Quelques mois sans nouvelles donc. Et puis on organise un anniversaire surprise pour ma sœur. Famille et amis sont conviés, et je m’occupe de l’organisation. Amandine fait partie des invités, ainsi que sa fille (ma cousine), Camille, de 18 ans. Le rendez-vous est donné à 19h dans un coin sympa, une petite fontaine où on peut faire griller.
Arrivé un peu en avance, j’accueille tout le monde, dont Amandine qui me fait la bise comme si de rien n’était. La soirée se déroule bien, et tout le monde se régale. Sur les coups de 22h, je vais prendre un peu d’eau fraîche à la fontaine, qui est dans un coin un peu plus reculé que là où on grille. Sans éclairage, et assez discret. Amandine m’y rejoint « pour discuter ». Je lui demande si ça va, elle me répond d’un « oui » timide. Elle porte toujours un jean standard, mais comme elle est super mince, maigre même, le jean est un peu lâche.
Elle sort une clope et commence à fumer. On discute quelques minutes. Sa clope finit, elle se baisse pour écraser le mégot. A ce moment-là je vois qu’elle porte un string rouge en dentelle. Pas habitué à ce qu’elle ait ce genre de sous-vêtements, je la retourne alors qu’elle se relève, et baisse un peu son jean. Elle ne dit rien et se laisse faire. Je la félicite sur sa lingerie, tout en passant un doigt en dessous du tissu. Je commence à titiller sa rondelle, la faisant doucement gémir.
Même si on est en retrait par rapport aux autres, on en reste quand même pas loin, et on risque d’être surpris à tout moment. J’arrête donc mon massage. Amandine me dit qu’on pourrait s’éloigner, qu’elle est pas contre une petite baise. Mais je préfère retourner discuter avec les autres.
La soirée suit son cours, je discute pas mal avec Camille. Du haut de ses 18 ans, elle est devenue vraiment pas mal, et elle le sait. Elle est habillée très sexy, trop même : une mini robe noire avec un sacré décolleté…qui dévoilait un soutien-gorge noir aussi, qu’on ne pouvait manquer. Elle est un peu arrogante, se sachant désirée par sûrement tous les mecs de son âge, et ça me fait rigoler de l’écouter parler de ça. Elle me le reproche, et je lui dis qu’elle reste une gamine, jolie, mais qu’il faut pas qu’elle se prenne trop au sérieux. La réponse ne se fait pas attendre :
– Une gamine, moi ? Je baise sûrement mieux que ma mère !
Elle m’a séché, j’ai pas su quoi répondre. Les invités autour étaient trop occupés dans leurs conversations pour nous avoir entendus. Moi je n’étais pas sûr d’avoir bien compris… Ni de savoir ce qu’elle voulait vraiment dire. Serait-elle au courant de ce que j’avais fait avec Amandine ? Voyant que je ne savais pas quoi répondre, elle se retourne et va remplir nos verres. Je la regarde marcher, sa robe noire la moulant parfaitement, mettant son joli cul en valeur. Alcool ou pas, j’avais l’impression qu’elle ne portait rien dessous, et j’avais soudainement envie de le lui demander.
Elle revient avec nos verres et je tente d’en apprendre plus sur ce qu’elle sait.
– Depuis quand tu te compares à ta mère sur ce genre de trucs ? lui demandais-je.
Elle me regarde sans rien dire, avec un petit sourire. Elle n’en dira pas plus… Elle a l’air de savourer mon incertitude sur le sujet. Je décide de parler de l’autre sujet qui me trotte dans la tête.
– Elle est sympa cette robe, très sexy…
– Oui je sais, et encore là j’ai mis un soutif parce qu’il y avait la famille, mais sans c’est encore pire !
Je manque de m’étouffer en buvant mon verra.
– Tu te balades sans soutif avec ça ?!
– C’est le but banane ! me dit-elle d’un air espiègle.
– J’aimerai bien voir ça, dis-je alors à haute voix, sans réfléchir.
Je regrette immédiatement ma phrase, et me dis qu’il faut que je change de sujet avant de perdre pied. Camille est devenue vraiment décoincée, une allumeuse, ou peut-être même plus… Je vois qu’elle n’a pas froid aux yeux en tout cas.
Minuit arrive, et quelques invités sont partis. Surtout parmi les membres de la famille. Camille vient me voir et on discute à nouveau. L’alcool n’aidant pas, mes yeux finissent souvent dans son décolleté. Peut-être que je voulais qu’elle s’en aperçoit… en tout cas ça n’a pas manqué. Elle a fini par me dire :
– Si tu veux tellement voir mes seins t’as qu’à demander !
– Ah bon ? Tu me les montrerais comme ça toi ?
Un sourire espiègle, et elle se dirige vers la fontaine. Je la suis, et sur le chemin je la vois dégrafer son soutif. Elle l’enlève alors même qu’on est encore à la vue de tous. Personne n’a semblé s’en rendre compte. Arrivés à la fontaine je constate que c’est vrai que sans soutif, cette robe est un appel à la débauche.
– T’es super sexy là dedans, lui dis-je.
– Je sais, répond-elle en levant les yeux aux ciels.
Son comportement est vraiment celui d’une gamine arrogante. Je m’approche alors d’elle, histoire de voir si elle n’a que de la gueule. Je tire un peu sur sa robe, qui dévoile un joli sein, bien rond, bien tendu… son petit téton tout dur. Elle est bouche bée.
– Je pensais pas que t’oserais, me dit-elle.
Ma main se referme sur son sein et commence à le masser. Elle plisse les yeux de plaisir, retenant un râle. Je décide d’avoir enfin la réponse à ma question : a-t-elle une culotte ou pas sous cette robe. Je passe mon autre main entre le tissus et sa cuisse, et remonte jusqu’à sa fesse nue. Je remonte jusqu’à la hanche, la robe dévoilant complètement ses fesses : aucun sous-vêtement !
– T’as pas peur de te faire violer avec cette robe, à poil dessous en plus ?
– Violer ? Sûrement pas. Baiser par contre ça arrive souvent.
Elle me raconte sa dernière baise en boîte de nuit, avec deux videurs qui devaient faire chacun 4 fois son poids. En me racontant ça je constate que son sexe s’humidifie. Je prends alors son soutif et le met dans la poche arrière de mon jean.
– Confisqué, lui dis-je. On verra comment tu finis ce soir…
Déjà que pas mal d’amis lui tournaient autour, la voir avec ce décolleté, les seins limites offerts… Je me demandais bien où ça finirait.
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