Je suis chauffeur de taxi la nuit pour boucler mes fins de mois.
3 h30 du matin, il n’y a plus d’appel. Je m’arrête à un casse-croûte ouvert 24 heures pour acheter deux hot-dogs et aller les manger au centre de répartition tout en profitant de cette pause pour nous raconter, les chauffeurs et moi, les anecdotes de notre soirée. En route, je reçois un «call». Maison privée dans un quartier hors de la ville. Pas très content puisque je ne peux refuser l’appel, je m’y rends. Arrivé sur les lieux, un couple se dispute sur le balcon. La femme pleure et lui donne des coups. Je dois attendre quelques minutes. A voir son air piteux, il ne ripostait pas, mais il essayait de la convaincre de rester. Peine perdue, elle se dirige vers mon taxi. Une jolie femme, début quarantaine. À mon âge, on les appellent déjà, les femmes-couguars.
Grâce à la lumière extérieure je peux la détailler et l’admirer. Jupe courte, talon haut, chemisier blanc, cheveux foncés qui glissent sur ses épaules et une poitrine ni trop petite, ni trop grosse. Elle s’essuie les yeux, se retourne vers ce qui semble être son copain en lui faisant un doigt d’honneur, elle ouvre la portière côté passager et s’assoit à mes côtés. Je ne suis pas voyeur mais je ne peux m’empêcher de remarquer ses cuisses athlétiques et tout le reste aussi. Je lui demande où elle veut aller. Elle me répond :
-Pour l’instant, je ne sais pas. Partons avant que mon nouvel ex-ami revienne à la charge!
Je démarre, lui offrant un papier-mouchoir. Elle accepte et en profite pour parler de cet «enfoiré», qui en résumé, l’avait trompé avec sa meilleure amie. Elle ajoute aussi qu’elle veut «lui rendre la monnaie de sa pièce». Parfois elle me regarde, parfois elle regarde la route. Je profite de la mi-noirceur pour mater ses cuisses ou la forme de ses seins que son chemisier me laisse imaginer. J’ai souvent de jolies femmes qui montent, mais celle-ci est le genre que tu vois dans tes rêves érotiques les plus fous, étant donné son âge. N’oublions pas, j’ai 24 ans !
Elle répète plusieurs fois : -Je veux me venger, je vais me venger !
J’essais de lui changer les idées avec quelques questions banales, ne sachant même pas où nous allons. Elle me dit alors:
-C’est quoi cette odeur de bouffe, des hot-dogs ? Je réponds:
-C’est mon lunch que je viens d’aller chercher au casse-croûte.
-Ça me donne une idée, tu veux partager avec moi ? J’adore les saucisses !
En disant cela, elle pose sa main sur ma cuisse et remonte directement sur une demi-érection débutée au moment où elle est entrée dans le véhicule. Elle dit encore :
-J’adore les saucisses, surtout les gros saucissons. Je veux me venger, veux-tu m’aider ?
-Oui mais je suis en couple, je ne peux pas vraiment…
-Je comprend, est-ce que se toucher un peu l’un l’autre est ok ?
-Je suis d’accord avec ça! Toucher n’est pas tromper je crois! A mon âge on est crédule.
Pas très loin, je trouve un endroit hors de vue pour être tranquille quelques temps. Elle remet sa main sur mon entre-jambe qui avait prit du volume et le frotte en exerçant une pression, ce qui me fait haleter. De ma main droite, tremblante, j’effleure son sein par-dessus le tissu.
-Je peux vraiment?
Elle se redresse en souriant, ne dit rien et déboutonne, laissant apparaître son soutif de dentelle. C’était plus qu’un accord de sa part. Je plonge ma main directement sous le bonnet pour soupeser son sein et en pincer le bout doucement. Je caresse cette forme douce et mi-ferme, elle gémit, me démontrant qu’elle apprécie. Elle se retourne vers moi, dégrafe mon pantalon et reprend la caresse de mon pénis. Je dois soulever mon bassin pour lui donner ce qu’elle convoite. Je ne me fais pas prier pour qu’elle le sorte complètement. Mon jus d’excitation qui coule sur le bout de mon gland circoncis lui montre mon désir du moment quasi adultère. Elle me regarde dans les yeux et me dit :
-Tu as une belle queue, je peux te sucer? -Oh, que oui! Je lui dis.
Elle se place alors à genou sur la banquette tout en s’approchant de mon érection. Ce geste met ses jolies fesses à portée de ma main droite. J’en profite pour m’aventurer à les palper. Toute barrière tombée, je glisse ma main sous le tissu satiné et lui pris une fesse à pleine main, je la caresse sans gêne jusqu’à frôler son sexe. Elle bouge de manière à me faciliter la tâche. Pendant ce temps, elle donne quelques coups de langue sur mon gland pour recueillir le jus qui en coule abondamment. Elle l’englouti d’un coup, façon «gorge profonde», ce que ma copine n’a jamais réussi à me faire. Je râle de bonheur.
Je continue mon exploration directement sur sa vulve, trempée d’excitation et complètement rasée ce qui me rappelle certaines «playmates» de magazine porno que j’ai déjà vus en page centrale. J’y cueille sa cyprine pour faire glisser deux doigts sur son bouton de plaisir qui est dur. Je la sens frémir de tout son corps pendant qu’elle me pompe langoureusement, comme si elle savait que j’éjaculerais trop vite. Elle semble déguster ce qu’elle me fait. Sans avertissement, je décide de lui insérer mes deux doigts mouillés directement dans la chatte. Le parfum épicé qu’elle dégage me fait croire que je rêve.
Maintenant, elle me pompe sans les mains, que c’est bon! J’adore voir ça. Profitant de la liberté de sa main, elle la faufile maladroitement pour me caresser elle aussi les fesses. Je due encore me soulever pour apprécier ce geste. Elle ne s’arrête pas là, sans prévenir, elle met ses doigts jusqu’à ma raie, d’un doigt agile et encore mouillé de sa salive et mon jus, elle presse ma rondelle jusqu’à me pénétrer. En un éclair, je revis un court instant, ce qu’un copain avait essayé de me faire dans une aventure de découverte sexuelle masculine lors de l’adolescence. Je suis très surpris de l’audace de cette femme-couguar qui a beaucoup plus d’expérience que moi. Je fais donc la même chose, je sorti mes doigts de son intimité pour lui faire une double pénétration dans son anus et sa vulve. Mon doigt y entre comme si ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait sodomiser. Lentement je pousse, le plus profondément que je peux et fais des vas-et-viens en me concentrant sur son point G. Je serre parfois mes deux doigts pour y diminuer la peau qui sépare les deux trous. Elle adore. On dirait que son sphincter et sa vulve me mord les doigts tellement elle y met de la pression. Elle accélère sa succion sans retenu, m’enculant elle aussi de son doigt, touchant ce qui semble être un endroit sensible de l’homme, le «point P». Je continue de la pénétrer de mes doigts, m’imaginant y mettre ma queue, qui veut bientôt exploser. J’essaie de me retenir le plus longtemps possible pour vivre ce moment inédit.
Je la regarde faire un moment, elle me regarde aussi de coté avec des yeux félins tout en me suçant. Je me sens pas très loin de l’explosion et elle le ressent aussi, ce qui lui donne un effet de frisson alors qu’elle succombe à un long spasme et un cri étouffé qui annonce sa jouissance. Je la pénètre de mes doigts de façon quasi violente essayant d’aller encore plus profondément. Je la sens frémir de tout son corps en grognant et sans lâcher ma queue qui frotte le fond de sa gorge. C’est trop excitant, je ne peux plus me retenir et j’explose directement dans sa bouche en plusieurs saccades. Je grogne moi aussi comme un homme des cavernes qui vit ce moment de cannibalisme car elle avale ma fécondation autant qu’elle peu en finissant de jouir de mes doigts qui continuent la double pénétration devenue plus lente et en douceur.
Elle se relève en me regardant encore, s’essuie les lèvres pour récupérer ce qui n’a pu être avalé. Je fais donc la même chose, avec un sourire d’un homme comblé, je sors mes doigts, lui frôle le bouton d’amour, ce qui lui redonne un autre frisson comme si elle était prête à continuer. Je porte mon doigt à ma bouche, celui qui vient de pénétré sa chatte pour la déguster.
Elle se rajuste à sa place, reboutonne son chemisier après avoir replacé le sein que j’ai caressé un peu plus tôt, ce qui me laisse encore le temps d’admirer cette tigresse qui doit maintenant être satisfaite de la vengeance envers son ex-copain. Un court moment, j’eu envie de la venger encore un peu plus mais tout à coup, je me suis souvenu de ma copine qui dormait à la maison ! Je replace aussi ma queue qui a peu ramolli.
Elle me donna finalement l’adresse de sa destination et je l’y conduis. Elle me demande le montant de la course ce à quoi je répond :
— Ce soir, pour vous c’est gratuit!
Elle me dit Merci puis se rapproche, met sa main sur la demi-bosse de mon pantalon comme pour la faire durcir, m’embrasse directement sur la bouche en y passant la langue rapidement entre mes lèvres, sentant encore l’odeur du sperme qui l’a, je crois, rassasiée. En effet, elle ne me reparla pas des hot-dogs maintenant devenus froids…
Je ne l’ai jamais revu, mais j’en garde un merveilleux souvenir.
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