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Une voisine sans nom…

Une voisine sans nom…



Cela faisait un moment que je me disait « elle m’a regardé fixement encore », elle c’était une voisine de l’immeuble d’en face, la seule que j’apercevais de mon balcon le matin et le soir, à vu de nez, elle avait une quarantaine d’années avec de très jolies formes. Ce matin là je prenais le petit déjeuner dehors, le regard vague vers mon café quand je leva les yeux, j’écarquilla mes paupières, elle était là en train de prendre son café ou autre chose, elle me regardait, je sentais son regard fixe sur moi, je fus excité et tétanisé à la fois comme un gosse ne sachant quoi faire… Elle était en petite nuisette toute fine, on devinait ses seins à travers en plus de son décolleté… il n’en fallut pas plus pour réveiller celle qu’une douche froid avait endormie après sa gaule matinale habituelle… mon boxer devenu d’un coup trop petit et une belle bosse fit son apparition que je tenta de masquer en m’asseyant, je vis ma voisine esquiver un mouvement de la tête pour mieux voir et elle fit un grand sourire, je lui souris en retour avec une moue « désolé », elle me fit un clin d’oeil et ce que je cru à un bisou, puis rentra chez elle.
Je repris mes esprits et rentra aussi, ma queue déçue, je décida de la « récompenser », je retira mon caleçon, et me mis à l’aise dans mon canapé… au beau milieu de mon affaire, je tourna la tête et je revis ma petite voisine à la fenêtre qui scrutait chez moi, avec les rideaux peu de chance de me voir, alors mon côté pervers pris le dessus sur la raison, je me leva, la queue fièrement dressée et je tira un peu le rideau qui me cachait, et là je vis sa réaction !… elle ouvrit ses yeux en grand, se mordit la lèvre, je commença à me branler devant elle, elle regardait fixement ma bite, je regardais à droite et à gauche que personne d’autre ne pouvait me voir et continua, elle avait une main sous la rambarde de son balcon, mon esprit pervers pensa qu’elle se branlait aussi (en fait non), après 2 minutes, j’arrêta et lui fit comprendre que si elle voulait plus, elle devrait venir le chercher… je lui fit des signes pour qu’elle vienne en bas, je compris qu’elle hésita, je jouais avec ma queue pour l’aguicher un peu, et en éclatant de rire elle leva son pouce et rentra.
En deux secondes, je mettais un tshirt et un pantalon, attrapa mes clés et en 30 secondes j’étais devant la grille de mon immeuble. Elle arriva une minute après, elle aussi très légèrement habillée et confuse, elle rigolait, toucha la bosse de mon pantalon que je cachais difficilement. Sans un mot je l’emmène chez moi, à peine la porte fermée, je retira en 5 secondes ces vêtements en trop, elle explosa de rire en se mettant à genoux devant ma bite, elle l’attrapa, me regarda et me dit « j’ai pas eu le temps de finir mon café ! »… et commença une belle pipe tout en douceur, elle faisait des bisous sur mon gland, mes couilles fraîchement rasées du matin, elle les pris dans sa bouche, c’était trop top…elle pris mon gland dans la bouche comme une sucette elle roula sa langue autour hummm rien d’y penser je bande encore… je lui fit remarquer que je suis très excité et que j’étais sur le point de jouir tout à l’heure… « Joui alors, on recommencera vite après »… et elle se mit à me branler frénétiquement tout en me gardant en bouche, hummm je mis mes mains derrière ma nuque, essayait de contrôler ma respiration pour ne pas jouir trop rapidement, elle me suça vite, très vite, trop vite… alors qu’elle avait toute ma bite en bouche, je laissa mes couilles exploser, je l’a prévient à temps pour ne pas la surprendre et je senti mes jets de sperme partir dans sa bouche, hummmm je ralais à chaque succion, elle avalait mon sperme comme son jus du matin… c’était trop bon trop top…
Elle continua de me sucer quelques minutes après, ma bite ne débandant pas trop, elle se releva, retira sa petite robe, elle était entièrement nue, « je veux ta queue en moi… » me dit-elle…
Je l’emmena donc vers mon lit, la coucha, et au moment où j’allais embrasser sa belle chatte toute rasée, elle dit « prend moi vite », j’attrapa une capote que je mit rapidement et m’introduis en elle, sa chatte était trempée et chaude, je poussa un râle de satisfaction, elle rigola et m’enserrera avec ses jambes.. je commença doucement, je l’embrassait et dans mon oreille elle me dit « baise moi », il ne fallut pas me le dire à deux fois, je me releva, écarta ses cuisses, et lui envoya de lourd coup de queue, de plus en plus rapidement, elle commença à gémir, « c’est bon ça, plus vite », j’allais de plus en plus vite, nos chairs claquait dans l’air, j’avais passé une de ces jambes entre mes bras pour avoir plus d’emprise sur elle tout en la branlant, elle poussa un cri et senti des contractions autour de ma queue, je compris qu’elle était en train de jouir, elle s’arrêta et je ralenti mes mouvements, je senti que j’allais aussi jouir à nouveau mais je voulais pas arrêter de la baiser alors je me retira, enleva ma capote et descendit d’un cran pour lui lécher la chatte…
Elle attrapa ma tête « hummm cochon… doucement… », je fis donc de léger bisou sur sa chatte comme elle avec ma queue, puis commença à lui pomper littéralement l’intérieur des lèvres, j’avais sa chatte dans ma bouche et je la suçais à mon tour, (j’adore faire ça et lécher les femmes en général), elle gloussait, se trémoussait, elle me regardait faire, je lui attrapa les seins et tritura ses tétons au moment où elle était en train de jouir, elle me lâcha la tête et j’aspira ma salive pour lui rendre sa chatte trempée de mouille et de salive, elle me regarda les yeux dans le flou, « t’es un grand cochon toi, allonge toi »… ce que je fis, elle fit 3 aller retour avec sa bouche sur ma queue et se mis à croupi, « j’ai trop envie de sentir ta queue jouir en moi » me dit-elle.. je compris no capot pour la suite… j’ai pas longtemps réfléchi et mit un coup de hanche pour lui signifier de vite introduire ma queue dans sa chatte…
J’ai cru jouir de suite en entrant à nouveau, c’était évidement encore plus chaud que 10 minutes auparavant, elle commença à me chevaucher à vive allure, le mélange salive, mouille, sueur, claquait dans l’air, c’était trop hard, elle ralentit, elle fatiguait, je pris les choses en main, je lui attrapa les hanches et écarta mes cuisses, je la pris vite, très vite, elle ouvrait la bouche mais sans qu’un son n’en sorte, elle prenait autant son pied que moi, après quelques minutes de ce « régime », je n’arriva plus à tenir, et me rallongea les jambes, elle se redressa et ondula du bassin au-dessus de moi, les bras écartés, je la laisser me baiser… ou bout de quelques minutes, je baissa la tête en arrière, c’était trop pour moi, elle comprit l’instant « vas-y jouis en moi »… à peine finit-elle cette phrase que je l’immobilisa en la tenant par les hanches, je poussais de longs râles en la regardant, je sentais mes multiples jets sortir de ma queue, « hummm oui vide toi, hummm c’est chaud… » gémit-elle… elle s’écroula sur moi, ma bite encore en elle, on était tous les deux à bout… Elle parti dans la salle de bain prendre une douche et revint se blottir contre moi, on s’endormit en quelques minutes comme ça…
Vers midi, je sentis une pression vers mon sexe, elle était réveillée et était en train de me sucer… mais ça c’est une autre histoire 🙂

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