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Le Domaine d’Infern’O (17)

Le Domaine d’Infern’O (17)



Après ces 24h de service en location, nous avons eu une journée de repos, avec, chose exceptionnelle, la liberté d’aller et venir à notre guise dans le domaine. J’en ai profité pour retourner à la plage.

Crevée, j’avais vraiment envie de m’y reposer. Hélas pour moi , à peine installée de 10 minutes, un client est venu allonger sa serviette de bain à côté de la mienne et a exigé que je le suce, puis m’a demandé de le chevaucher.

Je me suis débrouillée pour le faire jouir rapidement afin de m’en débarasser, et puis je suis partie me baigner.

Ensuite, j’ai emprunté un petit chemin longeant la mer, me doutant qu’il permettait de rejoindre le Domaine par la côte.

Au détour d’une crique, j’ai aperçu un fortin , sorte de grand bâtiment en pierre flanqué de quatre tours.

Il n’y avait pas de fenêtre, juste des meurtrières.

Le sentier passait sous ses murs.

A hauteur du bâtiment, je perçu des cris de souffrance émanant d’une meurtrière deux ou trois mètres lus haut et reconnu le bruit caractéristique du fouet et d’une voix féminine qui comptait les coups … 121 … 122 … 123 …

Quel était donc ce lieu qui ressemblait à une prison ?

Je décidais de ne pas traîner , et continuait sur le sentier.

Arrivé en haut de la crique, j’entend le bruit d’un cannot à moteur. Instinctivement, je me cache derrière un buisson.

Le cannot apparaît alors de derrière les rochers et met le cap sur la petite plage au pied du fortin.

A bord, un marin tient la barre, et un homme est assis face à une femme d’âge mur. Elle porte une petite robe d’été et a une espèce de carcan autour de la tête et des bras.

Je ne l’ai jamais vue au domaine.

Lorsque le cannot arrive sur la plage, l’homme attache une chaîne au carcan et entraîne la femme vers une petite porte située sur le côté du fortin.

Arrivé devant la porte, l’homme sort un couteau de sa poche et l’approche de la femme .. je frémis ..

Ils’en sert pour lacérer la robe de la femme et la dénuder entièrement. Puis ils pénètrent dans le bâtiment.

Me demandant ce qui se trafique dans ce fortin, je reprend la direction du Domaine.

Je regagne ma chambre.

Après m’être douchée, je me remaquille, en fouillant dans ma trousse de toilette, je revois ma plaquette de pillules que j’ai arrêté depuis mon arrivée au Domaine.

Tout d’abord parceque je l’ai oublié, et ensuite parcequ’on m’a affirmé que notre contraception était assurée par un coktail qu’on nous faisait boire chaque matin.

J’espère que c’est efficace.

Alors que j’étais perdue dans mes pensées, mon Maître fait son apparition avec 7256 à sa suite.

Il m’embrasse avec la langue en un baiser profond puis sort de sa poche un document représentant dix dessins de filles dotées de généreuses poitrines de formes différentes;

Il me dit alors qu’il a décidé de faire subir à 7256 un traitement d’accroissement mammaire.

Regarde, j’ai choisit pour elle la morphologie no 2, cela lui conservera un caractère juvénile , tu ne trouves pas ?

Je répond par l’affirmative.

J’aime les filles aux fortes poitrines, me dit il en se plaçant derrière moi et en m’aggrippant les seins.

Il sort alors son sexe et s’insinue en moi, me penche en avant et me baise tout en soupesant mes seins.

Sur un signe de sa part 7256 s’agenouille devant moi et me lappe le clitoris.

Le plaisir monte en moi.

A voix basse il me murmure:

J’aimerai aussi te faire suivre un traitement, je pense qu’on pourrais te façonner comme le modèle no 10.

Excitée, je lui répond:

Fais de moi ce que tu veux, je suis ta pute…

Sur ce il me pilonne de plus belle, son sexe est vraiment très dur et au maximum de son érection..je jouis très fort …

Après notre ébat, je reprends mes esprit et lui demande si ce n’est pas trop gros … je vais ressembler à ces esclaves que j’ai vu à la laiterie.

Justement me dit-il , comme cela si à la fin de ton stage tu optes pour ta mise en esclavage tu sera déjà prête pour faire une bonne productrice.

7256 lui demande alors comment vas se dérouler notre « traitement ».

Nous avons au domaine une clinique spécialisée, vous vous y rendrez deux heures par jour pendant deux mois environ.

Le traitement sera à la fois hormonal et mécanique.. mais vous verre cela dès demain.

Maintenant je veux vous montrer quelque chose qui va intéresser 7250 pour son reportage.

Je remet ma robe et ma laisse, et il nous entraîne alors vers un petit bâtiment que je n’avais pas enre visité.

Sur la porte, un écriteau mentionne « Laboratoire de recherche ».

Nous rentrons dans une première pièce, un bureau, ou trône une table à dessin , et un bureau rempli de matériel informatique, devant lequel s’affaire un technicien.

Je vous présente notre ingénieur. C’est lui qui conçoit les ingénieux dispositifs de bondage que vous avez l’occasion de tester tous les jours …

Notre Maître nous montre alors quelques créations en 3D sur lesquelles il travaille.

Voilà un projet d’appareillage qui permettra de placer une soumise dans tous les angles de pénétration possible:

Ingénieux n’est-ce pas ?

Voici un autre projet qui sera prochainement mis à exécution pour nos assistantes qui seront relookée, et pourront ainsi se promener à travers les salles du Domaine avec tout le matériel requis à l’éducation des stagiaires:

Ici, c’est un projet de nouveau dispositif de traite, orientable dans diverses positions.

Il sera, comme vous le voyez muni d’un dispositif stimulant l’esclave analement et vaginalement , cela augmentera le plaisir de la traite ..ce qui est bon pour la production;

Le système pourra être abaissé pour permettre la fellation …

7256 et moi même n’en revenons pas d’autant d’ingéniosité …

Et maintenant voici notre dernière création dédiée à l’entraînement à la fellation profonde.

La stagiaire est placée dans la machine empalée sur un double god mobile. Sa bouche est largement ouverte par un système d’écartement qui s’adpte automatiquement au diamètre de la verge.

Une fois le membre en place dans la bouche, un mécanisme actionne la tête d’avant en arrière avec une synchronisation du mouvement des deux gods.

Incroyable m’exclamais-je admirative …

Venez, je vais vous montre le prototype que nous avons construit.

Il nous entraîne alors dans la pièce à côté.

Au centre nous découvrons la machine en question.

Il invite 7256 à y prendre place.

Un peu effrayée, elle enlève sa robe et s’exécute.

Les gods sont d’un calibre appréciable et il lui faut s’y reprendre à plusieurs fois pour s’y empaler.

Ensuite le technicien lui place l’appareillage sur sa tête.

Mon Maître me demande alors de le sucer pour faire ériger son membre.

Dès qu’il est en érection, il s’approche de l’anneau sur la bouche de 7256. Celui-ci s’adapte alors parfairement à son diamètre.

Le technicien enclenche alors la machine. La tête de 7256 se met alors à décrire des vas et vients complets, ce mouvement est parfaitement synchronisé avec ceux des gods qui alternativement investissent son anus et son vagin.

Notre Maître a un boitier à sa disposition et peut régler l’intensité des vas et vients.

C’est diabolique.. en quelques minutes 7256 a coup sur coup deux orgasmes.

N’y tenant plus le technicien sort son sexe durci, me penche en avant et me sodomise.

Peu après c’est à mon tour de remplacer 7256 sur la machine.

Le technicien est satisfait et fier de sa réalisation déclare:

C’est OK, demain nous l’installerons dans une salle.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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