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La coiffeuse/masseuse de Saigon

La coiffeuse/masseuse de Saigon



J’étais à Saigon depuis deux mois et j’étais plutôt en manque, même si ce jour-là, lorsque je me rendis chez la coiffeuse, je n’avais pas d’arrière-pensée. Elle était jolie mais sans plus, un peu grassette pour une vietnamienne, mais je n’étais là que pour la coupe de cheveux. Pourtant, petit à petit, ses frôlements et la manière dont elle s’occupait de moi, douce et attentionnée, finirent par attirer mon attention. Mes yeux se fixèrent sur son décolleté et s’attardèrent de plus en plus sur ses formes. Elle s’en rendit compte et eut un petit sourire discret, mais sans plus. Elle portait une robe courte et serrée, qui moulait ses rondeurs, et je commençai à me sentir de plus en plus troublé.
La coupe de cheveux touchant à sa fin, elle me nettoya le visage avec une serviette chaude, ses gestes devenant encore plus doux et sensuels. Je sentis mon excitation monter. Puis, elle me dit à l’oreille, sur un ton ambigu, mais qui pouvait encore passer pour professionnel: « you can have massage upstairs if you want ». Joignant le geste à la parole, elle me massa les épaules, là encore en un geste qui pouvait sembler professionnel, ses mains étant très fortes.

J’hésitai, la détaillant du regard. Je lui demandai si c’était elle qui ferai le massage et elle me répondit que si c’était mon désir, oui, ce serait elle. Ok, dis-je, le coeur battant pas mal plus vite tout à coup. J’avais entendu parler de ces salons de coiffure vietnamiens où les services allaient au delà de la coupe et du shampoing, et j’avoue que je commençai à être tenté. Nous montâmes à l’étage donc, et alors qu’elle me précédait dans les escaliers, je ne me privai pas pour la dévorer du regard, et je suis certain qu’elle ondula des fesses exprès. Lorsque vint le temps de me dévêtir, j’étais vraiment excité, mais je fis exprès de garder ma culotte avant de m’étendre sur la table de massage.
J’avais pourtant une belle érection et son regard se posa directement dessus, suscitant un sourire qui n’avait plus rien de professionnel.
Allongé sur le ventre, je me laissai masser, ce qui me fit vraiment du bien, tout mon corps appréciant le mouvement de ses mains chaudes, la proximité de son corps sensuel dégagant un léger parfum, lui aussi très sensuel. Après une bonne vingtaine de minutes, elle me demanda de me retourner, toujours en caleçon, ce dernier toujours déformé par une belle bosse, bien alimenté par son massage, jusque là très sage pourtant. Je la sentis se pencher sur moi, ses seins tout près de mon torse, la pointe de ses doigts jouant sur mon ventre et le haut de mes cuisses. On n’était plus du tout dans le massage thé****uthique. Les caresses se rapprochèrent de mon membre, qui durcit encore, et je ne pus retenir un soupir lorsque ses doigts glissèrent sur ma queue, à travers le tissu, légers mais suffisamment appuyés pour envoyer des vibrations dans tout mon corps. Elle commença une lente et experte masturbation, toujours à travers ma culotte, suivant la forme de mon membre palpitant, trouvant toutes les zones sensibles, allant loin entre les cuisses. Je respirais très fort, ma main droite recherchant son corps, le trouvant, et caressant la peau si douce de ses cuisses. Elle accélérait son rythme, se concentrant avec le pouce et l’index sur la zone sensible sous le gland. Je me sentais sur le point de jouir et je voulais l’arrêter, mais elle me repoussa contre la table de massage, me branlant maintenant à toute vitesse. Je me mis alors à éjaculer dans ma culotte, longs jets bloqué par le tissu, ne pouvant me retenir plus longtemps.
Elle m’embrassa le torse avec un petit rire puis alla chercher une serviette parfumée et entreprit, baissant ma culotte souillée de sperme, de me nettoyer. Elle le fit avec douceur et agilité, envoyant des ondes de plaisir dans ma queue devenue flasque. Ses gestes me redonnèrent envie et je sentis remonter le désir. Le sentant, elle se pencha et goba mon gland dans sa bouche, sa langue virevoltant autour de mon engin, me faisant gémir. Je bandai de nouveau et cette fois ci, elle reprit ses caresses à même la peau. Je me laissai faire quelques instants, retrouvant ma vigueur, lorsque je me rendis compte qu’elle m’enjambait, s’asseyant sur moi, sa vulve à quelques centimètres de la queue qu’elle branlait avec art (et passion). Mes mains se posèrent sur ses cuisses de velours, ouvertes mais bloquées par la mini jupe au point de ne pouvoir s’écarter totalement. Je saisis aussi ses seins, petits mais fermes. Elle devait avoir la quarantaine, un visage sensuel plus que vraiment beau, mais dont l’expression indiquait qu’elle aussi appréciait ce moment avec moi, ou alors qu’elle savait fort bien le simuler.
Pris dans le tourbillon des sensations et du désir, je ne rendis pas compte de ce qu’elle allait faire, et lorsque je sentis soudain une chaleur humide contre mon gland, je me rendis compte qu’elle avait écarté son string sur le côté et qu’elle frottait ma queue le long de sa fente ouverte et liquéfiée de désir, en se concentrant sur le clitoris, mais avec des mouvements le long de sa féminité. Ce n’était pas prudent, sans préservatif, mais j’étais si excité que je ne pensais plus qu’au plaisir immense qu’elle me donnait, et que j’essayais de lui donner moi aussi.
Ce qui devait arriver arriva, mon gland entra soudain, sans prévenir, dans sa chatte en fussion. Sa position et la présence de la minijupe faisaient que seul le galnd était dans sa vulve, mais les sensations étaient extraordinaires, tant elle était serrée et trempée. Elle gémit et je sentis tout son corps se tendre devant l’entrée de mon membre. Je la laissai en profiter quelques instants puis, mettant mes mains sur ses hanches, je saisis la minijupe et la relevai, ouvrant plus largement ses cuisses, puis d’un coup de reins, l’empalant de tout mon long. Elle cria, mais pas de douleur, ses muscles internes se contractant autour de l’envahisseur pour mieux le sentir. Je me mis à la pilonner, heureux qu’elle m’ait fait jouir une fois avant, sinon j’aurais éjaculé en quelques secondes. Je massai aussi vigoureusement ses seins, me concentrant pour aller le plus loin possible en elle, arrachant des gémissements de plus en plus intenses. Mon objectif était sa jouissance, et je fis mon maximum pour retarder mon explosion jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme.
Lorsque son corps fut secoué de frissons, je me laissai enfin aller en elle, éjaculation presque aussi abondante que la première. Elle s’effondra sur moi, reprenant son souffle, plus du tout professionnelle en contrôle. Elle déposa ensuite un baiser sur mes lèvres avec un sourire fatigué, me disant Thank you à l’oreille. Je la remerciai à mon tour, tandis qu’elle se relevait, retirant comme à regret ma queue de sa chatte liquéfiée, le sperme coulant sur sa culotte et sur mon ventre.
Je pris une douche, me rhabillai, et lorsque je sortis, elle me lanca un regard qui en disait long sur l’appréciation qu’elle avait de ce moment. Moi aussi, j’avais apprécié, mais le plus drôle fut sans doute les sourires des autres filles du salon, qui visiblement avaient entendu nos ébats et en avaient profité….

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