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L’invitation de Christian

L’invitation de Christian



Mes histoires ne passant pas toujours sur le site, Christian me demande de venir chez lui avec Sofia et Françoise pour avoir une discussion sérieuse et remettre les choses en place et me charge de contacter mes deux amies pour les convaincre de venir avec moi au rendez-vous. Chose faite, nous arrivons un peu en avance. En entrant, nous remarquons immédiatement qu’il est en compagnie de louis le paysan et de ses ouvrier agricoles maghrébins et black immigrés. Habillées toutes les trois plutôt sexy, ils nous porte un intérêt certain. D »s notre entrée, Christian nous dit :
« Puisque je n’ai pu profiter de ton histoire à la ferme avec ces braves gens, je les ai invité ici pour que vous nous montriez en détail ce qui c’est passé la-bas ! »
Je suis surprise et stupéfaite de cette initiative. Devant le sourire vicieux et narquois des tout ces mâles, je me rappelle cette aventure démentielle où Françoise et moi nous somme faites ramoner par toute ces queues insatiable et comment Sofia avait réalisé son fantasme de se faire pisser dessus. D’autre part Louis était ravi de pouvoir m’utiliser comme par le passé quand j’étais éduquée par Tonton Vick.
Sans attendre, tous sont venus nous embrasser sur la bouche en nous pelotant allègrement en signe de bienvenue. Louis en me glisse à l’oreille ;
« Comme on se retrouve ma belle petite salope. On va bien vous faire couinner ! »
Bravache je lui lance assez fort pour que les autres entendent :
«  Super, fais-nous voir ça ! »
Christian rétorque :
«  Patience, vous allez bientôt crier grâce mes belles femelles ! »
Nous ne pouvons manquer les bosses impressionnantes qui déforment leurs pantalons.
Louis nous ordonne alors :
« Femelles vous êtes, femelles vous serez ici. À poils les chiennes ! »
Le ton est donné. Après quelques seconde d’hésitations, en bonne salopes soumises, nous ôtons le peu de vêtement que nous portons et nous retrouvons rapidement dans la tenue d’Eve devant ces mâles en ruts qui ne veulent qu’une chose abuser de nos corps offerts. Les ouvriers agricoles semblent subjugué devant notre nudité obscéne. Ils ne tardent pas à sortir leurs sexes tendus. Même si nous les connaissons déjà, nous écarquillons les yeux devant ces hampes impressionnantes.
En matière de sexe, nous avons des heures de vol et nous sommes plutôt expérimentée, mais ces engins sont vraiment hors norme. Christian sourit de nous voir ainsi éberluées et nous dit :
« Alors les filles, qu’attendez-vous pour les branler ? »
Nous nous sommes avancés au milieux des mâles et avons saisi leurs grosses et longues tiges de nos mains délicates pour commencer à les branler. Leurs mains ne tardent pas à parcourir nos parties les plus intimes.
Ni tenant plus, je suis la première à me mettre à genoux pour leurs pomper le gland, rapidement imité par mes copines. Leurs queues sont vraiment plus imposante que la moyenne et c’est un réel plaisir de les avoir entre nos lèvres et de jouer avec de nos langues habilles.
Christian et Louis se joignent à nous. Le manque de femmes fait qu’il ne sont pas long à jouir. Après quelques minutes, leurs gémissements accompagnés d’une respiration plus courte annonce des éjaculations proches. Ils se mettent à râler et des jets abondant nous emplissent la bouche et nous aspergent.
Je ne peu tout avaler. L’un d’eux me dit :
« T’inquiète ma belle, on a plein de réserve pour vous trois ! »
Toujours aussi espiégle et rebelle, je le regarde dans les yeux et lui lance arrogante :
« J’espère bien ne pas rester sur ma faim ! »
Je reprends son sexe en bouche pour m(apercevoir qu’il n’a pas débandé. Ca promet me dis-je.
Nos mâchoire distendues commence à nous faire souffrir et je me demande quand ils vont décider de nous sauter pour me dégourdir les maxillaires mis à rude épreuve. Ils doivent lire dans nos pensées.
Après un regard appuyer sur mes seins, avant de me retourner pour me fourrer, je ne peux m’empêcher de leurs dire :
« C’est fou ! Vous ne débandez jamais ? »
Ils rigolent en disant à la volée :
« Cette pouffe s’étonne qu’on bande en permanence ! »
Comme un écho ils répondent :
« depuis let temps qu’on a pas tremper nos pieux dans de la chatte fraîche, avec des femelles comme ça on est pas prêt de débander ! »
Tous éclatent de rire et au lieux d’avoir honte d’être traitées ainsi, l’excitation d’être juste leurs femelles et leurs vide couilles nous excite au plus haut point et nous sommes prêtes à nous laisser saillir le nombre de fois qu’il faudra.
Je suis très fière de servir comme femelles et de soulager ces mâle en manque. J’ai comme l’impression de faire une démarche humanitaire et Françoise par un clin d’œil n’est pas là pour me contredire.
Mais pas le temps de penser pour l’instant. Louis me fourre sa verge dans la bouche pendant que deux maghrébin me fourre la chatte et le cul.
Christian s’occupe de Françoise avec deux autres ouvriers agricoles. Il m’avait confié qu’il voulait tester la nouvelle venue dans notre groupe et je sais aussi que c’est pas pour déplaire à ma nouvelle copine. Quand à Sofia, elle est aux prises avec quatre black qui la malmène sans scrupule.
Louis ce vieux vicieux fait le blasé en engloutissant son vieux membre dans ma bouche.
« Tu suces aussi bien que lorsque je t’ai connu chez Vick salope ! »
Pendant que je le suce, il émet une sorte de constatation :
«  Avec tout mes ouvriers, je crois que vous allez avoir une indigestion de sperme mes salopes ! »
Proche de l’éjaculation, le vieux paysan resserre sa queue pour bloquer son sperme et lâche tout d’un coup m’éclaboussant abondement le visage. En reprenant son souffle, il me dit :
« T’as tout eu ! Je t’laisse aux autres ! J’vais boire un coup pour m’en remettre ! »
Aussitôt une autre bite prend place. Elle est plus dure et plus grosse que celle du vieux.
Christian ayant giclé dans la bouche de Françoise, le rejoint en lui disant :
« Elles sont vraiment insatiables ces femelles ! »
Le vieux reste quelques secondes profitant du spectacle avant de lui répondre :
«  Putain que oui ! Ca faisait longtemps que je n’avais utilisé Michèle. Quand elle venais à la ferme c’était un vrai bonheur d’abuser d’elle avec Vick. Mais les deux autre putes sont aussi bonne qu’elle. Elles ont des cul à damner un moine ! »
Avec mes copines, assaillis par toute ces bites, nous couinions de plus en plus. Je sens mon orgasme approcher et les doigts de mes amant qui jouent avec mon clitoris et mes tétons ne risquent pas de le ralentir.
Haletante, mes assaillants me crient :
« On te remplit bien putain ! Tu vas déborder de sperme ! »
A ces paroles, je succombe dans un orgasme explosif qui laisse coît mes pourfendeurs. Je suis dans un état second quand ils se déversent en moi. Une fois leurs éjaculations terminées, ils se retirent pour laisser place aux suivants. Ma chatte et mon cul sont béants et graissé de toutes ces éjaculations. Ils n’ont donc aucun mal à me pénétrer jusqu’à la garde.
A tour de rôle, nous sommes baisées par tout les trous et ne sommes plus qu’un réceptacle à foutre. Nous sommes martelées sans cesse dans un plaisir intense. Les grosses bites nous remplissent bien.
A la fin de cette orgie, Christian lance à la volée :
« Maintenant que mes femelles sont comblées, il reste à satisfaire le fantasme de notre amie Sofia. »
Louis est intrigué et demande :
« Parceque Sofia en veut encore ? »
« Non mon ami,Sofia rêve de se faire pisser dessus. Pendant que les deux autres vont à la douche, Sofia va se prendre une douche dorée. »
Le vieux cochon n’en croit pas ses oreille et affiche un large sourire à cette nouvelle.
Pendant que nous montons dans la salle de bain pour une bonne douche salvatrice, Sofia est entourée de mâle qui commence à lui pisser dessus pour nettoyer de la semence masculine qui macule son corps. Elle ouvre même la bouche pour se gargariser du liquide chaud. La réalisation de son fantasme l’excite tant que nous l’entendons hurler de plaisir depuis la salle de bain où nous nous trouvons.
Nous sommes toutes les trois anéanties. Quand nous nous réveillons le lendemain, nous sommes enlacées entre nous sur un lit. Nous nous regardons un instant et sommes prises d’un fou rire incontrôlable.

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