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Mûres13/Brigitte,73ans, langue de pute

Mûres13/Brigitte,73ans, langue de pute



-J’aime quand une vieille dame chic lève ses yeux vers moi alors qu’elle me bouffe les couilles. Quand elle suce, c’est déjà excitant…la fière expression, le maintien soigné et un peu raide d’une dame qui fait maintenant de sa bouche un doux vagin pour mon gland…
– mais moi je ne suis pas si vieille, tout de même, dit ma rousse et fine Marlène, en commençant de s’effleurer la fente.
-Non, je parle surtout de Brigitte. Quand elle suçait, cette grande hypocrite pouvait garder une certaine distinction, prendre l’air gourmet en agitant sa langue délicatement…mais lorsqu’elle descendait sur mes couilles, c’était soudain le repas des fauves. C’était plus a****l, encore plus décalé de la part de cette jolie poupée de porcelaine au grand chignon.
-Elle en avait plein la bouche, la petite salope. Si on m’avait dit que ça finirait comme ça entre vous…
-Je t’ai toujours dit que la meilleure suceuse, c’est toi. Ta langue est inimitable, tellement douce. D’ailleurs, la femme que tu as léché au club échangiste était elle-même surprise, elle l’a murmuré à son mari. Brigitte me procurait des jouissances inouïes en me léchant les boules.
– Elle aspirait, elle gobait tout, la salope?
– Tout ce que tu peux imaginer. C’était tellement bon que, sans préambule, sans même prendre ma queue en bouche, elle venait directement me léchouiller les boules.
C’était devenu une pratique essentielle de nos rapport, si bien que, avant de me les bouffer, elle s’installait confortablement en disposant un coussin entre mes cuisses, ce qui signifiait que le léchage allait durer. Les jambes relevées, je me branlottais doucement pour ne pas juter, tandis que la vieille dame adorable et féminine, sans se fatiguer, dans une attitude calmement vicieuse, la tête appuyée sur un oreiller, agitait sa langue sur les boules, ou m’aspirait tranquillement les boules. Quelques fois, ses jolies petites dents régulières et soignées me mordillait juste en dessous du sac, à la hauteur de la prostate. Elle faisait cela par petits coups, comme une chatte qui joue.
-Et bien sûr, elle t’a léché le cul.
-Tout le temps…pourquoi je n’en t’ai pas encore parlé. Putain, la langue de Brigitte dans mon cul! C’était devenu une drogue.
-Elle le savait, la cochonne!
-Je passais bientôt plus de temps les jambes en l’air comme une femme chez son gynécologue, à me faire lécher la raie qu’à la baiser. Et je peux te dire qu’elle aimait se sentir bien salope, bien pute à me baver sur le trou du cul, malgré son allure pincée de gouvernante anglaise. Elle aimait aussi rester complètement passive tout en léchant, c’est-à-dire qu’elle restait couchée, la tête sur l’oreiller, et moi, à genoux au-dessus d’elle, comme la tout première fois où je l’ai baisée, je laissais pendre mes couilles au-dessus de sa bouche, tandis que je me branlais. Elle faisait tellement pute, cela jurait tellement avec son fier maintien digne des plus grands hôtels, que je lui ai demandé si cela ne la gênais pas.
« non, ça me plaît, j’aime ça ». Elle la voilà qui recommence de plus belle à saliver sur mes boules.
Nous nous adonnions à de véritables longues séances de léchage de cul et de couilles. Je ne me faisais pas tant sucer par Brigitte. Je me faisais bouffer le cul par Brigitte. Adorable maîtresse de maison, cuisinière raffinée, dame chic toujours tirée à quatre épingles, moraliste, mais vicieuse déchaînée à temps partiel.
J’en arrive à une des scènes les plus crues, celle qui m’a fait couler le plus de sperme par la suite en y repensant.
Elle me faisait mettre nu sur la table de la salle à manger, et m’assaillait comme pour un repas. Je devais avoir l’air malin, les jambes relevées, tandis qu’elle parcourait mes couilles et mon cul, et tout de même un peu ma bite, de sa langue dévouée. Heureusement que les stores étaient bien fermés, la scène se déroulait au rez-de-chaussée. Quiconque aurait vu ce bourrage de cul par la vieille dame se serait écrié: -non, ce n’est pas possible, on ne voit ça que dans des films, cela n’existe pas.
-Tu arrivais à ne pas jouir? Tu la baisais tout de même après?
-C’était si bon que, très souvent, je jouissais en giclant sur mon ventre. Quand le foutre venait, Brigitte essayait de regarder, je voyais ses prunelles qui tentaient de percevoir par intermittence le spectacle de mon éjaculation, tandis que son grand chignon montait et descendait là en bas, au niveau de mon cul.
A la salle à manger, j’avais trouvé la scène si excitante que, une fois de plus, j’avais continué de me branler jusqu’à la giclée.
Brigitte s’était relevée, un peu essoufflée, le regard chaviré, satisfaite du travail de sa langue.
Je l’avais embrassée, puis conduite sur le canapé du salon.
Ma queue était ivre de plaisir, et semblait de rien perdre de sa raideur, tandis que nous marchions dans le salon. J’ai fait comprendre à Brigitte que je voulais la voir à quatre pattes sur le canapé. Sans savoir si je tiendrais longtemps sans débander après cette jouissance fulgurante, je me suis placé derrière elle, et l’ai pénétrée.
Ma queue était encore toute sensible, et j’adorais le spectacle de ses belles fesses blanches. Le contact enveloppant de son vagin me procura un plaisir étonnant.
Ma queue, en effet, n’avait pour ainsi dire pas été stimulée par les coups de langues de la vieille dame. C’était un plaisir si différent de retrouver une sensation aussi classique! Du coup, j’avais l’impression de découvrir un paysage nouveau à travers cette pénétration habituelle, comme sous un nouvel éclairage, avec une sensibilité nouvelle.
Je sentais que l’excitation remontait, et que mon sperme ne tarderait pas à inonder la dame épanouie par le vice. Brigitte le sentait aussi, quelque chose d’a****l nous donnait un sourire de profonde satisfaction. Ce soir là, j’ai giclé une deuxième fois dans le vagin de Brigitte.
-Ah! J’aurais voulu être là, dit Marlène. Si ça se trouve, il y aurait peut-être beaucoup de vieilles dames qui seraient heureuses de faire les salopes sur ta queue.

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