J’étais venu seul à cette communion solennelle parce que mon épouse ne voulait pas y aller. Elle avait prétexté que c’était de mon côté. Je ne connaissais personne, pourtant, de cette branche-là. Peut-être une cousine mais c’était encore une gamine à l’époque.
J’avais attendu le dernier moment pour entrer dans l’église. C’était plein et j’étais resté à l’arrière près des fonds baptismaux et ce n’est que quand la cérémonie a été finie que je me suis présenté aux parents de ma petite-cousine, à ses grands-parents et à tout le tra-la-la.
Après, je les ai suivi au restaurant où se continuait la journée. C’est là que j’ai retrouvé Juliette. Je me souvenais de cette famine. Elle a voulu absolument se mettre à côté de moi et ça a provoqué tout un chambard. J’ai tout de suite remarqué qu’elle n’avait pas de soutif et que sa poitrine gigotait tout doucement sous sa robe.
Quand je lui ai demandé son âge, elle m’a répondu qu’elle venait d’avoir dix-huit ans. Je lui ai répondu qu’elle a changé depuis la dernière fois. Surtout, elle avait vidé son verre dès qu’il était rempli et elle était pompette.
C’est là que je me suis encouragé à lui poser des questions un peu osées et je lui ai demandé pourquoi elle n’a pas mis de soutien-gorge.
– Cochon, m’a répondu celle qui était devenue par un imbroglio de mariages, ma belle-sœur, tu voudrais bien les voir !
Elle a alors tiré sur le col de sa robe mais je n’ai pu voir que la naissance de ses seins, le début du sillon qui les sépare.
– Ah, joli, lui ai-je répondu !
– Tu voudrais bien mettre ta bite, m’a lancé Juliette !
J’ai tout de suite vu, sur le visage de la mamie qui nous faisait face, la grimace.
– Moins fort, ai-je murmuré à ma belle-sœur !
– Quoi ? C’est pas vrai, a-t-elle ajouté ? Ne me dis pas que j’ai les seins qui tombent, parce que c’est vrai, a-t-elle encore ajouté.
Je ne pouvais pas m’en rendre compte. Enfin, presque pas car elle avait une robe empire, avec un nœud qui la resserrait en-dessous des seins.
La personne à ma gauche m’a entrepris et j’ai lâché Juliette qui a semblé s’endormir. Je ne saurais jamais pourquoi, j’ai porté la main à la poche intérieure de ma veste et je me suis rendu compte que mon porte-feuille n’y était pas. Il fallait absolument que je le retrouve. Qu’avais-je fait jusque là ? Ah, oui, j’avais posé ma veste sur le lit dans ma chambre et c’était sans doute là qu’il avait glissé de ma poche.
Je me suis excusé auprès de mon voisin et je suis sorti de table puis j’ai gagné l’ascenseur qui mène aux chambres. La porte de l’ascenseur allait se refermer quand une main aux ongles rose s’est interposée et la porte s’est rouverte et Juliette est entrée dans la cage.
Elle m’a dit qu’elle a cru que j’avais disparu puis elle m’a dit qu’elle doit monter dans sa chambre au troisième étage. C’était mon étage. J’ai appuyé sur le numéro trois et l’ascenseur a commencé à monter mais Juliette n’a pas tardé à appuyer sur le stop.
– Je te plais pas ? T’as pas envie, m’a-t-elle demandé ?
– Quoi ?
– Tu serais pas le seul à avoir envie de me baiser, a insisté ma belle-sœur, mais j’ai quand même le droit de choisir avec qui ? Tu n’as pas à avoir peur, j’aime ça, a-t-elle ajouté !
Je lui ai répondu que je pensais qu’elle était encore vierge. C’était une plaisanerie.
– T’as faux, m’a répondu Juliette ! Je me suis fait baiser une fois !
– Et ça t’a plu ?
– Non, a ajouté ma belle-sœur ! Ce con a joui tout de suite ! Avec toi, je suis sûr que tu penseras à moi !
– On ne va pas rester enfermés dans cette cage toute la journée, lui ai-je demandé ?
J’ai rappuyé sur le bouton mais elle a rappuyé sur le stop.
– Tu dois pouvoir juger avant toutes choses, m’a lancé Juliette !
Elle a déboutonné tous les boutons du haut de sa robe puis elle a sorti ses seins.
– Putain, ta cousine n’en a pas autant que toi !
Je pensais à mon épouse. Elle avait eu de la poitrine mais elle avait fait un régime et maintenant, elle avait deux gants de toilette sur le torse et Juliette avait deux obus même s’ils pendaient un peu.
– Tu peux les toucher, m’a offert ma belle-sœur !
Je les ai caressés et je me suis attardé sur les mamelons et après, j’ai perdu la tête.
– Il faut qu’on y aille, ai-je dit à Juliette !
Elle m’a suivi dans ma chambre et elle a tout de suite retiré sa robe. Elle n’avait pas non plus mis de petite culotte et elle m’a demandé ce que je préfère, rasé ou nature.
Rasé ou nature, parce qu’elle s’était rasée la moitié droite de son pubis et elle avait laissé les poils sur le côté gauche. Je n’avais jamais vu une telle curiosité.
– Déshabille-toi, m’a demandé Juliette en m’arrachant ma veste puis elle m’a retiré le reste de mes vêtements.
– Cochon, tu bandes déjà, m’a fait ma belle-sœur en glissant sa main sous mes couilles ! Tu vas m’apprendre, a-t-elle ajouté ? Tu vas faire de moi une vraie femme ?
– C’est-à-dire ?
– Tout ce que tu veux, a ajouté Juliette ! Je suis prête !
– Tout ce que je veux ? Je t’encule ?
Elle était d’accord. Je l’ai laissée s’amuser avec ma bite mais quand j’ai senti que j’allais céder, j’ai retourné Juliette et je lui ai embrassé le cul puis, avant de lui lécher la chatte, je lui ai fait promettre de me dire si elle aime ça et j’ai commencé à la lécher. Elle sentait la petite fille sale mais j’étais si excité que ça ne me dérangeait pas. J’ai léché son anus puis je suis retourné à sa chatte. Puis elle m’a dit que ça vient et elle m’a demandé de ne pas arrêter. Je ne pouvais pas lui répondre et un torrent de mousse blanche est sorti de son vagin.
– Oh, putain, c’est encore mieux que quand je me masturbe, m’a avoué Juliette !
Pendant dix minutes, elle n’a pas arrêté de me demander de continuer et elle n’a pas cessé de jouir jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le drap. Après, je l’ai retournée et c’est là que j’ai retrouvé mon portefeuille. Je l’ai posé sur la table de nuit puis j’ai retourné Juliette.
– Quoi, m’a-t-elle fait ?
– Maintenant, c’est à moi !
– Et tu fais quoi, tu m’encules, m’a demandé ma belle-sœur ?
J’ai quand même commencé dans sa chatte puis je l’ai prise entre les seins et comme elle essayait d’att****r ma bite avec ses lèvres, je lui ai mise dans la bouche avant de mettre la fille en levrette et je me suis enfoncé dans son anus. Là, j’étais sûr que c’était la première fois. Juliette s’est mise à crier mais j’ai quand même continué et au bout d’un moment, c’est elle qui a voulu que je continue et j’ai fini par jouir au fond de son anus.
Après ça, nous avons fait une petite sieste nécessaire et quand j’ai regardé ma montre, il était sept heures du soir. Je savais qu’il y avait un dîner, avec ceux qui étaient venus de loin. J’ai pris une douche et je me suis rhabillé puis j’ai réveillé Juliette pour lui recommander de faire de même et je suis descendu.
Les serveurs remettaient les couverts. Il n’y avait plus que quatre tables. J’ai cherché mon nom. Juliette n’était pas à côté de moi mais j’ai vite découvert qu’elle était en face de moi. Pensez-donc, les tables ne devaient faire que soixante-dix centimètres de large.
Les invités ont commencé à rappliquer. J’ai attendu patiemment avant de m’asseoir puis Juliette s’est assise face à moi. Elle n’a pas tardé à me taquiner avec le bout de son pied et j’en ai fait autant avec elle et j’ai eu un dîner extraordinaire.
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