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16de 23: Mère et Fils: une histoire d’

16de 23: Mère et Fils: une histoire d’



Une nouvelle vie pleine d’amour.

Fin février, mon Père a eu une attaque cérébrale lors d’une partie de chasse avec ses copains. Toutes sortes de sentiments sont passées dans ma tête. La haine que j’ai eue envers lui pour la façon qu’il traitait ma mère, la tendresse des jours de ma petite enfance… et là, assis, dans la pièce avec maman, les jumeaux, et martine, je me remémore les années passées et je réalise que j’ai oublié quelques bons moments avant que je tombe amoureux de sa femme… ma mère.
A regarder maman je suis sûr que tous les souvenirs qu’elle a avec papa refont surface. Je le vois à sa douleur et peut-être des regrets…
Il nous a quittés le lendemain. En sortant nous avons rejoint Martine en dehors de l’hôpital. Elle me regarde, la question dans ses yeux, et j’ai hoché la tête.
– Oh, chéri, je suis désolée.
Quand nous sommes arrivés à la maison, les jumeaux sont partis l’âme en peine dans leur chambre à coucher du sous-sol tandis que Martine et moi nous accompagnons maman à l’étage. Maman s’arrête devant sa chambre et reste figée.
– Maman ça va aller ?
– Oui, mon cœur. Je suis fatiguée et je dors mal depuis 3 jours. Je ne pourrais pas dormir là ce soir.
Elle regarde Martine et moi et ajoute.
– Vous me faite une petite place entre vous deux. Juste pour que je m’endorme…
Maman me regarde avec une expression étrange et triste sur son visage, puis elle enfouit son visage contre ma poitrine et elle se met à pleurer. Martine se met derrière elle et en frottant ses épaules elle murmure.
– Bien sûr, Sabine. Viens avec nous, ne reste pas seule.
Avec maman qui continue de pleurer doucement, nous l’emmenons dans ma chambre. Lorsque la porte est fermée, je lui retire son vêtement, une sorte de survêtement qu’elle a gardé 2 jours et je demande à Martine de me trouver une chemise de nuit propre. Je dégrafe son soutien-gorge puis je fais glisser son slip a ses pieds la laissant complétement nue devant moi. Même en cet instant, elle est plus belle que jamais. Ses longs cheveux noirs sont un peu emmêlés mais ça lui donne un charme particulier, comme une belle femme qui sort de son lit après l’amour. Seuls, les cernes sous les yeux trahissent sa lassitude, et je sais qu’elle la ressent.
Je me sens un peu coupable que mon corps réagisse au corps nu de maman. Le simple fait de la voir nue, me rappelle mon amour pour elle et les moments de luxures que nous avons eus.
Son corps pulpeux, mis en valeur par ses seins lourds, coiffés de leurs tétons épais, son ventre encore plus plat depuis noël, et ses longues jambes parfaitement galbées qui se terminent dans une jungle de longs poils noirs qui cache la porte du paradis, font durcir mon sexe malgré les circonstances.

Maman me sourit à travers ses yeux embués de larmes et son regard se dirige vers mon pénis en train de gonfler.
– Tu m’as manqué mon chéri et …
– Moi aussi, maman, répondis-je. On aura le temps plus tard.
Maman hoche la tête et je sais que, comme moi, elle songe à ce qui est sur le point de changer radicalement, et même si elle avait prévu de quitter son vieux mari… ce n’est pas de cette façon que nous envisagions la chose.
Martine est revenue et me tend un sweat-shirt long qu’elle a trouvé. Mais je ne le prends pas et je me déshabille. Martine fait de même et nous mettons Maman sur le lit entre nous pour la câliner. Maman est face à moi et je niche mon érection dans sa douce toison pubienne. Martine se colle dans son dos et l’entoure de ses bras pour prendre ses seins en coupe.
Maman soupire.
– Je suis si fatigué, mais je ne peux pas m’endormir.
Elle s’agite sans arrêt pendant que je caresse ses bras et l’embrasse doucement. Derrière maman, Martine caresse un sein et son dos mais malgré tous nos efforts, maman est sur les nerfs et n’arrive pas à s’endormir.
Martine décide de prendre les choses en mains.

– Embrasse ta mère, Dany,
J’appuie mes lèvres contre celles de maman, et nos langues, doucement, se caressent mutuellement. Martine continue de caresser le dos de maman en descendant lentement jusqu’à ce qu’elle masse délicatement le bas de son dos. Maman frémit et geint faiblement quand elle sent soudainement le doigt de Martine suivre sa raie des fesses pour passer entre ses cuisses et caresser les plis charnus de sa chatte.
Maman frissonne et écarte ses cuisses légèrement pour permettre à Martine un accès plus aisé entre ses jambes, et gémit dans ma bouche alors que sa langue frotte la mienne.
Martine masse avec ses doigts, de haut en bas, les lèvres de maman jusqu’à ce qu’elles s’écartent pour révéler une humidité luisante sur ses chairs intérieures.
Les bras de maman enveloppent mes épaules et elle me serre contre elle quand Martine glisse un doigt à l’intérieur de sa chatte.
– Oooooohhh, ouiiiiiiii, soupire maman lorsque Martine ajoute un deuxième doigt et touche ses points sensibles.
Maman tremble et m’embrasse avec plus de passion et je sens ses tétons durs s’enfoncer dans ma poitrine. Martine la fouille avec plus de précision en reposant son menton sur l’épaule de maman et elle me sourit en me faisant un clin d’œil complice et sexy. Maman a plié et écarté sa jambe gauche et je peux voir les doigts de Martine qui vont et viennent dans la chatte de maman, et qui brillent dans la pénombre, éclairés par la lampe sur la table de chevet. Je continue d’embrasser maman doucement et avec amour, mais sa respiration s’accélère quand les doigts de Martine touchent les parties sensibles de son sexe excité. Martine a maintenant 3 doigts dans sa chatte. Deux qui la fouillent et s’enfoncent plus profondément à l’intérieur, alors que son doigt du milieu sonde son vagin à la recherche de son point G.
Les hanches de maman commencent à se déplacer en suivant le rythme des doigts de Martine, et maman lâche ma bouche pour haleter. Je glisse ma main sur son ventre, sur sa peau de plus en plus chaude et qui tremble suivant les touchés de Martine. Je pousse mes doigts à travers sa toison épaisse jusqu’à ce que je sente l’humidité et la chaleur de sa chatte puis pour entourer son clitoris gonflé que je commence à taquiner doucement, et sentir ses petites contractions.
Maman tremble et gémit quand son corps est balayé par un orgasme.
– Oooh que je vous aime !
Arrive-t-elle à articuler entre deux spasmes. Puis en tenant nos mains contre sa chatte et son ventre elle sanglote doucement et sur un dernier gémissement de plaisir, elle s’endort.
Martine se redresse et dit.
– Elle avait vraiment besoin que ses nerfs lâchent et que la pression tombe.
Et elle se lèche ses doigts couvert de cyprine.
– Merci Martine. C’est bien ce qu’il lui fallait. Que fait-on maintenant ?
Et moi aussi je lèche mes doigts trempés et ma bite frémit sous cette saveur sucrée-salée de maman qui, à chaque fois, me plonge dans un état d’excitation pas possible.
– Nous nous ratt****rons plus tard. Pour l’instant tu as aussi besoin de sommeil. Les jours prochains vont être difficiles. Je suis désolé pour la perte de ton père, Dany, et je sais que tu dois avoir des pensées qui te font du mal. Quoi qu’il en soit, n’oublie pas que ta mère t’aime plus que tout et que tu dois la soutenir dans cette période difficile. Dis-toi que tu vas pouvoir vivre ton amour pour elle sans remords et pour le reste de ta vie.
Je lui prends sa main pour l’attirer vers moi et je l’embrasse tendrement.
– Merci Martine, je t’aime aussi. Bonne nuit.
Je me suis blotti contre le corps de ma mère qui dans son sommeil c’est pressée contre moi avec un soupir de contentement. Elle se sent sûrement bien dans mes bras et après, rideau !

Je me suis réveillé quelques heures plus tard, maman toujours endormie dans mes bras, merveilleuse dans son sommeil. Nous sommes seuls, Martine est sûrement sur le divan du salon. Et je retombe de sommeil.

Je me réveille avec la douce sensation de lèvres et de langue qui caresse ma bite en érection. Sous le drap une tête se balance et sans la voir je sais que c’est ma mère qui m’a en bouche et quand elle me fait une gorge profonde, je tire le drap sur le côté. Maman est nue, entre mes jambes. Elle lève ses beaux yeux vers moi et dit.
– Bonjours mon cœur. Je t’aime. La fatigue et le stress de ces derniers jours sont encore visibles, mais pour le moment, elle oublie tout pour se consacrer au plaisir de son fils.
Sa façon bien à elle de sucer ma bite fait bouillir mes couilles et même si j’ai envie que ça dure longtemps, je ne peux résister à ses attouchements diaboliques, et je sens mon sperme monter dans ma queue.
– Maman ! Oooh, je jouis !
Maman grogne quelque chose que je ne comprends pas car je décharge une grosse quantité de sperme dans sa bouche chaude et humide, sa langue continuant de travailler ma bite pour en extraire le plus possible et se nourrir de mon sperme.
Enfin, mes couilles sont vides et maman ne lâche mon sexe que lorsqu’il est tout propre et qu’elle n’a perdu aucune goutte de ma semence.
Elle rampe sur mon corps en traînant ses gros seins sur ma peau soudainement moite, et elle me donna un baiser, pour partager avec moi le goût de mon jus d’amour.
– Ça mon chéri c’est pour hier soir. Je ne me suis pas sentie aussi bien depuis plusieurs jours. Et mon dieu, que c’est bon !
On s’embrasse encore et quand notre baiser prend fin, je lui dis.
– Il faudra aussi remercier Martine. C’est elle qui a eu cette idée. Par contre, moi je peux maintenant avoir des attentions particulières pour mon amour de mère.
Et ma main s’égare entre ses fesses voluptueuses.
Maman soupire et secoue sa tête négativement.
– Je voudrais bien mon amour, mais nous n’avons pas le temps.
Elle me donne un baiser et se lève. Nue, belle, désirable et maternelle à la fois elle ajoute.
– Nous avons tous les deux besoin de prendre une douche et de se nettoyer. Martine s’est occupée des jumeaux pour qu’ils ne montent pas dans ma chambre. Les parents de ton père seront bientôt là et il faut qu’on s’occupe des démarches funéraires et administratives.
– Maman…pour papa…j’ai…
– Pas maintenant, Dany. Cela ne change rien entre nous. Je t’aime de tout mon cœur, mais je ne peux pas parler de ce sujet maintenant, d’accord ?
Je hoche la tête et dit,
– je comprends bien, maman. Désolé. Je t’aime aussi.
– Je sais chéri, et c’est ce qu’il me faut en ce moment. Aller, files ! Une journée difficile nous attend.
Elle ne croyait pas si bien dire.

Dès l’instant où que je suis descendu fraîchement douché et habillé de vêtements propres, c’est la folie. Le téléphone sonne sans arrêt, la famille, les amis et collègues de papa nous présentent leurs condoléances.
Martine reste calme au centre de la tempête. Elle a pris l’intendance en main et pourvoit aux besoins des personnes qui viennent à la maison, toujours douce et polie.
Puis c’est les pompes funèbres pour le cercueil, l’église et le notaire.
De retour à la maison, nous trouvons Martine bavardant avec vivacité avec tante Lilly qui est enfin arrivée. Maman s’est immédiatement jetée dans les bras de sa sœur et je sais que la présence de tante Lilly sera d’un grand réconfort pour maman.
Tante Lilly m’a serré dans ses bras puis les jumeaux ont eu droit à un câlin et des bisous. Je regarde amusé les garçons qui reste bouche bée en reluquant cette femme magnifique qu’est leur tante Lilly. Et je ne peux pas leur reprocher.
Tante Lilly en met plein les yeux. Malgré ses quarante-six printemps c’est une femme au corps finement sculpté avec de gros seins encore fermes et provocants grâce à son chirurgien plasticien. Ses cheveux blonds décolorés lui donnent de l’élégance et un air de pute de classe qui lui vont bien. Ses yeux bleus brillants semblent percer votre âme et vous promettre d’exaucer tous vos fantasmes. Les jumeaux ne savent pas trop comment se comporter avec elle et n’apprécient pas forcément ce genre de femme.
Ils l’aident néanmoins à transporter ses bagages dans la chambre de maman et Martine s’approchant de moi me dit.
– Ben dis donc ! Ta tante…c’est quelque chose ! Dis-moi, elle est aussi chaude que ta mère ?
Je lui souris et hausse mes épaules.
– Comment veux-tu que je le sache.
– Dany, fils de pute i****tueux… tu ne vas pas me dire qu’un baiseur comme toi, qui couche avec sa mère, a laissé passer une bombe sexuelle comme ta tante !
– Et bien…telle mère, tel fils…telle sœur…
Martine enregistre ma réponse et avec un grand sourire chuchote à mon oreille.
– Chéri, j’adore ta famille ! Et tu me raconteras tout !

J’ai essayé d’être à côté de maman autant que possible et après quelques chamailleries sur l’héritage de mon père avec la famille éloignée, la journée s’est enfin terminée.
Lilly a passé une grande partie du reste de la soirée en compagnie de Martine qu’elle semble apprécier comme un beau bijou qu’elle envisage d’acheter.

Maman et moi n’avons pratiquement pas eu de temps pour nous au cours des prochains jours. Tout au plus quelques minutes de calme au moment du coucher, quand elle vient dans ma chambre pour dire bonne nuit à Martine et à moi. Martine discrètement nous laisse un instant seul, soit disant pour ranger quelque chose dans la cuisine, et souvent en compagnie de tante Lilly qui semble fascinée par la version plus jeune de sa sœur.

Au cours des obsèques de mon père dans un cimetière paisible juste à l’extérieur de la ville, je regarde maman dans sa tenue de veuve. Elle est vêtue d’une robe noire simple qui n’a rien de sexuellement suggestif, mais qui pourtant met en valeur sa sexualité. Tante Lilly quant à elle, fidèle à sa nature, porte une robe rouge sexy qui attire tous les yeux sur elle. Le service mortuaire est rapide et simple. Ensuite réception pour les amis et la famille avec ce que Martine, qui n’est pas venue aux funérailles, a préparé.
Le soir, épuisés, tout comme maman et les jumeaux, je m’écroule de sommeil et c’est tout juste si je me rappelle le baiser de bonne nuit maman.

Le lendemain matin, tante Lilly me prend à part et dit:
– Dany chéri, ta mère doit faire une pause. Tu vas l’emmener en voyage et l’éloigner de tout ça.
– Tout de suite ! Dis-je,
Peut-être avec plus d’impatience que je n’aurais pas dû montrer.
– Oui, Dany. Prends la voiture et ta mère, roule pendant un certain temps, arrête toi dans la campagne, aller vous promener, voir un film, prends une chambre dans une auberge, faites la sieste ou je ne sais quoi d’autre… et fais lui retrouver sa joie de vivre.
-Ou je ne sais quoi ? Je répète en souriant.
Tante Lilly me gifle tout en caressant le coté de ma tête.
– Ou quelque chose. Aller, files, ta maman a besoin de prendre un peu de bon temps avec son fils. Et ne t’inquiète pas pour ici. Martine et moi nous occupons de tout.
Je suis allé trouver maman et j’ai vu un sourire se dessiner sur ses lèvres lorsque je lui ai dit les ordres de sa sœur.
– Donne-moi vingt minutes, murmure-t-elle.
Vingt minutes plus tard, maman apparaît vêtue d’un fin chandail à col roulé rouge qui moule ses seins lourds comme une seconde peau et d’un Jean’s bleu.
Lorsque nous sommes éloignés de la ville, maman laisse échapper un long soupir et rapidement elle s’approche de moi et sa tête sur mon épaule, elle dit doucement:
– Je t’aime, fils.
Et sa main s’est reposée sur ma cuisse.
Je tiens le volant d’une main et je place l’autre sur celle de maman.
– Moi aussi, maman, je t’aime.
Nous avons roulé en silence pendant un long moment, juste content d’être ensemble et de profiter du paysage hivernal de la campagne. Dans une ville voisine nous apercevons un panneau qui indique un motel près d’un lac.
– Va là-bas Dany ! Arrêtons-nous. Dit maman avec un soupçon d’urgence dans sa voix.
10 minutes plus tard on prend une chambre au nom de monsieur et madame… et une fois à l’intérieur maman constate que c’est bien un grand lit comme demandé.
Maman et moi on se regarde en silence pendant un moment et puis nous nous précipitons dans les bras de l’autre, nous embrassant avec passion. J’ai senti de l’impatience, voire de la colère en elle quand nos langues se sont réunies pour un ballet amoureux.
Quand nous pouvons séparer nos lèvres je demande à maman.
– hum, c’est bon de te retrouver. Ça va maman ?
A ma grande surprise, maman explose.
– Non, je suis énervée ! Je suis en colère ! Ce fils de pute n‘avais pas le droit de me faire ça ! J’ai aimé ton père pendant longtemps et maintenant qu’il ne représentait plus rien pour moi il meure ! Je n’ai pas eu le plaisir de lui dire que je le quittais pour l’amour de ma vie. Il n’a même pas deviné mes sentiments pour toi alors que c’était plus qu’évident ! Il aurait dû s’en apercevoir. Il a fallu qu’il tire sa révérence avant que je lui dise à quel point je t’aime et comment tu me donnes ce plaisir qui fait vibrer tout mon être.
Apres cette longue tirade, maman m’embrasse encore et me démontre combien elle a besoin d’amour à la façon qu’elle a de dévorer mes lèvres et ma langue. Elle s’arrête et murmure,
– je suis fatiguée par toute cette colère et les pensées déplaisantes sur cette mort et ce deuil. Je veux vivre et respirer… et faire l’amour à mon fils, et oublier toutes les personnes qui n’ont pas sus m’aimer. Je veux me sentir aimée ! Je veux que tu me fasses l’amour, Dany. Je veux que tu viennes en moi, que tu me prennes ou que tu me baise comme tu en a envie. Mais je te veux maintenant. Fais-moi l’amour, Dany.
J’en ai les larmes aux yeux.
– Je t’aime maman.
Et nous retirons rapidement nos vêtements pour nous retrouver nus avec nos mains avides sur le corps de l’autre, ma bite dure comme toujours avec maman qui m’embrasse et me lèche et ses seins gonflés au tétons saillants qui attirent ma bouche. Maman me saute dessus et ses jambes entourent mon corps et mon sexe coincé contre sa chatte humide, je la porte vers le lit.
Je me retrouve assis sur le lit, les jambes de maman autour de ma taille et ma bite trouve immédiatement son sexe chaud et humide pour que je m’enfonce profondément en elle et faire la bise à l’utérus qui m’a vu naître.
– OOOHHHH, OUIII…Dany ! Dany ! Je t’aime !
Maman crie quand je me retire à moitié et que je la pénètre à fond de nouveau. Elle se cambre pour encore mieux avaler ma bite dans son sexe si accueillant et elle plaque ses gros seins contre ma poitrine. Nos pubis sont collés et nos poils se mélangent et nous nous embrassons comme des amants qui se retrouvent après une longue séparation. Pendant un long moment on se délecte d’être ainsi réuni si délicieusement, ma bite bien au chaud dans le vagin humide et soyeux de la chatte de ma mère, les yeux dans les yeux, pour voir la passion et le désir de l’autre.
Je la renverse sur le lit sans quitter sa chatte, ma bite bien au chaud, et, complétement enfouit dans mon amour de maman, je reste immobile entre ses cuisses pour savourer cet instant qui transforme un fils en amant qui lit dans les yeux de sa maîtresse le plaisir qu’il lui donne et le désir qu’elle a de lui.

Je suis sûr que ces quelques minutes pourraient se transformer en une éternité tellement notre accouplement i****tueux nous comble de bonheur, mais mon désir me pousse à me déplacer d’avant en arrière pour encore mieux sentir et profiter de cette gaine de velours qu’est la chatte de maman. Cette chatte si accueillante, si vivante, qui masse ma queue en même temps, avec ses muscle intimes, pour elle aussi, se gaver de ma bite frémissante. Chaque profonde pénétration nous fait soupirer et geindre et nos gémissements prennent de l’ampleur. Maman commence à rouler des hanches au rythme de mes poussées et nous commençons à baiser pour de bon.
Comme chaque fois que nous faisons l’amour c’est merveilleux, et rien n’est comparable au plaisir de cet amour i****tueux avec ma mère. Ses longs cheveux noirs répartis autour d’elle comme un halo foncé, encadre son beau visage qui, à chaque poussée de ma bite, commence à grimacer de façon très coquine. Je lui chuchote dans son oreille
– Maman… je t’aime tellement… maman.
Avant d’embrasser son joli cou, sa nuque si sensible, puis de sucer ses tétons maternels. Maman redresse ses cuisses en pliant ses genoux pour mettre ses jambes sur mes fesses afin de s’ouvrir le plus possible en me serrant contre elle et de gagner ainsi quelques centimètres de plus de ma bite dans son sexe enfiévré. Son cœur bat plus vite, sa peau devient plus rouge et chaude comme chaque fois que nous faisons l’amour. Le parfum enivrant de sa chatte mature commence à remplir la pièce, signe annonciateur de son plaisir et de son excitation grandissante de se faire baiser par son fils. Ma bite plonge et replonge dans l’humidité épaisse et chaude de sa crème de chatte qui enduit mon pénis en érection qui va et viens dans ma mère, encore et encore.
Tout le corps de maman brûle de désir et exprime son besoin de sexe. Nous sommes tous deux en sueur, cette sueur torride et humide que peuvent produire des amants fous sous les affres de la passion. Nos corps se cogne bruyamment, se frotte vigoureusement et cette sueur sur notre peau permet un frottement délicieux dans cet acte d’amour et de possession mutuelle.
– Mon Dieu ! Dany ! Je t’aime ! Aaahhhh, chéri…
Maman geint et roucoule en même temps. Elle cambre son corps en arquant son dos, ses talons s’incrustent dans mes fesses quand le premier spasme de son orgasme traverse son corps et explose dans sa chatte.
– OOOIIIIiii, Dany ! Baise-moi, fils. Baise-moi mon amant, baise moi pour faire disparaître tous ces mauvais souvenirs. Je veux être aimé et crier grâce sous ton corps qui me possède.
Et c’est ce que j’ai fait. Je l’ai possédée comme un fou et son orgasme ne s’arrêtera que lorsque ma bite aura craché son foutre i****tueux au plus profond de son corps brûlant.
Notre monde a changé. Nous sommes toujours mère et fils mais aujourd’hui, c’est ma femme et je suis son nouveau mari.
– Je t’aime maman et je t’aimerais toujours !
Et je défonce de nouveau sa chatte dégoulinante pour la faire crier de nouveau.
– Dany ! Dany ! Oui baise moi encore ! Ne t’arrête jamais ! Montre à maman combien tu l’aimes !
Ses cuisses pulpeuses m’enserrent, essayant de bloquer ma bite profondément dans son ventre tandis que ses bras s’enroulent autour de mon dos. Maman lève sa tête et m’embrasse sauvagement alors que ses muscles intimes broient ma queue exigeant ma semence blanche et chaude. Son corps tendu écrase le mien et elle n’arrête pas de m’embrasser malgré les gémissements provoqués par son orgasme qui repart de plus bel !
– AAAAhhhhhh, ouiiiiiiii ! Encore ! Je jouiiissss encore ! Oooohhhh, je t’aime mon fils !
Je peux tenir plus longtemps. Je la pénètre le plus loin possible et je hurle
-MAMANNNNNNNN !
Et j’inonde le ventre de maman avec d’épais jets de sperme chaud. Nous sommes dans cet instant unique ou je peux à peine supporter le plaisir intense que me procure ma bite en train de se vider dans la douce chaleur de la chatte de maman.
Comme toujours après un de ses violents orgasmes, maman pleure quand la pression retombe. J’embrasse ses larmes en lui disant des mots d’amour.

Elle me serre toujours dans ses bras et je sens son cœur battre follement contre ma poitrine, comme le mien qui bat au même rythme. J’ouvre la bouche pour lui dire et lui redire que je l’aime mais un frisson parcoure mon corps quand la chatte de maman se contracte et masse ma bite encore gonflée. Elle ne veut pas rendre les armes et elle me dit.
– Reste en moi Dany. Je ne veux pas la perdre. Elle me manque dès qu’elle n’est plus là, tout au fond de mon vagin, pour le remplir de ton jus d’amour.
– Maman je t’appartiens totalement. Et tout ce que nous avons envisagé va se réaliser !
– Oui, mon chéri, une fois que les jumeaux nous auront quittés, rien ne nous retiendra dans la maison ou tu es né. Nous irons dans la maison de mon enfance et si tout se passe bien, nous y serons avant la fin de l’été.
Rien que d’entendre ma mère me dire ça, ma bite se redresse et s’allonge dans sa chatte.
Maman la sent bien car elle me sourit et dis.
– Mais tu as peut-être une autre idée en tête…
Elle n’a pas le temps de refermer sa bouche que ma langue cherche la sienne pour un baiser sensuel et prometteur.
À la fin de notre baiser, je la regarde dans les yeux et je lui dis.
– On s’est promis mutuellement quelque chose maman. Une fois installés, je pense que nous devrions appeler le Père Benoît et voir comment arranger un mariage dans cette jolie petite église ou tu as grandi.
Les yeux de maman s’écarquillent tout grand en entendant mes paroles et peut-être aussi par une poussée profonde dans sa chatte de ma bite devenue très dure.
– Un …Mariage, Dany…tu veux dire…
– Oui, maman. Je t’ai promis de t’épouser…rappelle-toi. Je veux que notre union soit consacrée. Tu es mon amante, ma maîtresse, mon amie, ma mère… mais je désire une épouse. Toi maman.
– Veux-tu m’épouser ?
Je ne sais pas si maman se retient de pouffer de rire ou si elle pleure de joie.
– Oh, oui, Dany. Oui, fils, je t’épouserais!
Les bras de ma mère entourent mon cou, me presse contre elle et elle murmure,
– Je t’aime tellement, Dany.
Je l’embrasse et répond.
– je pense qu’un mariage en octobre serait le moment idéal. C’est une belle période de l’année.
Et je pousse lentement mon sexe dans la chatte humide et lisse de maman quand je vois ses yeux briller en imaginant cette possibilité.
– Oh, oui, chéri, c’est si beau là-bas en automne. C’est la plus belle période de l’année. Je t’aime Dany.
Et c’est maman qui jette son bassin vers le haut en écartant ses cuisses puis en tirant ses genoux vers elle, pour venir à la rencontre de ma bite qui la fouille et pour la faire pénétrer plus profondément.
– Ooohhh, que je t’aime, mon fils.
Je suis super excité à cette idée d’épouser maman devant Dieu. Mes mains courent le long de ses cuisses douces, lisses, d’un galbe parfait. Je serre ses mollets et les emmène sur mes épaules pour me permettre d’enfoncer ma bite brûlante au fin fond de l’intimité de ma future femme.
Maman jette sa tête en arrière, mordant sa lèvre quand je claque vigoureusement mon corps contre le sien. Agrippée à mes fesses, son vagin branle ma queue à chaque fois que je la retire un peu, pour mieux replonger ma longue bite ensuite dans son corps. J’ai la tête qui tourne un peu en regardant maman se torde de plaisir sous moi et en pensant que ce moment magique deviendra notre vie quotidienne, une vie d’amour inconditionnel, comme mère et fils, mari et femme, ou amants maudits, peu importe. Je sens que je ne maîtrise plus ma queue et surtout mes couilles bouillonnantes.
J’éjacule en poussant un cri, puis enfoui dans le cou de maman, je me vide dans son corps et je murmure dans son oreille.
– Je veux t’épouser, maman, et te faire un bébé. Notre bébé, maman !
Et sur ces paroles, ma bite en éruption vient de déclencher son orgasme et la chatte de maman l’écrase, pour la garder prisonnière et s’assurer de ne rien perdre de ma semence qui frappe son utérus.
Accrochés l’un à l’autre nous jouissons ensemble, en parfait accord sexuel, gémissant, pleurant de joie, en pensant à toutes ses promesses d’un avenir rempli d’amour.

Nous avons passé le reste de l’après-midi et de la soirée à parler de notre avenir et fait plusieurs fois l’amour, maman réclamant continuellement mon sexe en elle et je pouvais voir combien elle adorait mes coups de bite dans sa chatte gourmande et mes léchouilles de son sexe dégoulinant pendant qu’elle nettoyait avec amour ma queue repue.
Ma mère a retrouvé son beau sourire et lorsque nous avons décidé de rentrer à la maison elle avait le visage d’une femme heureuse qui vient de passer des vacances.

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