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Weekend de pentecôte mouvementé

Weekend de pentecôte mouvementé



Je m’appelle Blandine, j’ai 22 ans et je suis d’après ce que mon entourage dit, très belle. Du haut de mes 1m 65 et 56 kg, les hommes se retournent souvent sur moi. Je suis une petite brune, avec de petits seins 80 B et une taille très fine (le 36 me va grand), et de belles petites fesses bombées.
D’après le copain de mon père, mon nouvel amant, et je le reconnais, je suis devenue une petite salope !

Je dois vous raconter ce weekend de pentecôte, il m’est arrivé une chose que je n’aurais jamais pu imaginer.
Mon père a dû remonter, dans le nord, dans sa famille, et le weekend s’annonçait chaud bouillant avec mon amant, le copain de mon père. Mon copain a dit à sa femme qu’il partait pour un weekend tarot avec ses potes, ce qui le libérait, bref tout allé pour le mieux !
Je suis rentré du boulot vendredi soir, mon copain était déjà là, il discutait avec ma mère dans le salon, ils avaient l’air complices alors que je pensais qu’ils ne se connaissaient pas. Je suis monté dans ma chambre pour me préparer, après une bonne douche et un rasage intégral, je me suis crémé et asperger de mon parfum préféré, Cascada. Je me suis vêtu, simplement mais juste de quoi excité mon copain, string blanc, jupe courte, talon haut, chemisier blanc transparent, sans soutif. Une bombe. Je suis descendu le rejoindre, ma mère nous a proposé de rester mais j’ai décliné l’invitation car cela faisait un mois que je n’avais pas vu mon copain et j’espérais bien qu’il me défonce la chatte. En partant, mon copain a dit à ma mère, qu’il espérait quelle nous apporte le café au lit le lendemain matin, non mais n’importe quoi !
Nous sommes partis au restau, nous nous sommes embrassés dans la voiture et le temps d’arrivé à destination j’ai eu le temps de le prendre en bouche de le sucer, le cajoler, l’aspirer à ma guise et le faire jouir, en guise d’apéritif. Il m’a défait les deux boutons du haut de mon chemisier et il m’a dit que quitte à avoir une belle poitrine nue, il fallait la montrer aux autres. Au resto les femmes présente m’ont dévisagé, l’air en colère que je puisse avoir un décolleté aussi plongeant, à moins que ce soit parce que mes seins tiennent encore droit sans soutif ? Mon copain avait l’air fier d’arriver avec une très belle femme à son bras. Le succulent repas a été dégusté rapidement, entrecoupé par des massages, avec ses pieds, de mon entrejambe, j’étais en feu.
A la fin du repas, je suis allé aux toilettes avant de partir. Des toilettes gigantesques et somptueuses. Après m’être soulagé et alors que je me lavais les mains, il est rentré une superbe femme d’une quarantaine d’année, rousse flamboyante. Elle n’avait pas arrêté de me dévisagé pendant le repas. A mon tour, je n’arrêtais pas de la regarder, elle m’a souri et s’est approchée de moi. Elle m’a embrassée à pleine bouche sans prévenir, j’étais surprise mais je lui ai rendu ce doux baiser. Rien ne vaut la douceur d’une femme, une langue douce et agile. Puis elle parcourt mon corps, de mon oreille à ma joue en passant par mes lèvres pulpeuses, puis elle descends sur mes seins, sa main part sous le chemisier, masse mes petits seins pince les tétons qui s’érigent et durcissent sous la caresse. Je gémis et je sens mon sexe s’humidifier et mes tétons durcir sous ma chemise. À ses soupirs, la passion qu’elle met dans son baiser, mes petits seins gonflés, je mouille comme une cochonne. Elle me prend la main et m’entraine dans un WC et ferme la porte à clé. Sa langue vient fouillée ma langue et elle se détache de ma bouche pour me chuchoter à l’oreille :

– mets-toi toute nue ma puce ! je te ferais sortir tes tétons et je descendrai sur ton ventre, je te caresserai de mes mains expertes pour te faire mouiller et jouir comme une princesse. Ses mains sur mes hanches, elle a dévoré encore ma bouche, sa langue percée enroulée autour de la mienne comme si elle lui faisait l’amour. J’ai fermé les yeux pour mieux apprécier la sensation merveilleuse de ce baiser saphique. Nos respirations se sont accélérées. Ses mains ont parcouru mon corps, son ventre s’est frotté au mien. J’étais pendue à son cou, haletante, déjà loin de tout ce monde qui gravite autour de nous. Elle a défait la fermeture de ma jupe, la descendu sur les cuisses, puis à mes pieds, glissé sa main dans mon string, et sans attendre plongé dans ma chatte. Branler mon clitoris. Je l’ai sentie décidée à me donner mon orgasme rapidement. Sa bouche, ses lèvres sur mon cou, sa langue sur mes oreilles, m’ont fait frissonner. Je mouillais, comme il me semble que je n’avais jamais mouillé ! Sa main libre passée sous mon chemisier avait empaumé un sein, puis jouée, avec mes tétons, durs, érigés. Sous les caresses conjuguées, je me suis pâmée dans ses bras. Dans mon entrejambe, elle a abandonné mon bourgeon pour caresser ma fente de haut en bas et de bas en haut, avant d’enfoncer deux doigts dans ma grotte frémissante et me baiser. Ses va-et-vient, le talon de la paume de sa main qui frappait mon clito, m’ont arrachée des plaintes de plaisir que j’essayais d’étouffer, en pressant ma bouche sur son épaule. Elle me baisait sans aucune retenue ni moralité. Et pour moi tout ce qui comptait en cet instant, c’était l’extase intense qu’elle était en train de me procurer. Quand elle m’a amenée au point de rupture, je me suis entendu lui murmurer :
– Je … Je vais jouir …
Et soudain, une explosion au niveau de mon vagin. Un orgasme phénoménal m’a foudroyé ! liquéfié !
Je voulais lui rendre ses caresses, mais elle m’a dit : « désolé je n’ai pas le temps on se rappelle, et elle m’a tendu sa carte de visite. »
Je suis sortie après cinq bonne minute, mon copain m’a demandé si ça allait car j’étais toute rouge. Je lui ai répondu par l’affirmative en lui disant je te raconterai. En sortant du restau, il insistait tellement que lui ai raconté mon histoire extraordinaire, sans oublier le moindre détail. Il était tellement excité qu’il m’a plaqué contre la voiture, arraché mon string et m’a baisé sur le parking du restau, heureusement qu’il n’y avait personne et que sa voiture était dissimulée au fond du parking. J’ai joui une deuxième lorsqu’il a lâché sa semence. Repu nous sommes rentrés à la maison et nous nous sommes endormis rapidement.
Le lendemain matin, ma mère nous a apporter le café au lit. Elle a tapé et est rentré sans attendre, nous étions tous les deux nu sur les draps, mon copain avec la trique du matin, ma mère s’est contentée d’un « oups, pardon ! » en ouvrant le volet électrique. Mon copain sur le dos a tiré le drap sur son sexe tendu et à dit bonjour à ma mère. Elle était avec son beau kimono satin, rayonnante. Elle s’est approchée avec un plateau, les cafés et les croissants chauds, ça sentait bon. Mon copain m’a poussé et à invité ma mère à prendre le café avec nous. Lorsqu’elle s’est penchée, son kimono s’est légèrement entre ouvert et nous a fait découvrir sa poitrine nue. Mon copain la félicité sur sa belle poitrine, ma mère a rougie comme une jeune fille, sur ce elle nous dit : « je vais me chercher une tasse de café et je reviens. » Alors qu’elle revenait pour s’assoir au pied du lit, mon copain l’a attrapé par la main et lui a dit de venir avec nous car ça sera plus sympa, tout en la tirant vers nous. Au moment de se retourner pour s’assoir avec nous, mon copain a tiré sur la ceinture du kimono et l’a envoyé au bas du lit, tout cela nous laissant entrevoir que ma mère était nue sous son kimono. Ma mère s’est assise sur le drap à côté de mon copain, tout en essayant d’ajuster au mieux son kimono pour ne pas laisser apparaitre son entrejambe. Elle a dit à mon copain :
« Tu es un sacré coquin, si Joël te voyait agir tu serais mal ! »
Il lui a répondu, « oui mais il n’est pas là. »
Cela m’a fait rire.
Mon copain n’arrêtait pas de complimenter ma mère, il faut dire que l’on pouvait voir ses magnifiques jambes et ses seins par l’échancrure du kimono. Je ressemble beaucoup à ma mère et ce n’est pas pour rien si je suis belle ! Merci maman. Il faut dire que nous sommes très complices et très contentes de nos corps respectifs et qu’on n’hésite pas à se déshabiller l’une à côté de l’autre.
Alors que je buvais le café et que mon copain flattait sans arrêt ma mère et la faisait rire, il a glissé sa main sous le drap et a commencé à me caresser la cuisse puis à glisser dans l’entrejambe. Je me suis sentie rougir, sa main a fait descendre le drap qui cachait mes seins et j’étais toute gênée par la situation, je n’osais plus regarder ma mère. J’ai fermé les yeux pour apprécier sa caresse qui était très agréable, douce et précise. Je n’ai pas mis longtemps à mouiller et alors qu’il butinait mon clito, j’ai laissé un soupir s’évader de ma bouche. Un soupir de contentement. A ce moment-là, j’ai entendu d’autres soupirs qui ne venaient pas de mon copain, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu qu’il prodiguait la même caresse à ma mère qui avait les cuisses écartées et le kimono ne cachait plus rien. Au moment ou j’allais dire quelque chose mon copain m’a pénétré de deux doigts et a accéléré le mouvement, mon plaisir a pris le pas sur mon offus**tion. Intrigué je regardais ma mère prendre du plaisir sous les doigts habiles de mon amant, elle avait la bouche entrouverte et haletée comme moi. Nous avons joui toute les deux pratiquement en même temps et nos cris de jouissances étaient très excitants. Mon copain a retiré ses doigts de ma chatte, il retiré le drap et a ordonné à ma mère de venir le sucer. Elle s’est exécutée sans me regarder, elle a pris l’objet de nos désirs dans sa bouche et s’est mis à le pomper. Alors que je voyais mon mec lui mettre deux doigts dans la chatte et un dans l’anus il s’est retourné vers moi et m’a dit : « embrasse-moi »
J’avoue que je ne savais plus où j’étais et je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Notre baiser a état long et langoureux, puissant et torride à la fois. Puis j’ai senti ma mère se mettre à califourchon sur la queue de mon mec, en lui disant « ça fait tellement longtemps que je ne suis pas monté sur ta queue. » Mon copain s’est allongé et m’a demandé de mettre ma chatte sur sa bouche pour qu’il me fasse jouir avec sa langue. J’étais face à face avec ma mère qui prenait son pied sur la tige de mon mec, un sourire d’épanouissement sur le lèvres. La situation était à la fois bizarre et terriblement excitante. Elle a joui très fort, je l’ai suivi peu de temps après.
Nous étions allongés de chaque côté de mon amant quand il a dit :
« C’est un plaisir fou de vous avoir baisé en même temps, c’est un plaisir inouï, c’est quand même mieux que chacun de son côté. »
Ma mère s’est levée nue, sans pudeur, le sperme de mon amant coulant entre ses cuisses, ramassant son kimono par terre et lui disant qu’il n’était pas obligé de révéler son infidélité à sa fille. Il lui a répondu : «va te doucher que je t’encule avant le repas, maintenant je vais baiser ta fille et tu vas l’entendre couiner comme toi. Ensuite, tu viens nous rejoindre que je m’occupe de ta rondelle. »
Pendant que ma mère sortait il m’a dit « nettoie ma la queue que je reprenne de la vigueur, j’ai envie de toi ». Il a joint le geste à la parole et il m’a mis la main sur la tête, comme si je ne savais pas où elle était. Son côté dominant n’est pas pour me déplaire. Après quelques minutes de mise en bouche il m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le lit car il adore me prendre en levrette. Il s’est mis derrière moi et a commencer à me limer doucement. Puis il a mis son pouce sur ma rondelle et a commencer une double prise, il sait que j’adore ça, j’ai commencé à couiner de plaisir comme il dit, il a accéléré le mouvement de ses va et viens et il a réussi, comme ‘habitude à me faire jouir de la chatte, un vrai geyser qui sort de mon petit trou. Epuisée et éreinté je me suis allongée sur le lit, il m’a donné une tape sur la fesse et il m’a dit tu m’as bien préparé la queue maintenant je vais sodomiser et faire couiner ta mère.
Il est allé rejoindre ma mère dans sa chambre, qui est juste à côté de la mienne, et je l’ai effectivement entendu couiner, c’est devenu notre amant, il l’était avant mais je ne le savais pas. Il nous a demandé de rester nues tous le weekend, il a passé son temps à se faire sucer et à nous prendre l’une après l’autre, l’une devant l’autre, il nous domine toute les deux, je ne voyais pas ma mère comme ça, après tout si elle est heureuse, pourquoi pas, elle m’a avouée que cela fait dix ans que mon père ne l’a pas touchée et quand le copain de mon père est venu à la maison elle n’a pas mis longtemps pour tomber sous son charme., ou sous sa queue comme on veut, mais ça c’est une autre histoire.

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