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Fantasmes et desirs d’une amie (cinquieme par

Fantasmes et desirs d’une amie (cinquieme par



Je me réveillais de mon état comateux tout doucement et mes yeux s’habituaient à la nouvelle lumière.

Je découvrais doucement ce qui m’entourait.

J’étais dans ma chambre à coucher, la première chose que je vis était mon mari, à poil, attache à une chaise devant le lit et le visage encore recouvert du sperme dégoulinant de Marc.

La chambre était tamisée, une musique électro couvrait des murmures qui venaient du couloir.

J’essayais de me relever mais je sentis que mes pieds et mes poignets étaient lies. Un coup d’œil rapide et je compris que ce salaud de Marc avait utilisé mes bas en soie pour m’attacher au lit.

Sur le lit, à mes cotes, gisaient mes quelques sex toys que je gardais dans une armoire pour les soirées seule.

Marc entra dans la chambre, toujours à poil, mais avec une nouvelle érection. Son sexe était gros, pas très long mais bien gros et je me
souvins de la douleur lorsqu’il m’encula.

« Alors, on se réveille finalement ? »

« …. »

« Allez, petite pute, tu as joui si fort que tu t’es évanouie. Maintenant écoute moi bien Emma ! »

« Les deux potes qui sont là ont envie de toi, tu as le choix, soit tu m’obéis et tu t’éclates avec eux, on passe tous un bon moment. Soit tu refuses et je te garde attachée et nous passerons un bon moment mais pas toi. »

« Tu en dit quoi ? »

Dans ma tête je me disais que ces salauds de Jean Christophe et de Laurent voulaient eux aussi profiter de moi, prendre les plaisirs caches. Je savais que Jean Christophe allait m’enculer, qu’il allait prendre ce que sa femme lui a toujours refuse. Et ce Laurent, depuis qu’il me tourne autour et surtout depuis que je l’avais suce en voiture dans notre jeunesse, il voulait me prendre mais ne savait pas comment s’y prendre. Apres ce que Marc m’avait faite, je me disais qu’ils seraient tous les deux plus doux mais surtout que mon cul avait était si démonté par Marc que je ne sentirais pas autant de douleur.

« Oui Maitre. »

Et là, une claque monstrueuse retentit. Je ne pus retenir mon cri, ce qui l’énerva plus et il hurlait « non, salope, chienne, tu vas me remercier ! Tu vas me remercier de t’offrir a de vrais hommes pas comme cette lopette de mari que tu as ! Tu vas me supplier de te faire baiser ! »

Il disparut en rage et revint quelques minutes plus tard. Je grelotais de peur, j’ai senti que je l’avais pas mérite mais qu’il allait en profiter davantage.

Marc avait dans sa main deux bougies. Il prit un de mes bas par terre et me le força dans la bouche.

Il prit mes sex toys et choisit un vibro, très petit, qu’il me glissa dans le cul et un autre bien plus gros qu’il me fourra dans la chatte.

Puis il s’installa sur le cote du lit et alluma les deux bougies. Ses yeux étaient fous et moi je le regardais tremblante.

« Ton mari ne t’a jamais dit que j’adore dominer les femelles dans ton genre ? »

Je hochais la tête d’un non répété.

« Il le savait ton salaud de mari, en te perdant, il me donnait le plaisir de te faire tout ce que je veux ! Et ce soit, je te veux ma chienne, ma soumise. Je veux que tu jouisses de douleur et d’humiliation ! »

Les bougies commençaient à chauffer et il versa de chaque bougie un flot continu sur mes tetons. La douleur était insoutenable. Jamais je ne m’étais aventurée dans ces jeux érotiques et maintenant je me laissais faire par ce salaud.

Mes tetons brulaient et lorsqu’il arrêta, je sentis comme une ligne directe entre mes seins et ma chatte. Elle dégoulinait. Marc en profita pour faire tourner le vibro plus rapidement mais dès que mon corps se tendait, il le retirait de moi.

Il ralluma les bougies et cette fois, je sentis une vive douleur sur mon clito. Il visait le petit clito tout excite et me faisait hurler à travers mon bâillon de douleur. Encore. Lorsqu’il s’arrêta je mouillais comme une folle.

Il se leva et regarda mon mari : »Alors Dany, tu vois, je te l’avais dit, c’est une cochonne mais tu ne sais pas t’y prendre ! »
« Tu te souviens ta première fiancée, tu refusais de la pousser à te sucer et tu ne m’écoutais pas. Je vais t’enlever le bâillon et dit a Emma ce que tu as vu ? »

Il lui mit une claque pour la mesure et après il lui enleva le bâillon.

Mon mari balbutiait «Je l’ai vu, il l’avait pris chez mes parents sur le lit de mes parents ! »

« Allez Marc, dit lui ce que tu as vu ? »

« Elle était sous lui et il l’enculait puis il retira sa bite de son cul, toute sale et elle la nettoya avec sa bouche. Elle le suça jusqu’à ce qu’il lui couvre le visage de son foutre chaud ! »

« Et après, Dany ? Tes autres copines ? »

« Toutes, toutes, tu étais la seule Emma, qu’il ne m’avait pas vole ! Il les a toutes baisées, enculees et souillées » Mon mari disait ceci sans trop d’émotion et Marc lui remit le bâillon.

« Emma, ma petite cochonne, tu choisi maintenant ! »

Il m’enleva le bas de la bouche mais j’avais encore les deux vibros en moi et je ne voulais qu’une chose, jouir !

« Oui Maitre ! Merci Maitre ! Je veux que vous me baisiez tous les trois ! Je veux Jouir ! Je veux jouir ! »

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