Suite à cette aventure dans le train, Alain a recherché un Maître sévère, afin de me dresser puisque lui- même n’y arrivait pas.
Après quelques recherches, un midi, nous avons rendez-vous avec un certain Pat dans un café à Saint-Lô. Les deux hommes parlent devant moi sans me considérer.
« Alain, si j’ai bien compris, votre femme est une salope qui se fait sauter par le premier venu sans vous en demander l’autorisation ? »
« Oui Pat, c’est tout à fait ça et je ne sais plus quoi faire. J’ai beau la fesser, mais je ne m’en sort pas. »
« Oui je vois. He bien je vous propose de me la prêter ce week-end. Déposez-moi votre femme à 09h00 samedi matin chez moi. »
A ce moment, je m’insurge mais aussitôt, je reçois une grande claque sur la cuisse par Alain qui me dit :
« Je t’ai pas donné l’autorisation de parler ! Essaye pour une fois dans tavie d’être respectueuse ! »
Je suis sidéré et ne dis plus rien. Alain reprend à l’adresse de Pat :
« C’est parfait, je vous la met à 09h00 chez vous. Envoyez-moi un SMS quand vous en aurez fini avec elle. Merci. »
Je me tourne vers lui, paniquée, mais il me regarde d’air qui ne demande pas de réponse en me disant :
« J’ai dit que c’était d’accord. Point. Et tu l’a cherché.»
Pat m’a regardé en répondant :
« Tu seras punie pour avoir essayé de donner ton avis. »
J’ai rougis et baissée la tête sans rien dire. Mais ça ne lui suffit pas et pour commencer mon humiliation il me dit :
« Dit que tu as besoin d’être punie pour ton impertinence ! »
« Oui oui ça va : Oui, je dois être puni. »
Alain me redonne une clque sur la cuisse et Pat me dit :
« Petite salope soit respectueuse ! Dit Oui Maître Pat, je dois être punie pour mon comportement ! »
« Oui Maître Pat, je dois être punie pour mon comportement ! »
« Voilà c’est mieux. Dis-toi bien que dés à présent, tu est une chienne soumise et docile. Je me fous complètement de ce dont tu as envie ou pas. Tu seras ma soumise et tu feras ce que je veux. Tu subiras mes désirs et celui de mes amis. C’est clair ? »
« Oui Maître Pat. »
Malgré ma honte, ma peur et mon humiliation devant mon mari, j’ai senti des fourmillement dans mon bas ventre et je me suis mise à mouiller.
« Donnes-moi ta culotte ! »
« Mais nous sommes à la terrasse du café ? »
« Donnes ! »
Je me lève pour aller aux toilettes l’enlever, mais il m’ordonne aussitôt :
« Enlève-la ici. »
Paniquée, je regarde autour de moi. Personne ne fait attention à notre manège. Alors, fébrile, mal à l’aise, mais déjà sous l’emprise de cet inconnu, je suis docile et enlève ma culotte. J’en fait une boule et lui donne discrètement.
Mais lui la prend pour la sentir et dit à haute voix:
« T’es une vraie chienne en chaleur toi. Ta culotte est trempée. Ça t’excite à ce point de te faire dresser ? »
Sans attendre, il c’est levé et il est partit avec ma culotte dans la poche.
Puis il est parti. À la maison, j’ai eu droit à une fessée pour avoir été incorrecte avec Maître Pat et avoir fait honte à mon mari.
La veille du rendez-vous, Alain reçoit un SMS de Pat.
« Une camionnette sera demain matin devant chez vous. Votre femme attendra sur le trottoir et suivra les instructions ! »
Le Samedi, à l’heure prévue, j’attends sur le trottoir. Un fourgon s’arrête à ma hauteur. La porte latérale s’ouvre et un homme me fait signe de monter. Il me met un bandeau sur les yeux et place un bâillon-boule dans ma bouche. J’ai une boule au ventre. Le scénario ressemble à un k**naping. Le bâillon boule me fait baver et j’emet des sortes de grognements.
« Enlève ta culotte putain ! » M’ordonne-t-il.
A l’aveugle j’ôte mon string. Ensuite, je sens qu’il me met des bracelets aux chevilles et aux poignets et aussi un collier autour du cou.
« Écarte les jambes putain ! »
Le ton est dur. Mais docile j’écarte les jambes. Sans autre préliminaire, il m’introduit un œuf vibrant dans le vagin. Il saisi ensuite mon clitoris entre ses doigts et y met une pince. Je mord la boule en retenant mes larmes.
Le fourgon file à toute allure. Je ne contrôle rien. L’inconnu ouvre mon chemisier et sort mes seins du soutien-gorge. Il les malaxe et les malmène durement.
Puis il met des pinces sur mes tétons. La morsure des pinces me fait horriblement mal. La douleur me vrille l’estomac. En voyant ma reaction, il me dit :
« Tu dois obéir, obéir à tout, tout accepter. »
L’œuf vibrant, malgré la douleur des pinces et l’humiliation d’être traitée de la sorte, fait monter mon plaisir.
Soudain, le véhicule s’arrête. L’homme me fait descendre et me guide. A chaque pas, la pince me mord le clitoris et les tétons. Je suis poussée dans une pièce et il me retire le bandeau. Maître Pat est là avec mon mari et plusieurs hommes. Pat tourne autour de moi d’un air suffisant puis il m’ordonne :
« Danse pour mes invités salope ! »
Je suis stupéfaite et reste figée. Un homme s’avance alors vers et se met à m’entraîner dans un valse où le contacte contre mon corps accentue la douleur des pinces. Je passe de bras en bras, les pinces bougent et s’écrasent sur ma chair meurtrie. Pat s’avance alors et tire les pinces de mes seins jusqu’à ce qu’elles cèdent.
« Comme tu es une pute, j’ai décidé de faire de toi une petite enculée soumise et obéissante. Voyez vous mes amis, cette chienne est une vide couilles. Elle est a notre entière disposition durance week-end avec la complicité de son mari. »
Maître Pat m’attache alors sur sorte de table basse. Il graisse mon anus et me le masse. Ensuite il y introduit plusieurs doigts. Rapidement un des hommes pose son gland sur ma rosette et pousse fermement en me disant :
« Alors, cochonne, tu veux que je t’encule ? »
Je ne répond pas et pour cause j’ai un bâillon boule dans la bouche. Je reçois un grande claque sur les fesse.
« J’ai rien entendu ! »
Je marmone ce que je peux. Ce qui fait rire les spectateurs :
« mhhh moui Maêutre »
Sa bite force mon anneau. La douleur de cette pénétration n’est pas aussi forte que je l’avais craint. Mon anus s’ouvre sous sa poussée. Il s’enfonce dans mes entrailles.
Quand il est enfoncé à fond, il s’est mis à me bourrer violemment. En disant aux autre compéres :
« Vous allez voir les gars, comme c’est bon d’enculer son petit cul étroit ! »
A ce rythme, il éjacule rapidement. Il se retire de mon cul et en enlevant mon bâillon boule, il me présente son sexe pour que je le nettoie. Je me sens humiliée d’être ainsi traitée devant ces inconnus et mon homme. En même temps, je me sens dominée par sa volonté. Il m’att**** par les cheveux et m’oblige à lécher son sexe.
Une foi propre, un autre le remplace dans ma bouche. Il me donne une claque à chaque fois que je l’effleure avec les dents. J’ai l’impression d’être devenue un a****l obéissant aveuglement à son Maître. J’ai les larmes aux yeux à chaque fois que son membre touche le fond de ma gorge. Au bout d’un moment, il accélére la cadence et explose dans ma bouche.
« Avale tout sac à foutre ! » M’ordonne-t-il.
Je le fais sans discuter par peur des représailles. Je pense avoir un moment de répit mais Maître Pat dit à ses amis :
« Venez la prendre ! Elle est bonne et elle est a vous ! »
Je suis assaillie par tout les trous et pendant au moins deux heures, ils ont usé de mon corps. J’avais mal au cul, à la chatte et la mâchoire à force du passage successif de leurs chibres.
Après m’avoir bien rempli, la tension est retombée. J’étais épuisée. Pat dit alors :
« Maintenant, Ali va t’élargir la rondelle. »
Là, j’ai vu un grand black nu venir vers moi. Son sexe énorme se balance entre ses cuisses. Je suis effrayée à l’idée que ce membre puisse entrer dans mon petit trou. C’est une arme redoutable, un véritable instrument de torture.
Sans rien dire, il pose son gland entre mes fesses. Je fais non de la tête et regarde Alain comme lui demander de l’aide. Mais il semble plutôt apprécier de me voir ainsi soumise. Il pousse inexorablement et me pénètre. Je hurle quand son gland massif distend mes sphincters. J’ai l’impression qu’il me déchire. Je supplie pour qu’il se retire.
Pat me dit :
« OK. Mais tu devras être punie. »
Ali se retire à contre cœur d’un coup sec. Les hommes m’ont attaché en croix. Pat placé derrière moi me frappe soudain les fesses avec un fouet.
Aprés une dizaine de coups, on me détache et on me rallonge sur la table. Cette foi, Ali s’enfonce dans mon cul d’un seul coup. Ses couilles cognent contre mes fesses. Il s’accroche à mes hanches pour me défoncer le cul violemment. Je retiens mes cris de peur d’avoir encore à subir le fouet. Au bout d’un temps qui me semble interminable, il jouit dans mes intestins. Quand il se retire, j’ai une sensation de vide et j’ai l’impression que mon anus ne se refermera jamais.
Mon corps me brûle. Je suis anéantie et mon anus congestionné reste dilaté. Je suis là indécente. Du sperme coule de mes orifices. Alain était content. Pat avait fait de moi ce qu’il voulait. Je lui étais soumise.
Le lendemain, lors du dîné, Maître Pat m’attache entièrement nue sur une sote de chevalet. Il me dit :
« J’ai mis une annonce sur le net. Salope suce et se fait enculer pour pas chère. Tout client qui n’est pas satisfait aura le droit de te fouetter. »
Les yeux bandés, je ne vois pas qui m’utilise et appareament vu le nombre de queues qui m’enfilent, l’annonce a eu du sucés..
Bien sûr, certains ont dit qu’ils n’étaient pas satisfaits de ma prestation. Je subis de nombreux coup de fouet qui claquent plus ou moins fort. Avec une queue dans ma bouche, je ne peux crier.
Les bites se relaient dans ma bouche et dans mon cul. Plus rien n’a d’importance, sauf faire plaisir et obéir à Pat. Je suis devenue leur jouet. Je suis exténuée mais je dois continuer à subir les assauts. Enfin mon supplice s’arrête. On retire mon bandeau et là, je découvre une douzaine d’hommes autour de moi.
Je suis brisée mais heureuse quand Alain me caresse la tête en me disant :
« Tu a été une bonne chienne soumise ma chérie. »
Le week-end de dressage est terminé et toute endolorie, Alain me renméne à la maison.
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