Quand j’ai poussé la porte de sa chambre, ma fille était assise en tailleur sur le lit, le dos calé contre les oreillers et elle se masturbait avec un gode de couleur bleue.
– Tu la baises, gémissait-elle !
Elle était face au miroir de la porte de son armoire. Le godemiché entrait et sortait entre ses cuisses. Je ne pouvais pas en voir plus et je me suis abstenu d’intervenir car j’étais fasciné par le spectacle qu’elle me donnait.
Au bout d’un moment, elle a sorti le gode de ses cuisses et elle l’a mis dans sa bouche et elle l’a sucé puis elle s’est caressé le bout des seins avec car elle était complètement nue. Ma fille a renvoyé ses longs cheveux noirs dans son dos puis elle a enfoncé à nouveau le godemiché entre ses cuisses.
C’était ma fille et je peux dire qu’elle était magnifique. Bien plus que sa mère dont le corps commençait à s’empâter. Ses seins étaient aussi bien plus petits que ceux de sa mère.
– Aaah, a gémi ma fille !
Elle s’est penchée en avant.
– Tu vois ! Je n’ai pas besoin de ta bite, a-t-elle proféré !
A qui pouvait-elle parler ? Je voyais bien qu’il n’y avait personne d’autre dans la chambre.
– Sale con ! Il a fallu que tu me trompes avec ma meilleure amie, a ajouté ma ville ! Mais je n’ai pas besoin de toi !
Elle s’est énervée et son bras est allé bien plus vite si bien que ma fille a ouvert la bouche en grand.
-Tu n’avais pas assez de mon trou et il a fallu que tu aies aussi le sien, a ajouté ma ville ! Ne nie pas ! Elle me l’a dit !
Les doigts de sa main gauche se sont crispés sur son mamelon droit. C’était comme si elle voulait l’étirer puis elle a étiré son mamelon droit avant que ses doigts ne se portent sur son ventre et qu’ils descendent plus bas encore.
– Tu veux branler ma petite bite, a gémi ma fille ! C’est ça !
Je voyais bien qu’elle branlait son clitoris parce que quand il lui échappait, je voyais la position qu’avaient conservé son pouce et son index.
– Tu n’aimais pas que je te branle, a ajouté ma fille ! Tu as toujours honte ! Tu es trop fier mais ça ne te gêne pas que je me masturbe devant toi !
Ma fille a avancé ses genoux sur le lit pour pouvoir se pencher en arrière. Maintenant, je pouvais en voir un peu plus. Elle a ramassé le gode sur le drap puis elle se l’a enfoncé puis elle a ramassé un autre gode, rose, cette fois, sur le drap et elle se l’est enfoncé aussi et j’ai pensé qu’elle s’en était mis deux dans la chatte mais j’ai vite compris ce qu’elle faisait :
– J’espère que tu lui mets aussi dans le cul à cette salope ! Tu vois, je n’ai pas besoin de toi pour le faire !
Ma fille s’est retournée pour montrer qu’elle avait un gode dans l’anus et elle a tourné la tête pour se regarder dans le miroir.
– Ça fait des années que je m’encule, a ajouté ma fille !
Elle a mis la main sur ce gode et elle l’a fait aller et venir dans son anus.
– J’aime ça, s’est-elle mise à gémir !
Tout à coup, elle a tourné la tête vers la porte de sa chambre et elle m’a aperçu.
-Ah, papa, tu es là, m’a fait ma fille !
Je n’ai rien répondu.
– Je suis désolé que tu aies vu ça, a ajouté ma fille, mais je suis comme maman ! J’aime le cul !
D’un coup, j’ai eu une pensée horrible et je me suis dit que si ma fille me demande de lui mettre ma bite dans le cul, je le fais sans hésitation, mais elle ne m’a rien dit d’autre que de sortir de sa chambre et de refermer la porte.
Je lui ai obéi mais, cinq minutes plus tard, en repassant devant la porte de sa chambre, j’ai regardé par le trou de la serrure. Ma ville continuait à se masturber.
– A qui le tour, gémissait-elle ? Un dans la chatte, un dans le trou du cul et un dans la bouche et j’en branlerai deux aussi ! Cochon ! Tu as joui dans ma bouche ! A qui le tour, maintenant ?
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