Nous avons encore bu du Whisky dans les locaux et nous avons décidé de commencer. Je me suis isolé dans les WC pour me changer.
J’étais tout excité de la situation et j’entendais Spernie marcher avec ses talons hauts dans la pièce et allumer des bougies partout. J’ai enfilé ma guêpière, mes bas nylon et accroché les portes-jarretelles. J’étais surexcité lorsque j’ai mis mes sandales aux hauts talons et enfilé mes lunettes de soleil. La ficelle de mon string rouge était déjà humide dans mes fesses. Je suis sorti en ayant la croupe bien cambrée par les talons et c’était la première fois que quelque un me voyait dans cette tenue de petite salope.
Spernie était déjà excitée au possible et me mis un collier de chienne qu’elle sera assez forte pour que j’aie envie de la suivre au bout de la laisse. Elle me promena dans toutes les pièces et m’insulta en me traitant de salope soumise. Je bandais déjà dur et ma queue épilée dépassait du string rouge. Spernie était en cuir avec des bottes à talons et un body noir simili cuir. Une vraie maîtresse sévère.
Après s’être caressé des longues minutes, j’étais totalement libéré et Spernie m’entraîna dans une pièce. Elle m’attacha les bras en croix avec des chaînes au plafond. Puis écarta mes jambes et attacha mes chevilles. Elle me plaça dans une situation très peu confortable, car j’avais les jambes très écartées. C’était indécent et elle profita de caresser ma raie avec ses doigts sans pénétrer dans le petit trou. J’étais à la limite de perdre l’équilibre tant la position était inconfortable. Mon cou était toujours serré par le collier et la laisse était attachée au plafond. M’obligeant à garder la tête haute. Puis, Spernie s’absenta et me laissa quelques minutes seules dans cette position de chienne soumise.
J’ai eu un peu la crainte, car je me suis dit que si elle ne revenait pas j’étais très mal placé. J’essaya les me libérer, mais impossible. Spernie avait si bien attaché mes jambes et mes poignets que je n’arrivais pas me libérer. Un peu angoissé, je me concentrais pour ne pas me laisser aller, car les crampes arrivaient aux mollets distendus par la position et ma croupe offerte en arrière.
Puis Spernie revient et m’embrassa langoureusement en me déversant du Whisky dans la bouche. Après avoir frotté son engin contre mes fesses, elle me détacha pour mon plus grand bonheur. Je ne sentais plus mes poignets. Elle me mit à genou et m’obligea à sucer sa queue de longues minutes. J’avais mal aux genoux, mais ne pouvais me relever, car elle me maintenait fermement avec ses mains.
Puis elle m’ordonna de me coucher sur une table de massage qui était juste à côté. Elle me lia à nouveau les mains avec des menottes aux pieds de la table et enleva mon string. Puis elle enfila des gants de latex et prépara un plug avec de la vaseline. Je n’avais jamais reçu de chose si grosse dans mon anus et seul des doigts avaient pénétré l’intérieur. J’étais un peu inquiet de la douleur, mais me soumettais complètement aux caprices de ma Maîtresse experte. Elle prépara mon cul avec son doigt et le gant de latex enduit de vaseline. Je bandais très dur. Elle m’insultait et me traitais de salope.
Puis elle enfila doucement le plug et m’encula copieusement. Les aller-retour me procuraient un immense plaisir et elle me mit un élastique autour de la base de la queue pour m’empêcher de venir tout de suite. Elle me tarauda le petit trou longuement et la douleur avait complètement disparu. Elle me disait qu’un jour mon trou du cul pourrait être fister. Que j’étais une pute en chaleur. J’étais soumise et soudain, Spernie me détacha les mains tout en laissant le plug dans mon anus, elle me releva en position assise. J’étais assis sur le plug complètement introduite en moi. Puis elle tira la laisse pour m’obliger à sucer sa queue.
Je le fis avec plaisir, car j’adore sucer des belles queues épilées et j’étais tellement excitée que j’attendais que ça. Puis après seulement quelques va-et-vient, Spernie me prit les cheveux et tira ma tête en arrière en sortant sa queue de ma bouche brusquement. Je n’ai pas eu le temps de fermer les yeux que déjà sa semence blanchâtre sortait à grosses giclées sur ma gueule soumise. Je me surpris d’adorer cette soudaine chaleur et cette odeur et j’ouvris la bouche toute grande. Les dernières giclées de Spernie finir à l’intérieur de ma bouche et sur ma langue. La sensation était phénoménale et je n’avala pas le sperme, mais le laissa dégouliner de ma bouche sur mes lèvres comme une pute soumise.
Je n’avais pas encore joui, mais il ne fallut que quelques va-et-vient de la bouche de Spernie sur ma queue pour qu’à mon tour je jouisse dans sa bouche. Spernie avala toute ma semence sans en laisser une goutte.
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