Weekend Surprise – Chapitre 7
Ce soir la, en rentrant dans ma chambre, je vis Anaïs nue, couchée sur le ventre, mon sang ne fit qu’un tour, encore échaudé par la provocation de Cécile, je ne chercha même pas à être doux et tendre, je la réveillais à coups de piston et sans aucune douceur, elle était à ma merci juste mon objet.
Je ne duras pas longtemps ce soir là, je me laissa tomber sur le côté et m’endormais tel un gros beauf. Le sommeil me gagna en un clin d’œil.
Le lendemain matin, à mon réveil Anaïs était déjà debout je la rejoignais dans la salle de bain, elle me sourit,
– Merci pour le réveil cette nuit, qu’est ce qui t’a mît dans un tel état ?
– Rien de spécial, mentis-je, j’avais juste envie voilà tout.
Je descendais, et rejoignais tout le monde pour le petit déjeuner
Attablé en silence, personne ne voulait briser la glace, l’ambiance était pesante sans aucune raison. Je décidais de couper court.
– Qui a prévu quoi alors pour aujourd’hui ?
– Bah moi j’ai pas la chance d’avoir un jour de congés n’est ce pas patron ! Anaïs me lançais un pic gentillet ce qui détendis l’atmosphère. Cécile enchaîna
– Moi je suis en journée d’intégration, je ne sais pas combien de temps ça va prendre, ils vont nous expliquer le programme du stage.
– Moi je comptais profiter de ma journée off afin de revoir des amis, j’ai déjà prévu de déjeuner avec marc du lycée, enchaîna Tristan.
L’ambiance détendu chacun fini son repas puis parti pour sa journée. Je me retrouver seul avec mes pensées.
A vrai Dire j’étais encore sous le choc de la proposition de Cécile, et je dois l’avouer cela m’excitait, je ne sais pas si c’était elle ou juste le taboo. Mais j’avais envie de l’entendre crier encore et encore.
Je me rendis compte que j’avais énormément changer depuis quelques temps. Je n’étais plus l’homme droit comme un I que j’étais, ma morale avait laissé place à un instinct bestial, basé uniquement sur mes désirs, et cela avait commencer avec Véronique …
La pensée de la savoir célibataire m’excitait au plus au point, la dernière fois cela avait été bâclé, bon mais rapide, je voulais une autre fois, il le fallait, ne serait ce que pour boucler la boucle.
En bref j’entreprenais d’aller me soulager quand j’entendis toquer à la porte. C’était Cécile déjà la …
– Déjà ? Un problème ?
– Non mais en fait il y a pas d’intégration prévu on commence demain, j’ai mon programme. Et finalement on a été libéré pour l’après midi, on a quartier libre. Donc pourquoi ne pas rentrer je me suis dit.
J’étais de nouveau dans une situation délicate.
– Très bien tu as mangé ??
– Oui un repas était prévu mais j’ai encore faim, si tu vois ce que je veux dire …
Cécile avait dit ces mots et fonçait sur moi tel prédateur sur sa proie.
– Ouais enfin n’oublie pas notre accord, je l’esquiva adroitement et me dirigea vers la cuisine.
– Tu étais moins coincé avec Véronique je me rends compte, peut être que je ne t’attires pas c’est ça ?
– Non bien sur que non, mais déjà véronique ce fut une erreur, aujourd’hui encore je ne comprends pas comment j’ai pu, mais si je peux éviter de continuer à en faire je préfèrerais, tu comprends ? De plus je suis en couple et heureux.
– Ouais je peux essayé, donc je penses que nous devons nous mettre au boulot au plus vite, n’est ce pas ?
Joignant le geste à la parole elle sortie un Pc portable.
– C’est celui de Tristan, je suis persuadé que tu peux trouver des choses intéressantes. Allez hop au boulot !!
Elle semblait enjoué à l’idée de fouiner dans la vie de son mari … C’était plutôt anormal mais bon je me mît au travail.
Ce que je trouva me surpris. En clair Tristan menait une double vie, il était l’homme d’une femme et bon père de famille d’un côté puis de l’autre, il s’était créé un double, il fréquentait beaucoup de sites de rencontres, adultères en particulier, et postait régulièrement des vidéos sur le site Xhamster, site que je connaissais bien je dois l’avouer.
Mais le choc fut le contenu des vidéos, la majorité étant des vidéos de voyeurs, montrant quasiment tout le temps Cécile … L’intimité de Cécile avait été filmé de tous les angles et étaient diffusés sur le net. Cécile à côté de moi était bouche bée. Et puis il fallait voir les commentaires …
– Je ne sais pas quoi dire Cécile … Vraiment …
– MAIS C’EST JUSTE UN MALADE CE TYPE !! Cécile était dans une colère noire, elle qui semblait toujours douce, montrait une âme guerrière …
Je tentas de fermer le profil quand une autre vidéo me fit sursauter « ma mère dans la salle de bain », Tristan avait publié une vidéo de Véronique nue dans la salle de bain … Je voulais tant regarder cette vidéo sur l’instant mais je ne le pouvais …
Je revint à Cécile qui se calmait petit à petit …
– Comme je te l’ai dit je suis désolé, c’est le risque quand on fouille … Parfois on trouve …
– C’est pas grave … J’ai la haine mais il le payera, tu as une dette envers moi n’oublie pas, et puis si l’on se réfère à ces commentaire, je ne suis qu’une « sacrée cochonne qui ne mérite que de se faire trouer le cul ». Moi qui ne l’ai jamais fait c’est peut être l’occasion !
– Cecile je te rappelle juste que pour l’instant rien n’ai prouve, à part des discussions rien est prévu, il n’a prit aucun rendez vous !
– Soit ! Mais ne soit pas stupide tu sais aussi bien que moi que ca à du aller plus loin non ? Elle marquait un point mais je me devais de lui laisser le bénéfice du doute.
– Écoutes je vais continuer à fouiner mais pour l’instant le contrat n’est pas rempli.
En fouinant encore je trouvais son mot de passe iTunes, avec ça et un iPhone bien configurer je pouvais le suivre à la trace. Cécile était trop dégouté pour en voir plus pour aujourd’hui, je la laissa à la maison et en profita pour filer Tristan. Son signal se déplaçait dans Paris, je comprendrais qu’il devait être en métro.
Puis le point s’immobilisa, comme hypnotisé je me dirigeais mais lui, le complexe interne faisait rage, d’un côté je souhaitait que Tristan ne fasse pas les mêmes erreurs que moi, de l’autre, s’il déconnait je coucherais avec Cécile, et la vérité c’est que je le souhaitais.
Je me gara à proximité et continua le reste à pied, il me fallut un bon moment pour comprendre que j’étais devant mon lieu de travail …
Je monta les escaliers et me retrouvais devant la porte de notre agence, elle était fermée, j’entendais des gémissements provenant de l’intérieur, je fis jouer discrètement la clé dans la serrure et entra sans faire de bruit. Jamais je ne pût imaginer ce que j’allais voir à ce moment là …
Elle était la … Anaïs, prise par Tristan mais pas seulement, Tom était aussi de la partie, Anaïs avait sombré dans la pire des débauches, et moi devant ce spectacle, je restais immobile, et je bandais …
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