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Exposé nu devant les amies de sa mère (3)

Exposé nu devant les amies de sa mère (3)



Sam, dix-huit ans, et sa mère Lucie sont dans un train. Ils sont assis côte à côte sur des sièges disposés en carré. En face d’eux, une jeune fille, Lisa, voyage avec sa maman, Claire. On bavarde pour passer agréablement le voyage.

Le but du voyage de Sam et Lucie est assez spécial, puisqu’il s’agit de se rendre chez Suzanne, la sœur de la maman qui a perdu son mari, afin de lui permette d’avoir un autre enfant. Faute d’avoir rencontré un homme qui lui convienne, la jeune veuve a demandé à Sam s’il voulait bien la féconder. Comme cela implique de pratiquer l’acte sexuel, ce dont le garçon est extrêmement friand, il a bien sûr accepté. Tous deux sont partis pour trois jours, qui sont situés à un moment favorable du cycle de Suzanne, et une seule chose est prévue au programme de ce séjour : la baise, d’autant plus intensive que Sam, après une longue semaine d’abstinence, est au mieux de sa forme.

A l’instar de Sam et Lucie, Claire et Lisa entretiennent une relation i****tueuse depuis la majorité de celle-ci, avec une passion particulière à la fois pour l’exhibitionnisme, le bondage et la domination lesbienne. Elles se rendent tous les deux à un concours international de chatouilles entre femmes, au cours duquel de nombreux et somptueux cadeaux seront à gagner pour celles qui résisteront le mieux à cette forme de torture devant les caméras du monde entier. Une cinquantaine de couples se sont inscrits, Claire en tant que bourreau et Lisa comme victime. Dans ce but, elles se sont longuement entraînées. La fille, sanglée nue sur le fauteuil qu’elles se sont bricolées, a subi quotidiennement des heures de chatouillements terriblement intenses sur toutes les parties de sa peau.

Comme toutes les sportives de haut niveau, elle connaît son point faible, à savoir la plante de ses pieds, très sensible malgré une préparation assidue au cours de laquelle elle s’est soumise. Très gentiment, et aussi parce que cela l’excite au plus haut point, Sam lui propose de parfaire sa mise en train par un exercice, pieds exposés au-dessus de la tablette qui les sépare. La candidate accepte immédiatement et retire ses chaussures sous l’œil bienveillant des deux mamans et aussi que quelques autres voyageurs un peu voyeurs, qui ont entendu la conversation et dont les verges se sont furieusement allongées sous les pantalons. Il est convenu que lorsque Lisa criera « stop », il faudra cesser immédiatement. Claire prépare son chronomètre pour mesurer le temps que sa fille peut tenir. Le record personnel est établi à 17’26’’.

Avant de commencer, le garçon commence à sucer les orteils qui diffusent une odeur délicieuse de fille non lavée depuis la veille, imprégnés de sueur et de phéromones, ce qui pour lui est absolument affriolant. Bien entendu, ce faisant, Sam bande comme un jeune taureau en rut. Mais il sait aussi qu’il doit économiser sa semence pour sa tante. Tout cela promet d’être difficile à gérer pour un garçon plein de fougue.

– C’est bien de me lécher, objecte Lisa, mais je te rappelle que tu dois me chatouiller de la manière la plus cruelle possible.
Obéissant, il se sert de ses dix doigts pour effleurer la peau de jolis petons qui lui sont soumis. Sa maman l’aide de son mieux, de sorte que vingt phalanges rapides stimulent les plantes d’une manière insupportable. La jeune fille ne peut le supporter et ses jambes ne tiennent pas en place.

Heureusement, un jeune passager nommé Corentin, après s’être présenté, propose une solution : il possède de la ficelle permettant d’attacher les chevilles à la tablette, de sorte que la séance de torture peut reprendre dans de meilleures conditions. Sous l’effet du bourrèlement, Lisa rit très fort et commence à crier. D’autres voyageurs, curieux et émerveillés de ce spectacle peu banal, s’approchent. Le contrôleur est également présent, mais il observe et se garde bien de faire cesser ce jeu impudique.

Sam et sa maman s’avèrent des bourreaux particulièrement habiles, car les chatouillements s’arrêtent après seulement un peu plus de onze minutes, après que le mot de sécurité a été crié. La pauvre victime n’en pouvait plus ; elle est essoufflée et transpire beaucoup. Elle est déçue par cette médiocre performance, augurant mal la compétition à venir où les participantes ne lui feront aucun cadeau pour remporter le prix.

– Maman, j’ai manqué de courage ! Il faut que tu me punisses très sévèrement à coups de règles sur les orteils.
– Hum ! Tu as vraiment envie de te donner en spectacle de cette manière ?
– Oh, oui ! Peut-être que sous l’effet de la douleur, je vais pleurer devant tout le monde.
– Bon, comme tu veux. Jeune homme, dit-elle en s’adressant à Sam, vous voulez bien échanger de place avec moi ?
– Si vous voulez, je peux lui infliger cette punition moi-même, propose-t-il.
– Je préfère le faire moi : il faut doser les coups pour causer une forte douleur sans abîmer les pieds, ce qui nécessite un savoir-faire. Mais tu peux regarder, pour apprendre. On ne perd jamais son temps à s’instruire.

D’ailleurs, tout le wagon regarde la scène, les yeux écarquillés. Claire sort de son sac une longue règle métallique, et commence à frapper de petits coups sur les orteils. Lisa compte chaque coup en grimaçant, mais elle ne pleure pas. Arrivé à dix, le supplice s’arrête.

– Allez, on reprend, dit la maman. Concentre-toi, et cette fois, tâche de tenir plus longtemps, sinon ce sera vingt coups. Qui veut essayer de lui chatouiller les pieds ?
– Moi, propose Corentin.
– Le mieux serait que je sois complètement nue, propose Lisa. Comme cela, je serai en situation comme au concours, et ces messieurs pourront en profiter.
– Toujours aussi exhibitionniste, la gronde gentiment sa maman ! Ça t’amuse donc tant d’exciter les hommes, alors que tu n’en veux pas ? Enfin, comme tu veux, ma chérie.

Corentin et Sam détachent la jeune fille qui, rapidement, ôte tous ses vêtements, révélant un corps qui, tel que celui de la belle Psyché, rendrait Vénus jalouse. Cinquante paires d’yeux sont tournée vers les jolis petits seins pointus et replets, le ventre plat et le sexe magnifiquement herbu surmontant des cuisses blanches et gracieuses. Quelques couples, inspirés par ce spectacle, se font l’amour sur les sièges ; d’autres, n’ayant pas de partenaire, se masturbent la main dans le pantalon, voire ouvrant carrément leur braguette pour être plus à l’aise. Ainsi fait le contrôleur, révélant sans pudeur ses organes virils sous le regard gourmand des dames.

Ficelée sur la tablette située entre les fauteuils, parfaitement immobilisée, couchée sur le dos dans le plus simple appareil, Lisa soumet ses deux pieds terriblement chatouilleux tandis que sa maman chronomètre.

– Courage Lisa, dit Sam avant que Corentin commence à la torturer au niveau de ses pieds ! Si tu tiens au moins vingt minutes, et que donc tu bats ton record personnel, je te récompenserai en te léchant le minou jusqu’à ce que tu jouisses.

Cependant Corentin n’est pas disposé à épargner les pieds chatouilleux de sa victime, et d’entrée de jeu, il attaque par un mouvement très rapide sur l’endroit des plantes qu’il a repéré comme étant le plus sensible. Sa victime rit et se tortille d’une façon désespérée, mais, serrant les dents et disposée à tout endurer, elle tient.

– Cinq minutes, proclame Claire !

En supporters fidèles, les spectateurs encouragent la jeune fille en frappant dans leurs mains en rythme – du moins, ceux dont une main n’est pas mobilisée pour une autre activité. Le bruit a attiré des voyageurs venus des wagons voisins, de sorte que le public se presse, très serré entre les sièges.

– Dix minutes ! Courage, Sara !

Le jeune bourreau, sentant s’éveiller en lui de sombres pulsions, ne lui fait aucun cadeau, et accélère encore le mouvement. Des larmes coulent sur les joues de la jeune fille. Mais celle-ci, disposée à tenir jusqu’au bout, tient bon, serre les dents, et ne prononce pas le mot de sécurité.

– Quinze minutes !

Sara croit devenir folle ; elle est sur le point de s’évanouir – ce qui disqualifie immédiatement les concurrents. Toute sa peau transpire et luit, ce qui la rend encore plus belle et plus attirante. Dans son supplice, elle ne peut se retenir et urine le jus d’orange qu’elle a bu l’heure d’avant. On entend un « oh » étonné de la part des spectateurs massés autour d’elle. Cela fait partie du jeu : lors d’un concours de chatouille, les concurrents doivent boire un litre de jus de fruits avant la compétition, afin d’encourager la miction en pleine action, ce qui est toujours excitant.

– Vingt minutes ! Hourra, c’est gagné, triomphe sa maman !
– Je peux tenir encore, proclame Sara. Continue, Corentin !
– Tu es sûre, ma chérie, s’inquiète sa maman ? Ne va pas trop loin, quand même !

On voit les yeux de Lisa s’écarquiller, puis elle s’évanouit ! Pour cette raison, le record ne peut pas être homologué. Un mouchoir humide apporté par une gentille supportrice a tôt fait de ranimer la sportive courageuse.

– Ce n’est pas grave, dit Sam qui a avait de toute façon très envie de lécher la jeune fille. Je vais te le brouter quand même, ton joli petit con. Ça va te faire du bien, après ce que tu as subi. Tu veux que je te détache ?
– Non, il faut que j’apprenne à supporter mes liens, pour parfaire mon entraînement. Par contre, tu peux me ligoter d’une autre façon, pour que ma chatte soit plus accessible à ta bouche.
– Comme tu veux.
– D’habitude, je n’aime pas trop les garçons, mais toi, tu es bien mignon, et tant qu’il s’agit seulement de léchouiller ma petite cerise, ça va. Mais ne va pas plus loin, s’il-te-plaît.

Sam détache les jambes avant de les lier à nouveau d’une autre façon : relevées, les cuisses écartées largement, ce qui expose parfaitement aux regards les zones génitale et anale de la jeune fille. Le garçon écarte de ses mains les grandes lèvres et les nymphes. À cette occasion, chacun peut constater la présence d’un hymen parfaitement intact et donc virginité de jolie Lisa. Sous les yeux attentifs de tous, il se met à genoux et commence son délicat cunnilinctus, comme sa maman lui a appris à pratiquer sur elle-même. Il aurait bien ensuite planté son dard à cet endroit, mais il sait que le tempérament lesbien de la fille ne le supporterait pas – il est déjà formidable, pense-t-il en pleine action, qu’elle accepte cet hommage venant d’un individu de sexe masculin.

Ce lèchement accentue le déjà très joli sourire de la jeune fille, qui se met à gémir de plus en plus fort. Chacune et chacun, dans le wagon, entend le doux chant de la volupté qui va crescendo, jusqu’à un feulement tout-à-fait expressif au moment de la jouissance. Le conin, déjà dégoulinant d’une cyprine abondante et tiède aux délicieux parfums féminins, envoie dans l’acmé un petit jet supplémentaire, droit dans la figure de Sam qui s’en délecte et s’en lèche les babines. Il va ensuite cueillir un doux baiser sur les lèvres de Lisa, et comme il est gourmand et généreux, il embrasse de même les deux mamans qui ont contemplé la scène, les yeux pétillants de désir, et aussi toutes les autres femmes qui l’acceptent. Certaines glissent coquinement une main baladeuse dans son pantalon, espérant des faveurs plus épicée qu’un simple baiser soit-il à la française. Mais ce serait oublier qu’il est à la diète sexuelle, dans le but de féconder sa tante.

Certaines, très excitées, le supplient :

– S’il-te-plaît, on voudrait te voir tout nu !

Et les autres insistent en cœur :

– A poil, à poil, à poil ! Fais-nous voir ton mandrin pour qu’on te tripote un peu !
Quel homme pourrait rester sourd à ce chant mélodieux de sirènes ? Certainement pas Sam qui cède à l’insistance générale et retire ses vêtements pour la plus grande joie des spectatrices fortement émoustillées. Mais il insiste :
– Aujourd’hui, je ne baiserai personne, désolé. Il faut que je m’économise.

Un « oh ! » de dépit se fait entendre. Corentin, lui, n’a pas ces scrupules : de toute la longueur de sa bite, il encule Claire, laquelle, simultanément et revêtue d’un gode-ceinture rouge à la fois long et épais, fait de même avec sa fille toujours immobilisée par des liens serrés. Lucie trouve cela tout-à-fait charmant et prend quelques photos en souvenir, puis, n’y tenant plus, relève sa robe et se branle, une main dans sa petite culotte blanche et trempée laissant entrevoir ses poils pubiens.

Pendant ce temps, son fils est harcelé par une bonne dizaine de femmes très excitées qui prennent un malin plaisir à le lutiner en maints endroits de son corps, en particulier les plus intimes, profitant honteusement qu’il soit nu et vulnérable à leurs assauts.

Se laissant faire sous ses libidineux outrages, il circule de bras en bras, sous l’œil suspicieux des maris jaloux de le voir si bien membré. L’une réussit même à glisser un doigt dans le petit trou sombre d’entre les fesses qu’une autre a vicieusement écartées. Bientôt, la prostate est la cible du leste attouchement, ce qui provoque immédiatement une incoercible montée du besoin de se libérer de la semence. Un peu de liquide pré-éjaculatoire perle au gland. Une main se faufile dans la foule et chatouille irrésistiblement les bourses.

Sam se retourne brusquement dans le but de gifler quelques-unes de ces polissonnes, mais l’une a ouvert son corsage où aucun soutien-gorge ne masque des seins auxquels nul mâle, jeune ou vieux, ne peut résister, ne serait-ce qu’une seconde !

D’autant qu’une autre libertine a pris le relais, poursuivant le massage de la glande à laquelle on ne peut accéder qu’en insérant un doigt dans le cul qu’elle triture joyeusement. Le garçon pelote les généreuses mamelles durcies par le désir qui lui sont présentées, et bientôt, la belle dame espiègle se laisse renverser en arrière, les cuisses complètement écartées, exhibant son absence de culotte, c’est à dire une cramouille toute dégoulinante de mouille mêlée de glaires visqueuses à souhait, invitation particulièrement explicite à y plonger tout droit le membre turgescent.

Juste avant de céder à l’incontournable tentation, Sam jette un coup d’œil vers sa mère qui lui envoie un regard courroucé et lève les yeux au ciel, impuissante : que pouvait-elle faire face à une telle horde de succubes frénétiquement aimantées par le vit incandescent de son fils ? Rien du tout ! D’autant qu’impuissant, le garçon est loin de l’être : il est même prêt à ensemencer dans ce train tout ce qui portait jupon avant de le retirer. D’ailleurs, on est arrêté en pleine voie, car le conducteur est une conductrice et, prévenue par un contrôleur, elle veut sa part comme les autres femmes. Juste avant de quitter son poste de conduite, elle prévient d’ailleurs par haut-parleur : tant qu’elle n’aura pas été labourée et pleinement satisfaite, on ne repartira pas, dût-on y passer la nuit entière. Mais, au grand soulagement des gens pressés, elle est promptement embrochée par Sam et foutue profondément et à satiété, comme le sont toutes les autres qui se présentent à tour de rôle, y compris les petites vieilles auxquelles cela rappelle leur jeunesse, et sa maman qui, ayant finalement accepté de voir son fils entrer dans la partouze, ne veut pas être en reste.

Après avoir copulé en levrette avec Sam, et tandis que celui-ci continue avec les autres femmes, Lucie s’est laissé convaincre par Claire de s’initier aux doux gougnottages entre amies. Toutes deux ont terminé de se déshabiller avant de s’adonner au plus mignon des ébats lesbiens : le soixante-neuf, agrémenté de doigts fouillant l’anus de part et d’autre : on parle alors, dans ce cas, de 71, le département de la Saône-et-Loire d’où précisément Lucie est originaire. Puis elles passent au tribadisme qui un adorable frotti-frotta de deux clitoris l’un sur l’autre, extraits pour l’occasion de leurs cachettes et souplement arrimés entre eux grâce à des cuisses emboitées, ce qui déclenche des vagues de plaisir que chacune exprime d’une façon sonore.
Ensuite, les deux amies s’enlacent tendrement, seins contre seins, ce qui est une position idéale pour se parler tendrement. Puis, téléphones portables en mains, elles échangent adresses et numéros, se promettant de rester en contact. Claire dit :

– Tu as dû remarquer que ma fille est vierge : jusque-là, j’avais l’habitude de l’enculer avec mon gode-ceinture, ce qu’elle apprécie beaucoup à chaque fois, en particulier lorsque des invités nous regardent, car elle adore exhiber les cochonneries qu’elle pratique avec moi – ou d’autres filles. Mais bientôt aura lieu le concours de chatouilles entre lesbiennes, au cours duquel nous avons prévu, pour que le spectacle soit grandiose, une démonstration de sexe i****tueux entre ma fille et moi ! Et à cette occasion, après la sodomie habituelle, je vais la dépuceler devant l’assistance. Ensuite commencera le concours de chatouilles auquel nous participerons, elle comme chatouillée, et moi comme bourreau. Evidemment, ce ne sera pas moi qui m’occuperai d’elle, mais une autre femme tirée au sort. Je sais que ma fille est particulièrement chatouilleuse, mais comme elle est en même temps très courageuse et fermement déterminée à tout endurer, elle a toutes ses chances. On prévoit une salle d’environ un millier de spectatrices dont certaines viendront de loin pour admirer les souffrances des chatouillées. Le premier prix, pour celle qui résistera le plus longtemps, est une sculpture en or massif représentant un pied grandeur nature orné d’une plume. Ce n’est pas souvent qu’on voit cela, et nous sommes toutes les deux impatientes que ce moment arrive. Je suis certaine que ce sera un moment très excitant, et le point de départ d’une orgie généralisée entre femmes qui va durer toute une nuit. Il est dommage que tu n’aies pas le temps d’y assister.
– Mais de toute façon, ce genre de soirée est exclusivement réservée aux femmes, et je ne veux pas venir sans mon fils.
– Effectivement. Tant pis : je t’enverrai des photos, et même une vidéo. Tu pourras te branler pendant des heures en la regardant.

Pendant ce temps, le train repart, avec du retard certes, mais Lucie et son fils finissent par arriver à destination où la tante Suzanne les attend patiemment, accompagnée de sa fille Caroline qui a le même âge que le garçon. Celui-ci descend nu sur le quai car il a oublié ses vêtements sur son siège et le train est déjà reparti : qu’importe, il ne fait pas froid, et il restera durant tout son séjour dans cette tenue qui est parfaite pour ce qu’il a prévu de faire. D’ailleurs, en voyant celles qui sont venues l’accueillir, chacune peut constater qu’il bande à nouveau, le priape plus excité que jamais malgré le nombre impressionnant de femmes qu’il vient juste de baiser. Mais il est très vigoureux et totalement insatiable. Tout cela promet d’être un joyeux bordel que je vous raconterai au prochain épisode.

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