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Dans le métro

Dans le métro



C’était la avant dernière semaine du mois d’octobre. Il faisait très chaud, comme en été ou presque. Ma belle sœur et moi, nous étions en vacances à Barcelone. Nous sommes allées plusieurs fois à la plage. Je me suis même baignée ! Donc, nous étions habillées très légères. Ma belle sœur, Nathalie, 43 ans, à peine un mètre et 55 cm, belle comme un cœur et physiquement très différente de moi, avec un 85B de poitrine mais des tétons toujours pointus, très fine du haut mais très large du bas, hanches, fesses et cuisses ; donc, elle avait mis une robe noir assez courte, un string, noir aussi qui ne cachait rien puisqu’il n’avait rien à cacher car elle est totalement rasée, et pas de soutien gorge. Moi, une robe à fleurs, bleue, très décolletée (mais un soutien gorge en dessous, du type « push up ») et une culotte en dentelle rouge foncé. Moi, c’est Sandra, 50 ans, au moment des faits, un mètre et 63 cm, une belle poitrine qui tient encore ferme et un corps mince et bien proportionné, pour mon âge, je veux dire !
Nous voilà donc à Metro Plaza de Catalunya, en plein centre ville. 19h, heure de pointe. On venait de se faire dorloter et masser le corps et l’esprit, dans une espèce de hammam et on avait toute la peau douce et réceptive. Quand on a vu le monde qui avait sur le quai en attendant le métro on s’est dit de sortir et rentrer à pied…Mais on ne l’a pas fait. On s’est entassé comme on a pu (à la façon des japonais à Tokyo) et je me suis trouvée littéralement collée à ma belle sœur, qui sentait très bon, d’ailleurs. Comme à peine trois jours avant, nous avions appris à nous connaitre comme il se doit entre deux femmes qui ne crachent pas sur une belle occasion de se satisfaire mutuellement, j’ai reçu ce contact forcé avec un léger picotement à l’intérieur de mon vagin et l’ouverture immédiate du robinet du lubrifiant. Elle a compris et m’a déposé un petit baisé sur mes lèvres. A côté, un monsieur âge, nous regardait l’air amusé.
Soudain, j’ai senti quelque chose de dur faire pression sur mon postérieur. Comme ce n’était pas la première fois dans ma vie que quelqu’un dans ce pays de chauds lapins qui est L’Espagne, se frottait contre moi dans le métro, je compris toute de suite qu’un sale type essayait de se branler contre mes fesses. Je lui ai dit à ma belle sœur en rigolant et j’étais sur le point de me retourner et lui dire d’aller se branler chez les grecques quand à la dernière seconde, Nathalie m’a dit de le laisser faire, qu’il était beau, qu’il devait être russe, grand et très blond… Une secousse du métro à fait que les seins de Nathalie se frottent contre les miens et j’ai pu sentir la chaleur qui émanait de ce corps de femme… L’autre, derrière, en a profité pour se coller à moi davantage !
J’ai fermé les yeux, et j’ai écarté légèrement les cuisses. Il a compris tout de suite. Une seconde après c’était sa main que je sentais glisser à partir de mes genoux et monter décidée vers mes fesses. Nath ! Lui ai –je chuchoté à l’oreille, il est en train de me peloter et il sait où il va… Laisse-le faire, ma belle, j’en suis sure que ça te plait, m’a répondu en faisant un clin d’œil par-dessus mon épaule, adressé au russe, je supposais. Le vieux monsieur à ma gauche, qui n’arrêtait pas de zyeuter mes nichons, m’a sourit d’une façon très appuyée… Je me tenais d’une main à la barre centrale de la rame ; l’autre, à la hanche de Nathalie. J’avais très chaud… Partout !
Les attouchements devenaient de plus en plus osés, indécents… mais toujours par-dessus la culotte, et toujours concentrés sur mes fesses… Ce n’est pas que je n’aime que l’on me tripote les fesses et même qu’on me fasse rougir mes demi-lunes avec quelques fessées bien données, mais, généralement c’est bien ailleurs que ça se passe pour mon plaisir… Pas dans une rame du métro ! Néanmoins, je sentais comme mon minou s’inondait copieusement et j’aurais aimé que le russe infiltre quelques doigts dans de zones beaucoup plus humides. Donc, encore une fois, j’ai pris l’initiative : j’ai balancé un peu vers l’avant ma poitrine et écarté les jambes encore quelques centimètres. Nathalie disait quelque chose à l’oreille du vieux… Celui-ci, s’est mis à me regarder de façon très lubrique. Moi, j’avais les yeux qui commençaient à être dans le brouillard ; la tête, aussi. Je connais cette impression là ; ça veut dire que je suis en train de m’abandonner, prête à tout. En tout cas, cette fois-ci, le russe a tout compris. Avec ces doigts, il a écarté le tissu en dentelle de ma culotte et sans trop d’hésitation, il m’a enfoncé un doigt dans la chatte… Non, ce n’est pas possible, je me suis exclamée, en serrant un peu trop fort l’avant bras de ma belle sœur. Aie ! Tu me défonces le bras, Sandra, m’a-t-elle grondé. Est-ce que… est-ce que… Je n’arrivais pas à aligner trois mots pour faire une phrase… De toute façon, c’est bon, on descend à la prochaine, elle a conclu.
Pendant deux minutes, je me suis laissée doigter ma chatte dans le métro de Barcelona par un russe, un parfait inconnu… Et, le pire, est que ça me plaisait…Beaucoup, même. J’avais tout simplement envie de qu’il me baisse complètement la culotte et qu’il me prenne, là, en milieu de la rame, collée contre la barre… Dieu ! Je sentais comme l’orgasme était sur le point d’arriver. J’avais l’impression d’avoir mon vagin rempli de doigts, de mains qui me godaient jusqu’à l’extase.
Pour m’achever, le vieux monsieur, à son tour, a pris l’initiative et s’est aventuré d’une main dans mon décolleté. Il a réussi à glisser deux doigts sous le bonnet du soutif et à me pincer le téton. Pas compliqué avec ce genre de soutien gorge, d’ailleurs. Nathalie s’est collée encore plus à moi pour nous protéger d’autres regards malveillants. Je me sentais comme un insecte, épinglée par devant et par derrière… Je me sentais aux anges !
Juste au moment où le métro arrivait à notre station, j’ai joui ! Ça a été très court ; mais d’une v******e extrême…Je crois même que quelques goutes d’urine se sont déversées dans la main du russe. Malheureusement, ma belle sœur m’a extirpée de deux pervers, et nous sommes sortis à l’extérieur du wagon, sans leur laisser le temps de réagir. Quand on traversait la porte, je me suis retournée pour garder le souvenir de la tête de celui qui m’avait si bien doigtée. Et là, que vois-je… Ce n’était pas du tout un russe, mais un petit vieux affreux qui éclatait de rire en montrant ses doigts luisants de mon jus à l’autre vieux, surement son pote !
J’étais très fâchée contre ma belle sœur, mais elle n’arrêtait pas de rigoler et de me demander si je regrettais… Non, non… C’était très bon ! Mais… Que lui disais tu à l’autre vieux ? Lui ai-je demandé. Rien, ma petite salope… Que ça… Que tu étais une sacrée cochonne et qui ne demandais que ça, d’être baisée !
Ce soir là, de retour à l’hôtel, j’ai à nouveau répété l’expérience de la veille… Nathalie et Sandra, nous avons fait l’amour pendant de longues et langoureuses heures, en nous racontant à guise de pause, nos aventures les plus coquines !
Bisous !

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