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15de 23: Mère et Fils: une histoire d’

15de 23: Mère et Fils: une histoire d’



Chapitre 15 : A l’aube d’une nouvelle vie

Je me réveille très tôt le lendemain matin. Une lumière grisâtre brille à travers la fenêtre, mais cette sombre et lugubre lumière matinale ne m’empêche pas de voir la beauté de ma mère. Maman est couché à côté de moi, elle me regarde, sa tête soutenue par sa main, son coude en appui sur le lit.
– Bonjour mon amour…
Dit-elle tranquillement. Elle se penche sur moi, ses seins s’écrasent contre ma poitrine et glissent sur le côté et elle m’embrasse tendrement, amoureusement.
– Joyeux Noël, maman…
Et je la serre contre moi pour l’embrasser fougueusement.
– Quelle heure est-il ?
– Très tôt…On a encore un peu de temps pour nous…
– Que faisais-tu… maman ?
– Je te regardais dormir, mon fils. Comme quand tu étais petit et que j’aimais te regarder.
Dit-elle en passant ses doigts dans mes cheveux et relever une mèche.
– Cela m’a manqué quand tu es parti étudier et je suis heureuse d’être en mesure de le faire encore.
Et elle m’embrasse de nouveau en roulant sur moi pour appuyer son corps chaud, nu et doux, contre le mien. Nous avons envie de faire l’amour mais nous savons tous deux qu’elle doit se lever avant d’être surprise à poil dans ma chambre. En tout cas, c’est une belle façon de se réveiller le matin de Noël, d’embrasser et de caresser la femme que j’aime.
Maman se redresse et s’étire en soulevant ses bras. Je ne me lasserais jamais de ce spectacle et je ne peux résister. Mes mains englobent ses seins charnus et je frotte doucement les tétons épais de maman avec un doigt.
Maman rigole et retire mes mains au loin.
– Arrête ! Tu vas me rendre dingue. Je ferais mieux de filer avant que les jumeaux me recherchent pour leur petit déjeuner.
Je lui prends sa main et je la retiens.
– Une seconde, maman. Je crois que le Père Noel a laissé quelque chose pour toi sous l’arbre.
Maman se met à rire et dit:
– Oh vraiment ?
Elle soulève la couverture et trouve ma bite toute dure et dressée. Elle la caresse lentement.
– C’est ça que m’a laissé le père Noël… Je suis gâtée… C’est imposant et de belle taille…
Je soupire de bonheur, mais je me retourne et att**** sous le sapin, le paquet que j’ai préparé la veille.
– Joyeux Noël, maman.
Maman miaule comme un chaton quand je lui mets le paquet entre les mains.
-Bébé d’amour…tu n’aurais pas dû…
Maman arrache l’emballage pour révéler une petite broîte oblongue.
– Dany, qu’as-tu fait ? Dit-elle d’une voix anxieuse.
Elle l’ouvre et découvre un collier de perles à deux rangs.
– Oh mon Dieu. Elles sont magnifiques. Chéri, mon fils, c’est beaucoup trop !
– Juste quelques heures supplémentaires et de week-end cet automne, maman.
Je sais que j’ai dépensé trop d’argent, mais ces heures supplémentaires de travail m’ont aidé à passer toutes ces longues semaines solitaires sans ma maman.
– Viens, je vais te le mettre.

Maman se retourne et je mets les perles autour de son cou. Je réalise que peu de choses peuvent améliorer la beauté naturelle d’une femme nue, mais les perles… qui reposent sur sa poitrine… attirent l’attention sur le velouté de sa peau impeccable et sur ses seins magnifiques de femme mature.
– Et bien…comment sont-elles sur moi ? Dit ma mère avec impatience.
Je me mets debout et maman ricane devant mon pénis en érection qui se balance devant ses yeux.
– Viens voir par toi-même, maman.
Je l’amène devant le miroir accroché au mur, et maman regarde son corps nu en passant un doigt sur les rangs de perles. Je me tiens derrière elle, ma bite entre ses douces fesses et je glisse mes bras autour de sa taille. Oui, il y a quelque chose d’un peu plus érotique sur une femme qu’en elle ne porte rien d’autre qu’un collier de perles.
– Regarde… tu ne te trouve pas belle…
Maman frissonne et se penche en arrière contre moi.
– Eh bien, je ne sais quoi dire… Merci mon amour… Tu es fou et je t’aime.
Maman admire encore mon cadeau, puis, avec un regard peiné.
– Et moi qui n‘a pas de cadeau spécial pour toi…
Dit-elle en me prenant dans ses bras. Ses seins roulent délicieusement sur ma peau et elle m’éperonne de ses tétons durs comme des diamants.
– Maman, j’ai eu mon cadeau hier soir… et j’ai vraiment aimé ça !
La main de ma mère glisse vers le bas de ma poitrine et trouve naturellement sa place sur ma bite toute dure.
– Eh bien, peut-être que je peux te donner un petit quelque chose de plus dès maintenant. D’ailleurs, je n’ai pas pris mon petit déjeuner, Dany.

Maman glisse le long de mon corps pour se retrouver accroupie et permettez-moi de vous dire que ma mère ne m’a jamais paru aussi chaude. Elle me regarde avec ses beaux yeux brillant de désir et dit:
– Si je n’avais pas tellement faim et envie de ton sperme, je pourrais juste me contenter de ton collier de perles, Dany.
Maman me prend entièrement en bouche et je gémis quand mes mains emprisonnent sa tête et que mes doigts s’entrelacent avec ses mèches de ses cheveux noirs. Dans la lumière croissante de ce matin de Noël, je regarde les joues de maman déformées par ma queue bandée comme jamais et ses yeux fixés dans les miens, elle englouti mon sexe tandis que sa langue fait des choses qui me rende tremblant des genoux.
Pendant qu’elle me suce savamment, elle caresse mes couilles doucement, un ongle grattant doucement cet endroit sensible, juste derrière mes testicules.
Maman est vraiment une artiste de la pipette, variant avec amour son rythme comme si c’était sa dernière pipe. Ma mère sait que l’aspect visuel est important pour mon plaisir et elle veille à sortir, de temps en temps, de sa bouche chaude et humide, ma bite luisante de salive, pour prendre entre ses lèvres mon gland surexcité, pour le lécher et l’embrasser. Pas une seule fois ses yeux ne quittent les miens pour me montrer qu’elle apprécie cela autant que moi avec un sourire coquin dans son regard.
Avec un fort bruit d’aspiration, elle me reprend en bouche et me démontre une fois de plus sa capacité pour me faire une gorge profonde, avalant ma longue queue jusqu’à ce que mon nez s’enfouisse dans ses poils pubiens. Ma bite coincée dans sa gorge, maman fait de doux et joyeux gargouillis et j’appuis ma main contre le mur afin de garder mon équilibre.
C’est à ce moment que nous entendons mon père qui tousse dans le couloir. Je commence à me tirer en arrière, mais les mains de maman prennent rapidement les fesses de mon cul et subtilement, elle secoue la tête et continue à sucer ma bite, sans hâte et sans se préoccuper de ce qui ce passe à l’extérieur.
Nous entendons la porte des toilettes s’ouvrir et se refermer et maman n’a jamais ralenti ce qu’elle me fait. Sa langue continue de danser autour de la couronne de mon gland, tourbillonnante, et le bout de sa langue taquine mon méat entrouvert.
Je n’en peux plus !
– Maman, je vais venir…
– Muuuuumm !
Et sa langue continue de s’occuper de mon gland rougeâtre. Ensuite elle me suce furieusement et j’ai l’impression que ma bite va éclater avant que de puissants jets de sperme inondent la bouche de ma mère.
Je sens ses lèvres se serrer autour de mon sexe pour bien le verrouiller en place et avaler toute ma semence. Ses ongles s’enfoncent dans mes fesses pendant qu’elle continue de sucer et d’avaler mon sperme au fur et à mesure de mes éjaculations qui n’en finissent pas.
L’expression de son visage sous cet amour i****tueux est un vrai délice et une excitation complémentaire pour prolonger ma jouissance.

Longtemps après que je me sois entièrement vidé, maman continue de me sucer, et je vous assure qu’elle n’a pas perdu une seule goutte précieuse de mon sperme. Elle lèche tendrement ma bite pour me la rendre toute propre et en souriant elle me dit.
– C’n’est pas normal ! Je réalise que tu viens de m’offrir 2 cadeaux ce matin !
Et elle lèche ses lèvres avec sa langue enduite de mon sperme.
Je la soulève pour l’embrasser et déguster ses lèvres luisantes de sperme.
– Qui s’en plaint, maman. J’aime la façon dont tu me souhaite un joyeux Noël !
Nous savons tous deux que notre beau matin de Noël est terminé.
– Je t’aime tellement, maman. Merci pour ce merveilleux noël.
– Ce n’est que le début, fils ! De belles années nous attendent pour s’aimer de toutes nos forces !
Mon cœur est rempli d’une sorte de mélancolie lorsque maman disparaît derrière ma porte de chambre.
A ma grande surprise, quand je descends prendre mon petit déjeuner, maman porte le collier de perles. Maman a moulé son joli cul dans un jeans bleu marine et porte un pull très rouge avec une encolure échancrée qui attire l’attention sur son décolleté, vertigineux et voluptueux, rehaussé par son collier de perles.
Comme nous sommes seuls je fais un bisou dans le cou de maman qui l’a fait soupirer puis je l’embrase sur la bouche en taquinant sa langue de la mienne. Résultat… je bande de nouveau !
Quand maman me tend un verre de jus d’orange, je lui dis,
– Tu es belle, maman, mais…
– Mais…quoi ?
– Comment vas-tu expliquer çà !
Maman s’ébroue et clignote des yeux.
– Tu sais, bébé, je ne sais même pas si ton père ou tes frères vont même le remarquer. Maman se penche vers moi et m’embrasse avant d’ajouter.
– Et s’ils le remarque, je vais leur dire que c’est un présent de mon merveilleux fils aîné.
Puis avec une expression déterminée.
– Ça ne me gênera pas du tout ! Je n’ai aucune honte ! Aucun d’entre eux ne me respecte et je suis traitée tout juste comme une soubrette. Tu m’as ramené à la vie mon cher fils et amant.
Je dois l’avouer je suis aux anges. Si je ne me retenais pas, je lui ferais l’amour, juste là, sur la table de cuisine. Mais j’entends papa tousser et souffler dans l’escalier.
Quand il entre dans la cuisine, maman lui sert une tasse de café et dit,
– Joyeux Noël, Frank.
Mon vieux marmonne quelque chose qui ressemble à « mouais », prend sa tasse et va dans la salle de séjour. Un instant plus tard, nous entendons le téléviseur. Maman bat des paupières en me regardant, l’air de dire « tu vois ! » et elle m’embrasse. Notre baiser dure jusqu’à ce que nous entendions des pas venant du sous-sol.

Apres le petit déjeuner des jumeaux c’est la traditionnelle remise des cadeaux, sans intérêt comme d’habitude.
Plus tard dans la journée, je suis dans la cuisine avec maman. Les jumeaux sont partis voir leurs potes et papa regarde le match de Football en coupe d’Europe. Maman fini de ranger la cuisine et je l’aide.
Le dernier plat rangé, je coince maman contre l’évier et je l’embrasse très tendrement. Autant j’aime avoir ma bite compressée par la chatte de maman, il n’y a rien de tel que le plaisir doux et simple d’avoir les lèvres de sa mère pressées contre les vôtres, avec ou sans langue. J’ai une de mes jambes entre celle de maman et pendant que nous nous embrassons, elle frotte doucement son pubis contre ma cuisse. Même à travers son Jean’s, je peux sentir la chaleur de maman, de ma chaude maman.
Je passe ensuite mon doigt sur ses lèvres humide et elle l’embrasse et l’englobe de ses lèvres sensuelles avant de me le mordiller.
– Nous jouons un jeu dangereux…tu ne crois pas…
Mais elle continue de sucer mon doigt, lentement, comme si c’était ma bite, ses yeux toujours fixés dans les miens. Elle me prend par le cou et ajoute.
– Mais quand tu es près de moi…je te veux contre moi…
Elle m’embrasse en appuyant sa bouche avec acharnement sur la mienne, sa langue avide recherchant ma langue. Je la tire plus serrée contre moi, savourant la douceur et la chaleur de son corps. Nous sommes indéniablement faits pour être ensemble. Nos cœur semblent battre comme un seul, conduisant le sang dans les veines de nos corps, qui s’enflamment rapidement et avive notre envie de posséder l’autre.
Je suis toujours étonné de la vitesse de ce feu, allumé par notre passion i****tueuse, qui se propage en nous. Sans réfléchir, sans dire un mot, maman et moi avons envie d’assouvir immédiatement nos désirs charnels.
Les mains de maman quittent ma taille pour commencer à fouiller dans mon pantalon. Elle lâche ma bouche pour gémir.
– baise-moi, mon bel amant. Baise-moi maintenant, Dany !
Je lui tends la main, prêt à l’emmener à l’étage. Maman secoue sa tête et comme un défi, déboutonne mon pantalon et libère ma queue.
– Je veux que tu me baise là ! Maintenant !
Puis elle dégrafe son Jean’s et le descend pour libérer ses hanches en entraînant son slip.
Je sens l’odeur épicée de sa chatte en chaleur et mes inquiétudes s’envolent au loin. D’un coup de pied, elle envoie balader son Jean’s et son slip et se retrouve nue, incroyablement érotique. Sa toison épaisse brille d’humidité et elle chuchote tranquillement.
– Prends-moi, Dany. Donne à ta mère ce qu’elle a envie pour Noel ! Une bonne baise !

Mon pantalon rejoint celui de maman et ma bite érigée et tremblante de désir a hâte de s’enfoncer dans la chaleur de maman. Ses bras autour de mon cou, elle se presse contre moi et je sens ses grandes lèvres intimes, humides et épanouies, envelopper ma queue. Mes mains accrochent ses seins lourds à travers son pull et je lui roule une pelle mémorable forçant ma langue dans sa bouche.
Je sens sa jambe gauche se soulever, sa cuisse frotter contre la mienne. Je laisse tomber mes mains sous ses fesses rebondies et je la soulève légèrement tout en pliant les genoux. L’autre jambe de maman se soulève et je la maintiens d’une main. Ma bite coincée entre notre corps glisse sur son ventre, à travers les poils épais et crépus, puis elle sent la douce moiteur de sa chatte ouverte et mon sexe bien tendu reconnaît un chemin qu’il commence à bien connaître. Maman gémit dans ma bouche quand mon gland trouve l’ouverture à sa chatte torride et poursuit sa course au fond de sa chair veloutée et accueillante.
Utilisant l’évier derrière elle comme un soutien, maman enveloppe ses jambes autour de ma taille et fini elle-même de s’empaler sur ma longue bite, arrêtant de m’embrasser pour mieux arquer son dos, pour que je plonge toujours plus profondément dans sa chatte jusqu’à ce que nos poils pubiens s’emmêlent ensemble et que je sente l’humidité de sa chatte baveuse contre mon aine.
On retrouve ce doux moment, ou notre désir de mère-fils se mêle avec le frisson d’être démasqué. Mon vieux, son mari, est assis à quelques mètres, inconscient de notre amour, comme il est tout aussi inconscient de la belle femme chaude et sexy qui va bientôt le quitter.
Bien planté sur mes pieds, je murmure des mots d’amour à mon amante, ma mère, et je commence doucement à aller venir dans cette grotte aux plaisirs infinis. Je la baise comme elle aime le dire !
Les seins de maman rebondissent sous son pull rouge et font sauter son collier de perles. Je l’embrasse partout, sur son cou, sa poitrine, ma langue roule à travers la houle de ses seins exposés.
Les doigts de maman s’emmêlent dans mes cheveux et elle me maintient contre elle, frissonnante sous les coups plus rapides de mon pénis tout raide. Je sens ses lèvres embrasser mon oreille et de sa belle voix, haletant doucement, elle murmure.
– je t’aime, Dany, mon fils et doux amant. Je t’aime infiniment !
Maman serre ses jambes autour de moi, essayant de me faire aller le plus loin possible en elle et elle commence à masser ma bite avec sa chatte, dans une chaleur liquide et douillette.
On fait l’amour, ou on baise, en ignorant le monde qui nous entoure. Il n’existe plus. Maman me regarde et je vois dans ses beaux yeux, ce lac d’amour qui est devenu le centre de mon existence alors que nos corps se cognent l’un dans l’autre, encore et encore. Nous nous embrassons et au sein de ce baiser, nos langues font elles aussi l’amour. Des gémissements sortent de la gorge de maman et ses cuisses se resserrent autour de moi comme pour m’écraser quand sa chatte, secouée de violents spasmes, broient ma bite en la noyant dans un jus crémeux et chaud.

Au début de son orgasme, j’essaye de tenir le coup, mais son plaisir et les massages de ma bite par ses muscles vaginaux me poussent à jouir au plus profond de son ventre. Jets après jets, je la remplis de mon sperme chaud et épais, i****tueux.
Cet orgasme mutuel fusionne nos corps en un seul être, une seule conscience, presque capable de lire dans les pensées de l’autre, pour partager nos plaisirs individuels et de créer quelque chose de grand et merveilleux, quelque chose d’éternel. Nos corps sont couverts de sueur, des larmes coulent sur notre visage, sous la puissance de nos ébats i****tueux.
De longues minutes s’écoulent avant que je trouve la force de retirer mon sexe de celui de maman et à bout de souffle je me suis assis en en l’entraînant avec moi. Nous sommes dans la cuisine, les bras de maman autour de mon cou, sa tête contre ma poitrine, nous soutenant mutuellement pour nous retrouver de nouveau en simples mortels.

-Mon fils… mon amour, je ne me lasserais jamais de toi. Tu sais comment baiser et faire l’amour à une femme !
– Je sais baiser ma mère. C’est elle qui m’a tout appris !
En riant comme de sales gamins dévergondés et pervers, nous ramassons nos affaires et le bas tout nu nous passons devant le salon où son mari, mon père, est assis, inconscient et ignorant de la passion, de l’amour et de la luxure qui a consumé nos corps à quelques mètres plus loin. Nous montons l’escalier ensemble, ma main en ventouse sur le cul de maman, pour faire un brin de toilette.

Les vacances de Noël passent et secrètement ou ouvertement, nous cherchons toutes les possibilités de faire l’amour. Papa et les jumeaux vivent leur vie, ignorant Maman comme ils l’on toujours fait pendant des années, alors que moi je m’efforce de ne pas perdre une seconde loin de maman, mon amour.
Heureusement, sous prétexte d’un concert de Rock près de mon boulot, maman a pu me rejoindre pour le nouvel an et nous avons passé le réveillon du nouvel an ensemble. Mon souvenir le plus vivace, c’est cette nuit ou, dans un club, en écoutant les paroles d’une de nos chansons préférées, maman c’est surpassée, habillée comme une déesse, exposant sa sexualité débordante et son coté exhibitionniste.
Sa robe de soirée est scandaleusement sexy, rouge, courte et avec un bustier comme l’année dernière. Celle-ci a un décolleté en V plongeant qui met la moitié de ses seins magnifiques et 1/3 de ses aréoles à la vue de tous et elle est si courte qu’elle dévoile ses cuisses au moindre mouvement. Ses beaux cheveux noirs tombent en cascade de boucles sur ses épaules.
Elle est sublime, désirable, envoûtante.

Malgré le monde qui s’agite autour de nous, nous sommes dans notre bulle d’amour, et nous dansons serrés l’un contre l’autre, heureux et assurés qu’à l’aube du premier jour du nouvel an, maman et moi on fera l’amour, les jambes de maman écartées, ma bite dans sa chatte maternelle, sachant que c’est juste le début, le premier beau jour du reste de notre vie.
Une vie que nous passerons ensemble en tant que mère et fils, amants, et éventuellement, mari et femme.
Nous ne pouvions nous douter que le destin s’apprêtait à nous donner un coup de main pour transformer nos vies…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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