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Les frères jumeaux

Les frères jumeaux



Comme chaque année, Eric vient passer quelques jours de vacances chez Hervé, son frère jumeau, qui réside dans le sud de la France. Cette année, ils fêtent leurs trente ans. Ca tombe le même jour que les vingt cinq ans de Carole, la ravissante épouse d’Hervé.
Carole est une superbe brune, au corps de rêve, au passé assez sulfureux. Elle ne compte pas les conquêtes qui ont passés des nuits entières dans sont lit, à la baiser. Depuis qu’elle a rencontré Hervé, elle s’est calmée, lui jurant d’être une épouse exemplaire, fidèle. Même si son dernier coup d’éclat, est assez récent.

En effet, le samedi précédent son mariage, elle avait enterré sa vie de jeune fille. A cette occasion, ses copines lui avaient organisé une soirée, dans une boite branchée de la ville. Vêtue très sexy, sa beauté éclaboussé la piste. Les hommes, en quête de sexe, n’avaient d’yeux, que pour elle.
Arrive la séance chippendales. Carole est assise seule au milieu de la piste, quand rentre un black d’une beauté à couper le souffle. Il est simplement vêtu d’une serviette de bains, passée autour de la taille. Il se déhanche autour d’elle, lui tourne le dos, et s’assied sur elle. Carole ne se démonte pas. Elle le prend par la taille, lui caresse les pectoraux, glisse une main sous la serviette, lui prend la queue, qu’elle décalotte.
Elle joue avec le gland entièrement décalotté, fait des va et vient sur cette énorme hampe de chair. Puis, elle lui demande de se retourner. Il se plante devant elle, jambes écartées, main sur les hanches. D’un geste, elle fait tomber la serviette au sol. Le chippendale, se retrouve totalement nu, la queue en érection, fièrement dressée, provocatrice. Carole fait rouler les couilles entre ses doigts, puis prend la bite en bouche, la suce. Au bout de quelques minutes, le jeune black se cambre sur ses pieds. L’assistance applaudit quand elle voit le sperme giclé dans la bouche de la future mariée. Calmement, elle nettoie le gland, se lève, et lui prend les lèvres.
Après quelques verres, Carole devient vulnérable. Vers une heure du matin, elle se fait lever par deux jeunes maghrébins, qui, très certainement, l’avaient repéré. Ni une ni deux, ils l’embarquent chez eux. Jusqu’au petit matin, Carole se fait baiser, enculer, est forcée à tailler des pipes. Elle n’en finit pas de jouir, hurle de plaisir quand elle atteint l’orgasme.
Epuisée, mais satisfaite de sa nuit, les deux jeunes maghrébins la déposent chez elle. Il est six heures du matin. Après une bonne douche, elle finit par s’assoupir.
Son enterrement de vie de jeune fille a été réussi, au de la de ses espérances.
Bien évidemment, Hervé n’a jamais rien su de cette nuit.

Pendant qu’Hervé est allé chercher son frère à la gare, Carole prépare la chambre d’amis, les rafraichissements.
La ressemblance entre les deux hommes et frappante.
Les mêmes manières, le même parler, les mêmes gestes, le même timbre de voix. Incroyable. De quoi tromper l’œil, même le plus averti.
Après qu’Eric se soit installé, ils décident de piquer une tête dans la piscine. A la vue du maillot deux pièces de Carole, faisant ressortir ses seins, et ses fesses, Eric ne peut retenir un sifflement admiratif. Carole fait celle qui n’a rien entendu, profitant du plaisir de voir Hervé et Eric réunis. Sans la différence de la couleur de leur maillot, si la jeune femme avait plongé dans l’eau, elle ne sait pas au cou duquel elle se serait pendue.
Carole prend du plaisir à voir ses deux frères s’amuser dans l’eau, à essayer d’att****r un endroit précis de leur anatomie. De vrais gamins.

-Allez ma chérie, dit mon mari, viens jouer avec nous.
-C’est ça…et vous allez me faire quoi ? Me coincer, me faire couler ?
-Mais non, essaie de la rassurer Eric, on ne te fera rien, promis.
-C’est vrai, bon d’accord, je vous fais confiance.

Et voila Carole dans l’eau avec Hervé et Eric. Aussitôt, les promesses s’envolent. Ils la coincent dans un angle de la piscine. Son mari, devant, et son beau frère, derrière, collé à elle. Carole s’écarte pour garder une certaine distance entre eux. Il lui semble déceler une petite différence entre les deux frères, mais elle en est pas sure. Elle décide de sortir de l’eau, pour s’occuper du repas, mais aussi pour se libérer d’un mauvais pas.

-Mon chéri, dit-elle, tu t’occuperas du feu, pendant que je mets la table. Toi Eric, tu peux t’occuper de l’apéro.
-Mais bien sur, répondent en cœur les frangins.

Pendant le repas, Eric y va de son humour. Il sait faire rire les femmes. Et Hervé surprend son épouse pendu aux lèvres de son frère. Il la sent séduite.

-J’ai un peu trop bu ce soir, dit Carole, je vais me rincer et aller au lit.
-Enfin, mon cœur, t’as presque rien bu.
-J’en ai assez, poursuit-elle, tu sais que quand j’ai un coup dans le nez, je fais n’importe quoi.
-Je ne vais pas tarder à te rejoindre, ma chérie, dit Hervé.
-Ok, mon amour…bonne nuit Eric.
-Bonne nuit Caro.

Eric finit son verre, et décide lui aussi, d’aller se coucher. En passant devant la cuisine, il voit une petite lueur. Celle du plan du travail. Carole est entrain de rincer les verres, vêtue d’une simple nuisette.
Eric s’approche sans bruit, la prend par la taille.

-T’es pas coucher mon chérie, dit-elle.
-Je t’attendais, murmure-t-il à l’oreille…J’ai envie de toi…là, de suite.
-Mais tu es fou, ton frère ne dort peut être pas. Il pourrait nous entendre.

Pour toute réponse, Eric glisse ses mains sous la nuisette, caresse les superbes seins de sa belle sœur. Celle-ci pousse un léger soupir, cambre sa croupe. Eric sort sa queue en érection, et la glisse entre les cuisses de Carole. Elle ouvre grand les yeux, surprise quand le calibre d’Eric pénètre la chatte. Le beau frère entame de lents va et vient, tirant des gémissements de plaisir à sa belle sœur. Dix minutes, pas plus, pour qu’elle atteigne l’orgasme, dans un râle de plaisir.
Un rapide baiser dans le cou, et Eric se retire dans sa chambre, sans un mot. Ni vu, ni connu.
Le lendemain, Eric traine au lit. Carole se trouve seule avec Hervé, au petit déjeuner.

-Alors ma chérie, bien dormi.
-Je crois que j’ai poussé un peu trop sur le rosé, hier. Mais dis moi, salaud, c’est quoi ces envies subites…tu aurais pu attendre d’être au lit, au lieu de me baiser contre le plan de travail. En plus, j’ai trouvé ta queue bien grosse.
-Heu…quoi…je ne comprends pas, répond Hervé
-C’est ça, poursuit Carole, prends moi pour une conne…c’est le saint esprit qui ma tronchée…ceci dit, j’ai bien aimé ce qu’il m’a fait, je l’ai trouvé bien monté.

La conversation s’arrête, quand Eric apparait, gêné.

-Bien dormi Eric, demande Carole.
-M’en parle pas, je n’ai rien dormi de la nuit. Jai tourné, retourné, pas moyen.
-A bon, reprend Hervé, va te recoucher si tu es en manque de sommeil.
-Je crois que c’est ce que je vais faire. Désolé.
-Qu’est-ce qui lui arrive, demande Carole. On ne la pas vexé.
-J’en sais rien, il a peut être des soucis. Tu devrais aller le voir, s’inquiète Hervé.

Carole pousse la porte de la salle de bains, légèrement entre ouverte. Eric est là, à demi tourné, appuyé sur le lavabo, l’air pensif. Carole arrive à voir sa queue, qui pend entre ses jambes, se refléter dans le miroir. Elle parait énorme.
Carole se prend le visage à deux mains, et file dans sa chambre. Elle a compris que c’est Eric, qui la baiser, hier soir.
Elle file voir Hervé, pour tout lui raconté.

-Que t’arrive-t-il ma chérie, je te sens troublée.
-Il faut que je t’avoue quelque chose, dit-elle doucement. Assieds-toi. Voila, celui qui m’a baisée hier soir, en fait, c’est ton frère.
-Eric, a bon…et comment tu sais ça !!
-Peu importe, il est arrivé derrière moi. Dans l’obscurité, j’ai pensé que c’était toi. C’est pour ça que je me suis donnée. Mon dieu, tu vas m’en vouloir…
-Mais pas du tout, mon amour, c’est mon frère jumeau. On a tout partagé dans la vie, je peux bien partager ma femme. Viens dans mes bras ma chérie.
-Mais enfin, mon amour, tu sais bien que j’ai arrêté la pilule.
-Ca ne risque rien, ça fait trois mois qu’on essaie, et çà ne prend toujours pas. Tu sais quoi, ne parlons pas de ça à mon frère, d’accord. Allez, viens dans mes bras.
Surprise, Carole se blottit dans les bras de son mari.

Arrive la fameuse soirée anniversaire.
Le trio est réuni autour d’un apéro dinatoire. Hervé envoie un peu de musique pour détendre l’atmosphère. Eric invite Carole à danser. Celle-ci regarde son mari, pour venir à son secours, au cas où.
Le slow est langoureux. Carole sent le sexe de son beau frère contre son bas ventre. Eric lui murmure des mots doux. Carole, gênée, est soulagée quand la musique s’arrête.
Pendant que Carole finit de débarrasser, les jumeaux vont dans la chambre d’Eric, se ressasser de vieux souvenirs.
Après avoir tout rangé, Carole va à la salle de bains. En sortant, elle entend des voix provenant de la chambre d’Eric. Elle pousse la porte, et découvre les deux frères, à demi allongés sur le lit, en train de discuter.

-Rentre ma chérie, dit Hervé, installes toi au bord du lit.
-D’accord, mais pas longtemps, dit-elle, j’ai un peu trop bu ce soir.
-Ben…nous aussi, poursuit Hervé.

Confiante, elle s’assied, ne voit pas arrivé le piège. Hervé la saisit par le cou, l’allonge en travers des jambes d’Eric. Ce geste a pour effet, de faire remonter la nuisette sur les hanches, de découvrir la chatte parfaitement épilée.

-Mais…enfin, que fais-tu, sursaute-t-elle.
-Rien ma chérie, détends toi. Tu as vu Eric…elle n’est pas belle la petite chatte de ma femme…et ce clito, vas-y, décalotte le…elle aime bien qu’on le doigte.
-Arrêtez, gronde Carole…vous êtes fou.

Après moult hésitation, Eric caresse timidement la fente ainsi offerte. Carole se débat, en vain, maintenu par son mari.

-Arrêtes de te débattre ma chérie, dit Hervé, t’as pas envie qu’on joue un peu… pour nôtre anniversaire. Allez, soit gentille.

Eric décide de se lancer. Après tout, c’est son frère qui veut ça. Un doigt pénètre la chatte de Carole, un autre excite le clitoris. Hervé ôte la nuisette, met sa femme entièrement nue.

-T’es un salaud Eric, fait Carole, arrêtes, ma chatte va être toute mouillée.
-Calme-toi mon amour. Elle est déjà mouiller. On va bien s’amuser avec.

Soudain, son passé sulfureux ressurgit. Après tout, se faire prendre par deux mecs, n’est pas nouveau pour elle. Elle se remémore ses nuits torrides, à se faire baiser par deux ou trois blacks bien montés. Mieux que son mari en tout cas. Puis, c’est son mari qui veut l’offrir à son frère. Pourquoi le décevoir.
Réticente jusque là, Carole se fait câline, s’installe face à son mari, lui prend la bouche. Eric est collé contre elle, immobile, comme si l’attendait le feu vert.

-C’est sur que c’est ça que tu veux, mon amour.
-C’est nos anniversaires aujourd’hui…j’aimerais qu’ils soient inoubliables.
-Ils vont l’être mon chéri, promis. Tu ne vas être déçu. J’espère simplement que tu ne me pardonneras.
-Tu es déjà pardonnée, mon amour. Vas-y, détend toi.

D’une main elle saisit la queue d’Hervé, de l’autre, passée en arrière, att**** celle d’Eric. Là, elle peut mesurer enfin la différence de calibre. Les jumeaux ne sont pas identiques. Prise dans la tournante, elle s’offre aux deux males. Elle écarte les jambes, ouvre l’accès à sa chatte, pour que les doigts de son mari, la caresse. Elle sent l’énorme queue d’Eric, tenter de se frayer un passage entre ses fesses. Le salaud, il veut faire du hors piste, ce que son mari n’a jamais été capable de faire. Soudain, elle ouvre grand les yeux, serre les dents.

-Que t’arrive-t-il ma chérie, demande Hervé.
-Oh mon dieu…si tu savais…
-Vas-y, dis-moi, s’il te plait.
-L’enfoiré…il m’encule…quelle bite, oh putain…quelle est grosse !!

Toute la nuit, Carole se fait prendre par tous les trous. Elle se fait gratter la chatte par son mari, se fait baiser et enculer par Eric, lui suce la queue. Bizarrement, il n’y a qu’Eric qui a droit à ce genre de faveur. En fait, Hervé s’occupe des préliminaires, laissant à son frère, les morceaux de choix.
Carole, vexante, fait remarquer à son mari, qu’il n’est pas à la hauteur, dans cette partie à trois. A tel point, qu’au bout d’une heure, Hervé trouve le prétexte d’une grosse fatigue, pour se retirer, et les laisser tous les deux. Eric à la femme de son frère, pour lui tout seul. Et il va s’amuser avec elle, la faisant hurler de plaisir à chaque orgasmes, et ils sont nombreux. Carole s’offre à son beau frère, sans retenue, même si elle est sure que son mari l’entend jouir de sa chambre. Eric s’avère être baiseur hors pair. Carole n’en finit pas de jouir.

Il est neuf heures du matin, quand Hervé pénètre dans la chambre, tire les rideaux pour faire rentrer la lumière. Carole est blottit dans les bras d’Eric.

-Alors, les amoureux, avez-vous passé une bonne nuit, demande Hervé…au fait frérot, qu’as-tu fais à ma femme ? Je l’ai entendu crier toute la nuit.
-Si tu savais mon chérie, sourit Carole, je ne sais pas combien de fois, il m’a fait jouir. Si tu savais comme il a gratté ma petite chatte, et mon petit bouton. Ne soit pas fâché, mon amour, mais je n’ai jamais connu ça avec toi.
-Ta femme est obéissante, poursuit Eric, elle a fait tout ce que je lui demandais. Elle m’a taillé des pipes d’enfer, elle a tout avalé. Elle est vraiment bonne, elle ferait bander un mort.

Hervé constate que la queue de son frère est encore en érection, et que Carole commence à s’y pencher sur elle dessus. Hervé se retire en voyant disparaitre le mandrin dans la bouche de sa femme.

-Attends, dis Eric, regarde comme elle suce. Aller, Carole, fais lui voir.
-Oh oui chéri, reste…s’il te plait. Tu m’as dit que tu ne m’en voudrais pas.

Humilié, Hervé assiste à la fellation, à laquelle il n’a jamais eu droit. Vicieuse, Carole le regarde, quand Eric gicle dans sa bouche, quand il dépose délicatement sa semence épaisse sur sa langue. Elle montre à son mari, le stock de sperme. D’une seule gorgée, elle avale tout.
A peine a-t-il quitté la chambre, qu’Hervé entend des gémissements de plaisir. Cette fois, ce sont ceux de son épouse.

Hervé a mal, très mal. Il sent que sa femme lui échappe. D’autant que Carole passe le plus clair de son temps au lit, avec Eric.
Mais toutes les bonnes, ou mauvaise choses ont une fin. Eric est sur le départ. Carole est triste, elle perd un amant merveilleux.
Avant de ramener son frère à la gare, Hervé prend une douche.
Carole en profite pour rejoindre Eric dans sa chambre. Il est tout nu. Elle se précipite, tombe à genoux devant lui, prend sa queue en bouche.

-Arrêtes Carole, c’est trop. Regarde comment Hervé est malheureux. On lui a fait du mal tout les deux.
-T’inquiètes mon amour, je vais bien m’occuper de lui quand tu seras parti. Mais s’il te plait, laisses moi te tailler une pipe, une dernière fois, je veux garder le gout de ton sperme dans la bouche.

Eric ne peut résister à sa ravissante belle sœur. Cinq minutes plus tard, il tapisse le palais de Carole, de son épaisse semence. Un bon nettoyage avec la langue, et le tour est joué. Carole se relève, et donne un sulfureux baiser à son amant.

Les jours suivant, Hervé a très peu de rapport avec sa femme, se heurtant au refus de son épouse. Comme si elle voulait rester fidèle à Eric. Mais petit à petit, la vie de couple reprend ses.
Cela fait maintenant un bon mois, qu’Eric est rentré chez lui. Carole attend avec impatience que son mari rentre du bureau, pour lui annoncé une bonne nouvelle. Il va être papa.
C’est ce même jour, qu’Hervé apprend qu’il est stérile.

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