au mieux.
Je suis surpris par le changement de sa voie qui provient de deux enceintes situées de chaque côté des sièges. J’essaie tant bien que mal de trouver une position confortable mais impossible d’y parvenir. Entre les pinces qui me meurtrisses les seins, mes poignets attachés dans le dos relié au collier et la chaine à mes chevilles, le plug, la meilleure position que de je trouve est allongé sur le coté sur la banquette.
Je ne mets pas longtemps à comprendre pourquoi il m’a fait vider les fioles dans un grand verre à whisky alors qu’habituellement, on enlève seulement le bouchon lorsque j’entends la ventilation du chauffage se mettre en route.
D’une part, la surface d’évaporation est plus importante mais surtout, comme le porte gobelet est placé juste en dessous de la bouche de ventilation l’odeur du poppers devient beaucoup plus intense et les montées de chaleurs commence à se succéder presque sans interruption.
Je suis soulagé lorsque j’entends le ventilateur s’arrêter et je constate que je ne ressens quasiment plus de douleur aux seins ou dans les bras. Mon esprit est ailleurs…
Commence alors le Monologue :
« Je vais commencer par te rappeler la règle n°5, tu ne dois pas désobéir sinon c’est punition. Et c’est ce qui est en train de t’arriver. Tu as réfléchi à ce que tu as bien pu faire je pense et à priori tu ne vois pas pour quelle raison tu es dans cette situation. Je vais t’aider un peu en te donnant un indice, tu me donneras la réponse tout à l’heure lorsque nous serons arrivés à destination. Repense bien au mail de Madame Emmanuelle. »
J’ai beau réfléchir, je ne comprends pas, dans mes souvenirs, les seules demandes de Madame était de me reposer et d’être irréprochable demain pour ses invités. En tout cas pour ce qui est de me reposer cet après-midi, je pense que cela ne va pas être le cas.
« Une petite présentation s’impose me dit-il en rallumant le chauffage qu’il laisse tourner une dizaine de secondes. Mes amis m’appellent Mister Deep, tu comprendras pourquoi plus tard, mais je te rappelle que pour toi c’est Monsieur. Cela fait plus de 10 ans que je suis dans le cercle de Madame, elle me fait totalement confiance, toutes les soumises et soumis passe au moins une fois entre mes mains lors de leur formation.
Nous sommes quatre à former systématiquement les soumis, tu connais déjà le Dr Berthier, il est toujours le premier car il faut un examen médical pour éviter les risques de MST. Chacun a plus ou moins une spécialité, pour ma part je vais te faire découvrir des choses que jamais tu n’aurais pensées pouvoir faire. Tu devrais rapidement faire la connaissance de Maitresse Anna et de Maitresse Cloé. »
Il remet en route le chauffage à nouveau une bonne vingtaine de secondes me provoquant de nouvelles montées de chaleur. Je suis déjà presque étourdi à force de respirer non-stop le poppers, mais quand il met le chauffage, cela devient presque intenable et je n’ai aucun moyen de le dire ou le montrer, je suis livré à mon propre sors au bon vouloir de Mister Deep.
« Mon donjon est dans une petite ferme isolée poursuit-il, tu connaitras l’adresse si tu es admis officiellement dans le cercle, mais d’après ce que j’ai vu cela ne devrait pas en être autrement. Nous y passons des week-ends entiers les étés, c’est amusant de mettre quelques fois les soumises et soumis en compétition. »
J’entends derrière ses derniers mots le kit main libre de son téléphone sonner. Puis plus rien, il vient de couper le son. Le seul bruit que j’entends à présent est celui du chauffage qu’il vient de remettre en route.
La conversation dure bien une dizaine de minutes. Pendant tout ce temps, le chauffage s’arrête une minute puis ce remet à nouveau en route quelques secondes et ainsi de suite. J’essaie de trouver une position plus confortable mais rien à faire. Je passe donc mon temps à réfléchir au mail de Madame Emmanuelle entre les montées de chaleur provoquées par la ventilation.
Nous arrivons me dit-il, plus que quelques minutes.
Je suis soulagé de savoir que ce calvaire va prendre fin. Enfin, le calvaire du trajet car je sais bien que Mister Deep n’en a pas fini avec moi.
La voiture s’arrête. J’entends le grincement du portail automatique s’ouvrir, et nous roulons à nouveau 1 bonne minute avant de stopper complètement.
La portière arrière s’ouvre et Mister Deep retire mon bâillon. Je sors tant bien que mal de la berline et constate que nous sommes bien dans la cours d’une ferme totalement isolée du monde. En revanche ce qu’il appelle une petite ferme est plutôt ironique…
Devant moi se présente un énorme corps de ferme qui fait penser plus à une sorte de gîte, il doit y avoir au minimum une bonne vingtaine de pièces vu de l’extérieur. Un second corps de ferme sur le côté gauche qui doit être d’ancienne écurie, et une forêt sur la droite parfaitement entretenu.
Mister Deep retourne à l’avant de la voiture et en ressort une énorme clé ainsi qu’une laisse qu’il attache à mon collier en cuir et commence à s’avancer vers la porte d’entrée. J’ai de la peine à le suivre avec mes 20 cm de chaine qui entrave mes chevilles et manque même de tomber 1 ou 2 fois. Les petites clochettes à mes seins retentissent à chaque pas et chaque fois qu’il tire sur la laisse quand je ne vais pas assez vite mes bras remonte dans le dos et me donne des douleurs à en oublier celle des pinces à seins. Heureusement pour moi, il n’y a pas d’escalier sur le seuil de la porte sinon je me demande bien comment j’aurais pu le suivre.
Nous entrons directement dans une cuisine comme souvent dans les fermes qui flash avec l’extérieur du bâtiment car elle est aménagé dans un style moderne. Placards noirs laqués, cuisinière avec 9 feux et un immense four, plan de travail en inox au centre de la pièce, toute une batterie de couteau et d’ustensiles de cuisine bien alignée sur un des murs et bizarrement aucune chaise dans la pièce.
– Attend moi là me dit-il.
Il se dirige vers la pièce suivant que je n’arrive pas à entrevoir et reviens avec un trousseau de clés. Il att**** la laisse et m’emmène vers l’autre bâtiment en passant par l’extérieur. Il ouvre la porte et j’ai presque l’impression de me retrouver dans le sous-sol de Madame Emmanuelle. La décoration est quasi identique à son donjon, on dirait un vestiaire. Des casiers sur les côtés de la pièce, une table basse au milieu, deux bancs et des vitrines exposant un nombre incalculable d’accessoires sexuels SM.
– je vais te libérer quelques minutes. Va te laver là-bas, extérieur et intérieur comme d’habitude, tout doit être impeccable. Fais vite!!!
il commence par m’enlever le bâillon me laissant ainsi respirer un peu mieux et retire d’un coup les deux pinces me faisant lâcher un « Ah » de douleur. Il retire tous les autres accessoires de retenus et fini par tirer d’un coup sec le plug. Je n’ai même pas de sensation lorsqu’il l’enlève surement dû au fait d’avoir inhalé le poppers pendant tout le voyage.
Je me dirige donc vers la porte qu’il m’a montrée et entre dans une sorte de salle de bain ou il y a uniquement des douches non séparées et des tuyaux muni de canule à lavement et un WC servant à se vider.
Je fais aussi rapidement que je peux et insiste bien sur le lavement car je ne pense pas que le poppers était là par hasard. A peine sortie de la pièce, Mister Deep me dit en montrant une autre porte :
– Vas t’installer la bas Sue, j’arrive dans trente secondes le temps de refermer la porte à clé.
– oui Monsieur.
Je n’ose même pas poser de question ou dire autre chose, j’ai trop peur qu’il me remette le bâillon car ma mâchoire est encore un peu douloureuse et je me dirige vers cette nouvelle pièce ne sachant pas ce que je vais y trouver.
J’entre et y découvre une pièce plutôt petite comparé au reste de ce que j’ai vu. Des placards contre les murs totalement opaque ne laissant pas voir ce qu’ils contiennent, un lavabo de type cuisine ou médical que l’on actionne avec le pied, une petite table haute à roulette et une table de massage horizontale avec deux étriers gynécologique muni de sangle de maintien au niveau des reposes jambes.
Pas besoin d’explication supplémentaire pour comprendre que je dois m’installer sur cette unique table ce que je fais immédiatement. Je me retrouve allongé sur le dos, les jambes posées sur les étriers à attendre le retour de Mister Deep qui ne se fait pas long.
– Alors Sue, tu as eu le temps de réfléchir, tu sais pourquoi tu en es arrivé ici?
– Non Monsieur, je ne vois pas pourquoi Monsieur.
– Madame Emmanuelle t’as demandé de te reposer chez toi aujourd’hui, oui oui, chez TOI. Et malgré cela, tu décides d’aller faire des courses.
– Mais Monsieur, je ne….
– Tais-toi Sue, tu es ici pour recevoir ta punition, tu ne recommenceras pas après cela… Enfin peut être que si dit-il avec un large sourire. Maintenant commençons !!! Et je ne veux pas t’entendre te plaindre sinon je te remets un bâillon et pas un petit comme tout celui de tout à l’heure !!!
Il s’approche et me passe à nouveau deux bracelets en cuirs aux poignets et m’attache à deux anneaux que je n’avais pas remarqué situés le long de la table à peu près au milieu. Il continu par me sangler les jambes, plie la table en deux laissant ainsi mes fesses au bord de cette demi table avec un accès complet à mon cul et va vers un placard situé derrière moi. Je ne vois pas ce qu’il contient mais je l’entends poser des accessoires sur la table à roulette.
J’imagine déjà ce qui va se passer, il va me travailler l’anus et son surnom m’inquiète un peu mais pourtant, je n’ai jamais imaginé ce qui va finalement arriver.
Il revient vers moi et je le vois sortir une clé que je reconnais immédiatement : la clé de ma cage. Il me la retire laissant voir sur mon sexe toute les marques causé par la cage et reprend la discussion.
– Alors Sue, par quoi allons-nous commencer.
Je reste de marbre et bouche bée, de quoi parle-t-il? Il va y avoir plusieurs choses qui vont se passer alors.
– Ok Sue, c’est moi qui vais décider. De toute façon tu n’es pas en position de décider.
Il sort alors la même pochette qu’avait Sophie avec les tiges d’urètres à diamètre progressif. Il enduit de lubrifiant directement la tige de 9 mm sans passer par les plus petites et l’insert dans mon urètre. Elle rentre très facilement et s’enfonce totalement dans mon sexe.
– Je vois que le poppers fait son effet Sue, tu ne vas pas en revenir de ce que ton corps peut faire.
Il va alors vers une seconde armoire et revient avec un plug d’au moins 6 cm de diamètre qu’il lubrifie et m’introduit sans ménagement dans l’anus. Comme la tige, celui-ci rentre facilement, comme si mon anus était habitué à avoir des gros plug quotidiennement.
La vision suivant me fait sursauter sur la table et j’ai les yeux écarquillés qui en dise long sur la peur qui monte en moi. Je sais ce qu’il vient de prendre sur la table pour en avoir vu sur internet et dans quelques vidéo SM. Mister Deep viens de sortir une sonde urinaire d’une trentaine de cm pourvu d’un petit ballon gonflable pour qu’elle reste bien en place. Je commence à comprendre le surnom de Mister Deep, je pensais que j’allais avoir droit à un travail anal mais ce n’est pas le cas.
Il me retire la tige, lubrifie la sonde et commence à l’insérer. Les 20 premiers cm passes comme si de rien n’était et d’un geste chirurgicale, il force l’entrée de ma vessie provoquant en moi des sensations totalement inconnu mais finalement pas si désagréable et douloureuse que je l’aurais pensé. Il gonfle le ballonnet et att**** un bocal pour me vider la vessie. La sensation est très bizarre, je sens ma vessie ce vider toute seul sans pousser et sans aucune sensation de passage de l’urine dans mon urètre.
– Passons au snake Sue, tu m’en diras des nouvelles…
Le snake ???? Qu’appelle-t-il le snake pensais-je intérieurement.
Il se dirige de nouveau vers l’armoire et revient avec un gode que jamais j’aurais pensé utiliser un jour. C’est le fameux gode « colon snake », 1,5 cm de diamètre avec un petit trou au centre pour une modique longueur d’un mètre. Je me dis qu’il sera impossible qu’il puisse entrer en entier, mais combien de cm va-t-il pouvoir m’introduire ?
– On va y aller doucement Sue, c’est ta premier fois mais ne t’inquiète pas, je suis un expert et je mérite mon surnom comme tu vas pouvoir le constater.
Il retire le plug et commence à insérer le snake. Je ne le sens même pas entrer en moi avec ses 1,5 cm de diamètre mais au bout de 20 cm, tout change. Je sens que ça bloque contre une paroi du colon et cela est très désagréable. il insère alors la grosse seringue rempli de lubrifiant dans le trou du snake, la vide à moitié, pose une main sur la gauche de mon ventre et comme pour la sonde, après quelques mouvement, je sens le snake passer et s’enfoncer en moi.
Les sensations me font fermer les yeux et je laisse échapper des « mmmm » dont je n’arrive pas à savoir si c’est de plaisir, de douleur ou de satisfaction. Il fait des petit vas et viens pour pénétrer de plus en plus dans mon anatomie. Le snake bloque à nouveau ce qui me fait ouvrir les yeux. Il est déjà rentré de 80 bon cm et les sensations me font dire qu’il n’ira pas plus loin. Comme précédemment, il remet du lubrifiant dans le trou du snake pour vider entièrement la seringue. Il repose sa main sur mon ventre et après 1 minute de massage, le snake poursuit sa route ma laissant lâcher des « ha » ininterrompu.
Il ne progresse plus : j’ouvre à nouveau les yeux et constate qu’il est totalement en moi. Je me sens remplis de partout et au plus profond de moi. Ma punition est une bonne punition, reste à savoir combien de temps il va me laisser ainsi remplie dans mes profondeurs. J’ai des envies de pousser comme pour aller à la selle mais tout semble bloqué en moi. Mister Deep att**** alors un genre de harnais fais de petites sangles en cuir qu’il me passe autour de la taille puis autour des cuisses pour finir par relier deux sangles entre elle sur le snake afin de maintenir celui-ci enfoncé en moi.
– Je reviens dans 5 minutes Sue, profite bien de ses nouvelles sensations et respire profondément.
Il s’éloigne mais ne sors pas de la pièce et va à nouveau vers une armoire. Il revient vers moi, me remets à nouveau des pinces aux seins et un bandeau pour me priver de la vue. La douleur aux seins est intense lorsqu’il les pose mais deviens assez rapidement supportable. Je sens qu’il fait quelque chose vers l’extrémité du snake et dans un nouveau sursaut, je sens des vibrations dans tout le corps provenant du snake. Quelque chose est posée contre le snake et vibre intensément.
J’ai des sensations de partout dans le corps et je me demande si elles ne vont pas finir par me faire avoir un orgasme. La porte claque. Je reste cloué sur la table avec tous mes trous remplies comme jamais je n’aurais pu l’imaginé. Les vibrations me font totalement oublier la douleur à mes seins. J’espère qu’il ne va pas trop tarder à revenir car je ne pense pas supporter tout cela très longtemps.
J’entends à nouveau la porte, les 5 minutes m’ont parues interminables. Surement à cause des vibrations qui remplissaient tout mon corps. J’espère que Mister Deep en a fini avec moi. Je n’ai plus aucune notion de l’heure qu’il peut-être, peut-être 16 ou 17 heures.
A suivre….
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