Histoires de baise Histoires de sexe à l'école Histoires érotiques couples amateurs

Une tante connectée

Une tante connectée



Je descends enfin du train après deux heures de voyage, il est 10h du matin et je suis fatigué. Je dois encore marcher jusqu’à la maison de mes grands parents. Heureusement elle n’est pas très loin de la gare, alors j’y vais et 15 min plus tard je suis devant la maison.

J’espère que tantine va m’ouvrir… Mais malheureusement ce n’est que ma grand mère qui m’ouvre. Je salue donc mes grands parents et demande où se trouve ma tante.

« Oh tu sais c’est samedi elle est allée faire les courses pour être sur que son neveu préféré ne manque de rien pendant la semaine, me dit ma grand mère avec un grand sourire.
— Oh..Okay. Je réponds avec un peu de déception mais c’est bien la tante protectrice que je connais alors ça me fait tout de même sourire.
— Tu as faim tu veux quelque chose ?
— Oh non merci, mais je suis un peu fatigué. Ça vous dérange si je vais me reposer un peu ?
— Non non du tout, ta chambre est au fond du couloir. » Me dit mon grand père en me montrant la voie avec sa cane.

Je me dirige vers la chambre, je pose mon sac et me jette dans le lit tout habillé, la train me fatigue tout le temps et j’ai à peine le temps de me mettre dans le lit que je somnole. Après un certain temps je sens que quelqu’un viens s’asseoir à coté de moi. J’ouvre les yeux et je vois que c’est ma tante. Ma magnifique tante encore plus belle en vrai. Elle me regarde et son air maternaliste me fait bander, tellement que j’en soulève un peu mon bassin. Je crois que j’aime cette femme et elle m’excite.

« Coucou, ma chère tante, tu… »

Et alors que je suis entrain de finir ma phrase, elle met ses mains sur mes joues et m’embrasse à pleine bouche, je sens sa langue frotter contre la mienne et je sens mon cerveau s’embrumer. J’avais pas prévu ça mais je vais pas me plaindre. Soudain elle relâche son étreinte et se recule un petit peu, l’air visiblement gênée.

« Je suis désolée, je suis une mauvaise tante, mon dieu…
— Raconte pas de bêtises , t’es parfaite comme tante…Et comme femme aussi.
— Qu’est ce que tu dit là? T’es mon neveu j’aurais pas du faire ça, ni ce qu’on à fait mardi.
— Tu te rappelle !?
— Bien sur que je me rappelle, tu crois que je t’embrasse juste comme ça… Je peux pas m’empêcher de penser à ça.

Elle se lève et commence à partir de la chambre.

— Attends. Moi aussi je pense qu’a ça, je pense qu’a toi depuis ce jour, je t’aime Amélie. Regarde.

Je sais pas vraiment ce qu’il me passe par la tête mais tout en lui disant ça je me lève et baisse mon pantalon. Mon sexe fièrement dressé juste devant cette femme qui m’excite plus que tout au monde.

— Amélie? C’est la première fois que tu m’appelle par mon nom. Et tu dis que tu m’aimes?

Elle ne regarde même pas mon sexe, elle me regarde dans les yeux.

— Oui je t’aime, tu es parfaite. Tu es la femme avec laquelle j’aime passer le plus de temps, à qui je peux tout dire sans crainte, et bon sang que tu me fais bander. Ce moment avec toi mardi c’était absolument exceptionnel.

Elle se rapproche de moi et met le pied à terre, elle lève la tête et me regarde avec ses yeux en amandes marrons d’un air coquin et me dit

— C’est rien comparé au moment qui va suivre, et moi aussi je t’aime mon poussin. »

Et alors là, je vois ma tante engloutir mon pénis comme dans mes rêves les plus fous. Je la faire des petits va et viens, rapide en rentrant, doucement en sortant. Elle fait juste ça pendant quelques secondes puis je sens sa main autour de mon sexe qui commence à bouger en même temps,
Bon sang, quel plaisir incroyable, je pensais pas qu’on puisse avoir autant de plaisir. Mais comme pour me montrer que ce n’est pas tout, là voilà qui commence à faire tourbillonner sa langue autour de mon gland.

« Mais merde c’est tellement bon, c’est exactement pour ça que je suis venu. Lui dis-je avant de me rendre compte d’un truc. Oh merde ! Les grands parents, si ils nous voient…

— Relax, me réponds-elle en ricanant et en me regardant avec sa moue de salope, tu crois franchement que je ferais ça si ils étaient là ? Il sont parti faire un tour et avec eux ça veux dire qu’on les reverra pas avant ce soir. »

Puis elle reprends sa fellation, avec encore plus de vigueur au fur et à mesure que mon sexe fait des soubresauts, jusqu’au moment fatidique où j’éjacule dans sa bouche. Elle me regarde, cette femme à genoux devant moi sur le sol de cette chambre dans laquelle je dormais étant enfant quand je rendais visite à mes grands parents. Cette magnifique femme, si belle que rien autour ne semble exister. Elle avale puis se lève, elle me regarde et dit.

« Je voulais prendre une douche avant de venir te voir mais du coup je l’ai pas fait? Tu veux venir? »

Et sans même attendre ma réponse, elle se dénude totalement devant moi, et je peux voir, sentir et presque toucher son corps nu. Elle est sublime, bien plus en vrai. Elle me tends la main, je l’att****s et la suit jusqu’à la douche.

Arrivé dans la douche je me sens soudain pris de panique, ma tante me regarde et le sens alors elle viens se coller contre moi. Je peux sentir sa poitrine généreuse se coller contre mon torse. Elle prends ma main droite et la colle sur un de ses seins, si doux et plus fermes que ce que j’aurais cru pour une femme de son age même s’il ne s’agit pas de la fermeté des 20 ans. Je commence à caresser son sein et je le sens se raidir dans mes mains, et je vois ma tante fermer les yeux et se mordiller la lèvre.

Je décide donc de lécher ce sain, comme une espèce de remerciement pour la fellation d’avant. Puis sans vraiment réfléchir je commence à caresser son ventre avec ma main gauche tout en me dirigeant ver son vagin. Je la sens frémir et à peine je lui touche le clitoris qu’on aurais dit qu’une décharge électrique avait parcouru son corps. Je m’arrête, on se regarde, elle me souris puis allume l’eau. Son visage et son corps se recouvrent de gouttes et j’ai soudainement envie de la prendre là, dos au mur. Je me contiens un peu et je commence à lui enfoncer un doigt dans sa chatte.Photos

Mais à peine le doigt rentré, elle m’en empêche, puis met sa main sous mon menton pour que je me relève. Là, elle m’enlace et m’embrasse à pleine bouche, mon sexe collé contre le sien, sa poitrine appuyé contre mon torse, et je me dit que je peux mourir ici et maintenant. Mais il faut croire que ce n’est pas l’envie de ma tante qui se retourne, s’appuie contre la faïence du mur et cambre son derrière, j’ai soudainement une impression de déjà vu comme dans se rêve dans le champ.

« Prends-moi, mon poussin. »

Je ne me fais pas prier, et j’enfonce mon sexe dans son vagin, tout doucement jusqu’au bout. Elle est tellement mouillée que ma bite rentre toute seule et je sens que son sexe essaye d’aspirer le mien. On reste là comme ça sans bouger pendant quelques secondes et soudain comme si c’était la chose la plus normale du monde on s’est mis à bouger, ensemble, au même moment dans une osmose sexuelle totale.

On commence doucement et j’entends ma tante gémir, ce bruit m’excite à mort et je me contient, puis je commence à aller plus vite et les gémissement d’Amélie se transforment en des cris plus forts. Elle aime ça, elle me le dit, elle me dit que ma bite est géniale et ça me donne envie d’aller encore un peu plus vite. Ses cris doublent de volume, ça résonne dans la douche, heureusement que mes grands parents ne sont pas là. Elle arrête et se retourne à une vitesse incroyable puis tel un félin elle se pends à mon cou et enlace ses jambes autour de ma taille. Je la pénètre en la regardant droit dans les yeux et je sens tout mon corps chauffer, mes yeux ne font le point que sur sa tête. Tout le reste devient flou. Elle me regarde et son visage exprime une telle jouissance que j’en suis tout émoustillé. Elle me somme d’aller plus vite, plus fort et je m’exécute. Je lui dit que je ne tiendrais pas longtemps mais elle s’en fout, jouis dans moi qu’elle me dit. Les va et viens puissant dans son vagin me procurent un bien fou mais pas autant que ce visage qui me regarde, qui me lèche la lèvre puis qui m’embrasse de toutes ses forces alors que je viens en elle.

Tout s’arrête soudainement, dans une béatitude parfaite. Ma tante, cette déesse, me regarde visiblement satisfaite de sa session avec moi. Mais je ne peux m’empêcher de vouloir la faire jouir alors je prends le paumeau de douche et je commence à la masturber avec en utilisant le jet. Puis une fois que son vagin me semble suffisamment propre, je décide de la lécher, je la sens frémir d’excitation et il ne faut pas longtemps avant qu’elle ne fasse des cris de jouissance, preuve que ma mission est terminée.

Je me relève, la serre dans mes bras et l’embrasse. Je me sens bien, au bon endroit. Finalement cette douche va nous servir vu qu’on ruisselle de transpiration. Pendant la douche on discute et j’ai vraiment l’impression que cette femme n’est plus ma tante mais la femme de ma vie, celle avec qui je veux vivre.

Pendant ces deux semaines, on à eu plein d’occasions de recommencer, dans la douche, dans mon lit, dans son lit, sur la table de la cuisine et c’était bon à chaque fois. Mais j’ai dû repartir chez moi après les vacances. Mais on avais déjà convenu qu’elle devait venir chez moi la prochaine fois. On pourra faire ce qu’on veut quand on veux sans crainte. Vivre tous nu comme elle aime, ce qui ne me déplaît pas.

Quelques mois plus tard, la voilà qui arrive chez moi, je l’embrasse, lui fait l’amour dans mon petit appartement et alors qu’on est sur le lit, elle me regarde et dit.

« Qu’est ce que tu dirais si je me faisais muter ici ?

— Sérieux, j’aimerais beaucoup.

— Alors commence à chercher un appart plus grand ou on peut faire beaucoup de bruit. »me réponds elle avec son air coquin.

Depuis, elle et moi on vis ensemble. Mes parents sont content que ma tante soit là pour me surveiller et ils ont pas compris qu’on est pas juste colocataires. Tant mieux il faut dire. Vu ce que je fais subir à la sœur de ma mère. D’ailleurs en ce moment même, à l’instant où j’écrits ces lignes elle est en train de me sucer. C’est si bon. J’aime ma tante, elle est parfaite.

Je vous laisse, il faut que j’aille la baiser. Maintenant, et puis demain, puis le jour d’après, jusqu’à la

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire