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Il avait des couilles pendantes

Il avait des couilles pendantes



Il avait des couilles pendantes.

Un soir que j’étais allé faire quelques courses au super marché, je passais par les toilettes, une envie d’uriner… En entrant un vieux monsieur, plus vieux que moi était dans le fond de la rangée des trois urinoirs. Je m’avance, il me regarde, on est seul. Je lui fais un signe de tête comme un bonjour, il se tourne vers moi et me montre carrément sa bite molle sortie sur son pantalon de toile.
Deux grosses couilles pendent sous la bite. Mais pendent vraiment très bas. Je les regarde, fasciné par ce joli paysage. Je souris d’excitation. L’homme s’enhardi.
– tu me montre ta queue ?
-Non pas ici, on est dans un magasin.
Mais en disant cela je me tournais pour qui voit ma bite molle, juste prête a pisser. Petite, sortie juste un peut de la braguette. Il tend la main.
-Non pas ici !
Il secoue sa bite, rentre tout dans son pantalon et sort en haussant les épaules. Je le regarde partir. Je fais faire mes courses, passe à la caisse et sort. Je suis en train de mettre mes achats dans le coffre quand je le vois arriver. La nuit commence à tomber, il et là à me regarder entre deux voitures, le manteau ouvert et ses grosses couilles sorties. Je remballe mes affaires et regardant ses couilles et sa bites… Je commence à avoir des envies de toucher. Il et là maintenant contre la portière arrière coté passager. Sa bite et à portée de main, si je veux. Il ne dis rien, secouant juste cette bite vieille et molle.
Je referme le coffre et monte dans la voiture. Je jette un regard sur le coté, il et là, la bite contre la vitre. Je tends le bras et ouvre la portière. Il monte sans un mot et je démarre. Je ne suis pas sorti du parking, qui et en train de fourrer sa main sur mon pantalon, cherchant à ouvrir ma braguette. Je remue pour l’aider, il glisse sa main chaude à l’intérieur. Je me dirige vers la sortie de la ville et m’enfonce dans le premier chemin. J’arrête la voiture, il et là a me tripoter la bite. Elle à grossi, semi raide, je dégrafe mon pantalon et sort la bête. Il se penche et aspire mon gland. Il me pompe. On n’a pas dit un mot, j’appuie sa tête sur ma bite. Il suce bien, si ça continue, je vais gicler. Je gicle toujours trop vite. Et puis je m’en fous, j’ai envie de lui gicler mon foutre dans la bouche. Je lui tiens bien la tête, ru as voulu sucer, le vieux, tu vas devoir tout avaler, je ne vais pas le lâcher. Je sais déjà, à son peut de résistance, qu’il va me prendre complètement. Je relâche la pression. Je me laisse aller. Il à compris, je gicle mon foutre et il avale ma semence. Puis il lèche ma bite et suce mes boules vidées. Il me regarde.
-Merci, j’avais envie d’un bon sperme. Ramène moi au parking veut tu ?
-Ok, merci c’était bon ?
-Oui c’était bon.
J’avais déjà commencé mon demi-tour et je repartais vers le supermarché. Pendant le voyage, il avait sorti sa queue et ses bourses ballotaient aux mouvements de la voiture. Il sorti les couilles à l’air, cachées par son manteau. Il claqua la porte sur le parking, se mit dans mes phares, la nuit était tombée, ouvrit son manteau pour me montrer une dernière fois sa bite pendante. Il referma le manteau et disparu dans la nuit. J’avais joui dans la bouche d’un inconnu et j’avais bien joui. J’avais l’impression de sentir encore ses lèvres serrer mon sexe. Une demi-érection commença à monter. Je me dis en rentrant chez moi, que je le reverrais peut être si je revenais le même jour à la même heure. J’arrivais à la maison, ma femme était là, déjà en robe de chambre, comme chaque soir.
-Tu as était longtemps aujourd’hui.
Je la regarde, avec ses 70 ans, elle est encore belle.
-Que de monde, et puis j’ai pris un café à la taverne du magasin.
-Tu as bien fait de te changer les idées.
Elle passe près de moi, j’entrouvre son vieux peignoir. Elle et à poil dessous, sans culotte, comme d’habitude. Je glisse ma main sur sa moule, pendant qu’elle remue sa soupe.
-J’ai envie de te baiser là chérie.
-Bof fais comme tu veux, tu sais bien que je suis toujours d’accord. D’habitude tu me fourre sans me demander.
-C’est vrai, d’habitude… Mais là…
-tu as vu une petite jeune qui ta tourné la tête, la caissière ?
-Non, personne, j’ai envie c’est tout.
Je sors ma bite raide. Je la penche en avant sur l’évier et je lui enfonce direct dans sa moule ouverte. Au bout de quelques va-et-vient, je retire ma bite et cherche son cul. Elle se penche plus, tends son gros cul que j’écarte et je lui plante ma bite sur la rondelle. Comme d’habitude, elle pousse vers moi et après quelques manœuvres ma queue entre comme d’habitude. Elle c’est tellement fait ramoner le cul que ça rentre tout seul. Je joui très vite. Elle m’essuie la queue avec son torchon.
-Allez à table, vieux cochon, ta soupe et prête.

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