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Lettre à Alain

Lettre à Alain



Lettre à un ami sur le comportement de ma femme.

Salut Alain,

Je viens, comme promis, te raconter notre week-end à Bordeaux.

Nous avions rendez-vous samedi après-midi.

Le vendredi, Sylviane me dit :

– Tu sais, il y a un certain William, un black, qui a répondu à notre annonce. Il est à Toulouse, ses photos sont «intéressantes». On pourrait peut-être s’y arrêter pour «un rendez-vous de contact»…

Rendez-vous de contact !!! Je la connais…

Nous prîmes contact avec le William, qui nous donna rendez-vous dans un bar de Toulouse pour 22h, vendredi soir.

Nous quittons donc plus tôt la maison, et, à 22h, nous sommes au rendez-vous.

Will est là, sympa, assez beau garçon, on boit un pot, on discute de notre annonce, de lui, de tout ce qui nous intéresse, propreté, pas de brutalités, hygiène… (Il nous fournit et nous lui fournissons un certificat des plus récents pour garantir l’absence de séropositivité); donc il nous propose une invitation chez lui pour «visiter et goûter son whisky !!».

Sylviane n’a pas beaucoup parlé pendant le pot. Elle a les joues rouges; je devine qu’elle est excitée et mon sexe durcit dans mon pantalon.

Durant le trajet en voiture elle me serre fort la main…

Arrivée chez Will. Appart bien, whisky bon. Il ne quitte pas Sylviane des yeux… Tu sais comme elle est jolie et «appétissante», plantureuse quoi, ce genre de femme que la quarantaine et quatre ou cinq kilos de plus que la «norme» rend extraordinairement désirable.

Elle s’est mise dans une tenue sexy, robe noire (un peu trop) courte, Dim-up et chaussures à talons hauts (Elle se trouve trop petite !). Cela met sa cambrure en valeur…

Il s’asseoit à côté d’elle sur le canapé.

Sylviane est réservée comme toujours. S’il ne fait pas les premiers pas, elle ne bougera pas.

Je décide de lancer la machine, et je lui dis :

– Comment trouves-tu mon épouse ?

– Très jolie, encore plus que je l’imaginais, nous dit-il.

– Veux-tu la prendre comme «fiancée» pour la soirée ?

La réponse est rapide : il s’approche de Sylviane et attend son approbation. Elle le regarde tendrement et il commence à l’embrasser passionnément. Ses mains courent sur les formes rebondies de ma femme, à travers le tissu de la mini-robe noire.

Il la fait asseoir sur ses genoux et commence à glisser ses mains le long des cuisses, arrachant des soupirs à ma femme, elle se tortille sous les caresses, écartant ses cuisses laissant aux doigts la pénétration de son intimité. Les gémissements sont plus rapides.

Elle demande à William de la déshabiller, elle retire elle-même sa ceinture et laisse le type dégrafer sa robe, qui tombe au sol, le soutien-gorge est à son tour par terre, libérant la poitrine généreuse.

William fait glisser ses mains sur les hanches de Sylviane et fait rouler le petit slip qui rejoint au sol le reste. Elle garde les bas et les chaussures, ce qui met en valeur sa splendide cambrure (Dire qu’elle trouve ses fesses trop grosses !)

Pendant ce temps, Sylviane s’est attaquée au polo, qui a viré et est en train de défaire la ceinture et la braguette de William, qui continue à caresser les gros seins de ma femme d’une main et de l’autre à pétrir ses fesses…

Sylviane fait glisser le slip et ce qu’elle avait imaginé est enfin devant elle.

Elle est magnifique, longue, épaisse, d’un beau noir mat…

Elle caresse amoureusement cette queue qui ne demande qu’à se lever, ses doigts glissent sous les couilles qu’elle malaxe lentement, les yeux fermés.

Je ne sais pas, Alain, si c’était les caresses de William sur elle ou celles qu’elle faisait qui l’excitaient le plus.

Le type n’en peut plus, il la fait doucement s’agenouiller devant lui et Sylviane ouvre la bouche pour absorber l’énorme engin. Will est heureux de profiter de cette bouche pulpeuse.

Elle se masturbe langoureusement tout en lui administrant une fellation de rêve…

Après cinq minutes à ce régime, William ne peut résister et libère sa semence dans la bouche de ma femme. Elle s’applique à tout avaler et finit de sucer cette longue tige pour la nettoyer et lui redonner une bonne forme !

Grâce au savoir-faire buccal de Sylviane, le sexe de William retrouve une forme plus intéressante pour celle-ci.

Il lui dit :

– Viens, on va dans la chambre.

Et la pousse devant lui. Dans la chambre, il la fait glisser sur le lit, lui écarte les cuisses, admire un moment cette chatte offerte à son désir et il entreprend de la lécher (Ce qu’elle aime beaucoup).

Les gémissements de ma femme sont plus rapides, elle fait bouger son bassin pour aller au-devant de la langue de William, qui court sur le clitoris et les petites lèvres. Il passe les mains sous ses fesses généreuses et les pétrit. Quand il lui pénètre l’anus d’un doigt, Sylviane ne résiste pas et jouit à grands cris, une première fois sous la langue de son partenaire.

Il en profite pour s’installer à genoux, entre les cuisses largement ouvertes et présente son gland à l’entrée du vagin qui attend avec impatience la prise de possession. William commence une lente pénétration, déclenchant des rictus de satisfaction de Sylviane, et des Ho ! admiratifs. Contre toute attente, c’est Sylviane qui lance un coup de reins en avant, faisant pénétrer un peu plus l’immense tige en elle.

Je suis subjugué par ce que je vois, cette belle tige noire mate, est maintenant luisante de la mouille de ma femme, prouvant à quel point Sylviane est réceptive.

William lance un va et vient qui fait gémir Sylviane. Il la prend ensuite sur le coté. Il lui caresse le clitoris d’une main et de l’autre effleure le bourgeon d’un de ses seins…

Elle me regarde et annonce, les yeux vitreux :

– Je vais jouir, je vais jouir…

Elle pousse un cri et se laisse aller à des spasmes de plaisir. William, endurant du fait de son récent premier orgasme, se met sur le dos et la fait s’empaler sur lui. Elle est ravie, et se redresse, ses gros seins gigotant à chaque poussée de son mâle. Il lui prend les fesses et les malaxe, j’entends le doux clapotis de leur accouplement.

Elle lui sussure à l’oreille :

– Mets-moi un doigt derrière…

Elle est tellement trempée qu’il n’a aucune difficulté à enfoncer son majeur dans son cul.

Je me masturbe en les regardant et je sais que je ne vais pas tarder à jouir de ce spectacle. Ses fesses un peu grassouillettes se couvrent de chair de poule. Je sais qu’elle est près d’un nouvel orgasme.

Elle crie, il accélère ses mouvements.

Elle dit :

– Enfonce ton doigt, je vais jouir…

Quand son doigt disparaît dans le cul de ma belle, nous jouissons tous les trois ensemble. Je recouvre son dos et ses fesses de sperme…

Nous reprenons notre souffle, puis il se retire d’elle, nous propose à boire et moi j’en profite pour m’approcher de Sylviane et je l’embrasse tendrement. Elle est belle en train de récupérer après ce rut intense, à plat ventre, les cuisses écartées, offerte sur ce lit.

– Tu es heureuse ?

– Oui mon chéri, me souffle-t-elle, et toi, ça te plaît ? Ca t’excite ??

– Moi, j’adore, c’est un spectacle ravissant… Tu veux continuer ?

– Oui, me dit-elle presque timidement, il nous reste des choses à essayer avec Will…

– Tu veux essayer par derrière ?

Elle rougit et aquiesce.

Notre hôte revient avec des boissons.

Nous buvons un coup et Sylviane en profite pour caresser la bite de Willy. Je sais qu’elle est impatiente d’aller plus loin, de se faire sodomiser par ce type. Elle aime ça et il sera, à mon avis, content de pouvoir sodomiser une femme qui se laisse faire et surtout qui aime !

Comme elle est allongée sur le ventre, sa croupe offerte, je surprends le regard de notre hôte sur ses fesses…

Je chuchote à Willy :

– Aimerais-tu prendre ses fesses ?

Il est écarlate :

– Oui !

– Alors vas-y, elle adore ça !!!

Sylviane, qui a compris de quoi je parlais, repenche la tête vers l’entrecuisse de Willy et le suce un moment pour être sûre de la rigidité.

Il la met d’abord sur le ventre et admire la croupe rebondie de mon épouse, puis malaxe ses fesses.

Il mouille avec un peu de salive le petit œillet et rentre sans difficulté son majeur. Elle se tortille, poussant ses fesses au devant du doigt qui fouille son rectum. Elle geint doucement.

Elle me regarde :

– Chéri, tu as amené ce qu »il faut ?

Je sors de notre sac un tube de lubrifiant.

Elle dit à Willy :

– Attends, mon mari va me préparer, ce sera meillleur…

Willy se caresse doucement pendant que j’introduis une généreuse dose de lubrifiant sur la rosette de mon épouse. Je ne résiste pas à faire pénétrer mon doigt en elle, et elle se tortille d’aise.

Quand il présente son sexe à l’entrée, Sylviane bouge son cul pour faciliter l’intromission. Le gland pénètre tout doucement son rectum. Elle geint… Je contemple la scène, en n’osant pas me masturber trop fort : je suis à deux doigts de jouir devant ce spectacle délicieusement érotique.

Lorsqu’il est entré à demi, il stoppe sa progression et c’est elle qui pousse en arrière afin de recevoir la tige de son amant plus profondément dans ses fesses. Il commence à aller et venir de plus en plus profondément, ce qui fait trembler un peu son généreux fessier (Tu sais que Sylviane a la taille fine mais le cul rebondi et cambré, un peu grassouillet ce qui est terriblement excitant).

Après quelques va-et-vient, la longue tige est enfin absorbée, les coups de boutoir font gémir ma femme, les couilles de Willy caressent sa chatte, Sylviane a passé une main en dessous pour les caresser, ce qui doit exciter le Willy, qui pousse un grand cri, libérant son plaisir dans les profondeurs intestinales de Sylviane. Les jets qui doivent inonder ses entrailles la font jouir.

Elle crie son orgasme, elle est belle et je l’aime !

Ils restent soudés l’un à l’autre un moment puis rompent la possession. Ils vont tous les deux à la salle de bain se nettoyer et se rafraîchir.

Au retour, Willy demande ce que l’on compte faire, si l’on repart de suite sur Bordeaux. Je lui dis que l’on va prendre une chambre dans un hôtel et que l’on repartira demain.

Il nous dit que l’on peut rester, si l’on veut, il va mettre le canapé en place dans le salon. Du coup, je lui dis :

– Tu veux Sylviane pour le reste de la nuit ??

– Heu, oui, avec plaisir… dit-il, le coquin!

Avant de se coucher, elle prit son sac de voyage, disparut un moment dans la salle de bains et réapparut enveloppée dans un peignoir de William.

Lorsque celui-ci bâilla un peu, je pus voir qu’elle était dessous en guêpière et en bas! (Je savais qu’elle avait amené ses tenues érotiques, au cas où, mais tout de même cela me provoqua une décharge d’adrénaline…)

Elle me souhaita bonne nuit en m’embrassant sur la joue, tel un ami !

Elle me sussura suavement:

– Dors bien, moi je vais rejoindre mon chéri…

Nous nous séparâmes, moi sur le canapé, Sylviane et Willy dans la chambre.

Nous avions laissé la porte de communication entrouverte, ce qui me permettait, moi voyeur, d’aller régulièrement voir ce qui se passait dans la chambre, sur le lit, si j’entendais un bruit !

Au bout de cinq minutes, dans le silence de la soirée, j’entends des frôlements, des froissements de tissu, des corps en mouvement sur un lit.

Le cœur battant, je décide d’aller voir dans la chambre ce qui se passe, je glisse ma tête le long du chambranle de porte et capte, à travers la lumière diffuse, que l’on a exprès laissée, le corps blanc de ma femme qui chevauche celui black de Willy. Elle est fichée sur le long sexe noir, elle fait des allers et retours, qui enfonce le pieu de chair au fond de son intimité, lui faisant faire des grimaces de satisfaction.

Je suis excité étrangement par le fait qu’ils semblent tous les deux tenter de ne pas faire de bruit, comme des amants illégitimes qu’ils ne sont pas vraiment…

Elle avait abaissé les bretelles de sa guêpière de manière à ce que ses seins sortent. Willy avait tendu les bras et pétrissait à pleines mains sa poitrine généreuse (Tu sais que je ne te mens pas !). Elle était arc-boutée, vers l’arrière, les lèvres pincées, gémissante.

Willy descend une main vers la fente de Sylviane et commence, du pouce, à masser le clitoris. Ma femme se déchaîne et, bientôt, ne peut résister à la vague de plaisir qui la submerge, elle jouit !

Willy, qui a déjà déchargé trois fois, est moins impatient de se vider en elle et il la retourne, la met à plat ventre, la tête dans l’oreiller, écarte les fesses et la sodomise puissamment. Le trou ayant déjà été agrandi tout à l’heure, il n’y a pas trop d’efforts à faire, le mandrin disparaît au fond des entrailles de ma femme, et se met à la perforer de grands coups de reins, lui arrachant des gémissements et des petits cris en partie arrêtés et étouffés par l’oreiller. Sa croupe est mise en valeur par la guêpière. Ses ongles rouges griffent les draps.

Il s’arrête un moment et lui dit :

– Tu sais que ton mari doit être en train de nous mater?

Elle répond d’une voix étranglée :

– Oui je sais c’est bon, c’est trop bon…

– Dis ce que tu fais, alors…

On peut dire que William avait tout compris à notre «jeu de rôle» et à l’excitation qu’on y prenait…

Elle dit :

-Je suis en train de me faire sodomiser par William, il est gros, énorme, j’aime qu’il soit dans mes fesses.

Plus elle parle, plus elle tortille son beau cul blanc à la recherche du membre qui la fouille. Il la tient par les hanches, leur excitation monte (La mienne aussi, mon sexe est dur comme du granit).

Ils grognent de plaisir, Sylviane perd les pédales et crie :

– Tu m’encules, mon mari est cocu!

Elle se branle le bout des seins.

Il répond :

– Je vais jouir dans ton gros cul, je viens, je jouis.

Et ils hurlent tous les deux leur plaisir, et moi, je répands ma semence partout…

Vers 3h30, je me réveille, alerté par des bruits de succion. Doucement, je m’approche de la porte de chambre, et qu’est-ce que je vois?

Devine, Alain…

Sylviane est accroupie entre les jambes de Willy, en position foetale, en train de le sucer, pour le réveiller en douceur et le mettre en forme, car elle en veut encore !!!

Elle joue de la langue sur la tige de chair et sur les couilles qu’elle tient à pleine main. Je la vois ensuite enjamber Willy et s’installer sur la queue, qu’elle fait disparaître au fond d’elle, puis elle commence de lents va-et-vient qui la font jouir…

Je m’approche doucement. M’apercevant à la porte, il me dit :

– Viens avec moi, on va la prendre tous les deux!

Je ne me fais pas prier, je grimpe sur le lit, m’allonge et fait venir Sylviane sur moi.

Le con est bien large, je n’ai aucun problème pour rentrer. Willy la reprenant dans le cul, je sens les chairs se distendre pour laisser passer l’énorme engin. Nous agitons nos membres dans ma femme qui m’embrasse et qui gémit des :

– C’est bon ! Ouiiii allez-y à fond, j’aime !!

Nous ne résistons pas longtemps et bientôt nous crachons presque en même temps notre semence dans les profondeurs de Sylviane, déclenchant un profond orgasme à celle-ci.

Après quelques instants, nous quittons ce corps tout chaud pour nous nettoyer et boire un coup, puis tout le monde décide de dormir.

Je dis à Sylviane de rester dormir avec Willy (Des fois qu’ils aient des envies dans la nuit !!)

Nous nous couchons et tout le monde s’endort, épuisé.

Au petit matin, vers 7h, entendant des soupirs, je me relève, je n’en crois pas mes yeux! Ils sont insatiables ! Elle est couchée sur le ventre en travers du lit et il la sodomise doucement (Encore une fois ! Cela doit être son fantasme favori…)

Elle est splendide, sexy avec ses dessous, en train de se faire prendre par derrière… Par moments, je vois le sexe de William ressortir de son anus entièrement pour y replonger avec délices….

Sachant que c’est la «der des ders», je m’approche en catimini et présente mon sexe à sa bouche.

Lorsqu’ils jouissent, je me vide entièrement dans sa bouche accueillante…

Elle se lève, va prendre une douche…

Pendant ce temps Willy me dit:

– Ta femme est géniale ! C’est ça qui est bien avec les femmes de la quarantaine, elles n’ont peur de rien, elles sont bien en chair, bien dans leur peau! et en plus certaines ont des maris très…. compréhensifs ! J’espère vous revoir un de ses jours !

Puis il va préparer le café, et une demi-heure plus tard nous reprenons la route.

Voilà Alain comment s’est passé notre week-end, qu’en penses-tu?

Bon je te quitte pour aujourd’hui. Naturellement, ce que je viens de te raconter est confidentiel, ce que je te dis sur ma femme reste entre nous.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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