Tu as 46 ans et moi 34 ans. Une génération nous sépare et pourtant, depuis maintenant bientôt 2 mois, nous nous voyons par intermittence unis par une douce complicité.
Nous sommes allongés sur le lit dans la pénombre de la chambre. Nous venons de faire l’amour et nos corps sont encore emplis du plaisir que nous nous sommes donnés mutuellement.
Nous fumons tranquillement. Tu as mélangé au tabac quelques herbes à la senteur sucrée. La fumée que j’aspire est acre et me monte à la tête. Je suis dans un état de doux enivrement qui me donne la sensation que je peux tout faire, que tout est possible. Je m’assois à tes cotés. Mes mains glissent sur toi. Tes épaules, tes seings, ton ventre, tes jambes, tes cuisses.
Ta peau est si douce et en sentir le grain si fin sous ma paume m’émeut d’étrange façon. Ma bouche se pose sur toi et commence à t’explorer. Ma langue te lèche, goutte la saveur de ton corps transpirant. Tu tressailles. Mon sexe se tend. Déjà prêt, à recommencer.
Tu es maintenant debout à côté du lit, contemplant ton corps qui s’offre et s’expose. Ma main amorce un mouvement vers mon sexe. D’un mouvement de tête, tu me demande de ne rien faire, de ne pas me toucher. De ne pas parler. Tu fais durer ce moment qui met mais sens en émoi. Cette attente si sensuelle. Tu t’approches enfin et tu me fais écarter les jambes. Je te regarde t’asseoir entre, sans plus tenter d’esquisser le moindre geste. Tu ne me touche pas.
Un moment, tu reste ainsi, admirant mon sexe frémissant qui se tend vers toi. Lentement tu te penches vers moi. Je sens ton souffle sur mon sexe. Tes lèvres m’effleurent à peine faisant naître en moi une impatience qui me fait tressaillir.
Ta main glisse vers ton entre jambe et je t’écoute te caresser. Je perçois le clapotement de ton sexe humide, encore trempé de ta jouissance. Je tends mes mains vers toi.
Mais tu t’échappes. Tu ne veux pas que je te touche. Tu veux mon désir. Uniquement mon désir. Ma queue est raide, tendue, gorgée de convoitise. Tu avances silencieusement vers moi, repousse ma main et tu prends dans ta bouche. Je gémis de contentement. Tu me suce lentement, voluptueusement, sensuellement. Avec délectation. Ta langue t’enveloppe en un long mouvement. Tu me mène ainsi au bord du plaisir. Tu t’arrêtes. Je te supplie de continuer. Pas encore. Pour l’instant, tu me veux ainsi avide de désir.
Tu me demande de me retourner et de m’agenouiller au pied du lit les jambes écartées. Tu me fais incliner le torse sur le lit et ramène mes bras derrière mon corps. Tu m’attache les mains dans le dos. Je suis à ta merci. J’éprouve une sensation troublante de frayeur et de désir. Tout mon corps frémit.
Debout derrière moi, je sens sur moi ton regard plus brûlant qu’une caresse. Mes reins sont cambrés. Mes fesses offertes. Tu y fais glisser ta main, lentement, t’insinue entre ma raie jusqu’à mon anus que tu excite doucement du bout du doigt. Tu sais que j’aime ça. Je t’entends t’agenouiller derrière moi, entre mes jambes.
Je sais ce que je vais faire, mais je ne peux plus bouger. Je n’en ai d’ailleurs aucune envie.
Tu prends ma queue entre tes mains et commence à me branler. Jamais elle n’a été aussi dure, aussi tendue. Le désir est si grand que j’en éprouve comme une souffrance au plus profond de moi. Mes nerfs sont à vifs. Ta bouche s’avance. De ta main libre, tu disjoins mes fesses et découvre la partie la plus intime de mon corps. Celle que personne encore n’a touchée, à part toi. Tu y pose ta langue et commence à me lécher. Je suis effrayé livré ainsi à toi et j’ai un léger mouvement de recul mais je te fais confiance. Ta caresse est douce, tendre. Troublante.
La douceur de ta bouche m’ôte rapidement toute velléité de résistance. D’ailleurs ai-je réellement tenté de résister ? Tu m’aspire entre tes lèvres. M’assouplis. M’élargis comme je te l’ai fait auparavant. Je ne bouge plus attentif à tes mouvements de plus en plus persuasifs, envahissants. Je me livre tout entier à tes baisers et me cambre pour m’ouvrir davantage à l’inquisition de ta langue.
Je sens maintenant ta langue s’introduire en moi, me fouiller, virevolter en moi. Sous tes doigts, tu sens mes couilles durcir. Ta main glisse vers mon anus. Je sursaute, mais ne dis rien. Juste un gémissement. Tu vas voir, je vais te faire jouir comme personne avant ne t’a fait jouir. Je veux que pendant longtemps tu me sentes au fond de ton corps…
Tes doigts sont sur mon entrée si étroite que personne encore, n’a franchi. Tu y fais couler un filet de salive que tu commences à étaler doucement du bout des doigts. Un mouvement circulaire qui me dilate. Je me sens m’ouvrir sous tes doigts. Mon corps tremble. De crainte et de plaisir mélangés. Je sens ton souffle sur moi.
Délicatement, tu introduis un doigt en moi et commence à le faire tourner très doucement. Tu enfonces légèrement ton doigt dans mon cul. Oh j’aime, tu le sens. Tu continue à m’enfoncer sentant mes résistances fondre et disparaître sous ton avancée. Ta langue est sur mes couilles, tu les lèche. Ma queue est dressée, tendue. Prête à exploser. Il suffirait que tu y pose ta main.
Je te sens en moi. Possédé comme moi, je t’ai possédé. Ton doigt est toujours en moi, profondément enfoncé en moi. Tu le fais aller et venir. Entrer, sortir. Tourner. Ecarter les parois de mon cul. Tu introduis en toi un deuxième doigt.
Je tressaille, gémis. Mon cul est maintenant largement ouvert. Tes doigts coulissent facilement en moi m’arrachant, à chaque va et vient, des râles de plaisirs. Tu sens les muscles de mon anus se contracter autour de tes doigts, les emprisonner, les aspirer plus loin en moi.
En même temps, ton autre main me branle. Tu sens au creux de ta main la douceur satinée de ma peau ….. La chaleur de ma queue prête à éclater entre tes doigts…..
Tu tends la main et te saisis du godemiché que j’ai apporté et dont je me suis servi avec toi. Je suis complètement consentant. Effrayé et impatient à la fois par ce qui va arriver et que je sais inévitable. Tu retires tes doigts et appuie doucement le godemiché sur mon anus. Tu forces un peu. Davantage. Un peu plus fort et, lentement, délicatement, l’introduit en moi. Je gémis. Tout mon corps tremble à cette intrusion nouvelle pour moi qui m’écartèle. J’ai la respiration qui s’accélère. Tu accentue ton mouvement, l’amplifie.
Le gode s’englouti dans mon cul maintenant parfaitement dilaté, disparaît. Il est maintenant profondément enfoncé en moi, planté au fond de mon ventre. Tu le fais tourner en moi. M’élargissant encore davantage. Le fait entrer et sortir tout en continuant à me branler. Je gémis de plus en plus fort. Ma queue est gorgée de désir, prête à exploser. Tu accélères le mouvement. Le godemiché est fiché en moi et c’est moi maintenant qui avance les fesses vers toi pour le faire pénétrer plus loin encore. Tu me sens au bord de la jouissance, mon plaisir prêt à gicler. Tu ne peux plus attendre non plus. Le gode est fermement planté en moi. Tu te glisses alors sous mon corps. Tu t’ouvres à moi, les jambes bien relevées. Tu veux que tu viennes en toi alors que je suis ainsi, le cul envahi, écartelé. Tu veux ma queue en toi et sentir ma jouissance se déverser et t’inonder. Ta main appuie fermement sur mes fesses, maintenant le gode au plus profond de moi alors que ma queue s’enfonce en toi. Nous jouissons à l’unisson, mêlant nos cris de plaisir, emportés par le même flot de sensations poussées à leur paroxysme.
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